toute le journée sur la route,
j’aperçois ma petite colline
et ma petite maison blanche,
mon coeur chante le bonheur de revoir la mer
et de te serrer dans mes bras,
peut etre.
toute le journée sur la route,
j’aperçois ma petite colline
et ma petite maison blanche,
mon coeur chante le bonheur de revoir la mer
et de te serrer dans mes bras,
peut etre.
Approche du héros
Fréquemment, le héros décide de vadrouiller dans Paris
pour laisser son regard circuler ; il a remarqué que depuis quelques
semaines, il observe avec obstination certaines facades d immeubles en cours de rénovation. Est-ce que cela veut dire quelque chose ? Souvent son attention privilégie aussi des détails insignifiants qui ne produiraient pas de
très jolies images. Il apprend ces agencements de choses banales,
sans les classer :
femme lisant dans un parc, pigeons en groupes sur grilles d aération, fils électriques emmelés, minuscule tete d enfant émergeant à la
surface d une haie, miroir brisé posé contre la porte d un magasin de jouets,
poignet en spirale d’une porte vitrée, numéros écrits à la craie
sur l asphalte, balai agité par un corps sans sexe apparent, homme allumant une cigarette sous une échelle, graffiti de cinq minuscules soldats sur un mur blanc, enseigne d un hotel dont il manque quatre lettres etc.
Il se dit que s il ordonnait cela, il comprendrait quelque chose ; certes le monde
resterait une énigme, mais il pourrait relier ces visions à son imaginaire.
Le risque ? Constat que ces regards de choses banales fassent de lui un etre banal ?
Et alors ? Et bien ainsi, il le saurait, et pour de bon.
(Doit-on lui laisser encore le désir de croire au caché, à l invisible,
au symbole, à toutes ces sornettes qui ne font que retarder la sentence qui suit ?
Si peu à voir, si peu à vivre, si peu à penser, si peu à attendre.)
Self-défense n°1
Quand on veut offrir une résistance à des forces hostiles, on fait quoi?
On présente son dos, et on s’arc-boute de toutes ses forces
On fonce la tête première, sans réflechir?
On sourit, on séduit, et vlan dans les dents?
Ou alors on se cache un moment, mais ce serait dommage.
On engage son double négatif,
Extrêmement méchant, cela va sans dire
Ou alors on se fait passer pour son double négatif
Et sous couvert de…
On fait ce qu’on veut
Trouble double
…
DRAGON N°8
SUEDOIS A MUSEAU COURT
Le suédois à museau court est
un beau dragon couleur bleu argenté
dont la peau est très recherchée pour
la fabrication de boucliers et de gants de protection.
Les flammes qui jaillissent de ses narines
sont d’un bleu éclatant et peuvent, en quelques secondes,
réduire à l’état de cendres le bois ou les os les plus solides.
Le suédois à museau court tue moins souvent
d’humains que la plupart des autres dragons,
ce en quoi il n’a guère de mérite car
les régions montagneuses dans lesquelles il vit
sont trop sauvages pour être habitées.
(…)
Leica
C’est une automobile fort cylindre sur les extérieurs
Le personnage principal de l’action
Plusieurs billets en poche
Son ventre frôle le volant
Faible allure de l’automobile et du personnage
Principal : c’est lui qui se détermine comme tel
Et répétitif : soirée en tous points fidèle
Malgré l’allure générale des filles
Qui change, c’est le personnage principal qui parle
Seul dans son fort cylindre de marque allemande
C’est un aspect essentiel qu’il se répète
Qu’il se répète que la nationalité allemande captive les filles
Que leur allure générale demeure secondaire, c’est à dire,
Du détail à l’ensemble :
Les différentes nylons qui les habillent
Et le taux de malaise et d’hypnose qu’elles recèlent
En présence : taux extrême.
C’est pour cette raison qu’il roule par répétition sur les extérieurs
En éclairant les filles avec ses phares
Une lampe torche en secours
Une lampe torche en secours pour éclairer les filles
Lorsque l’automobile fort cylindre passe à leur hauteur.
Détailler sommairement, ralentir, puis lampe torche
Un temps, le temps de : pas ce soir, désolé
Il ne sait pas s’il est plus ou moins
Plutôt moins de façon générale
Désolé qu’elle
Désolé qu’elle reste et que l’automobile passe en gommant les détails aussi vite.
Le personnage principal des cylindres avoue
Une préférence pour les détails observés chez les filles
Observées sur les extérieurs quand il y roule de nuit
Roues et pneus larges.
Baisser la vitre de son automobile de marque allemande
Et parcourir des détails en espérant
Baisser la vitre, baisser la vitre maintenant,
Baisser son slip et imprimer les détails
En espérant qu’ils s’impriment assez profondément pour tenir une semaine.
Semaine de 1 à 7 jours
Ce n’est pas indifférent
A la différence des filles
Indifférence : à l’automobile, sa nationalité d’origine et son propriétaire
Automobile allemande
Filles de l’Est
Que le personnage principal détaille
A la lumière et par ordre de préférence inverse :
Des phares de l’automobile
De la lampe torche
De l’éclairage public lorsque les filles s’avancent
De l’hypnose sexuelle consécutive.
Ventre au volant le propriétaire constate
Que depuis quelques temps son ventre gène sa conduite
Et qu’il est plus que possible
Que l’hypnose accentue le détail
Et non l’inverse.
On constate que l’action atteint un grade supérieur
Secondaire dirait le personnage principal
A hauteur de la porte d’Asnières
On devine
Que l’action cesse d’être répétitive et en tous points fidèle
C’est la fille la première
Le conducteur se le répète pour ne pas repartir
Les mains pleines et les couilles vides
Qui approchent
La première approche et les autres reculent
A la première approche il s’agit,
En fonction des positions respectives, de :
Zoomer sa cible, allumer la lampe torche,
Se choisir un prénom pour la nuit se terminant
Par un A ou un I.
Dégrafer sa ceinture
De sécurité passer en conditionnel.
Paris est une ville à solide rotation
Où l’action n’est plus répétitive à l’instant
Où les automobiles s’arrêtent pour rentrer
Dans le vif du détail
En présence : accents indistincts
Et indistinction de couleur naturelle sous perruque
Prénom pour la nuit : kelly
[ Kelly n’est qu’un leurre mais le propriétaire de l’automobile ne le sait pas encore ]
Il y a un moment de flottement correspondant
A l’espace compris entre l’automobile à l’arrêt et Kelly.
Baisser la vitre, baisser la vitre maintenant
L’action est quasiment réelle sous une perruque brune
Où plus exactement :
De fabrication sombre
Qui s’encadre dans la fenêtre droite de l’automobile
De sorte que le personnage principal de l’action
Perd le sens du détail au moment
Où Kelly dévisage celui du personnage principal, à savoir :
Son visage à travers le téléobjectif de l’appareil
Et ça n’est pas un détail
Que Kelly utilise un appareil photo d’Ex-Allemagne de l’Est
Que Kelly soit une pute ou un leurre
Qu’une pute photographe de nuit tire le portrait au conducteur de l’auto
Flash pleine face
Pour ensuite le coller en milliers d’exemplaires
Sur les murs de la ville
Qui travaille.
le récitant : et dansent les caniches…
é » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »erdhny <--- chat sur le clavier
mon pied, le droit, en rouge, rappel, maladroit, de tes rouges, si parfaits, petits pieds, bandés, adorés.
ses yeus brûlent
imagine le soleil levant
elle les pose sur moi maintenant mais
mais tout autour tout se bouscule
(…)
Dominique A.
» Il se faisait passer pour une bombe sexuelle
alors qu’il n’était qu’un vieux pétard mouillé.
Le bouquet final du feu d’artifice tant espéré
ne pouvait avoir lieu, faute de munitions. »
perdu clone (suite)
je ne l’ai toujours pas retrouvé
Et en fait je pense qu’il s’agit plutôt d’une fugue.
En effet son comportement était étrange depuis quelque temps
il accomplissait les basses besognes (comme porter les trucs lourds,
faire les courses etc…) avec de plus en plus de difficulté et maugréait
carrément quand je l’envoyais se faire engueuler à ma place par mon
banquier ou mon patron.
j’ai surtout peur à l’idée qu’il se fasse passer pour moi dans l’intention
de me nuire
Une petite maison
où résonne la plus belle des voix,
des fleurs poussent entre les rondins,
les odeurs d’herbe disputent aux embruns
l’honneur de caresser ta narine délicate,
tes mains si fines parcourent l’écheveau
et tissent sans fin
mon amour, ma reconnaissance et mon respect
je t’aime toute entière
et parfois mon coeur pleure
de voir un ange entre mes mains grossières
et chaque jour se reproduit
ce miracle paien
tu me souris et tu m’embrasses
Quarta-feira, Abril 9
Turgueniev, esse Herói
É o Tourgueniev ce Héros, um blog coletivo engraçadinho, em francês.
Muitas fotos e imagens legais, pra quem não lê na língua do Chirac.
Enviado por Láudano, In Opio Veritas et Circenses às 15:12
La nouvelle vient juste de tomber, et elle va en choquer plus d’un !
Quand Igor boit de la vodka, ses yeux se mettent à clignoter !
(notamment le droit, en plus !)
Des scientifiques du monde entier se seraient penchés sur la question,
mais tous auraient renoncé faute d’explication rationnelle !
Ils auraient déclaré à la presse : »Franchement, on n’y comprend rien ! »
c’est pour dire…
Rendons à Shakspeare ce qui lui appartient
ACTE Premier, Scène Première
En Ecosse, un lieu découvert, tonnerre et éclairs
(…)
Les trois sorcières entrent
Première sorcière : « Quand nous réunirons-nous toutes les trois (…) ?
On revient toujours ici pour dire sa chose, la cracher, lit-on ;
Bizarrement, l’écran de mon ordinateur supporte
encore la salive, c’est sa sève.
Je crois qu’elle a quitté
la petite maison blanche
qui abritait nos amours
Elle a pris le chemin
qui contourne notre colline
pour retrouver son clan
J’attendrai le Printemps
pour aller la trouver
Que se calme la colère
et que verdissent les prés
Je n’ai jamais su
ce que pensait cet homme.
Il avait les yeux comme
tournés vers l’intérieur
de lui même…
communiqué de charleston parva:
une personne mal intentionné(e) utilise mon login pour poster des images de lapin sur des blogs
ce n’est pas moi
Un ami m’a dit : Je souffre de ne pas connaitre la finitude des choses
Alors je lui ai envoyé de l’amour
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Les images hallucinatoires se prolongent bien au-delà de mes espérances les plus folles. Mes dosages semblent propices aux plus étranges voyages et associations d’idées. Je hante les longs couloirs grisâtres de La Maison dans cet état de déficience presque rassurant.
|
Eric Emmanuel et sa soeur sont des génies
mais Charlotte n’écrit pas de pièces de théatre,
rien que des contes pour enfants
Il y a un papillon chez moi que je n’arrive pas à déloger
Il vole partout, il papillonne quoi…
Ce qui m’embête c’est que s’il pouvait parler
Il trahirait tous mes secrets les plus honteux
Je suis un peu mal à l’aise maintenant
Un peu intimidée
Est-ce que c’est ça l’oppression?
Venant de toi, « ami » est un mot de cinq lettres
tu ne sais simplement pas nommer l’amour
je crois que pourtant tu sais ce que c’est
mais ta gorge s’assèche dès qu’il faut en parler
c’est malheureux mais c’est comme ça,
je me suis fait une raison
je n’oublie pas que tu ne m’oublies pas
c’est déjà ça
et d’après toi tu fais quoi ?
zobbi / ma compagne ne pose pas en N&B je ne la possède pas en pellicule d’ailleurs elle est toujours en couleurs elle n’est ni de jeunesse ni de campagne… d’ailleurs moi non plus d’ailleurs je ne sais même pas comment on fait pour poster autre chose que des textes sur CE HEROS, alors…
Il n’était pas Intertextuel, contrairement à ce qu’on aurait pu croire, ses seules relations sexuelles suivies étaient celles qu’il entretenait avec sa Télévision.
Beauté
Je voudrais dire deux ou trois choses sur la beauté.
Premier essai : la beauté comme énigme.
La beauté n’exige rien, et m’offre des pistes
que je dois traduire — pour être avec elle.
Si j’essaye de la posséder, elle se rétracte,
puis disparaît. Ma position de spectateur est la seule attitude
possible : prudemment distancié.
En elle, s’irise une image. Ne rentre pas dans la beauté, ne
te contemple pas en elle, sinon elle te crèvera les
yeux. La beauté est une chose du dehors. Est-ce l’émotion
qui la signale ? Oui, mais la beauté a quelque chose à voir
aussi avec la pensée mais je ne sais pas trop quoi. Quand Rimbaud
décide de lui tordre le coup, la beauté est devenue sa rivale.
Ne te bats pas contre elle, n’essaye pas de l’assagir, ou de la faire
mentir. Comme si la beauté était une création !
La beauté : dimension inconnue. En elle parle la raison
qui s’affolle, les larmes d’un enfant. Elle naît dans l’intervalle
mince, quand la vie matérielle se met à rêver.
Chacun a sa propre expérience de la beauté.
Quant à moi, je l’ai souvent trouvée au milieu des
grandes villes étrangères, sur un visage
mélancolique d’une femme qui allait nulle part.
J’ai besoin de tes mains
Pour blottir ma bouche
Là, elle ne dit plus de conneries
J’ai besoin de tes mains
A pleins d’autres endroits
Qui ne connaissent que toi
J’ai besoin de tes mains
Pour proteger mon corp
Des tentations et des sorts
J’ai besoin de tes mains
pose les sur mes épaules
C’est mon cou que tu frôles
J’ai besoin de tes mains
Pour blottir mes mains
J’ai besoin de tes mains
Pour cacher ces trésors
Jusqu’a demain matin
Cornu
Dans un café de la gare de Lyon, à mes pieds, un moineau
très loin du ciel, sautille sur le revêtement caoutchouteux et bullé.
Et parmi la nuée
De Charons ailés
Tourbillonne,
Plane
Mon Augure
Qui décrit
Je ne sais quel destin…
mercredi 27
02h…. dOdO
05h15 dring-dring
07h02 gare de lyOn
07h17 tchOu-tchOu
08h36 mOntargis
09h28 café
hard (…) labOur
16h30 pause tOurgu’
16h32 reprise
17h54 tchOu-tchOu
19h18 paris
20h01 hOme
22h06 blah-blah
jeudi 28
01h30 dOdO
05h30 dring-dring
07h11 gare de lyOn
07h17 tchOu-tchOu
08h36 mOntargis
09h12 café
hard (…) labOur
14h06 pause 544×378
14h09 reprise
17h05 blOgger, épuisement
(…)
Dans le cadre de l’émission » La Zone » diffusée sur la télé nous préparons actuellement un reportage sur le thème de l’amour intertextuel en vacances.
Pour préparer ce reportage nous sommes à la recherche de témoignages de jeunes célibataires et de couples qui vont profiter des vacances pour faire des rencontres ou se retrouver.
Contactez Julia ou Catherine au 01 55 38 94 32/01 55 38 94 33 ou par e-mail : docu@tetramedia.fr
Je peux, sans rien sacrifier de ma vie ni de ma lucidité, décider de ne pas voir le réel
[dont je reconnais par ailleurs l’existence].
Aveuglement volontaire
[comme Oedipe je me crève les yeux]
qui trouve des applications plus ordinaires dans l’usage immodéré de l’alcool et de la drogue.
Je l’ai encore dans la tête
Je n’ai plus de libido
Je suis à moitié dépressif et tout à fait torturé
Je passe mon temps à bosser et à boire
Es-tu prête à supporter un tel supplice ?
Lundi, 15h, réveil.
Absence, angoisse.
Broutilles, bordel.
Constats, café, cul-entre-deux-chaises, clopes, culpabilité.
Déprime débile datant de décembre.
Elle est éteinte.
Fatiguante, fatiguée, fric facile, financièrement finie.
Grande gueule.
H, hébétée, hommes harassants.
Idiote idoine invisible.
Jeune.
Kawa.
Laminée, liquéfiée, lui.
Mal maquée, mal menée, mal embouchée. Mensonges.
Nicotine.
Outlaw occupée.
Perdue ?
Quinteux.
Ruinée, raturée, revêche, rogue.
S a t u r é e
Troublée, tendue.
Ubique…
Versatiles vacances
Ways
Yin, yang, yatoopartoo
Zut.
NON A L’HIVER
Le roi des rêves
est venu me visiter
cette nuit,
tu étais là,
sur la dernière terrasse du jardin des princes,
nous regardions la mer
et notre flotte emporter les éléphants vers le Nord,
tu semblais préoccupé
alors j’allais partir
lorsque de ta bouche ont jailli
ces quelques mots
qui d’habitude te brûlent la langue et les lèvres
reste cette nuit, s’il te plait, j’ai besoin de toi
salut félix j.
je sais pas si tu te rappelles de moi, parce qu’à vrai dire la seule fois où je t’ai vu t’étais foutument beurré… Mais j’avais envie de t’écrire, ou de te rencontrer pour de vrai, c’est sans doute ça la vérité. Donc voilà. Est-ce que tu te souviens? Chez Juliette, en août, j’étais avec xxx…
Par pitié souviens-toi…
julia-lo qui t’embrasse
« Comment as-tu pu, mon Dieu,
Dans ma détresse, dans ma crainte et mon découragement, te détourner entièrement de moi ?
Hélas ! ne connais-tu plus ton enfant?
Hélas ! n’entends-tu pas la plainte
De ceux qui te sont
Attachés avec fidélité ?
Tu étais mes délices
Et tu m’es devenu cruel;
Je te cherche en tous lieux,
Je t’appelle, je te réclame à grands cris
Mais je n’entends que ma propre plainte et ma lamentation !
Il semble que tout cela te soit indifférent. »
Jean-Sebastien Bach – Cantate BWV 21 (Récitatif T – Violon I/II, Viole, Basson et Orgue et Continuo)
LeS rATs et Les pIGEonS La mEMe niCHe ecHO_loGE_hiCCCK ???
PuTAin, j’AvAis meME paS reMARqUE que Le me_trOP etaIT bliNDE dE pigeoNS a pLUme .
il dit :
tu sais, moi en photo, c’est surtout de la pellicule gachée
elle dit :
tu sais, je suis photographe, j’arriverai surement à quelque chose, pas vrai ?
lui :
…
Mort amoureuse, passage du coit au cercueil,
vieillissement prématuré de ton sein droit que
j’aime encore, échange de salive et d’instants
momifiés dans ma mémoire, existences.
PLUSIEURS VIES VECUES ENTRE DEUX PHRASES !
« Grande prudence indispensable. Grande délicatesse, humilité, dignité feront réussir dans les petites choses. »
nous sommes tous des intermittents (de la société) du spectacle![]() nous, intermittents, sommes fermement décidés à perturber toute activité culturelle (festival, concert, blogs, etc.) tant que les accords signés le 26 juin dernier par les syndicats gredins et le MEDEF n’auront pas été renégociés. |
TOURGUENIEV EN GREVE ! |