chaque jour chaque nuit
shake your body
Une bombe!
oh mon amour, mon coeur est lourd
je compte les heures je compte les jours
je voudrais te dessiner dans un desert
le desert de mon coeur
oh mon amour, je passe mon tour
j’ai déserté les alentours
je te quitte, voilà c’est tout.
extrait de « desert », émilie simon.
Les Rebelles
Nous sommes les rebelles
Nous marchons libres dans la rue
La jungle nous appelle
Rassemblons toutes nos tribus
Rejoins notre raïa
Nous ne sommes pas des soldats
Ici y a pas de chefs
Tous dans les mêmes galères
Nous vivons comme en Afrique
Au rythme de nos musiques
La jungle nous appelle
Pour une vie nouvelle
Nous rejetons le système
Et les prisons nous attendent
Nous sommes les rebelles
Nous ne nous laisserons pas prendre
Nous sommes les rois de la fête
Sauvages et fiers de l’être
Et toi le déserteur!
Rejoins notre raïa
Et toi le renégat!
Rejoins notre raïa
Et toi qui es squatteur!
Rejoins notre raïa
Et toi qui cris basta!
Rejoins notre raïa
Et toi le gladiateur!
Rejoins notre raïa
Et toi le déserteur!
Rassemblons toutes nos tribus!
… et si ?
rock star
![]() |
la scène se passe dans le noir il fait froid comme un truc glacial je sirote un Dark Dog sans le voir ma guitare se repose mais depuis ce matin et le coup de téléphone je suis une rock star pas du genre starac ou popstar mais du genre lennon ou bowie je suis encore léger sur la danse mais pour la musique et le chant on peut dire que j’assure bien pour une rock star débutante le type au téléphone me prépare un zénith pour noël (hello robbie).
|
Je suis visible à l’oeil nu.
Pourtant je ne pèse rien.
Et si on me met dans un tonneau, j’allège le tonneau…
« Que suis-je? »

Ma vie est si dissolue
ces temps-ci
ça fait une semaine qu’il faut que je m’y mette
à dénouer ma copine
bon je le fais demain
son char fendait les cieux
comme
celui d’un dieu en colère,
blessé et fier
qui n’avoue pas
qu’il reve de paix
et de réconfort
Boy you’ve got to prove
Your love to me, yeah
Get up on your feet, yeah
Step to the beat
Boy what will it be
qu’il est bon de passer ces quelques instants dans tes bras,
tes yeux bleus sont si purs,
j’aime tes instants sauvages
et tes colères irraisonnées
mais je ne peux te mentir plus longtemps,
cette petite maison derrière la colline
que je t’ai montrée
je n’y vis pas seul
et quelqu’un de cher à mon coeur
contemple la mer avec moi.
Terroriste 1
camarade révolutionnaire, URANIUM comment allez vous ?
Terroriste 1
(MOLLAH OMAR)
Terroriste 2
je vais ARME BACTERIOLOGIQUE plutot pas mal ma foi
Terroriste 1
Vous êtes déjà PNOHM PENH arrivé NUCLEAIRE à Paris ?
Terroriste 2
oooh non ! ATTENTAT PREVENTIF je viens seulement BACILE DU CHARBON ce soir
Terroriste 1
boooooooooKILLTHEPRESIDENToooooooon
Terroriste 2
oué ASSASSINAT ça devrait OTAGE aller
Terroriste 1
Mais ALLAH AKBAR tu vas faire FIDEL CASTRO quoi à Paris JAMAH ISLAMIYAH ?
Terroriste 2
j’ai un rendez-vous GROUPUSCULE pour choper des photos MISSILE AL SAMOUD pour une expo au théâtre
Terroriste 2
(2)
Terroriste 1
Tu restes ALI TOUCHENT tout le week-RACHID RAMDHA-end ?
Terroriste 2
nan SYRIAN nan, juste l’aller ISLAMIC DICTATURE retour
Terroriste 1
Ah bon, même pas KHADAFI une soirée pour JE SAIS OU SE CACHE SADDAM HUSSEIN une soirée ?
Terroriste 2
si si, BOMB LA HAGUE une soirée. je rentre AEROPORT ROISSY CHARLES DE GAULLE demain matin
Terroriste 1
Bien bien… ben moi je vais aller PERVEZ MUSHARAF IS GAY faire ma sieste quotidienne
Terroriste 2
tu fais TOTO CUCUGNO bien
Terroriste 1
(45T – y -76H)
Terroriste 2
(JH 25A CH JF 18A PR RDV Q)
Terroriste 2
moi je file à l’usine (DE TRAITEMENTS DES DECHETS NUCLEAIRES)
Terroriste 2
a+ camarade MOUJAHIDINE
Terroriste 1
bon… je te souhaite CONTAMINATION une bonne SRAS DANS TON CUL journée
Cet air qui m’obsède jour et nuit
Cet air n`est pas né d`aujourd`hui
Il vient d`aussi loin que je viens
Traîné par cent mille musiciens
Un jour cet air me rendra folle
Cent fois j`ai voulu dire pourquoi
Mais il m’a coupé la parole
Il parle toujours avant moi
Et sa voix couvre ma voix
Padam…padam…padam…
Il arrive en courant derrière moi
Padam…padam…padam…
Il me fait le coup du souviens-toi
Padam…padam…padam…
C`est un air qui me montre du doigt
Et je traîne après moi comme une drôle d’erreur
Cet air qui sait tout par coeur
Il dit: « Rappelle-toi tes amours
Rappelle-toi puisque c`est ton tour
y’a pas de raison pour que tu ne pleures pas
Avec tes souvenirs sur les bras… »
Et moi je revois ceux qui restent
Mes vingt ans font battre tambour
Je vois s’entrebattre des gestes
Toute la comédie des amours
Sur un air qui va toujours
Padam…padam…padam…
Des « je t’aime » de quatorze-juillet
Padam…padam…padam…
Des « toujours » qu’on achète au rabais
Padam…padam…padam…
Des « veux-tu » en voilà par paquets
Et tout ça pour tomber juste au coin d’la rue
Sur l’air qui m`a reconnue
…
Ecoutez le chahut qu`il me fait
…
Comme si tout mon passé défilait
…
Faut garder du chagrin pour après
J`en ai tout un solfège sur cet air qui bat…
Qui bat comme un coeur de bois…
H.CONTET
Dans le canard local de Montargis aujourd’hui, section « faîtes paraître vos annonces légales et officielles »:
S.C.P.A. MARTY-SAULINIER-NARDEUX
Avocats
182, rue grande – 77304 Fontainebleau
Tel.01.64.22.29.61 – 01.64.22.20.23 – 01.60.72.72.85
VENTE AUX ENCHERES PUBLIQUES
mercredi 21 mai 2003 à 14h30
au Palais de Justice de Fontainebleau (77)
159, rue Grande
D’UN ANCIEN CORPS DE FEMME
(…)
Rien à voir
et ça se poursuit dans une folle allégresse…
et je vais me gondoler à un point
que vous ne pouvez pas imaginer.
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ce matin un lapin ?
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Howard Stern ne s’est jamais résigné à se séparer de son jumeau le bel Albert. Il se rassura en portant autour de sa taille une ceinture contenant de petits morceaux de ses testicules. Sa physionomie particulière le rendait spécialement réceptif aux ondes émises par les lunes de Pluton. Sa femme Irma possédait deux photos d’Elvis en tissus.
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il faut bien le dire
dans la rue les
gateaux ne portent pas
de chaussures.
non.
pas lmes gateamux.
nrmo
plerg tre o.
ils demandent qui c’est toi chéri ?
ils posent la question, parfois
En vrac
Le retour sur soi : restituer dans
le langage arrêté la vitesse de
la vie.
Idiotie.
Faire des phrases, comme des cabrioles et
se préserver du jugement
que des abrutis sont toujours prêts à dire.
So what ?
Mots courts, traits courts ; examen médical d’un nombril,
cavité sans profondeur.
Souhaitez-vous faire vaciller le sens ?
Remplissez-moi ce nombril d’images,
gavez -le jusqu’à la satiété.
Oui oui oui
Ce que je fais me renseigne parfois sur qui je suis.
Projets
Rester fidèle au principe selon
lequel l’origine de la phrase est inconnue,
sa destination folle (cachée) —
et sa danse, forcément érotique.
B.L.V.
« Je n’ai jamais été mis en vie. »
Nerfs.
Il s’était mis à détester
les images ancrées dans le quotidien,
les récits nains et peu glorieux de la
vie immédiate ; croyant peut-être
bêtement que la transformation n’est pas
un vain mot, qu’il est toujours possible
de décoller de la misère
(sexuelle, alimentaire, littéraire)
et que rendre compte sans projet
de son impuissance face à la vie,
est une agonie qu’il ne peut plus supporter.
Paris.
A quatre heure du matin, traversant le 17 ème,
croisant des putes fatiguées, il ne faisait
pas très froid, je vous (r)assure.
Bob Dylan.
« I don’t know how much longer I can wait. »
Finale.
to be continued dans l’étonnement sans fatigue
couleur rouge vagues sensations de mobilité
capricio ça fait partie du jeu du seul avec ou sans suivre
la première route vers l’indéfini
soleil se fait rare quand j’ai un besoin urgent de lumière
pour développer mes images.
Contradiction que vous direz à moi: voici les gens dont l’ardeur si le ravir je le coeur. Voici les gens qui ont donné la femme, de corruption, dans son bon endroit la seconde. Voici les gens qui n’ont pas transformé à eux le planête en terre affligée, inhabitables. Voici les personnes sauvées par l’argent, la capacité, dépravation, par tous ces défauts qui nous ont métamorphosés dans les lubriques et les démons criminels. Voici les gens qui pourraient symboliser notre idéal comme décrit dans le livre des vertus et des révélations. Cependant, je suis apporté les croiser tous.les.jours dans un espace confiné, et il s’avère pour à moi que plus je les sers et moins je les souffre.
Un espace d’expression sur Internet : est-ce jamais autre chose que de l’auto-promotion ?
Les perles de verre se sont répandues à mes pieds
et inconsolable
d’avoir perdu
ce souvenir de toi,
je les contemple en pleurant
Je suis seul à nouveau, Ici
je laisse un peu de sable couler entre mes doigts,
en souvenir de nous
Ainsi parlait Zarathoustra ?
Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse.
ou
Il faut porter un chaos en soi-même pour accoucher d’une étoile qui danse.
ou
Il faut encore avoir quelques chaos en nous pour accoucher d’une Etoile qui danse.
ou
Il faut porter du chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse.
ou
Il faut porter le chaos en soi pour accoucher d’une étoile filante.
ou
Il faut avoir un chaos en soi pour donner naissance à une étoile qui danse.
ou
Il faut qu’il y ait encore du chaos en soi pour donner naissance à une étoile qui danse.
ou
Il faut beaucoup de chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse.

Règle n°1 : ça se caline, ça se bichonne, ça s’entretient
ça ne se dérobe pas, ça ne se prete pas, ça ne s’apprivoise pas
voilà madame, monsieur, comment on se comporte avec ce genre de plante
C’est l’histoire d’un brave type, voir d’un pauvre type.
Il croit en de nobles sentiments : l’amour, l’art, la fidélité. (C’est vraiment un pauvre type)
Il les projette sur Phoenix, une jeune artiste au coeur pur.
Trahi par celui en qui il avait confiance, il tente de prévenir sa dulcinée du danger qui la menace.
Mais celle-ci, appatée par la gloire, l’argent et le sexe, n’entend rien et le repousse pour se jeter dans les bras du démon.
Le démon finit par périr, le pauvre type aussi et la pute se retrouve comme une conne.
Moralité : c’est bien fait pour ta gueule.
jouons à ball et à trapp
on commencera par se tapotter doucement sous le nombril.
dedans.
on ouvrira ensuite la bouche en levant la tête;
au cri de POOL !!!
les oiseaux devraient en sortir.
Solstice d’un jour
Passer de l’autre côté
Embrasser la lune
Et tous les astres jalousent
Une once de poussière d’étoile
Prose du zodiaque
Désir andro-solaire
Sexualité constellaire
Comète tourgueniste…
Planète Vénus Direct « PVD »
Je pense entretien avec ma conscience
A haute voix je dis avec ma confiance…
Ca commence fort…
Avoir des ouïes de violon tatouées dans le bas du dos…
Mais elle se prend pour une oeuvre d’art celle-là?
N’a-t-elle pas pensé avant de faire une chose pareille à l’aspect instrumental qu’elle inscrivait à tout jamais sur son corps?
Bien sûr que si espèce d’imbécile!!! Ce n’est pas la femme-objet mais l’objet de la femme dont il était question…
Elle s’est aussi figurée que ce corps n’était que l’instrument de son esprit…
Telle la contrebasse, elle pouvait le faire sonner, vibrer, adaggio, jouer de mieux en mieux…
(à suivre…)

je pense que l’administration Bush ne sait pas
ce que je sais à propos des photos de petites filles
que Mr G. cache dans le deuxième tiroir (en partant du bas)
de droite de son grand bureau (sous le dossier ONU).
Sleon une édtue de l’Uvinertisé de Cmabrigde, l’odrre des ltteers dnas
un mot n’a pas d’ipmrotncae; la suele coshe ipmrotnate est que la
pmeirère et la drenèire siot à la bnnoe pclae. Le rsete peut êrte dnas
un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème. C’est
prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le
mot cmome un tuot. Ben cmmoe ça on viot mnois les fuaets!
Encore une nuit passée
dans l’étreinte du manque
sueurs froides, panique et cauchemars
étaient au rendez-vous
Merci d’etre tous venus,
mes amis
(tu me manques,
j’aurais aimé pleurer et frissonner entre tes bras)
j’aime ces petits instants volés à la réalité
où tout se déforme en palpitant vers l’horizon
sans qu’on comprenne comment ou pourquoi.
j’aime me laisser flotter sur ces oueds improbables,
regarder le flot monter et déferler
sur le quotidien, en le lavant du gris qui l’obscede
j’aime me noyer dans ces flaques irisées,
ces bulles de temps,
que personne d’autre ne partage
et parfois dans un éclat jaune,
j’entrevois les cités d’au dessous les mers
les dauphins chantent et me sourient,
enfin
Le coeur des lumières bat très fort
Si on s’en approche
elles s’éloignent
si on s’en éloigne,
elles pulsent plus fort
pour qu’on puisse les entendre,
même à distance
Les odeurs qu’elles répandent
splendides
ces petites gouttes de musique
par elles dispensées
m’emerveillent
Océan de bonheur
contemplation infinie
rêverie irisée
Harmonie
Well, she was just 17, You know what I mean,
And the way she looked was way beyond compare.
So, how could I dance with another (ooooh)
when I saw her standin’ there.
Well she looked at me, and I, I could see
That before too long I’d fall in love with her.
She wouldn’t dance with another (ooooh)
when I saw her standin’ there.
Well, my heart went « boom, »
When I crossed that room, and I held her hand in mine.
Whoah, we danced through the night, and we held each other tight,
And before too long I fell in love with her.
Now I’ll never dance with another (ooooh)
Since I saw her standing there
Well, my heart went « boom, »
When I crossed that room, and I held her hand in mine.
Whoah, we danced through the night, and we held each other tight,
And before too long I fell in love with her.
Now I’ll never dance with another (ooooh)
Since I saw her standing there
Well, Since I saw her standing there
Since I saw her standing there
11:57:38 : je prends mon petit déjeuner au soleil

14:18:15 : je renonce à prendre mon vélo pour cause de temps de merde

Le temps, non plus, ne sait pas ce qu’il veut en ce moment.
Une petite maison
où résonne la plus belle des voix,
des fleurs poussent entre les rondins,
les odeurs d’herbe disputent aux embruns
l’honneur de caresser ta narine délicate,
tes mains si fines parcourent l’écheveau
et tissent sans fin
mon amour, ma reconnaissance et mon respect
je t’aime toute entière
et parfois mon coeur pleure
de voir un ange entre mes mains grossières
et chaque jour se reproduit
ce miracle paien
tu me souris et tu m’embrasses
alors là je suis largué :
d’habitude je vous raconte ma vie et mes aventures sans rien vous dissimuler à vous fidèles lecteurs mais aujourd’hui vraiment je ne me sens pas de le courage de le faire. pas envie de parler de mes experiences interlopes de la nuit passée, de ces fillettes et de ces petits garçons hongrois qui fouettent sans se lasser les fesses municipales. non vraiment, je n’ai pas le coeur à en parler. je vais vous écrire une petite fiction en Ré mineur. fiction : alors là je suis largué : |
le récitant : imposteur !
Plus sympa que Starac et Popstar :
COSTES-STAR
(costard ?)
Tu veux monter sur scène,
partir en tournée et être une vraie STAR !
C’est possible et vite !!
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PROCHAIN SHOW DE COSTES A PARIS
Le culte de la Vierge – opera porno-social
avec Costes, Giulio Nesi, Marie-Claire Cordat
SAMEDI 18 JANVIER 2003 – 20H30 – Prix : 8 euros
aux INSTANTS CHAVIRES – 7 rue richard lenoir – montreuil
métro robespierre
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Nous cherchons une fille pour jouer dans le show.
Disponible de janvier à début juillet 2003 – 40 shows à faire en europe.
Contacter costes@costes.org
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![[...]Elle martyrisait à plaisir sa mémoireC'était au beau milieu de notre tragédieLe monde ressemblait à ce miroir mauditLe peigne partageait les feux de cette moireEt ces feux éclairaient des coins de ma mémoire[...] L.A.](http://sally.mara.free.fr/fond21.jpg)







