
L’univers
est factice
Il tourne sur lui-meme
pour avoir l’impression d’exister
Il est faux,
lache et envieux
Je le déteste
« I Think »
I Think blood are really a huge problem
I Think birds are too much on my mind
I Think angels have got a lot to do with why the world sucks
But what can you do?
Like a fucking rain, beating down on me
Like a Pierre Bourdieu line, which won’t let go of my brain
Like Nicolaï’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor
I Think children are gonna drive us all crazy
And killers make me feel like a child
I Think cows will eventually be the downfall of civilization
But what can you do? I said what can you do?
Like a fucking rain, beating down on me
Like a Pierre Bourdieu line, which won’t let go of my brain
Like Nicolaï’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Like a fucking rain, beating down on me
Like Nicolaï’s smile, cruel and cold
Like Pierre Bourdieu’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Au désir de renouer avec la toile, vacance : forme ?
petits jets de petites choses. Pour préserver comme
dirait l’autre, pas pour construire.
Impératif fatras, mélange,
c’est tout ce que je peux faire, et vaille que vaille.
Oui, parfois qualité douteuse. Gommage interdit.
POUM POUM TCHAK CHTZING POUAM KA POUM
POUM POUM TCHAK CHTZING POUAM KA POUM
POUM POUM TCHAK CHTZING POUAM KA POUM
POUM POUM TCHAK CHTZING POUAM KA POUM
pas d’internet (ou presque)
pas d’e-mail
only that
Je l’ai encore dans la tête
Je n’ai plus de libido
Je suis à moitié dépressif et tout à fait torturé
Je passe mon temps à bosser et à boire
Es-tu prête à supporter un tel supplice ?
Je ne suis qu’un animal
passe ton chemin,
retourne dans le monde des hommes,
oublie-moi
et pars sans te retourner
ne me regarde pas pleurer
– On s’est déjà vu, non ?
– Ah bon… euh non je crois pas…
– Mais si…
– Euh…
– Ben si, c’était il y a un quart d’heure environ. Sur le dancefloor, en dansant. On s’est regardé mais on s’est pas parlé.
– Ah oui… hi hi, c’est vrai… [petit rire espiègle, regard mutin]
– Hum… tu… euh… tu veux boire quelque chose ?
– Euh non merci, pas pour l’instant… j’vais retrouver mes amis… à plus tard peut-être ?
– Euh ouais c’est ça, à plus tard peut-être.
[game over]
[insert a coin to play again]
J’entends le son de milliers de fleurs qui s’ouvrent
aux frontières de mon champ de conscience
c’est merveilleux

J’ai croisé Bouddah ce matin, dans une arrière cour du 13ème.
Il puait l’alcool rance et le parfum de poule. Il m’a dit : « la contemplation, bullshit » et puis « Le Nirvana, j’en suis revenu ».
Il m’a dit : « l’ascèse c’est du flan ».
Il penchait déjà beaucoup pour une heure aussi matinale, je pense qu’il a du s’assoupir peu après. Et puis il avait cette chanson serrée entre ses dents : « c’est moi le coco, le roi des cocos… »
Je me suis demandé où il avait passé la nuit…..
#28
Ne faire son portrait qu’à partir de ce que les autres ont dit
(récemment) de lui : faussement humble, minet, play-boy, impatient, petit,
tourmenté, ambitieux, cynique, coureur, superficiel, satisfait, à l’aise etc.
Et s’ils avaient raison ?
Bigre ! Ce sont les yeux et les mots des autres qui me font ? Salauds ! Cela ne se passera pas comme ainsi ! ».
hier soir
je marchais
au bord du canal
…
j’ai vu un chat flotteur
noyé dans l’eau sombre
j’ai vu un clochard gelé
attendre la fin
j’ai vu la brume opaque
se refermer derrière moi
Le verdict de l’expert en chef
a enfin été rendu public :
il s’agit là de DRAGOLO
(savant mix de Dragibus, Floppy, Fraisibus et Ours d’Or)
Dire ce qu’on fait et faire ce qu’on dit. Nous n’avons rien à cacher. Nous agissons en tant que responsables, nous respectons les hommes et l’environnement.
Il ne faudrait lire que lorsqu’on a soif, puis pisser,
(écrire) mais plus tard, quand on ne peut plus se retenir.
Shout again :
I I shall offer you
Rainy pearls
Comings of country
Where it is not raining
I shall dig the earth(ground)
Up to later my death
To cover your body
Of gold and light
I shall make a domain
Where the love will be a king
Where the love will be law
Where you will be a queen
Do not leave me
Do not leave me
Do not leave me
Do not leave me
Raconter une histoire, ça peut commencer par un « il était une fois » ou par un truc plus anodin genre « il marchait déjà depuis une heure dans ce putain de désert jaune ». Forcement, ça n’implique pas les mêmes choses pour la suite. Dans le premier cas on attend un truc du genre « dans un pays très lointain », dans le deuxième cas plus un truc genre « et les fils de putes qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour attendre ». Raconter une histoire, c’est tout un tas de décisions plus ou moins importantes pour la suite, sur les mots à choisir, sur les personnages, les lieux, les actions, l’existence même de personnages, de lieux et d’actions, la pertinence de la notion temporelle et la force de l’entropie sur l’idée originelle. Raconter une histoire tendre, c’est aller contre la paranoïa, les griffures de la vie, les cicatrices et toujours rechercher cette petite ligne si douce qui glisse partant de la hanche vers le pubis. Raconter une histoire, c’est faire acte de foi, de contrition, se blottir contre une idée, la choyer. Raconter une histoire, ça peut se faire en se regardant dans les yeux, doucement. Raconter une histoire, ça peut ne pas réussir, ça peut ne mener à rien, ça peut être un échec. Raconter une histoire…
la scène se passe dans une laverie.
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bob (homme), bobette (femme), oneko(1) (chat).
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le chat (dans une machine) : maaaaouw !
bob : et pourtant il tourne.
le chat : maaaaaouw !
bob : ça donne le vertige.
bobette (modes zé travaux) : hum…
le chat : glouglou.
bob : je crois qu’il est propre.
bobette : hum…
le chat : …
bob : ah, non, il est juste mort…
bobette : petit con.
bob : soit sympa, il est mort.
bobette : je parlais de toi.
bob : c’est ce que je disais.
le chat : …
(1) Le nom a été modifié.
La musique comme seule sensation
J’écoute de la musique :
quand je travaille,
quand je prends le métro,
quand je cours,
quand je suis seul chez moi,
quand je lis,
quand je m’endors.
Bientôt, j’écouterai de la musique :
quand je serai au téléphone,
quand ils me parleront,
quand je disparaîtrai.
J’ai de nouveau rencontré mon tourment.
Le diable avait repris la même apparence : une (trop) jeune fille brune les cheveux courts, aux grands yeux noirs, au joli visage sur le quel flotte un sourire inexplicable. Il, elle, passait dans la rue sur le même trottoir que moi alors que j’attendais un rendez-vous.
Je ne l’ai pas reconnue tout de suite : un malaise naissant en moi, je l’ai vue passer médusé ; ma libido hormonale tentait désespéramment d’expliquer à mon esprit neuronal, particulièrement obtus pour ces choses là, que je l’avais déjà vue, regardée, dévorée des yeux longuement, lors d’un concert une semaine plutôt.
J’ai bien sûr immédiatement regretté de ne pas lui courir après, lui demander son nom, lui fixer un rendez-vous, de la séduire, d’aller vivre à San Francisco, de fonder une famille, de marier notre fille à la Conciergerie, de mourir dans ses bras.
Le Diable, peut-il me tenter juste suffisamment pour que ma timidité et mon inaction me soient insupportables ?
Le diable peut-il me tourmenter à ce point ? Qu’ai-je fait ?
You are Neo, from « The Matrix. » You display a perfect fusion of heroism and compassion.
Je me disais bien : moi, Agent Smith, plutôt me dédoubler …
De toute façon :
J’aurai voulu être TRINITYYYYYY !
Pour pouvoir embrasser NEOOO !
Poum, poum !
mais dis moi…
°
°
vA savoiR ?
je m’interdis d’écrire des textes comme ça
—————————————–
mon amour vient de partir et je tente de bosser :
ça marche pas mal, finalement, même si je poste,
le soleil m’abreuve par reflet sur l’hôtel des impôts
et c’est mieux que rien. légère faiblesse physique,
aucune envie de traverser Paris, d’aller à Neuilly,
même si je devrais. dans le parking une grosse
voiture argentée, un chef indien me fixe depuis
le siège arrière, j’évite son regard. sur la moquette
oneko somnole sur les vieux mégots de la poubelle
renversée. la bouteille de Blackjack est presque
terminée et Bjork me chante « venus as a boy ».
—————————————–
je m’interdis d’écrire des textes comme ça
Monsieur K. :
Les infâmes Tourguenistes . On en est quand même à 118 plaintes pour
diffamation, attentat à la pudeur, provocation aux violences
raciales, apologie des drogues, dénigrement de marque, appel au
regroupement armé, chants séditieux, outrage au drapeau, occupation
indûe du domaine public, dégradation de mobilier urbain,
séquestration et voies de fait sur contractuelle, insultes à agent
dans l’exercice de ses fonction, coups et blessures sur huissier de
justice, bris de glace, tags sur les portes des toilettes de divers
bars et clubs, claque sur personne âgée, viol de chihuahua, etc…

Hmmmm ?
(j’ai un peu l’air de convoiter cette grosse canette avec envie, là… je vais me dupliquer au dessus, j’aurais l’air de regarder le prochain post…)
(…) c’est comme dans tes poêmes d’amour plat-tonique
qui tombent à plat – gin tonic
je t’ouvre mes bras, je tombe encore plus bas
je suis en veine, je suis à toi
et tu n’est déjà plus là.
tu es au bar-tabac en bas
tu récite tes poêmes pathétiques
à des putes al-c(o)oliques
c’est pas trés chic de faire ça.
ça y est,
le présent se retire à son tour,
il va falloir prendre une grande inspiration
éviter les adieux
et
plonger dans les nuages
pour ne plus jamais revenir
SUPER TOURGUETEST : QUEL BEATLE ETES-VOUS ?
Question 1 : Si vous aviez un groupe de rock, par quoi seriez-vous le plus branché ?
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Le Simorgh s’installe dans son lit de myrrhe et d’encens, lance son cri avant de prendre feu, pour renaître de ses cendres. Partout les oiseaux dans La Maison et d’étranges masques qui me fixent et semblent rire de la folie qui semble devenir mon lot quotidien. Les oiseaux entreprennent un voyage, forment étrange procession sous les pins, pour aller à la recherche du Simorgh, oiseau fabuleux qu’ils veulent prendre pour roi. Presque tous meurent en cours de route, seuls trente d’entre eux arrivent au bout. Lorsqu’ils se présentent devant le Simorgh, ils se voient en lui. Ils sont le Simorgh, et le Simorgh est trente oiseaux. |
||
je pleure car j’ai besoin de toi
je pleure car je te sens
je pleure car j’ai besoin de toi
je pleure car je tiens à toi
si seulement un bateau arrivait
ou seulement si quelqu’un venait
frapper à ma porte
ou seulement quelque chose
je pleure car j’ai besoin de toi
je pleure car j’ai besoin de toi
Slogans porteurs pour des lendemains qui chantent
Intermittent, retournes dans ton pays
Intermittents fainéants à plein temps
intermittents, rendez nous notre argent
échassier trouves-toi un vrai métier
faites des enfants, pas des intermittents
la grossesse a 6 mois
les femmes derrière, les hommes devant
A bas, a bas, le second degré
USA sors nous de ce mauvais pas
Bush, Bush, montre nous la voie
Monsieur Bush, priez pour nous
la parité c’est pour les dégénérés
Chirac président
Monsieur Jean-Jacques Aillagon, tenez bon, s’il vous plaît
Monsieur Raffarin vous nous faites du bien
Raffarin nous voila
Monsieur Pasqua vous m’avez donné la foi
Charles Pasqua reviens les mettre au pas
Mr Nicolas Sarkozy à la culture s’il vous plait
Subvention égal dépense d’argent
PSG fais-nous rêver
Travail, famille, télévision
Remettez le José au frais !
C’est pas les agriculteurs qui nous empêcheront de manger des hamburgers
On aime, on aime les OGM
La culture est une marchandise comme les autres
Alain Delon, rejoins-nous à Chalon , Monsieur Chirac à Aurillac,
Michel Sardou un peu partout
TF1 c’est rudement bien
ARTE c’est trop compliqué
c’est toujours sous titré
avec des films étrangers
ARTE, c’est pas bien, on n’y comprend rien
chacun pour soi, et pas les autres
on est plus, plus de droite que vous
non, non aux manifestations
La droite est adroite, la gauche est gauche
Afrique paye ta dette aux pays occidentaux
Le Bigdil c’est pas si facile
Star Academy c’est pas si mal que ça
restons divisés
les grévistes sont des gens qui ne travaillent pas
les chômeurs sont des gens qui ne travaillent pas
moins de festivals, plus de quinzaines commerciales
Plus de corsos fleuris, moins de festivals de hippies
le Puy du Fou dans toutes les villes
on veut, on veut des sons et lumières
les reconstitutions historiques nous apprennent des choses
Monsieur De Villiers, vous avez de bonnes idées
un vrai statut pour les majorettes
la culture est une marchandise comme les autres
manifestants, vous gênez les commerçants
le FMI ne fait plus crédit
Tf1 sur toutes les chaînes
Mac Donald, dans les cantines
Mickey nous fait rire, et Donald aussi
1 euro, c’est 1 euro
Selliere président
les retraités au boulot
la police protégez nous
la police pas trop loin de nous
Nous sommes tous des américains
les vrais artistes avec nous
on veut des sous, pas des crassous
Les vraies valeurs sont dans nos portefeuilles
Les bonnes actions sont dans nos portefeuilles
CAC 40 CAC 40 OUI OUI
Jean Pierre Gaillard rends-nous l’espoir
Joueur de djembé remontes dans ton cocotier
les cheveux longs c’est pas pour les garçons
les boucles d’oreille ça fait efféminé
les boucles dans le nez c’est pour les bovidés
les rastaquouères au frigidaire
les manouches à la douche
Pas d’allocs pour les dreadlocks
Ma maison mon horizon
A bas les colonnes de Buren
La batucada ne passera pas par moi
La culture ça fait mal à la tête
juste avant minuit
un message pour tous
d’espoir et de paix.
ça parait un peu niais
mais pour une fois
que je ne parle pas
de petits enfants
découpés au scalpel
dans ma cave…
faut bien varier les
plaisirs, non ?
SpOkème vibriOn
Large
Dimanche, la rue,
On voulait sortir du grand cadre
Rien d’extraordinaire sortir du grand cadre,
Non, rien d’extraordinaire
Visiblement, les gens aimaient prendre la tangente, se pencher
Courir en italique, se dérober, ton mot c’était oblique, tu disais,
Plutôt rester dans les cadres,
C’est qu’ils préfèrent, les cachettes, s’enferrer de petites fatigues.
Rompant le doux continu des jours dichotomes
Qui cantonnent nos rires à des moues monochromes,
On discutait, bouches pleines d’offenses,
Monde fait de violence, et encore du vent,
Des histoires et encore du vent,
Des griefs, des avalanches, des petites revanches
Des reliefs, ou même des identités,
L’avenir sur ta paume, tu disais,
Les visages flous des génomes, tu disais,
En perdre son signalement,
Combien les mots manquent de discernement,
Diminuent la vigilance du sujet.
Pendant que rouge le ciel gazolé dégaze,
Dans l’air, tout ça qui flotte, rase et s’effiloche,,
On a peut-être raté le coche
Il y en avait mille fois trop, tu disais, mille fois trop,
Aérer, aérer, tu disais, aérer, revoir la mer, respirer,
Evoquer la banalité des clichés,
Le flot des images éculées, tu disais, l’âme cassée,
Fuir l’éphémère, être à tout allant, génant pour l’éternité, adulés.
Et le vent léger que tu me souffles au creux des voiles,
Soleil incliné dans tes yeux, apaise mon poux, mon oripale,
Sans jamais froisser nos mailles, nos pulls qui
Débraillés nous taillent des silhouettes diverses,
Pour sûr, on n’y est pas à l’étroit, pour sûr, on aime les porter large.
Tu sentais comme la pluie, des arbres,
Comme la terre mouillée aux pieds des arbres,
Tu disais, Quands tu me parles, tu joues, quand tu me râles, que tu me tires tes balles,
Je vois pointer comme des astres, oui des mots comme des astres fous,
Fumée dans l’air qui flotte pendant que rouge le ciel ébahi, envahit,
Rase et s’éparpille
Comme de longues séries de phrases vides qui vascillent,
Mais assassinent quand même,
Collent au palais, étouffent,
Assassinent quand même,
Tu disais, Sait-on seulement que c’est à chaque fois différent,
Sait-on seulement que nos vies n’ont rien de répétitif, rien de définitif,,
Et s’il y a des risques, pourquoi ne pas prendre ces risques?
On marcherait, la rue, nos écharpes, s’en aller,
Anonymes, dérisoires, périphériques, rien de différent,
tu disais, nul besoin de se dérober,
Sans cesse reconquérir, arrêter le temps, photographier le vent,
Evanouir la zone et les feux qui croisent à l’horizon,
Les saisons, en mener large avec toi, s’épanouir,
Dimanche, lundi, mardi, et les autres aussi,
Arpenter la ville la nuit, le jour,
Déclarer son amour à qui vient, qui veut,
Comme un vieux disque rayé, répéter, répéter, même épuisé,
Recommencer l’amour entre ses lignes aérées,
Tu disais, tu sais où nous allons,
Il n’y a pas d’horizon finissant,
De phare,
Où nous allons, il n’y a que des larges,
On n’y sera pas à l’étroit, tu sais,
Des larges,
on n’y sera pas à l’étroit,
La mer sait décliner les bleus
(…)
Frédéric
Nevchehirlian
———————————————–
je vais livrer un véritable secret en 5 lettres
je vais livrer un secret qui protègera de la FdM
je vais livrer un secret qui tel B-U-F-F-Y peut
– nous sauver de l’Apocalypse.
je vais livrer un secret en 5 lettres véritables
je vais livrer un secret qui repoussera la FdM
je vais livrer un secret qui tel M-O-I-S-E peut
– nous sauver des égyptiens furieux.
———————————————–
j’ai un problème
il est incencé de perdurer ainsi
(…)
je le dis
(…)
je veux le faire
(…)
j’en suis capable
(…)
alors action !!!
Règle n°1 : Ne parlez pas de reservoir blogs.
perdu clone (suite)
je ne l’ai toujours pas retrouvé
Et en fait je pense qu’il s’agit plutôt d’une fugue.
En effet son comportement était étrange depuis quelque temps
il accomplissait les basses besognes (comme porter les trucs lourds,
faire les courses etc…) avec de plus en plus de difficulté et maugréait
carrément quand je l’envoyais se faire engueuler à ma place par mon
banquier ou mon patron.
j’ai surtout peur à l’idée qu’il se fasse passer pour moi dans l’intention
de me nuire
Un pique nique Renoiro – Tourgueniste sans gromellements ni hurlements oui, mais où et quand ?
Le gars qui râle
Il n’y avait rien à l’intérieur de son armure,
je t’assure,
il était complétement vide,
le grand néant
ce gars
Viens ici que je te spamme un peu ma biche… (sourire à grandes dents de vampire qui luit dans l’obscurité é é é…).
Sgt Rock Collection
Et les marines chantaient
(Et les marines chantaient)
Et les marines chantaient
(Et les marines chantaient)
Un truc qui m’ colle encore au coeur et au corps











OUI, PARFAITEMENT































