Old par -- Zan le 19 Mai 2003

11:57:38 : je prends mon petit déjeuner au soleil

14:18:15 : je renonce à prendre mon vélo pour cause de temps de merde

Le temps, non plus, ne sait pas ce qu’il veut en ce moment.

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Old par M. Fox le 13 Mai 2003

La musique me provoque des bouffées extasiantes…

Plus nous la construisons, plus elle m’habite…

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Présage de fin d’après midi : L’ex de ton ex est en ville

c’est absolument ininterprétable,

j’imagine que je fais un contre-sens quelque part

mais où ?

Old par M. Fox le 28 Mai 2003

O.G.M.

(Orgones Génétiquement Modifiées)

elles sont encore plus performantes
Old par Gu. le 20 Mai 2003

Lui aussi…

…moi pareil!

Old par Gu. le 05 Mai 2003

Du soleil

et pas de regrets

Old par M. Fox le 31 Mai 2003

le récitant: hey, Napoléon, va jouer aux dominos sur l’autoroute.

Old par igor le 03 Mai 2003

des milliers de petites ailes fêtent la vie
et jubilent sous le soleil

le chant des grenouilles
emplit l’air,

ça et là des couples se forment
et se défont

un rongeur surgit de notre bosquet d’orties favori,
sa truffe goutte le parfum des herbes douces

je t’invite à danser,
tu souris et acceptes en riant

nous tournons,
encore et encore,
sous le soleil printanier

tu glisses
et je te retiens,
nous roulons dans l’herbe,

sans fin

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

Pas le temps de penser, désolé

les chasseurs ne sont plus très loin après moi,

laisse moi le temps de les semer

et je suis à toi

Old par M. Fox le 24 Mai 2003

Dialogues (Extraits)

– Je crois que l’image ne peut pas oblitérer la réalité.
– Tu as raison, c’est la réalité qui oblitère l’Image.

Didier Feldman
PUNCTUM

Old par Gu. le 09 Mai 2003

Il dit que chacun d’entre nous
doit planter son Arbre-aux-contes
vert, magique et brillant
qui saura le guider et l’accompagner
tout au long de sa vie

Old par M. Fox le 14 Mai 2003

Sproutlore

Old par Rodia le 30 Mai 2003

Il me semble m’être tissée une écorce cette nuit : mon corps est rigide,
tellement tendu.
Je guette les craquelures sur mes cuisses, mes hanches, mes seins.
Je me sens à l’étroit dans ce nouveau costume.
Ma peau en dessous de l’écorce cherche à respirer.
Encore une journée à devoir surveiller chaque mouvement, chaque parole.
Vais-je tenir?

Tu es épuisé
Viens, allonge-toi
Tu n’as rien à expliquer
Je comprends

Old par M. Fox le 15 Mai 2003

Old par Gu. le 21 Mai 2003

Trois images de C. Napoli, 2002.

de l'érotisme dans le combat, et inversement, de l'esquive et du frôlement...

hamburger ou fellation?

06 61 63 58 84

Mec, t’es un jeune dur, un fier

Tu hurles dans la rue qu’le monde est à toi

T’as du sang sur la face

La honte sur toi

T’agites ta bannière comme un fou

En chantant…

Old par M. Fox le 24 Mai 2003

Comment se fait-il
que parmi toutes les personnes
au monde
une seule
arrive à me combler ?

Old par M. Fox le 19 Mai 2003

Old par Rodia le 13 Mai 2003

– Ma soeur est là, mon ami arrive, mais où donc est le juge ?
– Il est occupé avec des moulins à vent, m’a t-on dit.
– Ha ok.

Old par Rodia le 03 Mai 2003

je crois que je suis allergique à l’héroïne : à chaque fois que j’en prends, je me sens tout bizarre.

Moi, moi, moi, moi, moi, moi, moi, moi…

Old par Rodia le 01 Mai 2003

Ils font plaisir à voir ces deux là…

Dans la rue je ne vois qu’eux,
les amoureux…

Mon ami j’aime te voir comme ça…

Old par Gu. le 06 Mai 2003

C’est un travail de longue haleine

ça demande beaucoup d'efforts
Old par D.b le 20 Mai 2003

EROS

THANATOS

CHRONOS

Plûmé

Le matriarcat acharné volait ses plûmes à

des bébés cigognes abandonnés.

Le clan des mères s’en paraient les cheveux, riaient entre elles, et moi

— tremblant sous la table — je caressai mon pelage en claquant du bec.

Les voyages c’est son dada.

Il te raconte l’époque où il est parti

au Maroc dans une vieille Fiat 500 avec ses potes. Il a particulièrement aimé au Brésil l’Amazonie, en Argentine la Patagonie, Cuba avant l’arrivée du dollar. Il adore faire son shopping dans les aéroports du Quatar. Mais quand même, il n’oubliera jamais l’Inde ( il y est allé cinq fois) la Thaïlande aussi. Aujourd’hui fan de Sanskrit et du mythe de Guilgamesch, il apprend le japonais par la méthode ASSIMIL ( trente leçons pour ne pas être trop largué).

Il est résolument cosmopolite, citoyen du monde. Il fait la grève de la faim avec les sans-papiers quand il ne bosse pas le lendemain. Fait le squat des églises et gymnases mais se barre avant l’arrivée des flics.

Ah oui j’oubliais! Zen c’est pas un révolutionnaire. Il a bien fait 68, balancé son pavé, malheureusement il n’y a plus de témoins. Aujourd’hui il croit à la politique du citoyen à la consultation, au milieu associatif. Lecteur assidu du Monde Diplomatique, il est sûr que l’Afrique s’en sortira sans la corruption et que la démocratie triomphera.

Même si pour le fun, il va faire le nostalgique à la fête de L’Huma. C’est roots, c’est convivial, c’est la Courneuve quoi.

sweet maison de la fausse fourrure, I miss you so much !

Old par M. Fox le 28 Mai 2003

Vous me liriez l’avenir ?

Old par Rodia le 01 Mai 2003

STP

Quand tu es fier d’une phrase écrite,

supprime la tout de suite.

Old par Gu. le 06 Mai 2003


Old par M. Fox le 26 Mai 2003

Socrate-la-Torpille dit :

ja men jeg kommer ikke inn, får bare feilmelding, må jeg bruke ms?

Socrate-la-Torpille dit :

oups excuse

Socrate-la-Torpille dit :

je me suis trompé de fenetre

Old par igor le 21 Mai 2003

ça s’arrange pas…


Old par -- Zan le 13 Mai 2003

toi aussi, camarade tourguéniste qui ne sait pas quoi faire de son temps libre, au lieu de compter et recompter tes allocations chomage en euros, milites donc pour le droit des objets à disposer de leur destin!

toute la france manifeste:

li-bé-rez les ob-jets!

li-bé-rez les ob-jets!

Rendre au réel ce qui appartient au réel…

Old par Gu. le 19 Mai 2003

Qu’en pensez vous?
Deux jumelles amésiques
Une allure de sorcières
D’anciennes photos dans un sac
A la recherche de leur passé
Elles arpentent les rues de Saint-Ouen
Avec Régularité
On les nomme
Celles qui marchent

Old par Gu. le 02 Mai 2003

On lui dit « très sceptique », il entend « stress optique »,
il est photographe.

Mon arbre ne me donne pas seulement des fruits délicieux
il me prodigue aussi asile et réconfort
lorsque la mer est mauvaise

Old par M. Fox le 14 Mai 2003

Saint-Ouen
Une boucherie en devanture
Un oeil à l’interieur
A première vue des tapis
Derrière des poulets à la broche
Puis un étalage de viande à côté du stand d’encens
Un mécanicien répare un moteur
Drôle de hangar!

Old par Gu. le 02 Mai 2003

GHOST FOG TONIGHT…

Old par Gu. le 12 Mai 2003

Bien plus intéressant que Matrix 2 : Leila

En vente dans cette salle

Old par M. Fox le 16 Mai 2003

ETC

EROS

THANATOS

CHRONOS

il pourrait s’agir d’un dangereux terroriste


Old par -- Zan le 25 Mai 2003

Ecrit en pause longue

Clic

Parler pour soi ne va pas de soi.

Avis

Vivre est désormais inséparable de l’écriture, le

mariage est déjà consommé.

400 iso

Je regarde sur la planche de la bibliothèque les dix

films noir et blanc non développés. Pourquoi

est-ce ainsi ? 360 images de la vie cachées dans

ces boîtes. Je ne me souviens de rien.

Il doit y avoir, grosso modo :

– Des inconnu(e)s

– Des connu(e)s.

– Objets d’intérieurs.

– Fragments de nuages.

– Une épaule.

– Un pied.

– E. cachée sous les couettes pour fuir l’objectif.

– Portrait de mon père sur son canapé Louis XV (rouge).

– Autoportraits insatisfaits.

– Chute de films illisibles.

– Peut-être des images d’Italie ? (Milan ? Turin ?)

Contrariétés

Je n’écris pas (ou très peu) d’histoires. (Nouvelles ou romans.)

Dans la vie, quand une histoire amoureuse s’amorce, je flippe, je me casse

et retrouve mon chaos : repère pas pépère du tout.

ALLEZ SAVOIR POURQUOI !

Autologie.

Autoportrait en rameur.

Clac

Je m’endors sur le grand canapé

rouge, comme une Olympia déplûmée. Entendez- le

comme vous voudrez : fauché, à court d’idées.

KAFKA M’A DIT HIER SOIR AU TELEPHONE :

« Dans ton combat avec le monde, seconde le monde. »

MAIL DE PROUST (ce matin) :

« Les années heureuses sont les années perdues,

et on attend une souffrance pour travailler. »


TEXTO DE STENDHAL (à midi) :

« Mes jugements ne sont que des aperçus. »

Ce qu’il faut faire

Dans ton texte, laisse apparaître les ratures, repentirs, contre l’idée

dégoûtante de la réussite, et du prêt à admirer.

ETC.

don't worry and mail me

Found !!

Old par igor le 17 Mai 2003

J’ai dit hier soir à T. que la littérature a une autorité
si forte sur moi, qu’à chaque instant de vie heureuse, il y a
une voix qui s’attriste, comme si ce bonheur m’écartait du travail.

Il y a toujours plusieurs façons d’interpréter la réalité.

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Travail en cours : 15% de la tache 02/06 accomplis

Old par M. Fox le 16 Mai 2003

AUTOLOGIE.
(Il faudrait songer à rassembler et
classer un jour ces notes pour ne pas être
pulvérisé. Etat d’esprit du
moment ? Calme, frivole, tout reste à faire.)

Rouge
La lumière qui venait du dehors transperçait les rideaux
rouges, et diffusait cette couleur dans la chambre d’amour, sur
les draps blancs, peau mate ; je me rappelle la nuit dans le noir quand
elle m’avait avoué le désir de peindre un tableau rouge ;
nous avions donc trouvé à neuf heure du matin
l’origine de la couleur, et celle de son désir d’image.
Texto (from Perros Guirec, Bretagne)
Vive les langoustines, les coquilles st Jacques et les tourteaux !
Titre (idiot.)
Lit et ratures : un personnage nous confie qu’il passe de son bureau
à son lit et accomplit ses besognes (coits, phrases) — qu’il manque
toujours, ça va de soi.
Micro.
Il faudrait qu’à chaque instant de la journée nous
puissions vivre l’insolite, et laisser la surprise décider
de nos pas, sans commander, sans souci de régner,
amoureux de faits parfois ridicules et de situations folles
— juste se désorganiser.
Moderato
Il faut considérer ce lignes d’écriture comme
des bruits ; les associer à la fulgurance d’un doigté
de pianiste que je ne suis plus, — je me tue à vous dire que je ne suis
pas un sémioticien, et ces murmures qui s’inscrivent par accidents,
sont proches des mains de l’enfant, qui veut faire du
vacarme pour se signaler.
Chanson.
 » Je me tue à te dire, qu’on ne va pas mourir. »

I just don’t know what to do with myself…

TWS

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Old par -- Zan le 13 Mai 2003

I smell a rat!

TWS

Old par Gu. le 07 Mai 2003

le récitant : ya bitch !

Old par igor le 12 Mai 2003

mes vacances à st-ouen

Old par M. Fox le 07 Mai 2003

Allez, roule pour un supplémentaire!

Gniark-gniark-gniark…

Old par Gu. le 07 Mai 2003

Elle parle! Oh! parle encore, ange resplendissant! Car tu rayonnes dans cette nuit, au-dessus de ma tête, comme le messager ailé du ciel, quand, aux yeux bouleversés des mortels qui se rejettent en arrière pour le contempler, il devance les nuées paresseuses et vogue sur le sein des airs!

Old par M. Fox le 31 Mai 2003

Nos chemins se séparent à présent
petite fille
tu es si fragile
et tes rêves sont intacts

comme je t’envie !

Old par M. Fox le 14 Mai 2003

Pourquoi avoir honte de sa vie intérieure ?

je sais pas pourquoi

mais à chaque fois

le matin en me levant

je me dis :

IGOr jE Vais Te BroYer la GueUle

Epreuves (Extraits)
A peine réveillé, j’ouvrais le placard ;
d’abord, un sentiment de joie vécu : comme si j’atteignais
une zone claire en moi, lieu que je ne connaissais pas ; comme un rêve furtif ;
puis la grâce s’étiolait, tu n’émettais plus de lumière,
et je baissais les yeux, pour pleurer, je n’avais rien vu, rien conservé
de cette sensation à travers laquelle j’avais perçu une
vérité silencieuse, si apaisante. Alors je descendais,
furieux contre moi (je n’avais pas approfondi cette vérité
silencieuse ) furieux contre toi (tu n’étais pas ouvert complètement).
Mais comment fallait-il se comporter? Te transformer ?
Te détruire ? Hélas, aucun énoncé ne soutenait le projet.
Pas de mode d’emploi. L’impuissance me faisait pleurer, des pleurs
qui me brûlaient puisque je ne savais pas pourquoi j’étais si triste.



Souvent, recherchant des objets à aimer, j’ai subi le drame
de l’illusion, l’illusion percée après coup, pensant que
ces objets étaient des dieux alors qu’ils n’étaient qu’images.
Etait-ce une ruse de ta part lorsque la photographie dans le placard (la femme qui courait en me souriant) suintait un moment, pour ensuite redevenir neutre, brutalement ?
Comme si tu me mettais à l’épreuve pour mesurer le danger
de l’image et sa formidable attraction vers le vide.
Femme oubliée, disparue. Une cendre que ma complaisance conservait,
parce que elle était la seule trace de mon passé.
La mettre de côté, la retourner eut été douloureux,
mais je connaissais l’importance de ce sacrifice que je finirais par faire pour toi. Car que pouvais-je risquer à présent dans cette aventure ? Me couper du monde ?
Le monde n’était plus que trois ou quatre choses : le supermarché,
le bar, le ciel parfois. Autant l’avouer : le monde était rétréci ;
je ne ressentais plus aucune joie pour ce monde.
De la pure matière indifférente à mes sens !

Restaurer la magie n’est pas aisé,
du bout de mes pieds
à la pointe de mes cheveux
je cherche en vain cette étincelle,
ces p’tits morceaux de reves
savamment bricolés,
un peu d’amour,
de musique
et les couleurs qui dansent tout autour,
l’assemblage habituel
qui me fait tenir et avancer

je ne les trouve nulle part,

peut-etre que les temps changent, finalement

Old par M. Fox le 17 Mai 2003

non, je n’appelle pas
je ne renvoie pas de mail
ne répond rien de précis.
pourquoi une photographie
plutot qu’une autre
avec ou sans intérêt
les images se suivent
et se ressemblent
un peu.
rien n’empêche
d’espérer la bonne
surprise.

Francis Ponge :  » Jeunesse : « Qualités d’un être
ou d’une chose qui n’a pas encore acquis toutes les qualités
dont il (ou elle) est susceptible. »

Effacer le surplus amer avec un coton blanc

Double face

Old par D.b le 20 Mai 2003

 » Et c’était toute sa vie qui m’inspirait du désir !« 

nous n’irons plus au bord du canal ?

It was our secret…

Old par Gu. le 20 Mai 2003

Vous retrouverez votre photo sur le trottoir à l’angle de la rue de Patay et de la rue du Dessous des Berges (paris 13e).

Old par Rodia le 07 Mai 2003

-Allo?
-Oui c’est Gu.
-Bien dormi?
-Très bof…
-Tu fais quoi là?
-Je me lamente sur tout ce que j’ai à faire et ça me prend vachement de temps…
-Ah…
-Et toi?
-Pareil…
-Bon on raccroche alors…
-OK!

Old par Gu. le 09 Mai 2003

bon à rien à cette heure, trop de fatigue, mais pas de mal.
bon à rien à sept heure, trop de fatigue, mais pas de mal.
demain on traque le maléfique et on recommence à bouquiner.
demain on reprend le rythme et on recommence à travailler.
je suis bien en ce moment, ça peut durer, on va tout faire pour.
—————————————————————————–
ne pas oublier de participer au barbecue théatral.
—————————————————————————–
peut-on rester femme et mère en prison ?
—————————————————————————–
lutter par le silence contre une petite pointe d’ironie.
—————————————————————————–
je vais à la cuisine chercher un couteau auto-aiguisé.
je vais à la cave chercher un biceps.
sortir une poêle, mettre un peu d’huile d’olive.
faire chauffer l’huile, bien bien chaude.
jeter le biceps, laisser griller,
un coup pile, un coup face.
quelques herbes
miam.

Old par igor le 12 Mai 2003

Veuillez briser les images, décoller

le résidus du monde, plonger

ces fragments dans l’eau chaude, attendre

de nouvelles craquelures, et restez joyeux,

je vous en prie.

(DIX MILLE MONDES ENTRE CHAQUE PARAGRAPHE)

Old par Gu. le 21 Mai 2003

le récitant : celui qui kérave, il sait.

Old par igor le 23 Mai 2003

largué, cerveau éteint, ne plus penser, vide
je crois que j’ai la tête trouée par le rien
ça n’aide pas à construire une réflexion
mon travail analytique est impossible
je suis perdu, largué
il se peut que ce soit passager
il se peut aussi que ça reste
je note des trucs sur le papier
ou ici
pour éviter de me confronter
prendre un peu de recul
me coucher à minuit
me lever à 8h
qui sait ?

Old par igor le 18 Mai 2003


Old par -- Zan le 25 Mai 2003

Que du bonheur !

Old par Gu. le 13 Mai 2003

Axiome

La tentation du n’importe quoi, du désordre,
de l’imprévu, de l’accident, d’une vie
d’aventures ; de chambres en chambres, villes
inconnues — je passe dans le temps comme
si quelqu’un ou quelque chose me coursait
pour me brûler les fesses.

Parcours du musée à Amsterdam…

Les estampes japonaises de Van Gogh…

Rarement été aussi touchée devant une toile…

Old par Gu. le 07 Mai 2003

Si belle qu’elle transforme les fauves en agneaux

Old par M. Fox le 29 Mai 2003

Maurice Blanchot, cet eros


——————————

j’ai envie de faire une pause

de monter sur la montagne

et avec un Don Juan d’ocaze

prendre l’herbe du Diable.

——————————

Old par igor le 21 Mai 2003

environ 6 heures de retard sur le plan

je redispose les petites briques de temps d’une autre façon pour pouvoir m’en sortir,
ça ne sera ni la première, ni la dernière fois que je procéderai ainsi

futur simple

Old par M. Fox le 18 Mai 2003

Pour qu’ils vous griffent fort


Old par -- Zan le 15 Mai 2003

comme vous pouvez le constater
4 heures après l’heure fatidique
le monde existe toujours.


je l’ai donc sauvé.
merci à tous pour vos encouragements.

Oui mais le zèbre vit à Belleville

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Zen,

Prendre du recul à chaque instant
savoir faire la part des choses
ne pas s’emporter pour des broutilles,
s’énerver au moindre couac
cool toujours!
Open, tolérant. Ne pas avoir d’avis tranchés, être à l’écoute.

Voter pour le centre gauche. A Bas les extrêmes de tous bords.
Participer à des repas de quartier, contribuer à des oeuvres de charité.
Signer des pétitions pour les réformateurs iraniens contre la peine de mort, contre la faim dans le monde, pour la liberté de la presse…

Zen,

Trouver sa voie, la sérénité.
Comme le blondinet pull près du corps, cuisine équipée intérieur froid gris blanc de la pub IKEA nous présentant ses étagères.
Flanqué de sa femme et ses deux gamins, il a l’air épanoui des gens heureux qui vivent à crédit.
PERPETUITE DE LA CONSOMMATION.

A suivre….

M !

Old par igor le 16 Mai 2003

« là ici »