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la solution de l’espace courbe apaise notre frayeur devant l’infini comme notre répugnance à concevoir le néant
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Aujourd’hui le virus hello frappe fort et paralyse la planète.Leslie, after her first anguish was over, found it possible to go on with life after all, as most of us do, no matter what our particular form of torment has been. It is even possible that she enjoyed moments of it, when she was one of the gay circle in the little house of dreams. But if Anne ever hoped that she was forgetting Owen Ford she would have been undeceived by the furtive hunger in Leslie’s eyes whenever his name was mentioned. Pitiful to that hunger, Anne always contrived to tell Captain Jim or Gilbert bits of news from Owen’s letters when Leslie was with them. The girl’s flush and pallor at such moments spoke all too eloquently of the emotion that filled her being. But she never spoke of him to Anne, or mentioned that night on the sand-bar. ***ALL IMAGES © COPYRIGHT BEN FROST 2001***
Et bang !je roule sur le sol fiction (une absence)trois heures, terrasse des Montagnards au soleil, Ménilmontant, Zan, puis Julie, thé à la menthe puis pastis, puis pastis, puis pastis puis on bouge, Julie veut manger alors Lucioles mais non alors on roule jusqu’à Parmentier et le Plein-soleil. là salade, olives, pain et pastis (ad lib). Sophie puis Nicolas nous rejoignent puis pastis (etc…). je choppe un double-cheese (deux euros). on bouge au Zorba sans Sophie et là pastis (doubles) et bières puis le patron tombe amoureux de Zan donc vodka et prune (ad lib). départ de Julie et Nicolas puis discute avec deux filles qui s’aiment qui nous invitent à un apéro où on ne va pas, arrive pascal, pastis (encore doubles), arrive Chloé, retour des filles qui s’aiment, on danse sur les NTM puis plus beaucoup de conscience alors pastis et le bar ferme puis un autre bar en face du Gibus avec Julien (Maureen Duraille) et un pote inconnu et pastis puis on marche dans la rue de nouveau seul avec Zan qui veut boire un coup parce que ça suffit pas sans doute, je dis non puis taxi. chez moi, des pâtes cuisent puis vidéo (Bloodsport avec Vandamme) puis coma. réveil toujours chez moi, la tête en vrac, je termine les pâtes et Bloodsport, téléphone à Stéphanie puis douche, Doliprane (ad lib) puis la rue et le métro, se retrouver devant h&m les halles, boire un thé-coca et marcher un peu, tête en vrac, aller voir des fringues gothiques et puis cinéma et Gael et Katerine et Kiki et Jiji et les yeux embués puis discute aux toilettes sur Porco Rosso et Kiki avec des goths. puis c’est le RER, Stéphanie rentre à Massy, moi de nouveau seul, le métro, la maison, le chat et se faire à manger (petits pois steak) en matant fear factor spécial jumeaux, puis il est tard, écrire ce texte, retour au présent. Croque monsieur
souffler n’est pas jouerrendez vous sur le champ des lucioles Ils ne comprenaient pas pourquoi les notres voulaient les repousser dans l’abime après tant d’années passées ensemble J’ai pris le chemin le plus long pour rentrer de chez toi Le chemin magique qu’empruntent les fées Je voulais marcher un peu, écouter un peu de guitare l’air est mou et la chaleur palpable demain XXXXXL is dead
Yo pronto me voy a escaparJe brûle mes dernières cartouches. JOUR DE MAITu me vois là : vétéran de mille guerres psychiques, A court d’énergie – mon armure est brisée – épuisé toute mes munitions, Cible sans défense – endeuillé par la perte des miens – blessures sont mes chaires C’est tout ce que j’incorpore, Douleur est mon sang… Pourtant, t’ai-je bien entendu crier victoire ? Spock à Entreprise ?Entre 1958 et 1972, Vladimir Chauviré livrera quatre romans à Milo Tourgueniev. Tous montrent une identique précision dans le regard quasi-chirurgical, à la fois proche et détaché, porté sur ses personnages, des gens simples, des antihéros, anti-fascistes et anti-sceptiques, pouvant le rapprocher de Dieu et de son confrère le docteur Tchekov. Minuit presquepar mail : Désignez quelques nouveaux tourguenistes Igor réponse : Désignez et et et et et. ping-pong : D e e e e e Depuis toutes les sphèresLa chaussée mouillée derrière l’envers de paupières L’adoubement d’un nouveau tourgueniste n’est jamais un événement anodin. Cependant, vous l’aurez noté, nous n’y prêtons en général que peu d’attention. Et ce, même en période de disette événementielle. Cette semaine, avez-vous entendu parler de notre tout nouveau tourgueniste sur France Info, bah non, que dalle. Cette canaille d’Olivier Bost nous a largement abreuvé de considérations passionnantes sur la foudroyante défaite de Laurent Fabius (quelle idée de s’opposer au YES), mais rien du tout sur la brûlante actualité tourgueniste. Pourtant disais-je ce n’est pas un événement anodin, oh que non. Il faut savoir une chose : les nouveaux tourguenistes ne pleuvent pas comme des Chinois en sucre, si vous me permettez l’emploi de cette très ancienne expression populaire. En d’autres termes, ils sont rares. On les trie sur le volet, ils sont le fruit d’une sélection draconienne. Attention visite exclusive dans les coulisses de tourgueniev.com. Lorsqu’un individu est invité à s’extraire de sa confondante banalité pour renaître au monde sous les traits molletonnés d’un tourgueniste, c’est parce que cette proposition a été longuement et scrupuleusement méditée retournée lavée et repassée, parfois depuis deux ou trois ans. Et avant de connaître l’émerveillement candide du premier post, il est lui-même confronté au Doute. Et quel terrible Doute ! (admirez le point d’exclamation typiquement germano-nietzschéen). Seul face à lui-même, le postulant est appelé à abandonner ses oripeaux, à retrouver son humilité et sa simplicité primale. Vient alors le temps des épreuves. Fusionner avec le cœur organique de tourgueniev.com, épouser son métabolisme, dompter sa secrète technologie, et surtout : assumer le clic improbable, passer à l’acte. Nombreux sont ceux qui dans un naïf empressement se sont crus à la hauteur de leur ambition, pour finalement rester comme pétrifiés au seuil de blogger.com, transis de terreur face à la porte étroite. On citera par exemple cet illustre écrivain, prophète de la cyberculture, qui au terme d’une quête désespérée s’avéra incapable d’achever son initiation. Affligé par l’échec, fou d’impuissance et rongé par la frustration, il fit naufrage loin des rivages exotiques du tourguenisme, paix à son âme. Bien d’autres encore ont connu pareil sort. Mais d’autres osent l’impossible et nous rejoignent vers l’inconnu. Rendons leur l’hommage qu’ils méritent. le champion du concours de gobeur d‘oeufs durs Au restaurant ce soir, [message perso : que je t’aime]Quand ta bouche se fait douce Anyway, l’argent a raison de tout Un peu comme le chante brassens:c’est bientot le 22 septembre Au théatre ce soirLe calepin d’Ivan Tourgueniev nous révèle à la date du 26 juin 1849, « La première fois avec P. dans les coulisses du théatre à Auxerre ». Il s’agissait bien sûr de Pauline Viardot presque six ans après leur première rencontre. saisonnier
intrOsautOsOâ/#1être minuscule Il tentait tant bien que mal à détruire cet eros qui le tourmentait. Commencer selon des méthodes traditionnelles : être puant, désagréable, hautain… Blasé de ce sadisme inefficace, taoiste dans l’âme, il décida d’employer une méthode plus radicale et pragmatique. S’emparant d’une carapace de métal argenté, il s’exposa à nouveau aux dards perfides qui le mirent aussitôt en morceaux eux-mêmes éparpillés en confettis de piècettes atomiques. Passer à l’attaque ? Prenant tour à tour un arc puis des flêches – oeil pour oeil, bouche à bouche – il n’en fut que plus désappointé surtout quand il vit que ses traits affectaient nullement cet éros. Il prit un .357 magnum afin de lui vider un bon gros chargeur dans le caisson ou encore un 1945 Panzerfaust 250 hecht 10.5… rien n’y fit. L’éros s’accrochait à lui et il ne parvenait toujours pas à s’en débarasser. Il faut dire que la tâche était complexe et ambitieuse. Alors il décida de passer aux grands moyens. Ca se devait être cyclopéen et iridescent, en bref, être putridement à la démesure de l’homme. Langue : le Bulgare. Si on juge de la légalité d’un Mur à la Cour Internationale de Justice de La Haye, "Une Orange rOulant sur le sOl d’un parking…"« A la frontière de l’Azur/ VINCENT RAVALEC Crèche tourgueniste
semaine de la capture d’écran – cette crèche est libre LA PEAU DU VENTRE BIEN TENDUEAssis autour d’une table sous les spots qui dégageaient une chaleur bien Minuit Pile : RévélationEn exclusivité pour tourgueniev.com, voici un document historique inédit.
La fin des haricots
computer christmas trEE
frEE trEE… MEGA LOWLongtemps je me suis pris pour le Christ. Mais devant l’indifférence générale du genre humain, Friday – Let’s dance !
Derive sans fin Je vais explorer Je veux te rapporter Pour que tu sois fier de moi Pour que tu m’aimes Ce sera doux Rêve pour l’hiver
L’hiver nous irons dans un petit wagon rose Tu fermeras l’oeil, pour ne point voir, par la glace, Puis tu te sentiras la joue égratignée… Et tu me diras: « Cherche! » en inclinant la tête, – Pourquoi sembles-tu si maussade, grand-mère ? |











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