Entendre les ailes du papillon en vol…

Avoir une très bonne ouïe…

Old par Gu. le 25 Mai 2003

Est-ce un chien-loup ou un kangourou sur cette affiche derrière lui?

Old par Gu. le 06 Mai 2003

intrOsautOsOâ/#1

être minuscule

plipitizencOr (…)

Old par Gu. le 25 Fév 2004

I smell a rat!

TWS

Old par Gu. le 07 Mai 2003

Old par Gu. le 19 Juil 2003

Old par Gu. le 21 Juil 2003

happy to be happy #3

happy to be happy #3

Craché par Aïna et par Gü.

Old par Gu. le 02 Fév 2004

Old par Gu. le 20 Oct 2002

c’est ok et elle a jamais été en otage ?

Old par Gu. le 07 Mar 2006

youth in the countryside

Sybil, Basil - on front of fawlty tower (Photos Manuel)

Old par Gu. le 02 Déc 2003

en fait si j’ai peur (…)

Old par Gu. le 10 Mar 2004

gla-glA

On the

banKiz’

Old par Gu. le 19 Jan 2004

Saint-Ouen
Une boucherie en devanture
Un oeil à l’interieur
A première vue des tapis
Derrière des poulets à la broche
Puis un étalage de viande à côté du stand d’encens
Un mécanicien répare un moteur
Drôle de hangar!

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Old par Gu. le 21 Fév 2004

la petite fille : les mots me cherchent

Old par Gu. le 19 Nov 2003

Whaooooooooh…

Old par Gu. le 19 Mai 2003

Old par Gu. le 04 Juin 2003

plicplicplic
Old par Gu. le 16 Fév 2004

autOrOute A3

directiOn

Neuilly-Plaisance

livraisOn

cOmmande

SpOke

jamais

arrivée

destinatiOn

perte

cOmmande

véhicule

stOpdanger

dépanneuse

mOmO

est

mOrte

ce matin

(…)

Old par Gu. le 25 Août 2003

Be quiet…

Old par Gu. le 21 Jan 2003

Inspiration mOlle / Passez un agréable WeEk-eNd

Old par Gu. le 06 Juin 2003

Je crois bien que c’est Sartre qui signait « Lui »…
Je ne suis pas Simone de Beauvoir, seulement Gu.

Old par Gu. le 24 Avr 2003

>>>>>>>Kill this blOg & nOblOg<<<<<<< # # # # #

®

Old par Gu. le 03 Juin 2003

Gü’s a lullabee
Gü’s a dragonfly

Old par Gu. le 14 Mai 2003

boringirl (…)

Old par Gu. le 05 Juin 2003

tétard

tOnight

dracula 73

rires

fOOt (? ; ?)

1664

j’embrasse pas

bavarOis

pansements

pastèque

pOlux

cÔne

pluie

papOtte

(…)

Old par Gu. le 18 Août 2003

cui!

Old par Gu. le 12 Avr 2004

ce

sOir

Félix

est

rentré

avec

un

mamOulex

des

tableaux

et

des

marquise

(…)

Old par Gu. le 22 Août 2003

cet

été

On

fait

danS

le

bain

de

piedS

(…)
Old par Gu. le 11 Août 2003


Old par Gu. le 02 Déc 2004

C’est mauvais, alors pourquoi continuer?
(d’en manger, d’en boire, d’en prendre, de le voir…)

Old par Gu. le 14 Avr 2003

FATIGUE EXCESSIVE = SPOTS !

Old par Gu. le 19 Mai 2003

Old par Gu. le 04 Fév 2004

Old par Gu. le 05 Août 2003

#990000

Old par Gu. le 19 Août 2003

Quel artiste ce héros!

Old par Gu. le 15 Avr 2003

Ce personnage est glacial…

L’est-il en personne?

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Banalement

Ordinairement

Rituellement

Normalement

Béatement

Actuellement

Docilement

&

B.a.d.i.d.e.dement

Assurément

Dorénavant

Généralement

Idéalement

Régulièrement

Lentement

.

.

.

Old par Gu. le 22 Mai 2003

juste

trOis

mOts

U après O

(…)

Old par Gu. le 19 Sep 2003

Lee Scratch PerrY

arrive Sur la Scène

avec SeS mOOnbOOtS

rOugeS OrnéeS

de lampiOnS qui clignOtent

(…)

Old par Gu. le 21 Juil 2003

Mes poivrons grillés à l’huile d’olive…

Sourire aux têtes connues dans le quartier…

Retrouver un polaroïd à soi affiché dans un bistrot…

La langue, l’oralité, la bouche, le palais…

Les feuilles pourpres et safrans à l’automne venu…

La coriandre, l’aneth, le poivre vert et le basilic…

Tomber dans les bras de Morphée en pensant à un inconnu…

Old par Gu. le 13 Mai 2003

bulle bien !

Old par Gu. le 01 Sep 2003












Old par Gu. le 14 Juil 2003

F

Old par Gu. le 28 Mai 2003

SpOke vous parle…

Old par Gu. le 26 Mai 2003

Un poivron…

…des poivreaux!

Old par Gu. le 13 Avr 2003

Tour-

gueule

2

bois-

istes

Old par Gu. le 12 Juin 2003

Envahie par la culpabilité…
Tuer le petit gendarme en soi…

Old par Gu. le 09 Mai 2003

chabadallOpiumjadisOnasmallredplanet'

Old par Gu. le 23 Jan 2004

Mes dix idées…

Old par Gu. le 26 Fév 2006

Old par Gu. le 19 Oct 2003

SpOkème vibriOn

     Large

   Dimanche, la rue,

On voulait sortir du grand cadre

   Rien d’extraordinaire sortir du grand cadre,

      Non, rien d’extraordinaire

Visiblement, les gens aimaient prendre la tangente, se pencher

   Courir en italique, se dérober, ton mot c’était oblique, tu disais,

        Plutôt rester dans les cadres,

      C’est qu’ils préfèrent, les cachettes, s’enferrer de petites fatigues.


  Rompant le doux continu des jours dichotomes

    Qui cantonnent nos rires à des moues monochromes,

     On discutait, bouches pleines d’offenses,

  Monde fait de violence, et encore du vent,

Des histoires et encore du vent,

Des griefs, des avalanches, des petites revanches

Des reliefs, ou même des identités,

          L’avenir sur ta paume, tu disais,

       Les visages flous des génomes, tu disais,

     En perdre son signalement,

   Combien les mots manquent de discernement,

  Diminuent la vigilance du sujet.

        Pendant que rouge le ciel gazolé dégaze,

      Dans l’air, tout ça qui flotte, rase et s’effiloche,,

         On a peut-être raté le coche

  Il y en avait mille fois trop
, tu disais, mille fois trop,

Aérer, aérer
, tu disais, aérer, revoir la mer, respirer,

  Evoquer la banalité des clichés,

     Le flot des images éculées, tu disais, l’âme cassée,

Fuir l’éphémère, être à tout allant, génant pour l’éternité, adulés.

    Et le vent léger que tu me souffles au creux des voiles,

   Soleil incliné dans tes yeux, apaise mon poux, mon oripale,

      Sans jamais froisser nos mailles, nos pulls qui

       Débraillés nous taillent des silhouettes diverses,

  Pour sûr, on n’y est pas à l’étroit, pour sûr, on aime les porter large.

Tu sentais comme la pluie, des arbres,

Comme la terre mouillée aux pieds des arbres,

  Tu disais, Quands tu me parles, tu joues, quand tu me râles, que tu me tires tes balles,

Je vois pointer comme des astres, oui des mots comme des astres fous
,

   Fumée dans l’air qui flotte pendant que rouge le ciel ébahi, envahit,

                        Rase et s’éparpille

      Comme de longues séries de phrases vides qui vascillent,

                                Mais assassinent quand même,

                                 Collent au palais, étouffent,

Assassinent quand même,


       Tu disais, Sait-on seulement que c’est à chaque fois différent,

     Sait-on seulement que nos vies n’ont rien de répétitif, rien de définitif,,

   Et s’il y a des risques, pourquoi ne pas prendre ces risques?

    On marcherait, la rue, nos écharpes, s’en aller,

Anonymes, dérisoires, périphériques, rien de différent,


              tu disais, nul besoin de se dérober,

   Sans cesse reconquérir, arrêter le temps, photographier le vent,

     Evanouir la zone et les feux qui croisent à l’horizon,

Les saisons, en mener large avec toi, s’épanouir,

            Dimanche, lundi, mardi, et les autres aussi,

Arpenter la ville la nuit, le jour,

             Déclarer son amour à qui vient, qui veut,

   Comme un vieux disque rayé, répéter, répéter, même épuisé,

              Recommencer l’amour entre ses lignes aérées
,

Tu disais, tu sais où nous allons,

                              Il n’y a pas d’horizon finissant,

  De phare,

        Où nous allons, il n’y a que des larges,

   On n’y sera pas à l’étroit, tu sais,

Des larges,

on n’y sera pas à l’étroit
,

                              La mer sait décliner les bleus

(…)

Frédéric

Nevchehirlian

Old par Gu. le 08 Déc 2003

I just don’t know what to do with myself…

TWS

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Old par Gu. le 10 Juin 2003

comme les femmes peuvent some



times être dures avec leur chéri!

Old par Gu. le 03 Nov 2003

neither glasses

nOr cOntact lences

my eyes hurts

feeling blind

fucking screen

I must be mad

(…)

Old par Gu. le 11 Sep 2003

Old par Gu. le 07 Avr 2003

2 YearS pile @ 3:00pm pile (…)

Old par Gu. le 05 Mar 2004

Bien que le tribunal l’ait lui-même souligné, c’est toujours avec un grand plaisir que je constate les avancées et investigations du « vandalisme urbain » dans la sphère de l’art légitime, les salons, les galeries, les musées…

Pourtant et heureusement, cela n’enlève rien à l’essence de l’acte de peindre au/le dehors : « graffiti must be a crime… » La « démocratisation » et la reconnaissance plastique du graffiing ne peuvent oter le caractère criminel au fondement de cet art. Un art basé sur le vol… vol de materiel d’abord (bombes qui servent à peindre), vol de l’espace investi ensuite (le mur, la porte, le train…). Et c’est précisément pour cela que l’acquisition pour la pratique du graffiti d’une légitimité, d’une quote, et parfois aujourd’hui d’une protection (les pochoirs de Miss Tic à Paris échappent à l’effacement des murs vandalisés appliqué par les autorités publiques) est une prouesse et un régal (enfin ça me fait jubiler… à chacun ses kiffs!). Le mouvement hip hop a ouvert des brèches monumentales, entre le dehors et le dedans, le privé et le public, et entre la voix du peuple et celle du pouvoir astraignant : peindre des murs aboutit à un décloisonnement entre des univers d’ordinaire séparés, à l’investissement de zones interdites, et à une réapropiation des moyens et des lieux de la communication publique légitime…

Yeahhhhhhhh!

A VOIR ! :

WRITERS – 1983-2003 : 20 ANS DE GRAFFITI À PARIS

France , 2003

Résistances Films, 2good Productions

Les arts graphiques de la rue sont très respectés à Barcelone, voire protégés. C’est assez avant-gardiste comme mentalité et à la fois conservateur : alors qu’en France, on commence à faire rentrer la rue et ses arts dans les musées, à Barcelone, c’est déjà l’idée de musée qui investit la rue, avec ses problématiques de conservation et de patrimoine.

L’expression graphique règne partout, on peut s’arrêter pour regarder les murs de la ville à tout instant… (graffs, fresques, stickers, collages, mozaïks…).

Old par Gu. le 27 Nov 2004

It was our secret…

Old par Gu. le 20 Mai 2003

le buzZ

artiStiK

n’eN

eSt-il

paS

mOinS

de la

publi(DUPLI)-cité

???

Old par Gu. le 04 Juin 2003

Old par Gu. le 02 Juil 2003

Old par Gu. le 21 Juil 2003

Old par Gu. le 31 Août 2004

Old par Gu. le 03 Juil 2003

chhapkattituD’ #3

chhapkattituD' #3

Old par Gu. le 03 Fév 2004

Death Of a picture

(…)

Old par Gu. le 21 Juil 2003

chapka

alors igor c kan la partouze ?

Craché par F?lix J. et re-craché par Gü.

Old par Gu. le 01 Fév 2004

kill kill Bang Bang
Old par Gu. le 09 Fév 2004

Old par Gu. le 22 Juil 2003

Ouah Ouah ouah ouah Ouah !!!

Old par Gu. le 15 Mai 2003









Old par Gu. le 18 Juin 2003

le poulet,

ce héros

c’est lui,

chéri…

va savoir…

c’est toi poyo?

Old par Gu. le 03 Nov 2003

Old par Gu. le 28 Mai 2003

(part 1 : the_pola_GÜ_live_rEport)

Old par Gu. le 17 Fév 2004






Old par Gu. le 12 Juin 2003

c’est toi chéri ?


va savoir …

craché par  » i don’t know who yu’re » edited by Gü.

Old par Gu. le 21 Oct 2003

Sublime, ce second moi !

Schizo, juste comme il faut… Non, vraiment, rien à

dire, c’est de la belle ouvrage !!!

(Est-ce que la Bad girl va voir les Whites Stripes,

demain soir ?)

Certains petits mails qui font plaisir…

Old par Gu. le 22 Mai 2003

Old par Gu. le 28 Juin 2004

My favorite fantasm may be a woman

Old par Gu. le 02 Juin 2003

EGu.-trip!

Il y a les pré-Gu., les Gülistes, les Güliens, les néo-Gu., les pseudo-Gu., mais la vrai Gu. c’est môa…

(merci à Fred Vargas)

Old par Gu. le 28 Avr 2003

Pluie, pluie, pluie

Old par Gu. le 18 Mai 2003

La foudre de la mauvaise humeur !!!

Old par Gu. le 20 Mai 2003

encOre

e

n

c

O

r

e

(…)

Old par Gu. le 07 Avr 2004

A

hahahahahahahhhhhhhhhhaa

Old par Gu. le 05 Avr 2004

oh c’est haut !

New York City

Old par Gu. le 07 Fév 2006

Old par Gu. le 14 Avr 2003

Ne plus jamais m’adresser la parole.

On verra demain.

Je crains le pire.

Je serai très-très désagréable.

Je leurs dirai à tous mon emmerdement.

Parasites, disparaissez !!!

COMPRIS ???

Old par Gu. le 12 Mai 2003

Seule une once de poussière sépare
Le complexe de superiorité du délire de persécution

Old par Gu. le 14 Mai 2003

IGOR A DISPARU…

Aidez-nous à retrouver Igor!

Plusieurs centaines de cas de crise de manque ont été constatées
et recensées aujourd’hui chez les lecteurs de Tourgueniev ce héros…

Si nous n’agissons pas très vite, l’épidémie risque de se propager
de façon exponentielle!

Alors faîtes vite, si vous avez des informations, nous contacter!!!

Evidement récompense!!!

Old par Gu. le 09 Mai 2003

Ces canards stériles qu’on prend plaisir à éplumer

Old par Gu. le 28 Mai 2003

RiDiCuLe!

Old par Gu. le 30 Avr 2003

Prisonniers de nous-mêmes…
… la liberté avance!!!

Old par Gu. le 06 Déc 2002

spoke

a le cerveau bronzé
et le corps intégral

Les Editions Spoke décorent
le Printemps des Poètes de
leurs auteurs fleuris et nuisibles.
Au programme du texte énervé,
performances pseudo littéraires
et gâteries multiples…

Dimanche 13 mars 2005 à 19h

L’Entrepôt – 7 / 9 rue Francis de Pressensé – 75014 Paris

Old par Gu. le 13 Mar 2005

auto-urgueniev cet eros

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’amuse à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec le zip
De ses Levi’s
Je lis le vice
Et je pense à Caroll Lewis.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’évertue à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses Levi’s
Dans son regard absent et son iris
Absinthe dis-je je lis le vice
De baby doll
Et je pense à Lewis
Caroll.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Quand crachent les enceintes
De la sono lançant
Accord de quartes et de quintes
Tandis que Marilou s’esquinte
La santé s’éreinte
A s’envoyer en l’air…

Lorsqu’en un songe absurde
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En pratiques obscures
Sa pupille est absente
Mais son iris absinthe
Sous ses gestes se teinte
D’extases sous-jacentes
A son regard le vice
Donne un côté salace
Un peu du bleu lavasse
De sa paire de Levi’s
Et tandis qu’elle exhale
Un soupir au menthol
Ma débile mentale
Perdue en son exil
Physique et cérébral
Joue avec le métal
De son zip et l’atoll
De corail apparaît
Elle s’y coca-colle
Un doigt qui en arrêt
Au bord de la corolle
Est pris près du calice
Du vertige d’Alice
De Lewis Caroll.

Lorsqu’en songes obscurs
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En des rêves absurdes
Sa pupille s’absente
Et son iris absinthe
Subrepticement se teinte
De plaisirs en attente
Perdue dans son exil
Physique et cérébral
Un à un elle exhale
Des soupirs fébriles
Parfumés au menthol
Ma débile mentale
Fais tinter le métal
De son zip et Narcisse
Elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse
De sa paire de Levi’s
Arrivée au pubis
De son sexe corail
Ecartant la corolle
Prise au bord du calice
De vertigo Alice
S’enfonce jusqu’à l’os
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Pupille absente iris
Absinthe baby doll
Ecoute ses idoles
Jimi Hendrix Elvis
Presley T-Rex Alice
Cooper Lou Reed les Roll
Ing Stones elle en est folle
Là-dessus cette Narcisse
Se plonge avec délice
Dans la nuit bleu pétrole
De sa paire de Levi’s
Elle arrive au pubis
Et très cool au menthol
Elle se self contrôle
Son petit orifice
Enfin poussant le vice
Jusqu’au bord du calice
D’un doigt sex-symbole
S’écartant la corolle
Sur fond de rock-and-roll
S’égare mon Alice
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Serge Gainsbourg

Old par Gu. le 17 Mar 2005

Old par Gu. le 06 Juin 2003

Soyez-en convaincus…
La vie vaut d’être vécue…

Old par Gu. le 23 Déc 2002

Moche, dépressive, ennuyeuse, bête, méchante, fluctuante, indésirable.

Tue-Mouche Mag’… bientôt dans vos kiosques !

Old par Gu. le 20 Mai 2003



Old par Gu. le 15 Mar 2004

bOlO bOlO

blihhhh

bluH

Buuuuuuuuu

(…)

Old par Gu. le 15 Oct 2003

« là ici »