Cronenberg should like it

pas d’internet (ou presque)
pas d’e-mail
only that

Old par igor le 31 Août 2003

Page improbable du journal du héros
(Hiver 2003)
Ce soir, désir de retrouver les points sensibles
d’une journée réussie .
Matinée triste, j’écris à J.P.R. lui fait part de mon ambition
d’enseignant en art, structure plus solide que celle ou j’officie maintenant.
J’évoque aussi l’écriture, prise entre « acte et reverie. »
(Il me semble qu’elle conservera toujours cette double instance.) Déjeuner.
Rendez-vous avec M. qui souhaite me montrer son travail photographique.
En avance de deux heures, j’en profite, pour la troisième fois, pour aller
à l’exposition Roland Barthes, à Beaubourg.
Trop de fétiches, de jolis bibelots.
A une table d’écoute, des textes favoris du critique sont audibles
via un casque, autour de cette table ronde, où en face, une jeune
femme se plaint et trouve que la voix du lecteur qui lit un passage
du Temps Perdu est affreuse. Je la trouve — elle — adorable.
Conversations autour des images de M. Images trop factuelles,
factices à mon gout. Je l’encourage cependant.
Deux heures de paroles, et de corps séparés.
M. avoue sa crainte de la normalité.
Je ne l’aime pas, elle ne m’invite pas à la désirer, je suis à l’aise.
Fatigues, interruption, entre « acte et reverie. »
Lectures : livre 5 des confessions, ainsi que les affinités électives.
Je suis à l’aise.

Je suis si loin de nulle part, mais pas lui, seulement moi…

Old par Gu. le 24 Avr 2003

La grosse araignée qui veille sur mes reves

s’est enfuie lors de mon ménage annuel

100$ à celui qui la retrouvera en bonne santé

Old par M. Fox le 05 Juin 2003

et on remercie les restaurants M– D-N—‘s pour cette formidable intoxication alimentaire

à vous Cognac-Jay, à vous les studios !

Old par M. Fox le 23 Avr 2003


Old par igor le 17 Fév 2003

Minuit pile

je suis libre.

Old par igor le 09 Oct 2003


Old par M. Fox le 23 Mai 2003

Old par igor le 24 Nov 2003

L’amOur

c’est

dOnner

ce

que

l’On

a

pas

à

un

autre

qui

n’en

veut

pas

(…)

J.Lacan

Old par Gu. le 19 Août 2003

Je vais te la faire pleurer ta putain de rivière gars.

Jusqu’à la dernière goutte.

Old par Amok le 21 Juil 2003

je me fais peur jamais contente je deviens exubérante au berceau déjà mon corps avait besoin de moi j’étais persuadée que c’était de ma faute je vais culpabiliser je me sens de plus en plus moi-même je m’arrange pour ne jamais vivre de conflits plaire est mon hobby favori ça avait un côté interdit qui m’excitait je mise sur [ … ] un parfum de liberté j’ouvre les yeux je n’oserais jamais le faire en vrai quand je vais mal je tombe tout le temps amoureuse j’en fais trop mais il m’avait payé le resto

FUCK OFF

Old par felix le 11 Mai 2003

Après-midi.
Suites.
Recyclés
Quand j’étudiais à Arles,
Jacques Serena (écrivain de l’écurie Minuit,)
m’a dit qu’il copiait sans vergogne des phrases entières
d’autres livres, avec la fierté absurde d’une femme qui
se vanterait de tromper son mari.
(Quoi que Louis-René des Forêts l’aie fait aussi, mais ce ne sont
que des citations involontaires.)
Après-coup.
Ce qu’il a retenu d’une lecture &agrave la surface de Nietzsche,
hier soir, entre 00h05 et 1h07 :
(Mots qu’il lui envie beaucoup :)
« Les amis de la vie. »
« Les êtres manqués. »
« Développe toutes tes facultés — cela signifie
développe l’anarchie ! Péris. »

Portrait.
Se comporte dans les livres comme dans la vie :
en espion, il attend son heure.
Programme.
Reprise d’un texte.
RDV avec A. (au soleil, malgrè le vent frais.)
Tri des images récemment faites.
Gênes :
Les soi disants cultivés
Les médiocres complaisants.
Lecture.
Valeria Piazza :
« Le journal est ainsi par essence le lieu dans
lequel l’appropriation de soi se rend chaque fois
potentielle et pourtant impossible. »

Mail
F.Y J. (écrivain exil&eacute à N.Y) :
 » Bon courage aussi pour vos cours de photo et vos différentes
activités liées à cela. C’est toujours difficile, en effet,
et cela a représenté l’une de mes principales épreuves,
de délaisser ou mettre entre parenth&egraveses la
vie quotidienne, professionnelle, pour écrire, lorsque l’impératif
survient. Il y faut bien de la persévérance.
Mon livre en cours avance cahin-caha, mais sa masse de brouillons me
contraint à ne pas renoncer. Je cite souvent cette phrase de Pavel
Filonov, que je vous ai peut-être déjà recopiée :
« Lorsqu’on éprouve de la difficulté à faire quelque chose,
il faut continuer : c’est en trouvant la solution qu’on fait vraiment qq chose de nouveau. »

Gü, auteur de « mandale » poésie contemporaine,
on en est friand.

Sous un ciel rouge sang

Lorsqu’il a enfin compris

que tout cela était prémédité

il a essayé de s’enfuir

les proies sont comme ça

Old par M. Fox le 02 Sep 2003

Elle me pourchassera, indéfiniment, jusqu’à la fin de ma vie. Pulsion destructrice d’une pureté cristalline. Virus de dernière génération – en cela elle réunit en un même corps toutes les caractéristiques des virus précédents, tout en les surpassant allègrement. Incarnation parfaite, froide, lisse, sans faille, et souriante de surcroît. Aucune technologie, si avancée soit-elle, n’y pourra rien changer. « Lui » peut crever – ou simplement la renier, l’humilier une fois de plus ; ça n’y changera rien non plus (d’ailleurs, existe-t-il réellement ? peut-on être transparent à ce point ?).

« Suit un soupir, un léger haussement d’épaules, un autre soupir. Et au-dessus d’une des portes, masquées par des tentures de velours rouge, il y a un panneau, et sur ce panneau, en lettres assorties à la couleur des tentures, est écrit : SANS ISSUE. »


une perle de sang
entre deux carreaux
vaut bien un diamant
et des beaux rideaux


Old par -- Zan le 13 Mai 2003

Old par igor le 16 Jan 2003



Ici, je me trouve bien, à l’aise, et je peux patienter et me dire que bientôt je te trouverai mon petit Igor, là je ramperai hors de mon trou visqueux et je me loverai autour de ta gorge boudinée de pseudo artiste ivre. Mes mains sur ton cou et ma lame déchiquetant tes entrailles fumantes de petit maquereau de banlieue.

Du bord, il faut, pêcher loin, une canne longue (3 m à 3,50 m), capable de lancer 50 à 80 g, s’impose donc. Le moulinet, à tambour fixe est mi-lourd à lourd. En bateau, vous allez pêcher près du banc, inutile de lancer loin, privilégiez l’aspect sportif de la pêche à l’aspect rentable. Une canne plus courte (2,80 à 3,20 m) suffit. Vous n’êtes pas là pour capturer des kilos et des kilos de maquereaux dont vous ne saurez que faire mais pour vous faire plaisir!

il y a des garçons à montréal qui te font haïr les chansons d’amour.

c’est toi chéri ?


va savoir …

Tu ne mérites que mon indifférence.

Et estime-toi déjà heureux de l’avoir…

Old par Amok le 22 Juil 2003

Je n’arrive pas à dormir.

Old par Rodia le 03 Avr 2003

Il avait été violé, son corps était en sang, il avait reçu des coups, et ses poignets portaient des marques de liens. Ses paupières avaient été collées pour garder ses yeux fermés. Il présentait également des égratignures et des coupures sur le visage.

Old par M. Fox le 22 Juil 2003

le récitant : je ne posterai jamais à 17h20.

Old par igor le 18 Avr 2003

du haut de cette colline où abondent les bruyères,
on aperçevait le fleuve gris
et les reflets du soleil couchant sur celui-ci
jouaient dans nos ombres et nos esprits

Old par M. Fox le 01 Mai 2003

couleur

lotus, ctgr - waiting for the snow

Histoire d’une heure facile

Le temps c’est toi,

Tu te déplaces en lui

comme un nuage dans le ciel.

tchik tchik !

Old par igor le 19 Mar 2003

Ces imprimés ont comme point commun d’avoir tous les deux beaucoup voyagé

Old par D.b le 21 Juin 2003

Key words of the day : Cultural studies. Cross-over. Polymorphous experimentation. Dancing with my self. X-press your self. Surfer. Monade urbaine. Citoyen terminal. Stelarc. Iconographie gestuelle, alphabet visuel. Travail à domicile. Prothèses. Interface. Folklore digital. Sampler, copier-coller, annuler la frappe (undo).Ogoun Ferail. Digital spirit. Professional human being.

Old par igor le 16 Juil 2003

Envie de parler
Sans rien avoir à dire
Envie de rien dire
Très envie de parler
Rien envie d’écrire
Très envie de le dire
Merci de votre attention.

Old par Gu. le 04 Juin 2003

le récitant : je veux encore un peu de miel.

Old par igor le 23 Juin 2003

Grande promo chez Tourgueniev.com

Old par Rodia le 11 Avr 2003




D'abord je suis allée rejoindre Cindy et la bande à une party



C'était une soirée Open Bar au Coca, génial !



Les copines et moi, on était un peu fatigué, alors on est allé faire une sieste toutes les 3




Là, j'ose pas trop te dire ce qui s'est passé...



Voilà chéri j't'ai tout dit... ben quoi ? T'es pas jaloux ???

Old par Gu. le 13 Juin 2003

A bas la tyrranie des petits pOis!

(…)

Old par Gu. le 08 Oct 2003

allez, quoi, tourguéniste, te prend pas la tête, viens jouer au baloon, quoi...

Sweet Mary

She’s always smiling

On her golden bed

Lying under ghosts and calls

You can’t always sleep mary

sweet mary

sweet mary

She always turns off

If you call her name

Back to a wasted ocean

You can’t always sleep mary

sweet mary

sweet mary

They’re waiting for you

They’re waiting for you

Ghosts are waiting for you

Sweet mary

Sweet mary

Noir Désir / Veuillez rendre l’âme (à qui elle appartient)

Manifeste :

Trop de mauvaise poésie tue la mauvaise poésie.

J’ai eu un peu peur de ma douche ce matin…

CELA NE CESSERA DONC JAMAIS ?

vroOm vroOm fantOmas

Old par Gu. le 26 Nov 2003

le récitant : "c’est ce qu’elles disent toutes"

Je regarde la pluie tomber... again. Rememberance of a rainy day.

Old par Gu. le 21 Mai 2003

shazam !

Brandon DiCarpaccio : Etre belge et chauve ne garantit pas une érection de longue durée.

Old par igor le 09 Avr 2003

l’un contre l’autre
dans ce jeu
d’échec(s),

toujours

Old par M. Fox le 23 Mar 2003

récit de quelques heures difficiles :

de nombreuses créatures étranges

de petits espoirs ballottés par le vent

ma main toute contre ta cuisse

mes yeux sur tes lèvres

une situation à précipices

et des précipitations

en fin de journée.

Old par igor le 31 Mai 2003

le retour de Viviane Vog ?

« Le matin était sale et nos rêves s’y sont brisés.

Il ne reste plus rien des armées de la nuit… »

« Mademoiselle, grâce à notre technologie avancée, vous pouvez admirer sous tous les angles les resultats de votre future opération.

Adieu ridules, points noirs et cheveux gras… »

Ambi-Gü.

Old par Gu. le 19 Juin 2003

« Je pense qu’à la vue de ma patiente approche, elle va bien finir par s’apercevoir que je lui tourne autour …
– Soit, mais il y a des moments où il faut exprimer clairement les choses …
– Tu crois ?
– Evidemment, sinon tu vas arriver à rien. En plus les femmes adorent qu’on leur dise qu’on les désire …
– Ah ?
– Benh oui ! Qu’est-ce tu crois ?
– Ah.
– Mais enfin pourquoi tu ne lui dis rien ? T’as peur ou quoi ?
– Bien sûr, j’ai peur ! J’ai pas envie de me faire jeter ! J’aurais trop les boules après !
– T’as pas les boules, en ce moment ?
– Certes.

Le narrateur se replongea dans son abîme de perplexité que définitivement, pensa-t-il, il n’aurait jamais du quitter. Par la suite, plusieurs personnes lui reprochèrent de vivre dans ses fantasmes. A ces personnes, il répondit intérieurement que ses fantasmes ne lui faisaient pas de reproche.»


retour à la campagne
il fait froid, tu es loin
ceci explique
sans doute cela
mais ta voix
m’a donné un peu
de braise et de
combustible tout à l’heure

Old par igor le 21 Déc 2003

Regarde mes yeux … j’en ai au moins deux .

— Quel était l’origine de toute cela ?
— Qu’entendez-vous par cela ?
— La lutte, je ne sais pas, votre présence ici.
— Problématique.
—C’est pourquoi je vous demande de m’expliquer.

be light or be the light !


Perdu clone
Lundi soir
entre l’avenue des gobelins et la place d’Italie
Il me ressemble en tous points
et répond au nom de Zan (enfin normalement)

il est aprivoisé et ne mord pas
si vous le retrouvez appelez-moi au 06 10 61 85 10
FORTE RÉCOMPENSE


Old par -- Zan le 30 Avr 2003

Avoir le don de converser dans les airs…
Lorsque l’esprit s’envole
Comme une bestiole
Il peut le faire

Merci, Trondheim, ce héros

Old par Gu. le 09 Avr 2003

il y a une multitude d’étoiles dans le ciel
certaines sont si loin qu’on ne les voit pas
certaines sont proches, elle brillent fort
on aimerait bien les attraper parfois
mais elles sont trop éloignées pour faire attention à nous.
elles n’en ont même pas conscience
et puis il y en a une qui est vraiment près
incroyablement éblouissante
on l’appelle Soleil
même en fermant les yeux on perçoit sa lumière et sa chaleur
même la nuit elle est là, refletée par la lune
impossible de s’en débarrasser
on tourne autour en une belle éllipse
et ne s’en rapproche que pour s’en éloigner
et on a beau tendre les bras,
on voudrait brûler et se dissoudre dans le brasier
sécher définitivement
elle reste inaccessible
poursuivant sa trajectoire,
insensible.

le soleil est-il sourd ?

En vrac

Le retour sur soi : restituer dans
le langage arrêté la vitesse de
la vie.
Idiotie.
Faire des phrases, comme des cabrioles et
se préserver du jugement
que des abrutis sont toujours prêts à dire.
So what ?
Mots courts, traits courts ; examen médical d’un nombril,
cavit&eacute sans profondeur.
Souhaitez-vous faire vaciller le sens ?
Remplissez-moi ce nombril d’images,
gavez -le jusqu’&agrave la satiété.
Oui oui oui
Ce que je fais me renseigne parfois sur qui je suis.
Projets
Rester fidèle au principe selon
lequel l’origine de la phrase est inconnue,
sa destination folle (cachée) —
et sa danse, forcément érotique.
B.L.V.
« Je n’ai jamais été mis en vie. »
Nerfs.
Il s’était mis à détester
les images ancrées dans le quotidien,
les récits nains et peu glorieux de la
vie immédiate ; croyant peut-être
bêtement que la transformation n’est pas
un vain mot, qu’il est toujours possible
de décoller de la misère
(sexuelle, alimentaire, littéraire)
et que rendre compte sans projet
de son impuissance face à la vie,
est une agonie qu’il ne peut plus supporter.
Paris.
A quatre heure du matin, traversant le 17 ème,
croisant des putes fatiguées, il ne faisait
pas très froid, je vous (r)assure.
Bob Dylan.
« I don’t know how much longer I can wait. »
Finale.
to be continued dans l’étonnement sans fatigue
couleur rouge vagues sensations de mobilité
capricio ça fait partie du jeu du seul avec ou sans suivre
la première route vers l’indéfini
soleil se fait rare quand j’ai un besoin urgent de lumière
pour développer mes images.

« L’homme est un animal, il est né comme ça. Il est pourri dès la naissance. C’est un animal condamné et très subtil à la fois. C’est un vice de naissance. Qu’est ce que l’histoire ? La démonstration de l’inhumanité de l’homme. Quelque chose d’impur, de méprisable. Je crois que c’est sans remède. »

Old par Rodia le 03 Avr 2003


le récitant : pour essayer de mieux comprendre mes amies, je m’abonne ?

Old par igor le 10 Mar 2003

Quelque chose à ajouter ?
Quelque chose à ajouter ?

Je voudrais être un ours blanc, dans le froid polaire.

Les ours blancs ne doivent jamais pleurer.

Delivered-To: fredinand_arthur
Date: Mon, 27 Jan 2003 17:17:39 +0100
Subject: direction couloir
X-Sensitivity: 5
From: « @libertysurf.fr » <@libertysurf.fr>
To: ferdinand_arthur
X-XaM3-API-Version: 3.2 (B33 pl6)
X-type: 0
X-SenderIP: XXXXXXXXXXXX

T’es vraiment un gros malade! C’est vrai qu’il devient nécessaire de redémontrer la qualité de
tes compétences en tant que webmaster, mais n’en deviens pas autiste pour autant : NON, je ne
ferai pad de mal à ton portable de merde ( éviter de se salir les doigts avec XXX).

Au plaisir de te revoir très prochainement, Ducon.

XX ;

Old par igor le 27 Jan 2003

Le ciel dans une chambre

Quand tu es près de moi,

Cette chambre n’a plus de parois,

Mais des arbres oui, des arbres infinis,

Et quand tu es tellement près de moi,

C’est comme si ce plafond-là,

Il n’existait plus,

je vois le ciel penché sur nous…

qui restons ainsi,

Abandonnés tout comme si,

Il n’y avait plus rien,

non plus rien d’autre au monde,

J’entends l’harmonica…

mais on dirait un orgue,

Qui chante pour toi et pour moi,

Là-haut dans le ciel infini,

Et pour toi, et pour moi

(…)

CBruni

Old par Gu. le 14 Nov 2003

géraldine

nina

caroline

nathalie

ninon

sandie

cécile

edwige

julie

marine

corine

justine

joséphine

crystelle

sophie

michèle

florence

célia

anne

clothilde

inès

léa

catherine

muriel

catalina

sandra

éloïse

myriam

estelle

rachel

véronique

virginie

bénédicte

fleur

sofia

agathe

juliette

annabelle

france

mélanie

agnès

béatrice

mathilde

isabelle

judith

albane

gwladis

yasmine

valérie

christine

chloé

charlotte

armelle et clarisse

vivianne

émilie

céline

carine

flora

odile

gaëlle

claire

alice

noémie

laurence

sandy

laurie-anne

marie-laure

clara

aude

barbara

barbara

nathalie

marie

nina

astrid

bérangère

manon

stéphanie

margaux

Old par felix le 08 Juil 2003

JE VEUX JOUER AVEC TOI !

Old par igor le 08 Nov 2003

l’esprit c’est comme un parachute, utile seulement quand il est ouvert.

Tous les débuts ne sont pas prometteurs
heureusement.

Santé – Sécurité

J’me suis fait retirer les yeux

J’veux pas me voir devenir vieux

J’me suis fait retirer les poumons

Je fumais plus de toutes façons

J’me suis fait retirer le sang

Toutes les saloperies qu’y a là-dedans

J’me suis fait retirer le sourire

A cause des autres que ça attire

Tiens j’me ferais bien retirer les autres

Tout c’qui fait mal ça vient des autres

J’me suis fait retirer les mains

Comme ça j’touche plus à mon destin

J’me suis fait retirer les crocs

J’mange tout mixé dilué dans l’eau

J’me suis fait retirer les pieds

Y’a tellement de risques d’être estropié

J’veux pas mourir

J’fais des efforts

J’veux pas mourir

J’suis déjà mort

J’me suis fait enlever le sexe

C’est pas propre et c’est trop complexe

J’me suis fait enlever le corps

J’peux pas mourir j’suis déjà mort

J’me suis fait retirer le courage

Le cœur l’envie l’espoir la rage

Ca sert à rien et c’est dangereux

C’est comme d’essayer d’être heureux

Essayer d’être heureux

J’vais me faire retirer le monde

Puisqu’y a partout la guerre qui gronde

J’vais me faire enlever le ciel

C’est bien trop grand j’ai même pas d’ailes

Y en a qui s’font rajouter des morceaux

Du gras de fesses des seins plus gros

Moi j’aurais tendance à me réduire

Ca c’est tendance ça c’est l’avenir

J’veux pas mourir

J’fais des efforts

J’veux pas mourir

J’suis déjà mort

C’est l’avenir

L’avenir J’peux plus mouir

J’suis déjà mort

Santé – Sécurité (Daran / Pécheur de pierres)

< d i s k o r d e n b l e u e t j a u n e >
Old par -- Zan le 23 Avr 2003

Varsovie – Novembre 1945
Igor est depuis trois mois orphelin
Igor ne possède pas de toit
Igor se moque de la mort
Igor se moque de la douleur
Igor songe aux feux qui brûlent dehors
Igor est fier de sa dernière opération
Igor ne…
Igor Tourgueniev ne se rappelle pas de ses parents
dehors les spectres agonisent

Old par igor le 10 Juil 2003

son char fendait les cieux
comme
celui d’un dieu en colère,

blessé et fier

qui n’avoue pas
qu’il reve de paix
et de réconfort

Old par M. Fox le 10 Fév 2003

insomnie, c’est assez nouveau pour moi.
lire en somnolant, clips en boucle sur la tévé
insomnie, même pas la force d’essayer de dormir
rallumer l’ordinateur, câliner le chat
insomnie, enfin, pour me lever tôt demain
crevé mais heureux de te retrouver
se faire un petit voyage tout les deux
enfin, en amoureux.

Old par igor le 23 Juil 2003


L’horizon est mince

jaune bleu
plus rénovation
slash destruction
maison en

bois

Jamais été aussi dingue d’un mec

Envie de rire

Envie de pleurer

Le diable est laché

à quoi bon tomber amoureuse ?

Old par M. Fox le 08 Sep 2003


« Il fait trooop chaaaaud pour travailler »

le récitant : Aux confins de l’espace guette le wub.

Old par igor le 19 Mai 2003

Avertissement

Le désir d’écriture est plus fort que celui d’être lu.

Un indice : quelque part dans une clinique abandonnée... Avez-vous vu l'homme au sac ?

Le Fou prend la Tour en C4

Je dirais n’importe quoi pour placer mon roucoulement de pigeon dans un texte

au dessus des toits, les prés


Old par -- Zan le 03 Juil 2003

je suis au salon

Old par igor le 18 Oct 2003

How does it feel ?
(To be a complete unknown ?)

Like a rolling stone

sous ses paupières il y a des ombres écarlates
qui dansent
un grand brasier
vieux, déjà
et il n’est pas question de mots
Alors elle s’en fout du monde
C’est facile pour elle
De le laisser où il est

Elle rêve à des crimes incandescents
Et se lèche les lèvres

Old par -- Zan le 17 Avr 2003

Dans les hauteurs.
Clémentine partie mystérieusement de Paris, m’appelle
des Alpilles, et me raconte qu’elle dort chaque nuit
dans un monastère différent, loge gratis
& dîne gratis à condition de faire la vaisselle.
Un aumonier lui a dit ça :« Cette saloperie de prochain !
On l’aime bien quand-même ! »

Finalement Clémentine m’avoue n’être pas contemplative,
et dimanche, elle descendra à Marseille pour retrouver la ville.

Bon voila c’est dit.

Old par -- Zan le 08 Sep 2003

Google translator
Il a lieu d’une soirée de 1993, vous est nouveau Yorkais. Attache, qui le besoin de A vous est souvent dans le trainez latéral abaissent ces derniers les quarts de vie de la personne, et du bordélique n’a pas pris, quelque chose qui vous gêne loin dans ceux des insectes des spiercings de suggestion au-dessus du glande et des soirées poétiques dans le finery pour que les barres distribuent. La nuit tombe d’une telle manière, et vous entrez dedans dans un petit snack/Bar, qui est fourni trop largement pour lui dans un de ces petites routes aux arbres. La barre est de petits six sept conseils et soberly, à peine steinmauer, afin de se référer autour de l’endroit un chouiea cordial. Ils commandent une bière, vous ont examiné qu’un jeune artiste viendra, afin de chanter 

« là ici »