Je me demande quand viendra le jour
Où les yeux dans les yeux
Et la main dans sa main,
J’aurai le coeur heureux,
Sans peur du lendemain
Le jour où je n’aurais
Plus du tout de la peine
Le jour où moi aussi,
J’aurai quelqu’un qui m’aime
je me fais peur jamais contente je deviens exubérante au berceau déjà mon corps avait besoin de moi j’étais persuadée que c’était de ma faute je vais culpabiliser je me sens de plus en plus moi-même je m’arrange pour ne jamais vivre de conflits plaire est mon hobby favori ça avait un côté interdit qui m’excitait je mise sur [ … ] un parfum de liberté j’ouvre les yeux je n’oserais jamais le faire en vrai quand je vais mal je tombe tout le temps amoureuse j’en fais trop mais il m’avait payé le resto
FUCK OFF
récit de quelques heures difficiles :
de nombreuses créatures étranges
de petits espoirs ballottés par le vent
ma main toute contre ta cuisse
mes yeux sur tes lèvres
une situation à précipices
et des précipitations
en fin de journée.
Mort étrange…

« J’irai marcher dans le froid
Couvrir mon visage de neige
Glacer mon corps
Jusqu’à l’immobilité
Et m’endormir sans le savoir… »
Cheminement philosophique
Réflexion philosophique entendue
Nous passons notre vie à osciller entre des moments durant lesquels nous vivons intensément les choses et d’autres durant lesquels nous comprenons les choses.
Réflexion philosophique personnelle
Seul les souvenirs nous permettent à la fois de revivrent les choses et de les comprendre.
Application pratique personnelle
Voilà pourquoi je n’aime pas mes souvenirs.
Je comprends que j’étais heureux ; qu’à l’époque je vivais ce bonheur sans m’en rendre compte et que maintenant ce bonheur est révolu.
*** publicité onirique des temps modernes ***
pour venir à bout de tous vos problemes
buvez de l’alcool!
en effet, rien ne résiste à l’alcool,
(il dissout tout, hormis l’alcoolisme)
bon à rien à cette heure, trop de fatigue, mais pas de mal.
bon à rien à sept heure, trop de fatigue, mais pas de mal.
demain on traque le maléfique et on recommence à bouquiner.
demain on reprend le rythme et on recommence à travailler.
je suis bien en ce moment, ça peut durer, on va tout faire pour.
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ne pas oublier de participer au barbecue théatral.
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peut-on rester femme et mère en prison ?
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lutter par le silence contre une petite pointe d’ironie.
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je vais à la cuisine chercher un couteau auto-aiguisé.
je vais à la cave chercher un biceps.
sortir une poêle, mettre un peu d’huile d’olive.
faire chauffer l’huile, bien bien chaude.
jeter le biceps, laisser griller,
un coup pile, un coup face.
quelques herbes
miam.
Autologie, un retour.
Et vint à lui cette idée désarmante
Laquelle ?
Avalée.
« Si écrire ce n’est ni dire, ni nommer, on est mal barré »
Rire (doucement.)
Digérée
Restituée
Sauvée
Michaux : « Je n’écris pas pour construire, juste pour préserver. »
Le silence entre les mauvaises pensées du héros me fatigue.
Indigestion.
Se relire à la gueule de bois.
Et puis exposer tout cela : obscène !
Se réfugier dans les livres des autres ;
dormir dedans, faire l’amour
dans les marges.
Il faudrait qu’à partir de ces notes, on puisse déduire
un certain nombre de choses sur lui.
Ecrire à blanc comme tirer à blanc off course !
mmm…

You are The Twins, from « The Matrix. »
Bad, but with a sexy streak- surprisingly
refreshing. You know what you want, when you
want it.
ça a le mérite d’être clair.
Je veux que les belges n’aient plus rien d’autre à avaler que leurs Léonidas pourris.
(ou comme on dit chez moi : « vous moi aiment à nouveau laissent des Everyway que je boîte le dos vous mes amours et alors Everyway entiers donne, moi boîte je le crie; Des oeufs et forment à nouveau des cubes vous puits »)
le récitant : prendre un bain de pied et explorer son troisième niveau.
Vous…des…nouvelles…oui…sûr…non…
…chaleur…on sait… tous…pas d’histoire…
je me promè…en short…vita nuova…
têtes mortes…disparues…where are you…
parle de loin… une bouche ?…oui…oui…
va mal…comme d’hab…une jeune fille…
de 18 ans…non…des heures…travail…que ça…
plus tard…voyages…qui lit… le petit…
salaud…cinema + hamburger… oui…
quel programme…non…pas vraiment…
heureusement…amis…old times…
vieja vita…j’ai chaud…déprime…
blanche…sans…douleur…ça dure longtemps…
depuis le début…oui…trop chaud…
pour… et vous…non… une jeune fille de 18…
centimètres…au cinema avec elle…
premier rang… voyages ?…oui…Italie…Espagne…
je vous…raconterai……oui…les …nouvelles…oui…
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18 mai 1997 – 18 heures – Paris : je suis à la recherche de cette personne, je suis à la recherche de sept personnes, sept mercenaires, nerf de la guerre, guerre des nerfs, nerfs à vif, vif-argent et argent facile. je n’en suis plus à un néologisme près. de vieux ordinateurs bons pour la casse. je suis bon pour la casse ? Dans un chaudron allant au four, chauffer l’huile. Rôtir les cubes de viande quelques minutes, le temps qu’elle perde sa couleur rosée. Saupoudrer la viande avec la farine pour les enrober. Ajouter tous les autres ingrédients dans le chaudron. Cuire au four à 350°F (180°C) pendant 2h30. Servir avec ses légumes préférés, comme des carottes, haricots verts, champignons et poivrons verts.
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| « Lorsque Ivan Tourgueniev publie Pères et fils en 1862, il campe un homme révolté d’un type nouveau en qui la force de l’illusion le dispute à la nonchalence et à la morgue. Il est aussi, dans cette vieille Russie provinciale, un étranger, un homme de trop qui côtoie d’autres hommes sans les rencontrer vraiment. L’écrivain russe avait déjà peaufiné des personnages d’hommes inutiles, dominés par l’ennui et par la certitude de la vanité de tout. Le nihiliste Bazarov a pour vocation de servir le peuple, en niant les principes en vigueur, l’autorité dominante, l’ensemble des traditions. (…) Il ramène, dès que l’occasion lui est offerte, tous les idéaux à leur principe, organique ou physiologique. S’agit-il de l’amour ? La simple évocation du sentiment provoque une réplique cinglante : « Nous autres physiologistes nous savons bien ce qu’il en est… Tout ça, c’est du romantisme, du vent, du pourri, de l’art. (p 67). D’ailleurs, selon Bazarov, l’art surpreme consiste à fabriquer des bottes et à soigner les hémoroïdes ! » in « Le nihilisme », textes choisis par Vladimir Biaggi, Ed. Corpus, Flammarion. |
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sous les arcades
il regardait la bouteille
avec une compassion infinie
comme si elle eût été
un enfant fievreux
Côté musique zen il en connaît un rayon.
Les années 60, 70 il a suivi toutes les évolutions.
Ex rocker tardivement reconverti au punk, il est passé à la world c’est tellement plus calme.
Il a plus de 1500 cds pour la plupart commandés, ils sont évidemment introuvables maintenant.
Il aime aussi le jazz mais pas n’importe lequel. Coltrane, Shepp, Ayler il laisse ça aux autres,
son kiff c’est Texier, les frères Kuhn, Garbajek. Petite musique de chambre ça coule de source.
Il n’aime pas les bass, les boum boum comme il le dit.
Le hip hop, le trip hop, la techno, l’électro, la house ça ce n’est pas de la musique.
Va aux concerts Tsiganes. Passe vingt plombes à t’expliquer le jeu de shankar à la cithare
Il en a marre de la pop ça fait longtemps qu’il est passé aux choses sérieuses.
Au cinéma il apprécie les films à petits budgets.
Les colombiens qui vendent les bagouses de leur mère pour se financer
et qui ont de bonnes critiques dans les Cahiers.
L’asiatique c’est tellemnt sensuel, senti, volontaire, esthétiquement beau.
En tous lieux, il milite pour la v.o. Hollywood est corrompu, il va à la cinémathèque boyocotte le MK2
c’est tellement mieux il sûr de ne pas faire la queue.
Ses commentaires, toujours les mêmes expressions toutes faites: c’était sympa, riche, intéressant
Nous voilà bien avancés…
A SUIVRE
Atmosphère colorée, relents électroniques, tout le monde se connaît déjà et ceux qu’on ne connaît pas on sait déjà comment ils sont. Virevoltage savant et repérage de la personne la plus enduite du désir de tous. Je suis l’image la plus enduite de désirs. Tu viens vers moi. J’apparais déjà sur les écrans placés derrière mon dos et tu regardes fasciné, tu ne sais déjà plus laquelle choisir. Moi non plus je ne sais plus laquelle choisir. Je souris, j’ai les joues roses je bois je fume je fais des clins d’oeil au loin on vient me saluer tout le monde me connaît ou tout le monde croit me connaître. Notre singularité s’étale en flaques de couleurs, je suis enrobée dans la tienne et la mienne te touche. Je fume ma dernière cigarette je grimace un peu tu t’éloignes vers les télévisions derrière moi. Revient la chimère de cet univers pixélisé elle est projetée elle est multipliée en images. Elle correspond au format de ton écran. Tu me parles soudain comme à un produit type qui serait la moyenne de toutes ces poupées en 3D. Superficiel (toi). Artificielle (moi). Tu me passes au-dessus!
Post it
Photographier serait l’art de l’errance à la portée de tous.
Pour mon amie M : » une pure folie. »
« Jamais peste ne fut si fatale, si horrible. Son avatar, c’était le sang, la rougeur et la hideur du sang. C’étaient des douleurs aiguës, un vertige soudain, et puis un suintement abondant par les pores, et la dissolution de l’être. Des taches pourpres sur le corps, et spécialement sur le visage de la victime, la mettaient au ban de l’humanité, et lui fermaient tout secours et toute sympathie. L’invasion, le résultat de la maladie, tout cela était l’affaire d’une demi-heure. «
bon, toujours partante ?
Clémentine souriait,
je peinais à conserver l’oeil ouvert
tant
les substances absorbées
provoquaient
satisfaction
et apaisement,
à mon reveil,
elle avait disparu
![]() |
– To juz slyszalem w ?Hamlecie” Szekspira. Caly ten proces to jeden wielki spektakl odbywajacy sie w grafomanskiej, pelnej potkniec jezykowych wyobrazni uczniaka ze szkoly sredniej. Uczniaka z aspiracjami, który wzbija sie wychodzac poza skostniala forme rozprawki, tworzac rzeczywistosc, w której zanurza surowe tezy i antytezy, latwe do wyluskania przy odpowiednim wysilku. Stroi je w piekne piórka. Na dodatek ma odwage, wkladajac te slowa w moje usta, sprzeciwic sie umieszczeniu go w ciasnej formie wypracowania. Wie, ze pisze o sprawie oczywistej, z góry skazujac podsadnego. Na bialych kartach papieru jawi sie napis: winny! Z przekory móglby bronic Raskolnikowa, lecz kazdy normalny czlowiek od razu potepi morderce. Nie mozna kogos zabic, poprawic sie – nawet na skutek glebokiej przemiany wewnetrznej i dostac jeszcze nagrode w postaci ulaskawienia. Powiecie, ze zachodzi koincydencja wplywu wewnetrznego i zewnetrznego, tych dwóch scierajacych sie ze soba sil.
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Ainsi parlait Zarathoustra ?
Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse.
ou
Il faut porter un chaos en soi-même pour accoucher d’une étoile qui danse.
ou
Il faut encore avoir quelques chaos en nous pour accoucher d’une Etoile qui danse.
ou
Il faut porter du chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse.
ou
Il faut porter le chaos en soi pour accoucher d’une étoile filante.
ou
Il faut avoir un chaos en soi pour donner naissance à une étoile qui danse.
ou
Il faut qu’il y ait encore du chaos en soi pour donner naissance à une étoile qui danse.
ou
Il faut beaucoup de chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse.
Il avait mis un temps incroyable pour constater la disparition du héros,
ce qui le plongeait dans un abime de regrets
et dans une perplexité infinie quant à la conduite à tenir
IGOR LE TEMPS DE L’OTS EST ARRIVE !
Envie ce soir de t’écrire naisement « je t’aime ».
Je t’aime car tu es belle.
Je t’aime car tu sens bon.
Je t’aime quand tu es colère.
Je t’aime quand tu m’en veux.
Je t’aime quand tu allumes ta cigarette.
Je t’aime quand tu dis des bêtises.
Je t’aime quand tu fais la révolution.
Je t’aime quand tu dances.
Je t’aime quand tu as peur.
Je t’aime quand tu es triste.
Je t’aime quand tu souris.
Je t’aime dans la lumière du ponant.
Je t’aime surexposée.
Je t’aime.
…
Tu sais tout cela.
Depuis longtemps déjà.
Comment peux-tu encore me supporter ?
Elle s’imagine des spirales
un peu partout,
dans chaque petit bout de son corps
ça lui donne le vertige
elle sourit
Faire semblant de jouer du Jean-Sebastien Bach au piano en récitant la bible et écrire des posts débiles sur Tourgueniev.

Je ne veux pas être productif
Mauvais fils
Pris dans les toiles que l’on tisse
Mauvais fils
L’araignée a tous les vices
(FFF)
Minuit et des poussières, je suis un peu crevé.
Mais je crois que si je dors, ça devrait s’arranger.
Donc, il faut que je le fasse.
Aller me coucher ?
Oui sûrement.
———————
Bon,ok…
Je
l’ai revue hier…
» Sur l’avenir tout le monde se trompe. L’homme ne peut-être sûr que du moment présent. Mais est-ce bien vrai? Peut-il vraiment le connaître, le présent? Est-il capable de le juger? Bien sûr que non. Car comment celui qui ne connait pas l’avenir pourrait-il comprendre le sens du présent? »
L’ignorance, Kundera
« Quand je ne devrai plus rien à personne, je partirai.
– Qu’est ce que cela veut dire ?
– Comment ça ? Qu’est ce que cela veut dire ? Il y a un mot que tu ne comprends pas ?
– Ben non, je comprends tous les mots, mais je ne vois pas la signification de cette phrase.
– Moi, non plus ; et si par hasard il existe un sens, je ne l’assume pas !
– Mais, pourquoi alors dis-tu cette phrase ?
– Je ne sais pas. »
Bobette : Tu es sur que tu répètes ce que je dis ?
Bob : C’est peux-être toi qui dis pas ce que je répète…
La reine des glaces m’avait banni des terres de L’Ouest
et c’est le coeur lourd
que je franchis pour la dernière fois
les portes d’argent
dont la cruelle engeance des fées
me prive à tout jamais
perdu clone (suite)
je ne l’ai toujours pas retrouvé
Et en fait je pense qu’il s’agit plutôt d’une fugue.
En effet son comportement était étrange depuis quelque temps
il accomplissait les basses besognes (comme porter les trucs lourds,
faire les courses etc…) avec de plus en plus de difficulté et maugréait
carrément quand je l’envoyais se faire engueuler à ma place par mon
banquier ou mon patron.
j’ai surtout peur à l’idée qu’il se fasse passer pour moi dans l’intention
de me nuire
Death to the dinde
Et parmi la nuée
De Charons ailés
Tourbillonne,
Plane
Mon Augure
Qui décrit
Je ne sais quel destin…
L’amour n’est qu’un jeu
rien de suffisant
pas d’enjeu
juste de quoi sourire
et soupirer en serrant qui de droit
au creux de ses bras
Les dimanches commencés trop tôt, par exemple en arpentant un aéroport, n’ont ni vrai début ni véritable fin.
Il me semble m’être tissée une écorce cette nuit : mon corps est rigide,
tellement tendu.
Je guette les craquelures sur mes cuisses, mes hanches, mes seins.
Je me sens à l’étroit dans ce nouveau costume.
Ma peau en dessous de l’écorce cherche à respirer.
Encore une journée à devoir surveiller chaque mouvement, chaque parole.
Vais-je tenir?
le récitant : It’s funny to think that decisions affecting all our lives are being made by men in crotchless panties.
Un meurtre par jour est signe de bonne santé mentale.
06 61 63 58 84

La femme au pantin :
Dis, tu veux bien etre le dindon de ma farce?
Je te mettrai dans mon petit théatre de marionnettes…
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Je…
Je m’appelle Igor Tourgueniev
Je n’étais pas à EOF hier soir
Je dormais avec mon chat
Igor Tourgueniev n’existe pas
Je suis en train de nier
Igor Tourgueniev porte un éclair
Je ne suis pas Igor Tourgueniev
Je suis un personnage de fiction
Je suis…
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« ET J’AI JOUE DE JOLIS TOURS A LA FOLIE »
















