laurence was here…

c’est toi chéri ?

– écoute, tu vas prendre un coup de pied si tu n’arrêtes pas de filmer.
– surement pas, j’ai des moyens de pression !

qu’il est bon d’avoir ton coeur qui bat
si près du mien
alors que l’univers explose
et s’effondre
tout autour.

Old par M. Fox le 10 Jan 2003

[edit de l’admin investi de ses pouvoirs de modifications sur tout ce qui bouge
et constatant qu’une image est cassée]

ici, un mignon petit lapin effectue des va-et-vient sur un parcours d’approximativement 1 cm
lorsqu’on le survole, il déclare :
« please kill me »

rien ne vaut mon 67.

Old par M. Fox le 25 Jan 2003

j’avais besoin de me rassurer

d’une bouche sauvage
contre mes lèvres mortes

j’ai tellement froid !

Old par M. Fox le 05 Mar 2003

Pierre Kropotkine est issu de l’une des plus vieilles familles de la noblesse russe. Sa mère est une femme douce et aimée de tous pour sa grande bonté. Elle est très estimée des serviteurs et fut un modèle pour ses fils en ce qui concerne la tolérance, le respect d’autrui et l’intérêt pour les choses intellectuelles.

—————————————-

Ivan Tourgueniev connaîtra très tôt l’injustice et l’absence de liberté qui règne dans son pays. Sa mère possédait 10 villages, soit cinq mille âmes (hommes -les femmes et les filles n’avaient pas d’âmes !) qu’elle mène, tout comme ses fils, sous le knout. Pour exemple, le serf qui apprit la poésie russe à Ivan sera envoyé par sa despotique maîtresse en exil pour cette conduite indépendante et subversive.

Old par igor le 21 Juin 2003

L’édition originale du présent sité a été tirée à cent soixante-neuf exemplaires, à savoir : deux exemplaires sur papier Whatman, spécialement imprimés pour les frères Tourgueniev, neuf exemplaires sur papier de Chine, dont sept exemplaires numérotés de I à VIII et deux exemplaires hors commerce marqués A et B, vingt-trois exemplaires sur vélin de Hollande, dont vingt exemplaires numérotés de VIII à XXVII et trois exemplaires hors commerce marqués C à E ; et cent trente-six exemplaires sur vélin pur fil des papeteries Lafuma Navarre, dont cent numérotés de 1 à 100 et trente six exemplaires hors commerce numérotés de 101 à 136.

J’suis pas une pompe à pines DJ

blanc.

Old par Gu. le 20 Juil 2003


« … je vais me livrer à la police, c’est mieux ainsi…
ou alors me suicider ? »

Old par igor le 12 Mar 2003

Passer son temps à le passer de corps en corps
(Phrase entendue dans un demi sommeil.)

Je ne m’appelle pas Alex.

Old par Rodia le 02 Avr 2003

trois mois ont passés sans que nulle voile ne couvre mon horizon,

mon ame pleure de ne pas etre auprès de toi,

chère Venise,

tu me manques tellement,

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

H -10min

Old par Gu. le 18 Juin 2003


Here is the Master
Old par Gu. le 18 Mai 2003

Minuit et des poussières, je suis un peu crevé.
Mais je crois que si je dors, ça devrait s’arranger.
Donc, il faut que je le fasse.
Aller me coucher ?
Oui sûrement.

———————
Bon,ok…
Je
l’ai revue hier…

Old par igor le 10 Mar 2003

Raconter une histoire, ça peut commencer par un « il était une fois » ou par un truc plus anodin genre « il marchait déjà depuis une heure dans ce putain de désert jaune ». Forcement, ça n’implique pas les mêmes choses pour la suite. Dans le premier cas on attend un truc du genre « dans un pays très lointain », dans le deuxième cas plus un truc genre « et les fils de putes qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour attendre ». Raconter une histoire, c’est tout un tas de décisions plus ou moins importantes pour la suite, sur les mots à choisir, sur les personnages, les lieux, les actions, l’existence même de personnages, de lieux et d’actions, la pertinence de la notion temporelle et la force de l’entropie sur l’idée originelle. Raconter une histoire tendre, c’est aller contre la paranoïa, les griffures de la vie, les cicatrices et toujours rechercher cette petite ligne si douce qui glisse partant de la hanche vers le pubis. Raconter une histoire, c’est faire acte de foi, de contrition, se blottir contre une idée, la choyer. Raconter une histoire, ça peut se faire en se regardant dans les yeux, doucement. Raconter une histoire, ça peut ne pas réussir, ça peut ne mener à rien, ça peut être un échec. Raconter une histoire

Old par igor le 08 Jan 2003

ptit dragon...

Old par Amok le 20 Juil 2003

Persuasion n°1

Le ton de la voix n’est pas convaincant

Les mots sont beaux mais hors de propos en cette circonstance

Le regard fuit, les mains tremblent

La rhétorique est ton arme la plus redoutable

Si j’y mets un peu de bonne volonté, je vais pouvoir te croire

Entendre ce que j’ai envie d’entendre

Mais c’est moi qui décide

Old par D.b le 17 Juin 2003

\c/to\i/ch\éri/?

Old par DrT le 19 Mar 2003

le récitant : aujourd’hui j’ai le même âge que toi.

Old par igor le 02 Août 2003

il est incencé de perdurer ainsi

(…)

je le dis

(…)

je veux le faire

(…)

j’en suis capable

(…)

alors action !!!

Old par Gu. le 09 Juil 2003

T

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Old par -- Zan le 17 Nov 2003

L’Avant P.A.R.I.S d’Igor…

« Assis à la table du fond depuis 18h avec quelques amis, Igor picole, morose et achève les dernières réserves de bière amassées pendant les happy hours.
A ses côtés ses compagnons se laissent aller mollement sur la table et rient distraitement aux blagues de chacun. Igor laisse son regard errer parmi les clients agglutinés autour de la table…
L’habituelle faune: suédois, américains, anglais des deux sexes, se pressant les uns contres les autres, quelques parisiens comme égarés.
Assis par terre, presque piétiné par la foule, un petit homme à manteau vert, en train de se faire une ligne de poudre rose avec une paille dorée. Un peu de temps passe…
Igor est de plus en plus embrouillé, ses amis sont partis, des gens assis autour de lui, les cafards de plus en plus près, de plus en plus gros.
Un ange passe, un homme immense à l’accent slave s’assoit à la droite de Igor, il sort une flûte de champagne de sa cape et la propose à la jeune fille rousse (Charlie ?) à sa droite.
Elle retrousse un peu sa jupe (on aperçoit le haut de ses bas), sourit à l’homme et accepte la flûte.
L’homme extrait à présent de sa cape une bouteille de champagne, un singe et d’autres coupes qu’il distribue alentours.
Igor en reçoit une et le petit gars en vert aussi, il est maintenant assis sur le genou gauche de Igor qui s’en aperçoit à peine.
Un ange passe, un coup de feu au bout du pub, une bousculade, le mort est vite déchiré par le public affamé.
Le petit homme vert continue à sniffer, une poudre jaune…
La table est pleine maintenant d’objets surgis de la cape du comte.
Sous la table un couple de nanas s’agite, la plus grande essayant de ligoter la plus petite (une finlandaise aux cheveux aile de corbeau… Charlie ?) avec la bretelle de son soutien-gorge à fleur…
L’absinthe coule à flot dans le pub, tout le monde a les pieds mouillés…
La fumée devient de plus en plus épaisse et bleue.
De sombres oiseaux et quelques cafards (plus de deux mètres d’envergure) volettent çà et là en heurtant le public aveuglé.
Igor dodeline de la tète, sa flûte est vide, il se penche et la remplit d’absinthe…
Deux grands allemands blonds en short debout sur le pub se fracassent la tète à coup de hache; voluptueusement les spectateurs trempent les tranches de l’énorme gâteau flottant, qui s’avance doucement vers la table de Igor, dans le sang qui gicle partout…
Igor, qui, justement, fouillant ses poches pour trouver des thunes à claquer tombe sur le petit pistolet noir à silencieux.
Une patte de cafard le heurte à l’oeil, il sort le flingue…
Charlie vient d’apparaître dans la fumée, elle a l’air un peu perdue et lasse, elle porte son habituelle robe blanche immaculé qui la rend si belle.

Bang ! Dans l’oeil du nain vert…
Bang et rebang ! Dans le front du comte et dans sa cape…
Bang pour un cafard !

Igor se lève et marche vers Charlie… Il explose la tète du barman d’un tir courbe en croissant de lune le long du plafond, vise un des allemands et le manque: plus de tète déjà.
Elle semble le reconnaître et lui fait un demi-sourire.
Un allemand (Grishka ?) tente de fendre le crâne à Igor qui esquive péniblement la hache qui le frappe. Le cadavre du nain sniffeur, accroché à sa jambe droite tente de le retenir…
Igor dégaine sa Gattling et mitraille à gauche, à droite, faisant exploser tètes, bras et idées noires.
Plus de munitions, il se débarasse de son arme sur le pied du gros allemand qui part en hurlant les chants de Maldoror.
Charlie dans les bras de Igor… Un ange passe, Igor le vise et l’abat avec son petit pistolet.
Igor entraîne sa compagne vers l’extérieur, en évitant table qui volent, cafards et lévriers ainsi que le public surexcité et les larmes aux yeux.

Dehors Nicolaï attend patiemment au volant de la Tourguy-mobile le retour de son frêre.
Déjà il arrose la façade du bâtiment de torpilles au napalm.

A l’intérieur la foule est en transe, hurlements, chants, danses, viols et meurtres gratuits se succèdent à un rythme frénétique, un seuil sur l’enfer est ouvert et les démons envahissent le pub; Bizarrement ils paraissent bien tristes et moroses dans l’ambiance pyrotechnique qui règne dans le pub.
A l’aide d’un grand fouet, Igor finit de se dégager un passage et atteint la sortie, là résolvant rapidement l’épreuve du sphinx, il surgit à l’extérieur avec Charlie à son bras.
Nicolaï achève de détruire le bâtiment à coup de missiles sol-sol pendant que nous entrons précipitamment dans la grosse voiture.

Je serre Charlie, elle essuie une larme et se pelotonne contre moi. La voiture prend de la vitesse et s’envole vers la base lunaire.
« 

Old par igor le 14 Jan 2003

– nous voulons des bulles, des bulles…

– vous parlez de champagne ?

– non, de BD.

« Je pense qu’à la vue de ma patiente approche, elle va bien finir par s’apercevoir que je lui tourne autour …
– Soit, mais il y a des moments où il faut exprimer clairement les choses …
– Tu crois ?
– Evidemment, sinon tu vas arriver à rien. En plus les femmes adorent qu’on leur dise qu’on les désire …
– Ah ?
– Benh oui ! Qu’est-ce tu crois ?
– Ah.
– Mais enfin pourquoi tu ne lui dis rien ? T’as peur ou quoi ?
– Bien sûr, j’ai peur ! J’ai pas envie de me faire jeter ! J’aurais trop les boules après !
– T’as pas les boules, en ce moment ?
– Certes.

Le narrateur se replongea dans son abîme de perplexité que définitivement, pensa-t-il, il n’aurait jamais du quitter. Par la suite, plusieurs personnes lui reprochèrent de vivre dans ses fantasmes. A ces personnes, il répondit intérieurement que ses fantasmes ne lui faisaient pas de reproche.»

message perso de igor à victime : je vais-aiguiser-mon scalpel-sur l’os de ton-fémur et-en perdre le fil-en tranchant-illico dans ton foie-gorgé d’eau.

Old par igor le 14 Fév 2003

« Tes yeux sont deux diamants que j’aimerais porter autour de mon cou »
With love…

Hier quelque part à Saint-Germain, j’ai croisé H.S.

Ou plutôt c’est elle qui m’a croisé.

Elle m’a demandé du feu, je l’ai reconnue en sortant mon briquet de ma poche.

– Ah c’est vous…

– Euh… oui.

– Donc vous existez vraiment.

– Ben oui… (sourire timide)

– C’est pas grave. Je n’aime pas ce que vous faites mais vous avez l’air gentille comme tout.

– Merci.

– Tenez, je vais même vous signer un autographe.

– C’est gentil. Hi hi ! (petit rire espiègle)

– Voilà…

– Merci.

– Vous… vous avez quelques minutes ? on va boire un café ?

– Je… hum… euh…

[deux minutes plus tard devant un déca]

– Vous faites plus petite qu’à la télé, mais vous êtes plus jolie.

– Vous aussi ! Alors, euh, vous vous sentez comment deux ans après le Loft ?

– Le Loft ??? Ah… Ah oui le Loft… Oui, je… eh bien en fait j’ai tourné la page. Vous savez, il faut aller de l’avant, tout ça…

– C’est complètement vrai. Moi quand je suis devenue célèbre je me suis dit : « Eh ben tant mieux ».

– Mmm… oui, je comprends.

[après ça la conversation est vraiment devenue chiante, et puis on a fini nos décas et on s’est quitté en échangeant nos numéros ;

je lui ai dit « on s’appelle et on fait l’amour », elle a eu un rire un peu crétin, du genre « ah ah il sont vraiment trop cons ces lofteurs »,

et puis j’ai pris le bus]

assomé, réduit en poussière, éparpillé, atomisé, écrabouillé, écharpé…

Old par M. Fox le 14 Jan 2003

Tom, attention à la danse des deux serpents au dessus du cul

Old par -- Zan le 09 Juin 2003

j’avais perdu le controle

c’était très humiliant,

tu me violais

tu me violais
et je ne savais plus comment t’arreter,

plus jamais ca s’il te plait,

plus jamais ca.

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Il pleut sur la ville …

… Mais mon coeur restera de glace

Opéra tombe a l’eau

« Tu as aimé la Bohème ?

– Oui, c’était bien !

– Je suis content que ça t’ait plu, comme opéra.

– C’est vrai, c’était vraiment très bien !

– Je te raccompagne chez toi ? J’ai ma voiture.

– Je veux bien mais ce soir je ne rentre pas chez moi ; je vais du coté de Saint Placide ?

– … Ah bon ben d’accord. »

Je hais la terre entière !

J’ai posé le pied ici et là

Et tu n'étais pas là

Old par D.b le 11 Juin 2003



another broken heart

Old par M. Fox le 19 Fév 2003

Digne des meilleurs horlogers suisses, l’exactitude du minuit pile tranche singulièrement avec les autres journaux du soir baladés au gré des caprices de la programmation. Résultat : le Minuit Pile s’affirme rapidement comme un rendez-vous d’information incontournable.

Old par -- Zan le 23 Nov 2003

– Qui êtes vous ?
– Je suis triste, déboussolé, perdu, pathétique, égaré, malade.
– Vous êtes embauché.
– A quel poste ?
– Pauvre type.

Old par Rodia le 10 Avr 2003

Datura

La fleur ne s’ouvre qu’une nuit
et fane dès les premières heures du lendemain

Old par M. Fox le 23 Mar 2003

Un avertissement

Comme écrire est une souffrance, j’utilise maintenant

un petit dictaphone : je parle, j’enregistre, puis je transcris

plus tard ce que j’ai dit. Le travail me semble être

une besogne physique, moins mentale, moins angoissante, et

les voisins me prennent pour un fou.


*** Trop d’étoiles ***

Je t’aime. Ton extrême maigreur fait ressortir tes hanches et leur donne presque une courbe féminine. J’aime y passer la main ou la langue. Ta pilosité d’un blond lumineux me donne encore envie de jouer avec les boucles de ta poitrine. Le soleil déclinant s’y niche d’une manière étonamment attendrissante. Je verse quelques larmes pour toi. Mes mains sur tes fesses, je te caresse doucement. J’évite de trop regarder ton visage écrasé par la hache. Seule ta bouche est miraculeusement épargnée et me laisse voir cet étrange sourire que tu m’offrais si souvent quand le plaisir venait. Bizarrement, j’envisage de m’y glisser plus tard quand elle sera ramollie. Je masse tes cuisses et tes seins. Je passe la main sous tes bourses écrabouillées et je recueille sang et sperme qui en dégouttent encore. Je porte la main à la bouche savourant les fortes saveurs que tu me laisses. Je t’aime.

Old par igor le 17 Avr 2003

Old par -- Zan le 30 Juin 2003

occupé !

– Bon, tu vas quand même pas faire du gonzo-journalisme sur Tourgueniev ?

– Il a raison. C’est d’un commun.

– Oui mais c’est pas du gonzo. Je ne donne aucun nom. Juste des initiales. Les personnages réels se désincarnent et deviennent anonymes, presque imaginaires ; ça pourrait être de la fiction.

– En même temps, l’anonymat c’est très tendance en ce moment. C’est même déjà un peu surfait.

– Il a raison. C’est d’un commun.

– Oui mais de toutes façons, anonymat ou pas, je parle toujours de moi quand j’écris. C’est comme les pseudos, c’est toujours un faux anonymat.

– Ah bravo, bonjour le nombrilisme…

– Il a raison. C’est d’un commun.

– Oui mais non. Historiquement, le nombrilisme est d’essence tourguéniste.

– Exact. De nombreuses études l’ont prouvé.

volé sur le site www.garoo.net

Old par M. Fox le 03 Fév 2003

le récitant : tuez votre tévé et sortez de vos conapts bandes d’esclaves.

Old par igor le 08 Avr 2003

Old par Gu. le 21 Juil 2003

.. |.

who

is this ?
.. 

Mode d’écriture qui repose sur l’exposition

immédiate de la phrase. Lecture

contemporaine de l’écrit. Temps

de travail aboli, rumination interdite. Ecrire

pour se débarasser de sa pensée,

lourde ou trop légère. On ne garde surtout

pas sa morve trop longtemps dans sa bouche,

on crache.

C’est comme ça, ça pourrait être pire.

Je devrais certainement découper des oignons…
…mais pas des cébettes, c’est trop doux-trop bon…

Old par Gu. le 30 Avr 2003

le vieux sur la montagne : HA-HA, HO-HO & HEE-HEE

Old par igor le 13 Avr 2003


JE GARDE MON CUTTER POUR TES ORBITES FROIDES


Re-membre…

Ce midi, au soleil, sur ma persienne _ une mouche _

Hum, ça reuv’ Igor…

Old par Gu. le 17 Avr 2003

R

Old par Gu. le 28 Mai 2003

à Marcos, à la joie…
à la beauté des rêves…
à la mélancolie, à l’espoir qui nous tient…
à la santé du feu… et de la flamme!
à ton étoile…

coucher de soleil vertical



















Old par Gu. le 04 Juil 2003

Old par igor le 28 Nov 2003

Hey!, on voit la lune dans le ciel bleu…

Old par Gu. le 09 Avr 2003

Cher ami,

j’ai le regret de vous annoncer que la coloration bleu baltique

de nos bains alanguis

n’est pas le résultat d’une sulfureuse humeur secrétée par ma peau

mais bien le fait

de mon savon aux étoiles de Prusse

bien à vous,

M. Fox

Old par igor le 24 Nov 2003

Old par igor le 20 Juil 2003

où est il cet amour que tu m’as promis ?

où est il ?

Old par M. Fox le 06 Jan 2003

honeybreadwithacoconutcover

Old par Gu. le 23 Nov 2003


NO COMMENT

il franchissait
un à un
les passages
qui menaient
à une autre réalité

Old par M. Fox le 02 Mar 2003

et si finalement tout ça ne se résumait qu’à une page de pub qui n’en finirait jamais ?

Nos chemins se séparent à présent
petite fille
tu es si fragile
et tes rêves sont intacts

comme je t’envie !

Old par M. Fox le 14 Mai 2003



c’est toi chérie ?

Torpeur

un peu de tort / beaucoup de peur

Une — — Torpille

dans mon flanc

et je pile \

I

I

I

I

I

mon dernier souvenir de mouvement c’est un rire


Old par -- Zan le 13 Juin 2003


Pendant ce temps,
A Marseille sur le vieux port,
On aiguise les couteaux,
Et les parisiens, on les surveille,
A fond.

Old par igor le 22 Jan 2003

Plus sympa que Starac et Popstar :
COSTES-STAR
(costard ?)

Tu veux monter sur scène,
partir en tournée et être une vraie STAR !
C’est possible et vite !!

——————
PROCHAIN SHOW DE COSTES A PARIS
Le culte de la Viergeopera porno-social
avec Costes, Giulio Nesi, Marie-Claire Cordat
SAMEDI 18 JANVIER 2003 – 20H30 – Prix : 8 euros
aux INSTANTS CHAVIRES – 7 rue richard lenoir – montreuil
métro robespierre

———————————————————————
Nous cherchons une fille pour jouer dans le show.
Disponible de janvier à début juillet 2003 – 40 shows à faire en europe.
Contacter costes@costes.org

——————

Old par igor le 15 Jan 2003

( IPSE VENAS BIBA )

POUM POUM TCHAK CHTZING POUAM KA POUM
POUM POUM TCHAK CHTZING POUAM KA POUM
POUM POUM TCHAK CHTZING POUAM KA POUM
POUM POUM TCHAK CHTZING POUAM KA POUM

Old par -- Zan le 23 Avr 2003

girls & guys

Old par -- Zan le 27 Jan 2003

J’aurais eu envie
d’être un loup
pour le style
un lion
pour la force
un toucan
pour les couleurs

mais je suis une grenouille
l’avantage c’est qu’on peut passer dans les conduits
pour aller visiter
les jeunes filles la nuit
et (avec un peu de tchatche pendant qu’elles sont à moitié endormies, on peut tenter de) se faire passer pour le prince charmant

(et puis pour les couleurs on peut s’arranger)

Old par -- Zan le 07 Avr 2003

si tu l’aimes,

emmene-la quelquepart où elle n’a jamais été

Old par M. Fox le 06 Avr 2003

Aucun document ne correspond aux termes de recherche spécifiés (Saa kana daba niho!).

Suggestions :
– Vérifiez l’orthographe des termes de recherche.
– Essayez d’autres mots.
– Utilisez des mots plus généraux.
– Spécifiez un moins grand nombre de mots.

Old par M. Fox le 20 Jan 2003

je préférais quand Neige habitait avec nous.

Old par M. Fox le 17 Jan 2003

-(repentirs)

lu sur un autre blog

j’ai réussi de justesse à rejoindre maman avant qu’elle ne prenne la voiture pour aller au déjeuner chez papa
j’ai jeté un froid sur place en disant à tous que j’avais une maladie
puis on a bu, alors ca n’a plus eu l’air de choquer personne, peut etre que je n’ai pas trop l’air malade,
en tous cas, on a bu plusieurs litres de vin (francais, espagnol, italien et argentin) au soleil, c’était agréable
mon frère a l’air en forme et joue beaucoup avec mon autre frère
mes soeurs sont arrivées en retard,
elles avaient trop pratiqué l’espagnol, ca les a empéché de se reveiller
papa nous dépose après le déjeuner avec sa jaguar sur les quais du canal st-martin
nous retrouvons un ami américain de ma soeur,
un autre américain arrive à vélo
on boit quelques bières
puis on va chez eux, un appartement très mignon dans un repli spatial près de belleville si j’ai bien compris
on achéte d’autres bières et on discute en anglais longuement
jusqu’au moment de bouger,
on va aller voir la fiancée de mon frère qui est dj et qui mixe dans un bar pas trop loin
on boit quelques bières,
je danse comme un fou,
j’embete un peu les djs en tenant les disques qui tournent pour voir l’effet que ça fait
on retrouve plein de gens là bas
je perds pieds,
je rentre,
je m’endors dans le taxi
mais je me retrouve miraculeusement à la maison
grace à l’honneteté de ce chauffeur là (mille mercis au chauffeur blogueur)
aujourd’hui je me suis réveillé tard,
j’ai une splendide gueule de bois,
je ne sais pas à quelle heure est le prochain train pour Nantes,
il faut que j’aille à la gare…

Old par M. Fox le 09 Mai 2003

Saccades

L’après midi sera consacrée
à la confection de la troisième
maquette de mon livre d’images.
(Successions de gestes, passage de corps
improbables en couleurs, dans des villes
visitées en 2000/2002 : Kiev, Damas,
Istanbul, Milan, Paris, Marseille).

Initialement le livre s’appelait DEFILEMENT.
Mais A.C. trouve que le titre annonce un fonctionnement
cinématique (séquentiel), alors
que chacune des images est à lire individuellement.
Pas dormi.
Au réveil, (solution) trouvé SACCADES, je suis heureux.
(Le projet comporte 32 images et une dizaine de pages de notes
sur la photographie.)

— Saccades : à-coup, accidents, interruptions, surprises, failles…

il parait que la blanche colombe à 300 tonnes de plomb dans l’aile
il paraît qu’il faut s’habituer à des printemps sans hirondelles…

on avait, disait on, repéré des simulacres dans l’école,

la discipline se fit donc naturellement plus dure
et la délation fut chaudement recommandée
par le directeur par voie d’affichage.

nous autres de la section biologie
n’étions que peu touchés,
notre ADN était déjà controlé régulièrement
et notre batiment sur le campus bénéficiait déjà
de mesures de protection exceptionnelles
pour éviter la propagation d’agents biologiques indésirables (ABI)
ou d’animaux de laboratoire hors des limites des zones d’expérimentation.

par contre, Clémentine fut durement touchée par ces mesures,
elle et ses camarades des sections d’art officiels
virent leurs mouvements réduits au maximum
et on installa auprès de leurs logements et ateliers
des mesures de sécurité pratiquement identiques aux notres,
ce n’est qu’en faisant du rentre dedans
à un garde de la police militaire que je pus lui faire passer un message

Clémentine, que deviens tu ?
Je dois te voir dès que possible,
j’espere que tu pourras venir à l’endroit habituel,
le 26 janvier, de 14:00 à 16:00

je t’attendrai,

Fox

Old par M. Fox le 21 Jan 2003

Minuit pile

Old par igor le 08 Déc 2003

à l’arrière des taxis

on s’aime à l’arrière des taxis

tant que les heures passent

Old par M. Fox le 24 Mai 2003

Les éléphants passaient dans les phalanges comme des sangliers dans des touffes d’herbes; ils arrachèrent les pieux du camp avec leurs trompes, le traversèrent d’un bout à l’autre en retournant les tentes sous leurs poitrails; tous les Barbares avaient fui. Ils se cachaient dans les collines qui bordent la vallée par où les Carthaginois étaient venus.

Old par M. Fox le 21 Avr 2003

Qui seulement écoute ? Ou parle ?
Gesticulations verbales insensées.
Images vides du monde.
Centres décentrés.
Infatigable exercice au devant d’une femme.
Elle serait morte et assisterait loin d’ici aux
virtuosité ridicules, comme toutes
virtuosités qui se doivent de l’etre,
RIDICULES.
Mais on insiste.
Quelque chose doit absolument se faire savoir.
Nous ne savons pas encore quoi.

les vieux amis font aussi l’amour
ils ne rapellent pas…

les vieux amis il faut pas leur faire confiance
ce ne sont que des vieux amis.

Old par igor le 27 Jan 2003

elle chante,

elle parle des vieux amis,

je t’ai serré dans mes bras hier,
très ému,
je suis heureux de t’avoir revu,

elle chante
et parle de son premier amour,

je serai ton vieil ami
tant que tu voudras de moi

la lumière est en toi.

Old par M. Fox le 09 Jan 2003

« là ici »