effectivement…

Old par -- Zan le 06 Fév 2003

Old par igor le 31 Mai 2003

malade …
mal_a_deux …

eT_te_Vy …
Ka_bAaL_aN
pHOn_eTHiQue_mENt …

les blogs sont tous pareils avec leurs images de lapines

Old par Gu. le 01 Juil 2003

Minuit pile

Dans le cadre du plan Piratox, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé en collaboration avec la direction de l’hospitalisation et l’organisation des soins (DHOS) a établi des recommandations thérapeutiques pour les personnes exposées à un agent chimique. Ces recommandations sont établies pour les professionnels de santé et encadrent les prescriptions et la prise en charge thérapeutique.

Old par igor le 22 Oct 2003

Ping Pong citadin, passer entre les villes, leurs mailles, s’y perdre et s’y retrouver, sentir leur amour, leur désir et leur répulsion. Suivre ses sens, ne plus se sentir ?

Crier inutilement dans un énieme train, dormir plutôt que de faire le mauvais geste… bienvenue en gare de X ; une de plus, encore ?

Elles se ressemblent toutes et pourtant qu’elles sont particulières… ce sandwich est-il unique ou une représentation supplémentaire de l’éternel jambon dans du pain ?

Bienvenue à toi, brave Sans Domicile Fixe… Ta Gueule, pas besoin de ta concupiscence, je me débrouille avec la mienne ; elle peut déjà remplir bien des wagons à elle seule.

Ô joie, un banc solitaire, mouillé jusqu’à la couenne (à ne pas bouger, on fait du gras), dormir sans oublier, sinon ça ne serait pas drôle, et fermer la porte.

Old par Rodia le 26 Mai 2003

de l’autre coté du miroir

Livingstone, mon Lapin blanc que j’avais échangé une fois contre papa, nous voit un peu comme ça

Old par M. Fox le 12 Mai 2003

La vie recèle pleins de miracles, mais certains jours,

l’avez-vous remarqué, les citrouilles restent des citrouilles

Jacques Salomé

in Je croyais qu’il suffisait de t’aimer

Old par Gu. le 19 Août 2003

Je vais m’ouvrir le ventre
Pour que tu trouves enfin cette satanée boussole
A l’Ouest, déboussolé, désenchanté
Qui suis-je?

Habille-toi

il faut qu’on parte

avant que ton père

ne s’éveille

Old par M. Fox le 18 Juin 2003

Je suis en train de faire
Une bétise monu-(mentale)

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Question : les femmes informaticiennes sont elles des femmes ?

Counterquest : les feuilles aromatiques sont elles des feuilles ?

Laure de la maison du café nous en dira certainement plus

lors de notre prochain périple sur la côte atlantique

Old par JR le 25 Mai 2003

quand elle écrit, on dirait moi.

Old par M. Fox le 21 Jan 2003

L’univers

est factice

Il tourne sur lui-meme

pour avoir l’impression d’exister

Il est faux,

lache et envieux

Je le déteste

Old par M. Fox le 31 Mai 2003

Old par M. Fox le 06 Avr 2003

La statue de la Liberté avait dès sa conception été équipée d’un discret système de motorisation. La robe, d’un bloc, ne permettait pas, bien entendu, une progression imitant un pas humain. En revanche, des roues rétractables couplées à une dynamo lui autorisaient un déplacement lent mais efficient sur une centaine de kilomètres. De même, la tête et les bras disposaient d’articulations assez élaborées bien que terriblement bruyantes. Le cristal placé à l’intérieur du flambeau pouvait, le cas échéant, libérer une énergie comparable à celle d’un éclair, et se rechargeait à l’aide du soleil. L’ensemble était manoeuvrable depuis la France, grâce à un réseau de fils cuivrés plongeant sous l’Atlantique. Pourtant, quand le gouvernement français décida de détruire New York dans un accès de folie, en 1923, la statue était tellement corrodée par l’air marin et les dépôts salins qu’elle ne bougea pas d’un pouce.

Old par DrT le 06 Avr 2003

Old par Gu. le 18 Juin 2003

(quitte) léopard (avec moi)

Old par -- Zan le 28 Jan 2003

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

ParanOïd

(…)

Old par Gu. le 06 Juin 2003


Old par -- Zan le 13 Mai 2003

« Oubliez immédiatement toutes les portes qui se ferment sous votre nez et à votre barbe ma petite amie, devenez ce que vous êtes, et, en toute circonstance, ne vous séparez jamais de cet ustensile jovial qui fit votre renommée dans les raout mondains : la louche ! Car c’est à la louche que l’on apprécie le mieux tout ce qui s’avale (le caviard aussi, n’est ce pas?!). »

il est trop tard à présent,

les dragons ne passeront plus.

Old par M. Fox le 19 Jan 2003



« Hey, a rule is a rule, and let’s face it,
without rules there’s chaos. »

Si un jour tu peux venir…
C’est assez N.A.P.
C’est quoi N.A.P.?
Neuilly-Auteuil-Passy…
Serieux tu les fais boire un peu, et tu leur fais signer des chèques hein!
C’est très bon ce que vous faîtes, moi ça me parle beaucoup.
Moi mes parents…
C’est time consuming…
Mais sois serieux avec ces gars là
Reste là, écris! écris! Tu nous a mis l’eau à la bouche…
Il faut que je trouve la rentrée d’argent récurrente…
Mais va voir ces petits fils de pute d’Auteuil là!
Comme des belettes.
Je lui ai offert du muguet et une brosse à dent, ça c’est de l’intronisation!
Samedi, dimanche, mardi… moi me lever avant neuf heures c’est chaud…
Nous n’irons plus au bois, les chasseurs sont méchants…
PAIX, AMOUR, LIBERTE ET FLEURS…
L’arme fatale, tu es plein de pertinence, ça bouge!
Big up, luxe, création et beauté…
Quand t’es un poète, y faut raquetter cette racaille!

Old par Gu. le 01 Mai 2003

Restaurer la magie n’est pas aisé,
du bout de mes pieds
à la pointe de mes cheveux
je cherche en vain cette étincelle,
ces p’tits morceaux de reves
savamment bricolés,
un peu d’amour,
de musique
et les couleurs qui dansent tout autour,
l’assemblage habituel
qui me fait tenir et avancer

je ne les trouve nulle part,

peut-etre que les temps changent, finalement

Old par M. Fox le 17 Mai 2003

Minuit pile

Old par igor le 27 Déc 2003

à la mi-temps des retransmissions de matchs de foot, on nous donne une statistique, celle de la possession du ballon

je discutais tranquillement par messagerie instantanée et je me suis aperçu qu’on pouvait définir dans nos conversations quotidiennes les mêmes pourcentages

on parle de moi

on parle de toi

on ne parle finalement jamais de rien d’autre

et on possede le ballon

ou non

sans que cela n’influe en aucune manière sur le score final

aujourd’hui tu as des bonnes stats : 90% de possession du ballon

mais j’ai encore gagné

en football, on appelle ça un hold-up

le récitant : qui a emprunté ma cassette de Tank Girl !?

Old par igor le 16 Avr 2003

le récitant : je ne dors visiblement pas, encore un coup de la Camora Tong ?

Old par igor le 13 Oct 2003

UN GENTIL BOL D’AIR

le comble pour deux chats:
être félin pour l’autre et ne pas … miaow …

Merde, j’ai oublié d’être hype ce matin.

Old par motown le 05 Mar 2003

le récitant : après une épreuve d’escalade de barrière, on retrouve les cocktail freaks.

Old par igor le 16 Oct 2003

tu n’en trouveras jamais une aussi douce et maladroite que moi

Old par M. Fox le 17 Avr 2003

Bonne nuit.

Old par Rodia le 24 Mar 2003

LA CRASSE
————————
aujourd’hui
je voudrais
écrire de belles
choses
à ton sujet
alors
je sors le marteau
et je frappe sur
mon genou
jusqu’à entendre
que ça craque
et je retire
à la main les petits
bouts pour m’en
servir de
stylet.
————————
CAR CA FAIT CLASSE

Old par igor le 04 Mar 2003

je disais ça pour rire

des indications intuitives

tu prends à gauche tant que ça descend
puis à droite quand tu es sur du plat

simple, joli(e) et efficace,

merci !

Old par M. Fox le 18 Jan 2003

Tu dis que je ne parle presque plus
Mais retire ta langue de ma bouche

Old par -- Zan le 30 Jan 2003


Old par M. Fox le 23 Juil 2003

spjiralii invocaatç

for bloodTalk conversations spirituelles

Après-midi.
Suites.
Recyclés
Quand j’étudiais à Arles,
Jacques Serena (écrivain de l’écurie Minuit,)
m’a dit qu’il copiait sans vergogne des phrases entières
d’autres livres, avec la fierté absurde d’une femme qui
se vanterait de tromper son mari.
(Quoi que Louis-René des Forêts l’aie fait aussi, mais ce ne sont
que des citations involontaires.)
Après-coup.
Ce qu’il a retenu d’une lecture &agrave la surface de Nietzsche,
hier soir, entre 00h05 et 1h07 :
(Mots qu’il lui envie beaucoup :)
« Les amis de la vie. »
« Les êtres manqués. »
« Développe toutes tes facultés — cela signifie
développe l’anarchie ! Péris. »

Portrait.
Se comporte dans les livres comme dans la vie :
en espion, il attend son heure.
Programme.
Reprise d’un texte.
RDV avec A. (au soleil, malgrè le vent frais.)
Tri des images récemment faites.
Gênes :
Les soi disants cultivés
Les médiocres complaisants.
Lecture.
Valeria Piazza :
« Le journal est ainsi par essence le lieu dans
lequel l’appropriation de soi se rend chaque fois
potentielle et pourtant impossible. »

Mail
F.Y J. (écrivain exil&eacute à N.Y) :
 » Bon courage aussi pour vos cours de photo et vos différentes
activités liées à cela. C’est toujours difficile, en effet,
et cela a représenté l’une de mes principales épreuves,
de délaisser ou mettre entre parenth&egraveses la
vie quotidienne, professionnelle, pour écrire, lorsque l’impératif
survient. Il y faut bien de la persévérance.
Mon livre en cours avance cahin-caha, mais sa masse de brouillons me
contraint à ne pas renoncer. Je cite souvent cette phrase de Pavel
Filonov, que je vous ai peut-être déjà recopiée :
« Lorsqu’on éprouve de la difficulté à faire quelque chose,
il faut continuer : c’est en trouvant la solution qu’on fait vraiment qq chose de nouveau. »

Allez hop, un nectar de poire pour qui s’en soucie trop:
un petit verre d’espoir …





le récitant : back to life, back to reality…

Old par igor le 08 Sep 2003

SpOkème vibriOn

     Large

   Dimanche, la rue,

On voulait sortir du grand cadre

   Rien d’extraordinaire sortir du grand cadre,

      Non, rien d’extraordinaire

Visiblement, les gens aimaient prendre la tangente, se pencher

   Courir en italique, se dérober, ton mot c’était oblique, tu disais,

        Plutôt rester dans les cadres,

      C’est qu’ils préfèrent, les cachettes, s’enferrer de petites fatigues.


  Rompant le doux continu des jours dichotomes

    Qui cantonnent nos rires à des moues monochromes,

     On discutait, bouches pleines d’offenses,

  Monde fait de violence, et encore du vent,

Des histoires et encore du vent,

Des griefs, des avalanches, des petites revanches

Des reliefs, ou même des identités,

          L’avenir sur ta paume, tu disais,

       Les visages flous des génomes, tu disais,

     En perdre son signalement,

   Combien les mots manquent de discernement,

  Diminuent la vigilance du sujet.

        Pendant que rouge le ciel gazolé dégaze,

      Dans l’air, tout ça qui flotte, rase et s’effiloche,,

         On a peut-être raté le coche

  Il y en avait mille fois trop
, tu disais, mille fois trop,

Aérer, aérer
, tu disais, aérer, revoir la mer, respirer,

  Evoquer la banalité des clichés,

     Le flot des images éculées, tu disais, l’âme cassée,

Fuir l’éphémère, être à tout allant, génant pour l’éternité, adulés.

    Et le vent léger que tu me souffles au creux des voiles,

   Soleil incliné dans tes yeux, apaise mon poux, mon oripale,

      Sans jamais froisser nos mailles, nos pulls qui

       Débraillés nous taillent des silhouettes diverses,

  Pour sûr, on n’y est pas à l’étroit, pour sûr, on aime les porter large.

Tu sentais comme la pluie, des arbres,

Comme la terre mouillée aux pieds des arbres,

  Tu disais, Quands tu me parles, tu joues, quand tu me râles, que tu me tires tes balles,

Je vois pointer comme des astres, oui des mots comme des astres fous
,

   Fumée dans l’air qui flotte pendant que rouge le ciel ébahi, envahit,

                        Rase et s’éparpille

      Comme de longues séries de phrases vides qui vascillent,

                                Mais assassinent quand même,

                                 Collent au palais, étouffent,

Assassinent quand même,


       Tu disais, Sait-on seulement que c’est à chaque fois différent,

     Sait-on seulement que nos vies n’ont rien de répétitif, rien de définitif,,

   Et s’il y a des risques, pourquoi ne pas prendre ces risques?

    On marcherait, la rue, nos écharpes, s’en aller,

Anonymes, dérisoires, périphériques, rien de différent,


              tu disais, nul besoin de se dérober,

   Sans cesse reconquérir, arrêter le temps, photographier le vent,

     Evanouir la zone et les feux qui croisent à l’horizon,

Les saisons, en mener large avec toi, s’épanouir,

            Dimanche, lundi, mardi, et les autres aussi,

Arpenter la ville la nuit, le jour,

             Déclarer son amour à qui vient, qui veut,

   Comme un vieux disque rayé, répéter, répéter, même épuisé,

              Recommencer l’amour entre ses lignes aérées
,

Tu disais, tu sais où nous allons,

                              Il n’y a pas d’horizon finissant,

  De phare,

        Où nous allons, il n’y a que des larges,

   On n’y sera pas à l’étroit, tu sais,

Des larges,

on n’y sera pas à l’étroit
,

                              La mer sait décliner les bleus

(…)

Frédéric

Nevchehirlian

Old par Gu. le 08 Déc 2003

Je repense à toi.

Avec le souffle du vent, la volûte s’échappe rapidement de cette cigarette FORTUNA.

Fortune, bonheur à un moment chancellent.

Voilà ce qui nous a manqué.

Aucun regret. A chaque fois que l’été passe par ma fenêtre, je repense à toi.

Avec le sourire, point final, cri d’amour pour ce souvenir TENDRE.

J’ai travaillé ce soir.
Il faut que je dormes pour oublier

J’ai rencontré un type, c’est un rêve ambulant.

Il va falloir que je m’y fasse, et que lui se fasse à l’idée qu’il est plutôt en face d’une drôle de farce.

Old par motown le 21 Juin 2003

Avertissement.

Stop les zamours intertextuels

Old par Rodia le 27 Avr 2003

c’est toi chéri ?


va savoir …

les combats avaient été apres
lorsque nous livrions bataille
contre l’esprit du mal,

une à une,
les forteresses noires étaient tombées,
submergées par le sang des notres,
toujours plus vaillants
et plus nombreux

six années ont passé,

j’entends à nouveau résonner les tambours,
les notres marchent sur les cités de lumière,
la paix est terminée,
l’homme régnera enfin,
débarrassé du bien et du mal,
notre fer
tranchera leurs ailes
et nos pieds fouleront leurs enseignements les plus sacrés
et lorsqu’il ne restera plus rien
de ces gorets,

alors viendra le temps de l’homme,

le temps de la liberté

Old par M. Fox le 07 Avr 2003

Toute seule dans une petite pièce pleine de buée, de vapeurs chaudes, d’eau, les mains dans le savon, aller vite vite, dans un espèce de nuage de bulles, avoir un uniforme blanc surnaturel et un chignon d’infirmière, des petites chaussures qui font mal aux pieds, être un être d’eau blanche avant de retourner au monde des cris. La plonge.

Old par motown le 12 Mar 2003

Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon
Rançon…

Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Dormir
Plaisir…

Old par Gu. le 15 Mai 2003

pour rimer avec plaisir
il faut une longue prière

« Je me roule en moi-même », disait Montaigne

P O L A R O Ï D S
O L A R O Ï D S
L A R O Ï D S
A R O Ï D S
R O Ï D S
O Ï D S
Ï D S
D S
S

Old par Gu. le 10 Avr 2003

Produire des phrases comme on ferme des portes, pour dormir enfin.
(Ecrire pour atténuer le bruit du dehors.)

Old par M. Fox le 17 Jan 2003

Old par motown le 01 Mar 2003

ENORME, CE HEROS

WORDS
they don’t come
(easy)

Ce matin, je me suis éveillé en sursaut, couvert de sueur et tremblant

Je me souviens de ce meurtre commis étant enfant, je sais que tu t’en souviens aussi, on avait tout maquillé, t’en souviens-tu ?

Le cauchemar reviendra me hanter, j’en suis sûr, de plus en plus précis

Je n’ai pour l’instant que quelques images et quelques sensations

Tu as gardé tout cela pour toi, pendant toutes ces années

Je t’admire, je te hais

Tu n’aurais pas du porter ce poids énorme seul

Je me demande encore qui nous avons tué, j’entrevois comme une photo mais elle est trop floue pour que je puisse voir de qui il s’agit

Par contre, l’odeur de notre vieux parquet branlant est là et je sens aussi le poele à mazout, cette antiquité d’un autre age

Depuis quelques heures que je suis éveillé, mon coeur se calme à peine

J’ose à peine essayer de me replonger dans ces souvenirs

Je n’imagine pas comment on a pu s’en sortir toi et moi

J’espère et je crainds à la fois la nuit où tout me reviendra en mémoire d’un coup

pourrais-je encore trouver le sommeil ?

Old par M. Fox le 05 Oct 2003

Un meurtre par jour est signe de bonne santé mentale.
06 61 63 58 84

Une prise mâle scart (péritel) en sortie avec de l’autre côté, donc à l’entrée des broches cinch…

Old par Gu. le 09 Mai 2003

Old par DrT le 13 Mai 2003

Tu es floue.

Old par Rodia le 14 Mar 2003

le récitant : j’ai des magnets sur la porte de mon frigo…

Old par igor le 18 Juin 2003


...seul...

Old par Nicolai le 16 Avr 2003

Old par igor le 24 Jan 2003

J’arrive, j’arrive. Y a pas le feu.

Old par Rodia le 24 Mar 2003

couleur

lotus, ctgr - light birds

 » Sur l’avenir tout le monde se trompe. L’homme ne peut-être sûr que du moment présent. Mais est-ce bien vrai? Peut-il vraiment le connaître, le présent? Est-il capable de le juger? Bien sûr que non. Car comment celui qui ne connait pas l’avenir pourrait-il comprendre le sens du présent? »
L’ignorance, Kundera

Règle n°5 : Ne parlez pas d

Old par DrT le 07 Avr 2003

Alice dit que la souffrance des hommes lui est indiffèrente,

qu’ils n’avaient qu’à faire attention en portant le regard vers elle,

elle se penche ensuite vers moi avec la sollicitude d’une mère

et me dit :

toi ce n’est pas pareil, nous sommes amis…

ah… Alice…

Old par M. Fox le 06 Jan 2003

on s’est définitivement calmé et on boit désormais froid à Saint-Tropez…

Parfois, il vaut mieux ne pas se méler
De ce qu’on a pas bien compris…
Ca fait d’inutiles ennuis
Et des histoires qui n’ont pas lieu d’exister…

Old par Gu. le 16 Mai 2003

Minuit pile

Old par igor le 10 Déc 2003

amor y amor

Old par -- Zan le 14 Avr 2003

c’est toi chéri ?

°-°°-°
va savoir…

Igor,

regardes moi

dans les yeux,

mon amour

craché par  » i don’t know who yu’re » edited by Gü.

Old par Gu. le 02 Nov 2003

à Marcos, à la joie…
à la beauté des rêves…
à la mélancolie, à l’espoir qui nous tient…
à la santé du feu… et de la flamme!
à ton étoile…

un nounours pour toi

trois mois ont passés sans que nulle voile ne couvre mon horizon,

mon ame pleure de ne pas etre auprès de toi,

chère Venise,

tu me manques tellement,

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Et quel futur ?
Pour les petits durs
Et quel futur ?
Entre quatre murs
Et quelle société ?
Pour les enragés
Et quelle société ?
Pour les gueules cassées
Pour les têtes brulées
Pour les agités
Pour les Pieds Nickelés ?
Quelle société ?
Pour les Béruriers
Pour les défoncés
Pour les détraqués ?

Old par igor le 24 Avr 2003

le maître du monde, par l'amie des hommes

Old par M. Fox le 04 Juin 2003


Old par M. Fox le 22 Mai 2003

il y a six diables rouges
dans cette ancienne église,

celui qui touchera l’autel
pourra demander six voeux à ces augustes personnages

Old par M. Fox le 23 Avr 2003

Elle attend patiemment de nouvelles victimes, de nouvelles proies, de nouvelles brebis égarées à broyer, à saigner, à amener au niveau du sol, à traîner dans la noirceur de ses tortueuses entrailles pour la digestion des âmes et des corps. Les moutons se hâtent vers Elle, insouciants. Pour les rouges c’est le dernier voyage, pour les bleus…
Old par igor le 04 Août 2003

Si on oublie l’énigme que reste-t-il ?

Old par Gu. le 23 Mai 2003

DRAGON N°8

SUEDOIS A MUSEAU COURT

Le suédois à museau court est

un beau dragon couleur bleu argenté

dont la peau est très recherchée pour

la fabrication de boucliers et de gants de protection.

Les flammes qui jaillissent de ses narines

sont d’un bleu éclatant et peuvent, en quelques secondes,

réduire à l’état de cendres le bois ou les os les plus solides.

Le suédois à museau court tue moins souvent

d’humains que la plupart des autres dragons,

ce en quoi il n’a guère de mérite car

les régions montagneuses dans lesquelles il vit

sont trop sauvages pour être habitées.

(…)

Old par Gu. le 13 Nov 2003

Le front du Tourguenisme …

We need you !

si tu l’aimes,

emmene-la quelquepart où elle n’a jamais été

Old par M. Fox le 06 Avr 2003

« là ici »