————————–jo



————————————–li



—————automne

Old par -- Zan le 04 Nov 2003

Règle n°2 : du bon usage de la télépathie

Ne fais pas tant de bruit.

Tu dois te concentrer sur la bonne fréquence
T’y installer,
Et attendre que je te rejoigne.

Puis on essaiera d’établir le contact
Secrètement et silencieusement

Surtout ne t’impose pas

Il te reste une chance
Ne la rate pas

le récitant : quel dommage que nous ne sachions pas nous dire au revoir. at least… i love you…

Old par igor le 04 Juin 2003

Corbac & Boris

Deux ou trois jours au vert, dans la Creuse,
dimanche après midi, Boris
nous rejoint en compagnie de son corbeau qui
s’appelle Corbac, l’oiseau s’agrippe d’épaules
en épaules, il est est nourri de wiskas
pour petits chats ; il grimpe sur la table
mais chie dessus, je le prends alors pour le déposer
sur la branche d’un noisetier, mais Corbac revient
aussi tôt vers nous, et le soir, quand Boris rentre
chez lui pour rejoindre sa femme, Corbac
me manque atrocement.

Je vais te la faire pleurer ta putain de rivière gars.

Jusqu’à la dernière goutte.

Old par Amok le 21 Juil 2003

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées

Old par D.b le 24 Juil 2003

Avant la fin : relire, pour le fun, le Fléau de Stephen King.

Old par igor le 04 Avr 2003

Du jour au lendemain

On peut se satisfaire de peu de chose
Moi par exemple hier soir
Je me suis retrouvé dans le métro avec un ami
Un ami vraiment impressionnant
Je le regarde toujours avec un peu d’envie
Il est si grand que parfois il se cogne au plafond
Hier c’est arrivé et ça m’a fait du bien
De le regarder saigner, là, dans la rame
Avant de descendre, je lui ai donné un petit coup de pied mesquin
J’ai visé les côtes, il n’a pas bougé
Le sol devenait de plus en plus rouge
Alors je me suis cassé pour ne pas salir mes pompes
On peut se satisfaire de peu de chose

Old par igor le 20 Jan 2003

Règle n°1 : Ne parlez pas de reservoir blogs.

Old par igor le 06 Avr 2003

aroun tazieff, ce héros

jeunesse

lotus, ctgr - mon coeur (Photos cb., ArnO Feret)

« Si on s’accrochait à des ballons  ? On s’envolerait ! Comme des oiseaux !! »
Rex, dinosaure dans Toy Story .

Banalement

Ordinairement

Rituellement

Normalement

Béatement

Actuellement

Docilement

&

B.a.d.i.d.e.dement

Assurément

Dorénavant

Généralement

Idéalement

Régulièrement

Lentement

.

.

.

Old par Gu. le 22 Mai 2003

Sur fond de peur panique, essayer d’exécuter tranquillement les gestes du quotidien
Coûte que coûte…

L'Armor toute l'année

Old par M. Fox le 22 Juin 2003

la vérité sans majuscules

je dois tout raconter ici

comment les survivants de notre avion

si beau ont tout bouffé les morts de

quand l’avion il est tombé du ciel dans la

neige blanche, si blanche à en mourir.

moi j’étais pas là mais j’ai vu le film de la vidéo

de quand ils me bouffent les tripouilles que même

j’ai été triste rapport à ce que j’avais mangé

la veille de l’accident. le titanic à coté, c’était pas

la mer à boire. je suis pas vraiment mort, si vous

voulez tout savoir, mais quand je bossais

à la Sveridges Radio Service on ne me faisait

faire que des photocopies de mes fesses

et de mes dessous de bras. oh ! j’ai mis des majuscules

dans la phrase d’avant et ça c’est pas cohérent, rapport

au titre de l’article. je m’excuse. sorry. sorry.

Old par igor le 06 Oct 2003

froide comme la beauté,
la deesse
a fait le voyage elle aussi,

et cette barque chargée de fleurs
sera aussi leur tombeau

Old par M. Fox le 14 Mar 2003

caramba!

allez, encore un petit verre pour la route

tant pis si cette histoire

se noie dans le vomi.

adieu, et sans rancune!

(il n’y a rien a oublier)


Et dans le ciel, une ville

Old par igor le 27 Jan 2003

Parole vaine du héros

« Je me suis perdu plusieurs fois dans le corps des femmes.
J’y ai laissé des mèches de cheveux, des livres
dans leurs chambres, des photos collés/offertes sur les glaces
des salles de bains, dans lesquelles j’étais fier (sometimes)
de me trouver beau, la femme attendait blottie dans un lit froid.
Ce que je suis : sans ressemblance avec mon image : embrasser une
femme c’est comme passer de l’autre coté de moi-meme ; c’est
pourquoi j’ai avoué à G. que le risque du baiser (le premier)
est toujours une épreuve. Si par lui je coincide avec mon image,
je me laisse oublier, je me laisser regarder, j’aime et je peux etre aimé. »

Cette nuit, j’ai rêvé du Tourguenisme. La douleur m’a réveillé.

Old par DrT le 18 Mar 2003

Présage de fin d’après midi : L’ex de ton ex est en ville

c’est absolument ininterprétable,

j’imagine que je fais un contre-sens quelque part

mais où ?

Old par M. Fox le 28 Mai 2003

J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche
la naissance de la voix qui m’est chère ?
J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre à se croiser
sur ma poitrine ne se plierais pas au contour de ton corps, peut être.
Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis
des jours et des années je deviendrais une ombre sans doute.
Ô balances sentimentales.
J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille. Je dors
debout, le corps exposé à toutes les apparences de la vie et de l’amour et toi,
la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front
et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu.
J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu’il ne me
reste plus peut-être, et pourtant, qu’à être fantôme parmi les fantômes et plus
ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se promènera allègrement
sur le cadran solaire de ta vie.
R.D.

Old par -- Zan le 10 Jan 2003

Si on a honte de notre bien-être

Et si on est bien dans notre honte

Et puis si tout doit disparaître

Peut-être que c’est mieux en fin de compte

le récitant : lu_ndi, retour à la vie réelle.

Old par igor le 07 Juin 2003

Je fus en fusion, les émotions et les sentiments à fleur de peau : tout pour moi était douleur.

Cette lave intime se refroidi en une croûte sombre et rugueuse ; seules ne la traversent plus que les pulsions, les plus charnelles, primitives et archaïques, qui subsistent en mon noyau.

Quand finalement je m’éteindrai, je serai plus tranquille.

vacances forcées
et
chasse au mystère

dans les maisons cossues
et les jardins d’hiver

couvre-moi

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

je sais pas ce que j’ai foutu de Violetta…


Old par -- Zan le 18 Juin 2003

Bernard vient de rentrer du Népal…
Il est assez heureux…
Il prend une douche…
Il a un sabre…
Et on dirait un enfant…
Loin de toute réalité de la proximité…
L’Himalaya…

Old par Gu. le 11 Mai 2003

Le miracle a eu lieu : fin des émissions

Old par M. Fox le 17 Fév 2003

« Lorsque Ivan Tourgueniev publie Pères et fils en 1862, il campe un homme révolté d’un type nouveau en qui la force de l’illusion le dispute à la nonchalence et à la morgue. Il est aussi, dans cette vieille Russie provinciale, un étranger, un homme de trop qui côtoie d’autres hommes sans les rencontrer vraiment.

L’écrivain russe avait déjà peaufiné des personnages d’hommes inutiles, dominés par l’ennui et par la certitude de la vanité de tout. Le nihiliste Bazarov a pour vocation de servir le peuple, en niant les principes en vigueur, l’autorité dominante, l’ensemble des traditions. (…)

Il ramène, dès que l’occasion lui est offerte, tous les idéaux à leur principe, organique ou physiologique. S’agit-il de l’amour ? La simple évocation du sentiment provoque une réplique cinglante : « Nous autres physiologistes nous savons bien ce qu’il en est… Tout ça, c’est du romantisme, du vent, du pourri, de l’art. (p 67). D’ailleurs, selon Bazarov, l’art surpreme consiste à fabriquer des bottes et à soigner les hémoroïdes ! »

in « Le nihilisme », textes choisis par Vladimir Biaggi, Ed. Corpus, Flammarion.

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Old par M. Fox le 03 Juin 2003

IGOR A DISPARU…

Aidez-nous à retrouver Igor!

Plusieurs centaines de cas de crise de manque ont été constatées
et recensées aujourd’hui chez les lecteurs de Tourgueniev ce héros…

Si nous n’agissons pas très vite, l’épidémie risque de se propager
de façon exponentielle!

Alors faîtes vite, si vous avez des informations, nous contacter!!!

Evidement récompense!!!

Old par Gu. le 09 Mai 2003

Autographies
… CLIC…
Valéry
« Soumets toi tout entier à ton meilleur moment. »
Conversation.
Je lui dis au milieu de la nuit, lors d’une fête insensée :
— C’est en apriorisant de tout que tu deviendras folle.
Fête.
Grande santé : être irresistible, illimité
le corps se sent vivre et la pensée dans les
alcools a quelque chose de sanguin.
Titre.
Après le M&eacutecrit de Denis Roche,
voici venir le Décrit de …
Avertissement.
Si votre prénom comporte un seul A, passez
votre chemin.
On m’a dit :
« Fais en sorte que je puisse te parler ! »
Dans la maison.
Je chante, et j’admire la tenue de x, y, et z, mes favorites.
Réponse/
De quoi veux-tu que je te parle ?
L’eau, l’acidité, la vague, la transmission,
la perle, l’esquisse, le mouvement qui déplace les
lignes, le battement de l’œil, le coit pour imiter la vie,
l’extension de mon corps vers toi, bruissements, moment
qui s’éternise, et multiplie les raisons de voyager.

Samedi.
Regardé Alien en buvant du porto,
puis attrapé au vol la voiture d’un petit
photographe de mode Italien (Une Lada rouge de Torino),
direction LouisWeiss où je regarde sans
conviction la vidéo de
Sarah Jones et ses plages de Miami.
Rêves.
Mélange de temps, et fusion de personnes
de ma vie, périodes fondues ensemble, sans espoir
de pouvoir les discerner, les comprendre, les aimer : effrayante unité !
Matin.
Téléphone de M. ,dans le sud :
Charles Fréger est un connard ! « 
Reprise
De quoi veux-tu que je te parle ?
Tout ceci n’est qu’un échauffement en vue d’un texte à venir.
…CLAC…

Que du bonheur !

Old par Gu. le 13 Mai 2003

JE SUIS CELUI PAR QUI LE MALHEUR ARRIVE

Tu grimpes encore sur moi
pour avoir des caresses,

griffe moi un peu,
tu tressautes sous ma main,
comme une vierge
au bras d’un marin

l’ailleurs est en toi
et cet abime dans tes yeux
je m’y échappe souvent,
lorsque j’ai du tourment

Tu es mon réconfort,
ma retraite paisible,
mon amour
et mon coupé sport,

chacun de tes poils
est un de mes amis,
chaque pas que tu fais
m’émerveille et m’éblouit

Je ne veux plus jamais te quitter,
frottons nous pour toujours,
l’un contre l’autre
serrés

Old par M. Fox le 23 Avr 2003

#38
(En témoin de la vie sordide, intérieur-jour.)
Comment soulager l’énervement ? Ecrire multiplie la haine.
Partir serait mieux mais il a rendez-vous avec une femme,
alors il faut subir ces vieux cons alignés comme
des bocks le long du zinc.
La jeune fille : « Vous m’en voulez ? »
— Absolument !
— Qu’avez-vous fait en m’attendant ?
— Des projets de meurtres !
— Sortons s’il vous plait.
— Bien entendu.
Il faut imaginer le héros s’en allant,
la femme à son bras vers une nouvelle aventure.

matin volute

)¬≤ )/"≤ ≥/|(
8h-rosée

-0–

dragonWaker

¡-¡

10h-soleil

d’,p

souffle et lumière, eau et pierre, ciel et sérénité

In the first bar, things were stop-and-stare

but in this bar, things were laissez-faire

I was dancing in the lesbian bar, uh-oop ! Uh-oop !

No more heroes any more

(&MORE)

E

Old par Gu. le 28 Mai 2003

dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage
collatéral…

Old par -- Zan le 21 Jan 2003

Ce personnage est glacial…

L’est-il en personne?

Old par Gu. le 06 Mai 2003

Une anicroche se pose sur la parole,
mais dès qu’on dit sur le bout de la langue,
le bout du pied, ça prend trop de sens, ça fait pollen,
c’est ça qui conte

Old par Gu. le 19 Mar 2003

hey come on little sister
let’s go up to the moon
she said « honey i don’t care
and i want no lies ».

Let’s swim out tonight, love
It’s our turn to try
Parked beside the ocean
On our moonlight drive

so listen pretty babe
why don’t we jump in any train ?
to draw nearer to the storm
she said « i don’t like rain »

Easy, I love you
As I watch you glide
Falling through wet forests
On our moonlight drive, baby

Old par igor le 04 Mar 2003

#18
La voix du héros dont l’écriture est la transcription approximative.

Car personne ne saura si son timbre est grave.

Si la tessiture de sa parole conjugue les variations les plus extraordinaires.

L’écriture est le négatif de sa voix.

Minuit et des poussières, je suis un peu crevé.
Mais je crois que si je dors, ça devrait s’arranger.
Donc, il faut que je le fasse.
Aller me coucher ?
Oui sûrement.

———————
Bon,ok…
Je
l’ai revue hier…

Old par igor le 10 Mar 2003

C’est en forgeant qu’on devient forgeron

Soit, mais…

A trop peler on devient pélican
A trop lecher on devient Lech Walesa
A trop ramer on devient rat musqué

Old par -- Zan le 19 Fév 2003

L’autre jour je discutais avec une brillante tourgueniste.

Nous parlions un peu de tout et de rien à la fois, mais avec ce talent indéfinissable qui caractérise notre esprit « irrationnel et molletonné ».

Bref : tout en feignant la désinvolture nous planions à une altitude intellectuelle proprement vertigineuse.

Et soudain je m’interrompis moi-même, comme frappé de stupeur.

La révélation se fit en une foudroyante connexion neuronale : dans « Internet » il y a « interné ».

Je sais que tes yeux jaunes ne m’ont pas quitté
Pendant que je séchais alangui dans la mousse
Tu as dû voir alors
Passer sur mes flancs nus
comme une gifle
l’ombre funeste
de deux grandes ailes
qui tournoient au ciel
et te guettent aussi

Old par -- Zan le 06 Jan 2003

le récitant : au coeur de la nuit noire tu me manques.

Old par igor le 03 Déc 2003

je pleure car j’ai besoin de toi

je pleure car je te sens

je pleure car j’ai besoin de toi

je pleure car je tiens à toi

si seulement un bateau arrivait

ou seulement si quelqu’un venait

frapper à ma porte

ou seulement quelque chose

je pleure car j’ai besoin de toi

je pleure car j’ai besoin de toi

Old par M. Fox le 14 Nov 2003

C’est une page du cœur intime. Les méchants
peuvent m’attaquer. Les méchants, quant à
eux, n’en n’ont jamais fini. Ils peuvent dire que la
parole à soi, c’est insuffisant. Mais si tel
est le verdict, je meurs. Bizarre comme
la voix vient caresser ma pensée. Souvent,
je me bats pour faire une phrase. J’essaye d’être
direct pour me saisir.

tchik tchik !

Old par igor le 19 Mar 2003

Viagra, ce héros…

Old par Gu. le 09 Avr 2003

Je hais l’humilité, la sagesse, l’amour et tous ces synonymes de mort.
Je veux vivre.
Alors je serai censeur, cupide, vaniteux, prétentieux, calculateur, pervers, aigri
et tout ce qui peut définitivement me rendre plus humain.

Old par Rodia le 05 Mar 2003

le récitant : et si on recommençait une semaine porno ?

Old par igor le 14 Juil 2003

« (…)J’attrappe ta sale petite gueule de tétard albinos et je la fracasse d’une pitchenette de cyclope sur le rebord de la baignoire en or massif. Tu suffoques, tu n’as plus assez d’air dans les poumons pour râler à l’aide, tu voudrais bien que ça s’arrête d’un coup, mais… Je te prend la tête à deux mains, comme m’approchant pour te donner un baiser d’une tendresse infinie, et je t’arrache le nez d’un coup de dents sec, vif, et recrache la bidoche pitoyable sur la faïence noire et luisante de l’evier… alors tu te réveilles.(…) »

Les infos du monde – Hier soir…

Elodie : allo…
Igor : allo ?
Elodie : euh.
Igor : c’est qui ?
Elodie : allo, j’ai qu’une minute, Edouard ?
Igor : euh, oui…
Elodie : ben, je, tu me manques, je ben tu vois.
Igor : oué, oué si tu le dis.
Elodie : tu es un peu froid, je trouve…
Igor : mais non, je t’assure, je pense à toi mais tu vois Patxi va passer là alors tu vois…
Elodie : euh, Ed, j’ai presque plus de secondes là.
Igor : pas trop tôt.
Elodie : bip bip bip
Igor : allo ?
Elodie : bip bip bip
Igor : sympa la meuf…

Old par igor le 17 Déc 2003

NOBODY , CE HEROS







Dans la bande centrale, située dans la partie la plus large de l’évasement, on voyait un animal à la gueule ouverte qui pouvait etre un loup stylisé, ou encore un renard ou un chien; son corps blanc se tenait debout, incliné sur la gauche; il avait les pattes postérieures largement écartées et les antérieures levées et déployées. L’impression de mouvement créée par la position des membres se reflétait dans une série de formes géométriques courbes et tourbillonantes, qui formaient un motif répétitif devant probablement faire tout le tour du vase. Des éclats avaient sauté à hauteur du col, mais l’image centrale était intacte et très belle.

Old par M. Fox le 05 Jan 2003

image

plane d’une orientation à trois dimensions–{#FF0000}–processus

général de stéréo-photogrammétrie–{#FF0000}–nature

pourvue d’une manière bien particulière–{#FF0000}–sentiment

de profondeur de la scène observée–{#FF0000}–différence

d’éloignement–{#FF0000}–O1 : (X1 Y1 Z1) = (0,0,0)—[soit+dit+en+passant]

Avertissement

Le désir d’écriture est plus fort que celui d’être lu.

GO TO THE BORN BAD SHOP !

Old par Gu. le 25 Mai 2003



















Old par Gu. le 04 Juil 2003

le récitant : Igor Tourgueniev n’existe pas.

Old par igor le 25 Mar 2003

BASTIEN FRANCOIS, CE HEROS…

Old par Gu. le 29 Avr 2003

Ainsi parlait Zarathoustra ?

Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse.

ou

Il faut porter un chaos en soi-même pour accoucher d’une étoile qui danse.

ou

Il faut encore avoir quelques chaos en nous pour accoucher d’une Etoile qui danse.

ou

Il faut porter du chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse.

ou

Il faut porter le chaos en soi pour accoucher d’une étoile filante.

ou

Il faut avoir un chaos en soi pour donner naissance à une étoile qui danse.

ou

Il faut qu’il y ait encore du chaos en soi pour donner naissance à une étoile qui danse.

ou

Il faut beaucoup de chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse.

Old par igor le 26 Nov 2003

Consultez l’abbé pour plus d’information (ou Zan original…)

Old par Gu. le 06 Mai 2003

je te faxe mes pleurs

aux senteurs

de quarts d’heure

réponds

G enfin trouvé un petit nom sympa pour mon chat.
Je vais l’appeler « Phillipe »…
C’est extra, comme nom, pour un chat, non?
Phillippe le chat, tout ça…pis ça change de félix, hein?
Je pourrais dire aux copines de ma mêre: « non, phillipe n’est pas tatoué, il aime bien pas faire comme tout le monde,…, oui, cet été, en vacances sur la côte avec phillipe…, oui, phillipe et moi on est inséparables…on dors tout le temps chez moi…et pas une dispute, c’est un ange…mais il est trés indépendant, hein… »
mmm
Bon, c’est peut être pas une si bonne idée finalement…

A l’extrémitude de la solitaire, elle brassait des vagues en remuant le vide…
Troplein d’humains… frénésie de corps… douleur au bas-ventre…

Old par Gu. le 18 Mar 2003

Envie ce soir de t’écrire naisement « je t’aime ».

Je t’aime car tu es belle.

Je t’aime car tu sens bon.

Je t’aime quand tu es colère.

Je t’aime quand tu m’en veux.

Je t’aime quand tu allumes ta cigarette.

Je t’aime quand tu dis des bêtises.

Je t’aime quand tu fais la révolution.

Je t’aime quand tu dances.

Je t’aime quand tu as peur.

Je t’aime quand tu es triste.

Je t’aime quand tu souris.

Je t’aime dans la lumière du ponant.

Je t’aime surexposée.

Je t’aime.



Tu sais tout cela.

Depuis longtemps déjà.

Comment peux-tu encore me supporter ?

LA MORT EST ADHÉRENTE FNAC !

Old par DrT le 10 Mai 2003

Web Waooooh !!!

Old par Gu. le 03 Juin 2003

Old par fbwn le 20 Jan 2003

Nothing says « I can kick your ass » quite like a camo muscle tee does. Designed for chicks, our tight-fitting green camouflage sleeveless top features reverse stitch raglan shoulders, green binding at edges, and reverse stitching at hem.

Old par D.b le 30 Juin 2003

il souffrait depuis de longues années
d’une maladie étrange

chaque nuit,
le mal se concentrait
dans ses poumons
sous la forme
d’une pate visqueuse
si bien qu’au matin
il respirait avec peine
et devait chanter
pour libérer son corps

Old par M. Fox le 12 Mar 2003

— Peut être que la terre aime le beurre, tout simplement ? —

Old par -- Zan le 10 Jan 2003

le buzZ

artiStiK

n’eN

eSt-il

paS

mOinS

de la

publi(DUPLI)-cité

???

Old par Gu. le 04 Juin 2003

clic, plouc, pschitt, shplock, splotch, shh, ffffhhhh…

Fini la vaisselle!!!…

Old par Gu. le 13 Avr 2003

je t’offre des fleurs aussi même si ce n’est pas l’endroit

dites, je pensais…

waiting for my train

icone... ouais, russe man, russe...

cessez le feu
rallumez la flamme

Quelque chose à ajouter ?
Quelque chose à ajouter ?

– à quoi bon parler à un mur ?
– d’abord ça fait mal, puis ça renforce à l’intérieur.
– moi, ça me déprime.
– de toutes façons, quelle idée de parler à un mur…
– t’as raison, je vais essayer de parler à des humains, c’est surement plus simple. bye bye le mur !

Old par Rodia le 14 Mar 2003

elle: tu me tues…
lui: alors pourquoi tu parles encore?

Syndicalistes, Tourgenistes et autres trucs en -istes de tous les pays, unissez vous!

Old par igor le 15 Jan 2003

« La réalité c’est comme un grand jet d’eau glacée,
tu veux toujours aller vers la source
mais tu peux pas, tu te la reçois en pleine face »
S.J.

Old par -- Zan le 17 Fév 2003

In memory to F. from J.M. Memorial

Old par Gu. le 11 Mai 2003

« là ici »