A l’extrémitude de la solitaire, elle brassait des vagues en remuant le vide…
Troplein d’humains… frénésie de corps… douleur au bas-ventre…
I lOve jimpUnk
Bien que le tribunal l’ait lui-même souligné, c’est toujours avec un grand plaisir que je constate les avancées et investigations du « vandalisme urbain » dans la sphère de l’art légitime, les salons, les galeries, les musées…
Pourtant et heureusement, cela n’enlève rien à l’essence de l’acte de peindre au/le dehors : « graffiti must be a crime… » La « démocratisation » et la reconnaissance plastique du graffiing ne peuvent oter le caractère criminel au fondement de cet art. Un art basé sur le vol… vol de materiel d’abord (bombes qui servent à peindre), vol de l’espace investi ensuite (le mur, la porte, le train…). Et c’est précisément pour cela que l’acquisition pour la pratique du graffiti d’une légitimité, d’une quote, et parfois aujourd’hui d’une protection (les pochoirs de Miss Tic à Paris échappent à l’effacement des murs vandalisés appliqué par les autorités publiques) est une prouesse et un régal (enfin ça me fait jubiler… à chacun ses kiffs!). Le mouvement hip hop a ouvert des brèches monumentales, entre le dehors et le dedans, le privé et le public, et entre la voix du peuple et celle du pouvoir astraignant : peindre des murs aboutit à un décloisonnement entre des univers d’ordinaire séparés, à l’investissement de zones interdites, et à une réapropiation des moyens et des lieux de la communication publique légitime… Yeahhhhhhhh! A VOIR ! : Les arts graphiques de la rue sont très respectés à Barcelone, voire protégés. C’est assez avant-gardiste comme mentalité et à la fois conservateur : alors qu’en France, on commence à faire rentrer la rue et ses arts dans les musées, à Barcelone, c’est déjà l’idée de musée qui investit la rue, avec ses problématiques de conservation et de patrimoine. |
Jo la déprim’ on l’appelait… Partout où il entrait on faisait silence… On dit même que les feuilles mortes s’écartaient sur son passage… Son chat l’avait rejetté il y a quelques années de ça déjà… Il marchait tout nu été comme hiver car sa penderie aussi l’avait fuit… Sa main et son sexe se haïssaient cordialement, aussi s’était-il résigné à ne plus se masturber.
Aujourd’hui, un banal bic ne s’est pas refusé à lui alors il a écrit…
Aujourd’hui, Jo communique avec lui-même et son parchemin de conscience n’a pas voulu se tirer en courant…
Aujourd’hui, la vie traverse le corps de Jo, Jo le Spleen, entre au bistrot du coin, la musique sifflote, c’est la première fois qu’il l’entend… Il voit les gens, pas immobiles, non bien au contraire ils s’affairent…
Jo comprend qu’il ne devra jamais plus dormir…
Pin Up électronique
intrOsautOsOâ/#1
être minuscule
plipitizencOr (…)
« pOst » ?
which One ?
iS there One ?
W. Dir ?
MuSe ?
Thing ?
It might / shOuld / wOn’t be all (…)
IN THE CIRCONSTANCES
FORMAL DRESS IS TO BE
OPTIONNAL
(…)
Ces temps derniers, j’ai beaucoup rêvé,
enfin disons que je me suis bien souvenu de mes rêves.
Et ben tu vois Rodia, moi non plus, je n’aime pas rêver.
il est incencé de perdurer ainsi
(…)
je le dis
(…)
je veux le faire
(…)
j’en suis capable
(…)
alors action !!!
On entend un beat… pow-pow,
putain c’est génial,
alors t’as la solution fatale?
on a du temps pour le faire…
ok, j’accèpte et puis on fait un deal
c’est dur d’écrire sur un portable, non?
En fait le problème avec abjection infame
ça joue presque contre ton camps…
tu vois ton texte il est déjà vraiment méchant
et là on est trente ans plus tard quoi
Regardes le truc,
moi j’adore par contre l’idée de la lettre,
et en te justifiant à aucun moment!
Faut que j’aille à la Samaritaine récupérer des CD’s
c’est sur mes mails et je peux pas les lire d’ici
pourquoi pas l’inverse
de la virtualité guerrière quoi!
ou la probabilité expansive, qui se donne…
c’est stylistique! Nique la pédagogie!
ça fait comme les mômes, le désir, que ça dans la bouche,
et pareil, pas besoin d’adjectif puisque tu vas le flinguer.
Obsolette…
le parti pris capitaliste
et pas de majuscule à situationniste
Mald Aurore aime les pieds de Rodia,
C’est du bon coco,
Grumpfff!!!
s’épuisant dans des formes d’action synonymes à stériles
La virtualité et l’alliénation,
on comprend pas c’est la même chose,
il fait gravement chaud
et la virtualité sera réticulaire!
Qu’en pensez vous?
Deux jumelles amésiques
Une allure de sorcières
D’anciennes photos dans un sac
A la recherche de leur passé
Elles arpentent les rues de Saint-Ouen
Avec Régularité
On les nomme
Celles qui marchent
J’ai la douce impression
Que tout le monde prend pour soi (…)
Cyber-people-world ego-concentration
mOi-mOi-mOi-mOi-mOi-mOi-mOi-mOi-mOi-mOi-mOi-mOi-mOi-mOi
Game Over Mister’player
Play again as a blOgger
Mes poivrons grillés à l’huile d’olive…
Sourire aux têtes connues dans le quartier…
Retrouver un polaroïd à soi affiché dans un bistrot…
La langue, l’oralité, la bouche, le palais…
Les feuilles pourpres et safrans à l’automne venu…
La coriandre, l’aneth, le poivre vert et le basilic…
Tomber dans les bras de Morphée en pensant à un inconnu…
-Allo?
-Oui c’est Gu.
-Bien dormi?
-Très bof…
-Tu fais quoi là?
-Je me lamente sur tout ce que j’ai à faire et ça me prend vachement de temps…
-Ah…
-Et toi?
-Pareil…
-Bon on raccroche alors…
-OK!
Ne plus jamais m’adresser la parole.
On verra demain.
Je crains le pire.
Je serai très-très désagréable.
Je leurs dirai à tous mon emmerdement.
Parasites, disparaissez !!!
COMPRIS ???
Saint-Ouen
Une boucherie en devanture
Un oeil à l’interieur
A première vue des tapis
Derrière des poulets à la broche
Puis un étalage de viande à côté du stand d’encens
Un mécanicien répare un moteur
Drôle de hangar!
intrOsautOsOâ/#2
s’OctrOyer un large espace, trOp, dessiner un univers, vaste, y (p)Oser sa planète (…)
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
(…)
Symptômes réels ou simple hystérie féminine?
Soif la nuit…
Gros seins…
Pipi tout le temps…
Maux d’estomac…
Bouffées de chaleur…
Mini-Gu.?…
DRAGON N°3
MAGYAR À POINTES
Considéré comme le plus
dangereux de tous les dragons,
le Magyar à pointes a des écailles
noires et ressemble à un gros lézard.
Il a des yeux jaunes, des cornes
couleur bronze et des épines de la même
teinte qui hérissent sa longue queue.
Le Magyar dispose d’un souffle puissant
qui lui permet de projeter des flammes
à une distance plus longue que n’importe
quel autre dragon (jusqu’à quinze mètres).
Ses œufs ont l’apparence du ciment et
leur coquille est particulièrement robuste;
au moment de l’éclosion, les jeunes la
brisent à grands coups de leur queue
dont les épines sont déjà bien
développées dès la naissance.
Le Magyar à pointes se nourrit
de chèvres, de moutons et, chaque
fois qu’il en a l’occasion, d’humains.
(…)
tétard
tOnight
dracula 73
rires
fOOt (? ; ?)
1664
j’embrasse pas
bavarOis
pansements
pastèque
pOlux
cÔne
pluie
papOtte
(…)
Le goût du tabac après le dentifrice…
Le grain de sa peau, son odeur et ses mains…
Etre au volant et faire du ruban !
La rue des Rosiers à Saint-Ouen…
Les rayons du soleil sur mon visage…
Le téléphone sonne… c’était pour dire rien !
La fatigue m’envahie
Je ne sais plus bien…
Je t’aimerai toujours
Comme un ange qui pleure
Dans l’aquarium tactile
Les vieux allemands
J’aime bien manger des marrons chauds
Le vieux Général De Gaulle
C’est bien trop précieux
Personne ne peux le rattraper
I love you
Tout ça je le saurais toujours en lisant
Que ça sera comme ça la réalité
Je voudrais passer ma vie avec toi
Certaines chansons restent et le Wampas…