bon, je me demandais aussi
de quoi il était question ici
et la réponse se trouve
et . bises vous deux…

Old par igor le 27 Juil 2003

le septième risque :

 » Le dernier type de risques est en fait un « méta-risque »: c’est la très grande difficulté, pour ne pas dire l’impossibilité, d’imaginer des procédures, des normes ou des règles qui permettraient de faire face aux six catégories de risques que l’on a énumérées. « 

R.I.P.

Old par Rodia le 30 Avr 2003

THE CONFESSION

BY _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

SHE WAS YOUNG AND BEAUTIFUL BUT NOW SHE IS BATTERED AND DEAD. SHE IS NOT THE FIRST AND SHE WILL NOT BE THE LAST I LAY AWAKE NIGHTS THINKING ABOUT MY NEXT VICTIM. MAYBE SHE WILL BE THE BEAUTIFUL BLOND THAT BABYSITS NEAR THE LITTLE STORE AND WALKS DOWN THE DARK ALLEY EACH EVENING ABOUT SEVEN. OR MAYBE SHE WILL BE THE SHAPELY BRUNETT THAT SAID XXX NO WHEN I ASKED HER FOR A DATE IN HIGH SCHOOL. BUT MAYBE IT WILL NOT BE EITHER. BUT I SHALL CUT OFF HER FEMALE PARTS AND DEPOSIT THEM FOR THE WHOLE CITY TO SEE. SO DON’T MAKE IT TO EASY FOR ME. KEEP YOUR SISTERS, DAUGHTERS, AND WIVES OFF THE STREETS AND ALLEYS. MISS BATES WAS STUPID. SHE WENT TO THE SLAUGHTER LIKE A LAMB. SHE DID NOT PUT UP A STRUGGLE. BUT I DID. IT WAS A BALL. I FIRST CUT THE MIDDLE WIRE FROM THE DISTRIBUTOR. THEN I WAITED FOR HER IN THE LIBRARY AND FOLLOWED HER OUT AFTER ABOUT TWO MINUTES. THE BATTERY MUST HAVE BEEN ABOUT DEAD BY THEN. I THEN OFFERED TO HELP. SHE WAS THEN VERY WILLING TO TALK TO ME. I TOLD HER THAT MY CAR WAS DOWN THE STREET AND THAT I WOULD GIVE HER A LIFT HOME. WHEN WE WERE AWAY FROM THE LIBRARY WALKING, I SAID IT WAS ABOUT TIME. SHE ASKED ME, « ABOUT TIME FOR WHAT? » I SAID IT WAS ABOUT TIME FOR HER TO DIE. I GRABBED HER AROUND THE NECK WITH MY HAND OVER HER MOUTH AND MY OTHER HAND WITH A SMALL KNIFE AT HER THROAT. SHE WENT VERY WILLINGLY. HER BREAST FELT WARM AND VERY FIRM UNDER MY HANDS, BUT ONLY ONE THING WAS ON MY MIND. MAKING HER PAY FOR ALL THE BRUSH OFFS THAT SHE HAD GIVEN ME DURING THE YEARS PRIOR. SHE DIED HARD. SHE SQUIRMED AND SHOOK AS I CHOCKED HER, AND HER LIPS TWICHED. SHE LET OUT A SCREAM ONCE AND I KICKED HER IN THE HEAD TO SHUT HER UP. I PLUNGED THE KNIFE INTO HER AND IT BROKE. I THEN FINISHED THE JOB BY CUTTING HER THROAT. I AM NOT SICK. I AM INSANE. BUT THAT WILL NOT STOP THE GAME. THIS LETTER SHOULD BE PUBLISHED FOR ALL TO READ IT. IT JUST MIGHT SAVE THAT GIRL IN THE ALLEY. BUT THAT’S UP TO YOU. IT WILL BE ON YOUR CONSCIENCE. NOT MINE. YES, I DID MAKE THAT CALL TO YOU ALSO. IT WAS JUST A WARNING. BEWARE…I AM STALKING YOUR GIRLS NOW.

     CC. CHIEF OF POLICE
         ENTERPRISE

Le roi des rêves
est venu me visiter
cette nuit,

tu étais là,
sur la dernière terrasse du jardin des princes,
nous regardions la mer
et notre flotte emporter les éléphants vers le Nord,

tu semblais préoccupé
alors j’allais partir

lorsque de ta bouche ont jailli
ces quelques mots
qui d’habitude te brûlent la langue et les lèvres

reste cette nuit, s’il te plait, j’ai besoin de toi

Old par M. Fox le 07 Avr 2003

Old par igor le 29 Oct 2003

j’aurais voulu être une actriiiice…
et puis manger des michokooooooo.

la starac c’est comme capri, c’est fini.

Old par igor le 30 Mar 2003

Old par igor le 20 Juin 2003


le récitant : pour essayer de mieux comprendre mes amies, je m’abonne ?

Old par igor le 10 Mar 2003

My Favorite Game

Old par M. Fox le 23 Déc 2003

Ainsi crashait Chair Bol d’Air

– Qui êtes vous ?
– Je suis triste, déboussolé, perdu, pathétique, égaré, malade.
– Vous êtes embauché.
– A quel poste ?
– Pauvre type.

Old par Rodia le 10 Avr 2003

sur l’alpage abandonné …

pollution, moi je dis NON

on passe sa vie à courir dans une foret pétrifiée

puis un jour on se change en pierre

et on oublie la foret

Old par M. Fox le 19 Mar 2003

il est tard et il se peut que ce soit mon dernier message. je ne sais pas où il est mais il me cherche sans doute son odorat va le mener jusqu’à moi et, sûrement jusqu’à ce bureau. cet ordinateur est mon lien unique avec le monde et je crois que l’orage qui gronde ne devrait pas tarder à le mettre hors d’usage. je décide de ne plus utiliser la touche « e ». j sais qu’il st là dans l noir t qu’il m gutt. j dcid d n plus utilsr la touch « i ». la nut tot ls chats sont grs. l s’appll onko.
Old par igor le 17 Août 2003

Hum, ça reuv’ Igor…

Old par Gu. le 17 Avr 2003

« Je suis un homme malade… Je suis un homme méchant. Un homme repoussoir. Voilà ce que je suis. » F.D.

Old par Rodia le 28 Mar 2003

I Wanna GO Back Home !!!

Old par Gu. le 14 Mai 2003

À se voir trop souvent, nous sommes devenus des étrangers l’un pour l’autre.

ARRRRêTE!!!
(de pois(s)on)

le récitant : bite !

Old par igor le 11 Mar 2003

Mon amour est partie y a longtemps et je travaille comme fou.

Ca marche très bien pour moi, j’ai été promu.

Les nuages se profilent à l’horizon, brisé par les tours de verre de la Défense.

Je vais traverser tout Paris pour rentrer Porte de Bagnolet (c’est chez moi).

Dans la rame de métro, il y a un tas de personnes très ordinaires dans lequel je me confonds.

C’est tout propre – y a personne – quand je rentre.

Je mange tranquillement mes céréales.

Puis je me couche et un répliquant me susurre des mots tristes.

dimanche

Old par Gu. le 02 Nov 2003

tiens, un gros bleu sur ma cuisse

tu viens d’ou, toi ?

Old par M. Fox le 13 Fév 2003

ça se passe de commentaire, non ?

Old par -- Zan le 25 Sep 2003

Merci aux jeunes hommes qui corrigent mon orthographe

Old par M. Fox le 03 Mai 2003


Old par -- Zan le 13 Mai 2003

? tu m’as parlé , chéri …

craché par  » i don’t know who yu’re » edited by Gü.

Old par Gu. le 24 Oct 2003

Accoudé au bastingage, on regarde s’éloigner le quai du petit port, puis défiler de belles rives sauvages. Bientôt l’odeur des embruns se fait plus forte.

Old par -- Zan le 03 Avr 2003

le récitant : je ne dors visiblement pas, encore un coup de la Camora Tong ?

Old par igor le 13 Oct 2003

Old par Rodia le 30 Avr 2003

Tu t’es echappée ?

Old par Rodia le 05 Mar 2003




je marche au bord du canal
j’ai quitté la ville
je repense à toi et à tes sourires
je chemine à présent sur un petit sentier
de l’herbe autour de mes Docs
je repense à la douceur de tes seins
je contemple l’eau un instant, immobile
la fraicheur vient à mon visage
à mes pieds brille un objet en métal
une médaille attachée à une cordelette
quatres lettres en fer forgé : ILUM
un mot magique, porte bonheur ?
je retourne la médaille
quatres lettres en fer forgé : MUJI
je la balance à la flotte
retournons en ville

Old par igor le 27 Mar 2003

Quand il me dit que je suis le meilleur,

Je me demande pourquoi son coeur bat pour quelqu’un d’autre.

Quand il me dit qu’il ne veut que moi,

Je me demande pourquoi il couche avec mes amis.

Old par Amok le 18 Juil 2003

Ma Douce Marginalité Apostrophe…
Qui ça?

Old par Gu. le 25 Mar 2003

Beauté

Je voudrais dire deux ou trois choses sur la beauté.

Premier essai : la beauté comme énigme.

La beauté n’exige rien, et m’offre des pistes

que je dois traduire — pour être avec elle.

Si j’essaye de la posséder, elle se rétracte,

puis disparaît. Ma position de spectateur est la seule attitude

possible : prudemment distancié.

En elle, s’irise une image. Ne rentre pas dans la beauté, ne

te contemple pas en elle, sinon elle te crèvera les

yeux. La beauté est une chose du dehors. Est-ce l’émotion

qui la signale ? Oui, mais la beauté a quelque chose à voir

aussi avec la pensée mais je ne sais pas trop quoi. Quand Rimbaud

décide de lui tordre le coup, la beauté est devenue sa rivale.

Ne te bats pas contre elle, n’essaye pas de l’assagir, ou de la faire

mentir. Comme si la beauté était une création !

La beauté : dimension inconnue. En elle parle la raison

qui s’affolle, les larmes d’un enfant. Elle naît dans l’intervalle

mince, quand la vie matérielle se met à rêver.

Chacun a sa propre expérience de la beauté.

Quant à moi, je l’ai souvent trouvée au milieu des

grandes villes étrangères, sur un visage

mélancolique d’une femme qui allait nulle part.

Minuit pile

Old par igor le 24 Déc 2003

slow song

un dragon est sorti de la montagne
il est lové à côté de moi.
lorsque je tends le bras main ouverte
c’est son souffle qui palpite dans ma paume.

dragon
tu es mon kung-fu
et ma dignité

je suis la montagne qui marche
j’entends le cri qui se cache
je suis la montagne qui marche
et je viens réveiller ton dragon

le récitant : p’tain Igor tu ferais mieux de retourner ranger ta chambre…

Old par igor le 30 Sep 2003

One O’clock… we’ll be
SINGIN’ IN THE RAIN

Old par DrT le 20 Avr 2003

Tous les vendredis, Igor organisait des karaokés survoltés dans son living.

Il ne laissait jamais personne chanter sur Indo.

Indo, c’est moi, qu’il disait.

Après il se perdait sur la généalogie plus ou moins croisée entre les Sirkis

et les Tourgueniev.

ex : « l’aventurier, c’est Grishka Sirkis qui l’a composé, et il joue de la batterie

sur le titre, mais ça, peu de gens le savent… »

hé oui eux aussi auraient eu un jumeau maudit…

Old par -- Zan le 29 Déc 2003

Qui seulement écoute ? Ou parle ?
Gesticulations verbales insensées.
Images vides du monde.
Centres décentrés.
Infatigable exercice au devant d’une femme.
Elle serait morte et assisterait loin d’ici aux
virtuosité ridicules, comme toutes
virtuosités qui se doivent de l’etre,
RIDICULES.
Mais on insiste.
Quelque chose doit absolument se faire savoir.
Nous ne savons pas encore quoi.

« Une maison bleue… ? »
« Le Dauphiné Libéré » du 12/06/97
 
Fuyant la banlieue parisienne à la recherche d’un autre mode de vie, installée depuis 15 ans dans les Baronnies, aux fins fonds de la vallée de l’Ouvèze, Frank et Nanou Berthou ont fait la démonstration qu’on pouvait réussir dans une agriculture de montagne alternative.
    « C’est une maison bleue, adossée à la colline, on ne frappe pas, ceux qui vivent là on jeté la clef… » . Sans doute sommes nous loin de San Francisco et les vieilles pierres de la bergerie sont nullement bleues, mais ceux qui vivent là ont effectivement jeté les clefs des portes qui verrouillent la plupart de nos existences citadines. Les paroles de la chanson de Maxime Leforestier viennent immanquablement à l’esprit de ceux qui rendent visite à Frank et Nanou Berthou dans leur repaire de « La Closonne », au cœur du pays Baronniard.

Old par Gu. le 15 Avr 2003

in love with an equation…

c'est sans danger

Tu es si belle, La Belle…

Old par igor le 28 Sep 2003

DRAGON N°9

UKRAINIAN IRONBELLY (PANSEDEFER UKRAINIEN)

Le plus grand des dragons, l’Ironbelly,

peut atteindre un poids de six tonnes.

Le corps arrondi, plus grand que le Vipertooth

ou le Longhorn, l’Ironbelly est néanmoins

extrêmement dangereux et peut écraser sous

son poids une maison sur laquelle il atterrit.

Ses écailles sont d’un gris métallique,

ses yeux d’un rouge foncé et ses

griffes particulièrement meurtrières.

Les Ironbellys font l’objet d’une surveillance

constante par les autorités magiques ukrainiennes

depuis qu’en 1799 l’un d’entre eux a emporté

dans ses serres un voilier (heuresement vide)

amarré dans la Mer Noire.

(…)

Old par Gu. le 14 Nov 2003

Projection…

De soi sur l’autre/

De eux sur l’écran…

Projection des souvenirs/

De la mémoire…

Goûter au passé/

Vivre au présent…

Se déguiser/

Interagir

Old par Gu. le 26 Mai 2003


debout sur le pont
je regarde les tours qui flambent
et je veux croire
que c’est la dernière fois
mais je me doute
que ça va recommencer
alors dans ma tête
je me laisse dériver

Old par igor le 03 Jan 2003

Le verdict de l’expert en chef
a enfin été rendu public :
il s’agit là de DRAGOLO

(savant mix de Dragibus, Floppy, Fraisibus et Ours d’Or)

Old par Gu. le 16 Mai 2003

Kezaco ?

Valmont, Ô déviant épars !

Chante Reine !!! Comte Rex est vil !

VITE !!!

Elle vole

– vit que père riait –

TONNONS !

Salve est ta vie !

CHIE !!!!!!

( c’est laid ce teint sans paix, l’aigri… )

Nos bas,

– doigt-alliance –

scintillent or.

Quelque chose de sain : Une tomate peut-être

Old par M. Fox le 27 Juin 2003

Le reflet des autres m’intéresse également.

Old par Rodia le 16 Avr 2003

aS

pi

ri

ne

(…)
Old par Gu. le 22 Sep 2003


again :
« hé, tu m’donneras l’adresse de ton coiffeur, mpffhuhu… »

les blogs sont tous pareils avec leurs images de lapines

Camille

La première fois que j’ai croisée Camille, mes yeux se sont fixés sur sa silhouette entraperçue. Puis, je l’ai cherchée du regard à chaque occasion. Je l’ai dévisagée sans vergogne, rougissant de la complicité que son attitude sous-entendait.

Les cheveux courts en bataille, le regard faussement hautain, le sourire amusé, le menton résolu, elle aussi m’attendait, patiente et terriblement désirable.

Son attitude est un défi qu’elle m’adresse et qui me susurre : « Rejoins-moi ! ».

J’ai envie de me jeter sur elle, de partager un moment de tendresse, de jeux, de faire tournoyer les draps autour de nous.

Mon désir est sain et pur.

Vêtue de ses seuls dessous (C & A, soutien-gorge 15€95 et string 5€95), elle m’est fidèle sur ses six mètres carrés et restera là pour moi, en attendant d’être remplacée par une plage des Caraïbes, ventant les mérites d’une agence de voyage anonyme.

Texte désagréable.

Je me fie au sens plutôt qu’au son. Je n’aime pas la poésie

poétisante. Où est la vraie ? Des crieurs s’identifient à ce qu’ils font.

Ennui. Plutôt, ils savent exactement ce qu’ils font. Ennui. Ils crachent

lit-on. De la bave qui se donne pour ce qu’elle est. Rien d’autre : déjection.

Je n’ai peut-être pas d’humour ; ou je comprends rien au spectacle. Mon point

de vue, je me retranche en lui. Je ne propose rien. J’aimerais vous rencontrer.

Pas pour vérifier. Je paye pour voir. Avez-vous d’autres astuces ?

Quelle est votre stratégie ? Contraintes ? Amuses-gueules entre soi ?

Ecrire en 2003 ? Comment écrire en 2003 ? Se mettre un étau sur

le sexe ? S’empêcher de jouir ? Ne pas creuser en soi l’abîme ? Certes, j’utilise

des mots poussiéreux. Je ne suis pas moderne. Je me sens proche des vieux

cons emmurés dans des chateaux. Et puis, rien que

les gueules des écrivains d’aujourd’hui, ça donne ni envie de lire, ou d’écrire.

Roger Laporte : « Je n’écrirai plus que sous la contrainte, celle

de l’amour ou de la mort. »
(Cette contrainte n’est-elle pas plus

vraie que d’écrire un roman sans la lettre E.?)

ETC

Le couteau intrépide a enfanté Gu

Et la vengeance continue
-Oracle du roi Glélé-

je suis le barman de l'avenir.
En 1977, neuf personnes ont disparu subitement après avoir franchi une porte bleue s’ouvrant depuis le quai de la station Hotel de Ville en direction de Chatelet. On comptait alors deux hommes, deux femmes, trois enfants et deux bébés. En 2002, ces neuf personnes sont retrouvées, un peu perdues, dans les montagnes du Tibet. On compte à présent un homme, deux femmes, trois enfants et trois bébés.
Old par igor le 07 Mai 2003

L’édition originale du présent sité a été tirée à cent soixante-neuf exemplaires, à savoir : deux exemplaires sur papier Whatman, spécialement imprimés pour les frères Tourgueniev, neuf exemplaires sur papier de Chine, dont sept exemplaires numérotés de I à VIII et deux exemplaires hors commerce marqués A et B, vingt-trois exemplaires sur vélin de Hollande, dont vingt exemplaires numérotés de VIII à XXVII et trois exemplaires hors commerce marqués C à E ; et cent trente-six exemplaires sur vélin pur fil des papeteries Lafuma Navarre, dont cent numérotés de 1 à 100 et trente six exemplaires hors commerce numérotés de 101 à 136.

Name-dropping inutile pour buzz :
Thx to NOBODY

Le S.D.H diffuse de (vrais) plans capiteux (open bar/events VIP) à
PAR.I.S mais aussi des liens d’infos concernant l’art contemporain
(vernissages, expositions), le net art (sites), les sites de design,
« musiques électroniques » et jeux vidéos. Il regroupe actuellement
près de 600 personnes dont des inconnus ivres (Pierre Chanson, OFV)
mais aussi des journalistes de Nova (Antoine Blin, Bénédicte),
Technikart (PH. Nassif , Xavier Faltot, Pascal Bories, Olivier
Stupp, Laurence Rémilia) Sofa (Franck Annesse), Parissi.com (Rapahel
Wizenberg) NightSystem (Xax), A Nous Paris (Raphaël Wizenberg), Epok
(Antoine Besse)Modzik (Franck Chevalier) + FHM, Nouvel Obs, Zurban,
A nous Paris, des artistes (JL Costes, Chloé Delaume, Antoine
Moreau, Amande In, Thomas Scotto, Xavier Cahen, Eric Landan,
Caroline Hazard, Sabine Jamme, Yvette Neliaz, Aurore Victoire,
Hondo, Clément Thomas, Loz on the Net, Bobig et d’autres encore…),
une rédactrice en chef (Aliette Guibert pour CriticalSecret), des
agences de pub (Véronèse, Eurorscg, art-entreprise.com), des
galeries, associations et organisations (Rachlin Lemarié Beaubourg,
Site Odéon°5, Console, Mixbeat, Biennale de Paris, CNAP, Ars Longa,
Deux Pièces Cuisine, Gaité Lyrique, Antidollar) mais aussi des
personnages (Victor Ward, Igor Tourgueniev, Patrick Bateman, Jude
l’Obscur). Cette mailing liste accueillera exactement 888 abonnés. A
partir de ce nombre « précieux » (gollum symptôme), chaque nouvel
abonné éjectera un ancien syndicaliste (n’ayant pas participé) via
une « Roolet Russe », machine on-line créee par Timothée Rolin.

Link/
sdh.fr.fm
——————————————–
presse/
thme.free.fr/scans/zurban3.jpg
thme.free.fr/scans/anp.jpg
thme.free.fr/scans/nouvelobs2.jpg

Old par igor le 12 Fév 2003

« Avec un peu de fond de teint, je vous assure madame,

vous aurez l’air toute pimpante »

Il se sentait comme un Kermit enfermé dans un Kinder surprise, le lapin rose aux doigts coincés dans la porte

Old par Rodia le 22 Juil 2003

Old par D.b le 28 Mai 2003

Inspiration mOlle / Passez un agréable WeEk-eNd

Old par Gu. le 06 Juin 2003

www.spokevousparle.com

Old par Gu. le 15 Avr 2003

Un meurtre par jour est signe de bonne santé mentale.
06 61 63 58 84

Les pages d’un héros (extraits)

Il y a donc le héros : créature inconnue, burlesque et tragique.
(Quoique je n’ai pu explorer que le second registre.)
Il y a le rapporteur : celui qui espionne faits gestes et pensées du
héros. Homme au niveau juste du réel : vivant.
Et l’autre, le scribe, l’homme du bureau dont je suis peut-etre le plus proche.
Il écrit.Une voix extérieure me coupe à l’instant :
 » Vos complexités ne sont-t-elles pas exagérées ? »
Dois-je répondre à toutes les objections ?
Nous sommes inquiets.
Et d’ailleurs qui etes-vous ?
Les critiques.
Les hommes au niveau juste de la raison. Nous nous marrons, c’est tout.

Ce soir fin de l’expo "troisième niveau".

Old par igor le 27 Sep 2003

Minuit pile

Old par igor le 18 Nov 2003

Igor m’a tuer…

bang bang

Igor, je vais te tirer une balle dans la tête
pour ce que tu m’as fait en Sibérie.

méfions nous quand même

Old par -- Zan le 09 Déc 2003

malade …
mal_a_deux …

eT_te_Vy …
Ka_bAaL_aN
pHOn_eTHiQue_mENt …

couleur

lotus, ctgr - sunbarking me tender

le vent wooooo0 des steppes shhhhhhhH

slow walk, loudshouters

Don’t let my pagan habits
rule your crazy sunshine truck
easy mistery tour online busses
are also going to Illinoy…
Take first on the left
every one or two times a day
then, forget me if you can…

Ne laisse pas mes habitudes païennes
diriger ton camion soleil brillant fou
les lignes de bus « mystère facile »
vont aussi en Illinois…
Prend la première à gauche
environ une ou deux fois par jour
ensuite, oublie moi si tu peux…

Pourquoi ces infinies contradictions,
que vous m’imposez
et que vous vous imposez ?

Ne vous ai-je point ravi le cœur,
parmi ces monstrueux criminels ?

Ne suis-je pas sur cette planète
pour trouver la femme idéale,
au-delà de toute corruption, au-delà de toute lubricité ?

Pourquoi ne pas accepter,
humblement, cette révélation ?

Tous les jours je vous croise et tous les jours un peu plus, je souffre.

PS : si c’est juste un problème d’argent, dites-le moi, je suis riche et prêt à faire un effort substantiel.

Je crois bien que c’est Sartre qui signait « Lui »…
Je ne suis pas Simone de Beauvoir, seulement Gu.

Old par Gu. le 24 Avr 2003

I.G.O.R.
je ne suis pas un avatar
je suis vrai
j’existe
je vais le prouver
et sur tes intestins
fumants
j’écrirai mon nom
G.R.I.S.H.K.A.

A1-Je cherche une scie à métaux pour mon vélo…

A2-Tu veux scier ton vélo?

A1-Pfff! L’antivol a rouillé pendant l’hiver. Là c’est l’été…

A2-Ah d’accord! Ben j’en ai pas…

A1-Ben demandes autour de toi steuplais!

A2-OK, sinon je peux te préter mon vélo…

(…)
Ici la scène est coupée parce que trop violente. L’acteur 1 insulte l’acteur 2 avant de le rouer de coups…

Old par Gu. le 09 Mai 2003


Pour ce que tu m’as fait
Je vais te tuer Igor

Inspiration littéraire

Pour écrire, je m’appuie sur trois choses :

mes nombreuses lectures,

sur mes voyages,

et sur ma propre réflexion.

« Il était une fois une jeune femme qui marchait sur la rive d’un lac suisse et qui se faisait désintégrer par un rayon laser. »


Old par igor le 17 Fév 2003

« Car c’est toujours un rien, mais niaisement sentimental,
anti-hygiénique. »
Proust

Old par DrT le 15 Avr 2003

juste avant minuit
un message pour tous
d’espoir et de paix.
ça parait un peu niais
mais pour une fois
que je ne parle pas
de petits enfants
découpés au scalpel
dans ma cave…
faut bien varier les
plaisirs, non ?

Old par igor le 15 Mar 2003

What is the flavour?
Red is the flavour today

Old par igor le 24 Déc 2003

La hype, c’est tellement chiant que ça ferait crever un arbre.

Old par Nothing le 30 Avr 2003

le récitant : I don’t wanna be like everybody else, that’s why I’m a mod, see?

Old par igor le 01 Avr 2003

La citation confère l’existence sur le support…

Old par Gu. le 20 Mai 2003

Depuis le début de ce siècle
Nous avons vu l’apparition
Du moteur Ford à explosion
Puis de l’avion à réaction

Mais de toutes les inventions
C’est sans doute la bombe à neutrons
Qui nous laissa le plus baba
Au cours du célèbre Hiroshima
Mais 1990 devrais nous laisser tous pantois
Devrait nous laisser tous gagas

Il y a les missiles patriotes
Dirigés par ordinateur
Sony Fuji et Macintosh
Se culbutent dans les airs le rush
La guerre technologique fait rage
C’est un super méga carnage
Attention voilà les avions
Qui tirent
C’est l’heure de l’émission
En 1990
C’est l’heure de la médiatisation
En 1990
C’est l’ère de la conscientisation

Fini les temps maudits du sport
Du jogging et de la cigarette
La preuve en est nos beaux soldats
Américains qui sont là-bas
Bronzés à la vitamine d
Nourris aux fibres équilibrées
Les mort qui seront faits là-bas
Seront en bonne santé je crois

Old par M. Fox le 23 Mar 2003

lu ce matin dans la presse spécialisée:

« connasses diplomées
cherchent bites d’amarage
pour ancrer divers bateaux… »

c’est toi chéri ?

va savoir …

« là ici »