Old par Rodia le 27 Avr 2003

– A quoi penses-tu ?
– A Napoléon.

Old par Rodia le 24 Avr 2003

Le météorologue : va y avoir de l’orage.

Old par Rodia le 25 Avr 2003

Chanter sous la pluie… Pneumonie !

Old par Rodia le 21 Mar 2003

10.37 – Comptoir en (faux) marbre, proximité Colonel Fabien

– Se renseigner sur les horaires d’ouverture administratifs avant d’y aller

Ne pas jeter de pain aux joggers des Buttes Chaumont pour les amadouer

Déposer une obole au St Patron des (biens sympathiques) nettoyeurs de canal

– Acheter un sens de l’orientation en bon état

Idée du jour : Tomber Amoureux (effet conjugué canal + verdure sur les hormones, les pouêts auraient eu raison ?)

Old par Rodia le 15 Avr 2003

Le reflet des autres m’intéresse également.

Old par Rodia le 16 Avr 2003

Fais voir ta bite
Elle est belle dis donc.
Regarde la mienne.
Tu veux la sucer ?
Tu t’es déja fait enculer ?
Tu veux voir comment ça fait ?
C’est marrant tu vas voir.
Et l’école ? tu as des bonnes notes ?

Old par Rodia le 01 Mar 2003

Superlativité superficielle.. amour aimant.. un aimant, attiré, horreur, pas le choix ?
Arracher, quitte à se faire vomir, je me mutile, j’arrache, je déchire, le sang coule, la chair entre dans la poele..
Bacon simplifié… Anglicisme… douleur…

Old par Rodia le 03 Déc 2002

16h53 : Je lis La chambre des demoiselles. On y parle de viol et de coulées d’urine.

Old par Rodia le 16 Avr 2003

Cette nuit, IL m’a demandé de sauver les hommes de leurs pêchés.
OK. Le temps de trouver le bon costume et j’arrive.

Old par Rodia le 13 Mar 2003

– allo, mon amour ?
– qu’est ce que tu veux ?
– heu… je sors tout juste. on se retrouve ?
– ha ?
– bah oui. on se donne rendez-vous ?
– ça dépend, tu proposes quoi ?
– qu’importe, on se retrouve et puis on verra ensemble.
– non, tu fais chier. je veux que tu me proposes un truc précis.
– pourquoi tu me parles comme ça ?
– t’as fini de te plaindre ? bon bah salut, rappelle moi quand tu seras moins chiant.
– …

Old par Rodia le 02 Avr 2003

11h36 : Je n’aime pas les tabous.

Old par Rodia le 17 Avr 2003

Old par Rodia le 05 Mar 2003

Back to Louloutown

– Salut les gars, service d’expulsion de la Redtschap, nous avons un avis contre vous… 15 mois de loyer de retard, vous allez pas y couper.
– Qu’est ce qui nous prouve votre appartenance au consortium R d’abord ?
– C’est vrai ça, aboule les papiers !
– Hé bien j’ai la casquette officielle, le badge et même les caleçons aux armes de la compagnie. Vous voulez voir ?
– On va s’en passer, merci… enfin surtout pour les sous vêtements… ça pourrait faire jaser le voisinage.
– Euh le premier voisin est à 5 kilomètres, frangin…
– Ouais mais il vit seul, s’ennuie et a un téléscope.
– Juste, j’avais oublié.
– Déjà 3 mâles célibataires tout le temps fourrés ensemble les gens ont du mal à comprendre…
– Ah bon, ou t’as entendu ça, toi ?
– Au marché, la dernière fois
– … le marché ou tu n’as pas mis les pieds depuis 4 ans ?
– Ben imagine l’amplification des cancans depuis
– Pas bête frèrot
– Euh et pour le loyer ?
– Oups, excusez nous, nous vous avions oublié… mais que faites vous le cul à l’air ?
– Ben vous vouliez une preuve, voilà les dessous officiels des collecteurs de la Redtschap, avec le petit macaron en forme de cochon rigolard.
– Raaaaaaaaaaah notre réputation dans le quartier est fichue, on vous avait dit de ne pas le faire !
– Complètement foutue, des années de dur labeur anéanties en quelques minutes par un malotru exhibitionniste.
– Comment voulez vous que nous trouvions un emploi pour vous rembourser dans ces circonstances ?
– Mais c’est que je, euuuuuuhhhhh…….
– Allez, laissez nous, et n’y revenez plus, vil importun !

Claquage de porte énergique, notre héros se retrouve le pantalon à la main, sous la pluie, hébeté

– J’ai comme l’impression de m’être fait avoir, moi

Et il repartit voir sa patronne, les queues entre les jambes.

Old par Rodia le 31 Jan 2003

En tout Goth sommeille Le Plagiste

Note : extraire la sandale (1) du complexe oedipo-freudophile

(1) Cf Tatie Dudulle

Old par Rodia le 16 Juin 2003

Il m’arrive de rater un bus.

Old par Rodia le 04 Avr 2003

Fais comme moi l’autre joueur.

Regarde comme je suis bien dans ma peau.

OK. J’arrive.

Old par Rodia le 11 Mar 2003

Je suis surmené.

Old par Rodia le 09 Avr 2003

« […]C’est alors qu’ils découvrirent dans la plaine trente ou quarante moulins à vent ; dès que don Quichotte les aperçut, il dit à son écuyer :
– La chance conduit nos affaires mieux que nous ne pourrions le souhaiter. Vois-tu là-bas, Sancho, cette bonne trentaine de géants démesurés ? Eh bien, je m’en vais les défier l’un après l’autre et leur ôter à tous la vie. Nous commencerons à nous enrichir avec leurs dépouilles, ce qui est de bonne guerre ; d’ailleurs, c’est servir Dieu que de débarrasser la face de la terre de cette ivraie.
– Des géants ? Où ça ?
– Là, devant toi, avec ces grands bras, dont certains mesurent presque deux lieues.
– Allons donc, monsieur, ce qu’on voit là-bas, ce ne sont pas des géants, mais des moulins ; et ce que vous prenez pour des bras, ce sont leurs ailes, qui font tourner la meule quand le vent les pousse.
– On voit bien que tu n’y connais rien en matière d’aventures. Ce sont des géants ; et si tu as peur, ôte-toi de là et dis une prière, le temps que j’engage avec eux un combat inégal et sans pitié.[…] »

Cervantes, Don Quichotte de la Manche, tome I, © Ed. Seuil, coll. Points (pp. 101-102)

Old par Rodia le 04 Mai 2003

Old par Rodia le 12 Mai 2003

Badinage et Billevesées

Pièce Idiote pour 6 acteurs en trois ou quatre actes, çà dépend des jours…

Acte Un

La belle Marine est au pied d’un arbre, Paul, Alaine et Laina s’en approchent.

Marine : Le soleil se lève, la brume estompe les fenêtres, le chat est parti, mistigri !

Piotr : Mais que racontes – tu ma belle ?

Laina : Chagrin des matins automnaux, feuilles ambrées tombant dans les ruisseaux : la belle se languit…

Piotr : Duquel ? C’est qu’ils sont nombreux les oiseaux voulant picorer notre perle océane !

Marine : De tous ! De tous mon nabot. Seuls, ils ne sont rien, poussières éthérées ne méritant pas l’ombre d’un regard mais unis…fous de désir ne serait ce qu’à mirer mon ombre ; quelle magnifique sarabande !

Alaine : Et là voilà, coquette imbue de son reflet, brisant les cœurs en toute connaissance de cause, juge, juré et bourreau !

Laina : Il est vrai, petite sœur – roseau, que la modestie n’étouffe pas ta langue, toi qui ne nous laisses que le Piotrot, demi homme devant contenter tant de femmes aux appétits insatiables.

Piotr : Et dieu sait que cette activité me prend tout mon temps, moi qui n’aspirais qu’à prélasser et regarder les arbres pousser…

Marine : Fi donc, homme – champignon ! Ne me dis pas que pour toi il puisse s’agir de torture, je n’en croirais traître mot, aussi vrai que mes amants sont aussi nombreux que les étoiles dans le ciel !

Laina : Bougresse, il ne faudrait tout de même pas exagérer ! Ou alors c’est que le ciel nocturne n’éclaire que bien peu….

Alaine : Ou que le jour est perpétuel…

Piotr : Voire que tu es affublée d’une terrifiante cécité…

Marine : Médisants ! Laissez moi donc pleurer l’absence de mes doux compagnons et partez vaquer à vos occupations.

Les Trois : Très bien maîtresse, ordonnez et nous obéissons.

Ils partent bras dessus, bras dessous, en riant.

Old par Rodia le 16 Août 2002

Sproutlore

Old par Rodia le 30 Mai 2003

Forniquer ?

Old par Rodia le 20 Avr 2003

11h18 : Je ne sais pas quoi poster.

Old par Rodia le 17 Avr 2003

Je te pardonne.

Old par Rodia le 01 Mar 2003

jaune + destruction + maison + bois = 1 résultat(s) parmi 49583 image(s).

Old par Rodia le 15 Avr 2003

Jeudi 27 mars – Ouf. Pendant un an j’ai eu peur.

Old par Rodia le 27 Mar 2003

Le ciel est bleu, les oiseaux chantent, les arbres bourgeonnent… Putain de psychologie humaine de merde.

Old par Rodia le 10 Avr 2003

Note n°37 (aux urgences) : ne pas tenter de sucer un noyau d’avocat comme on le fait avec une cerise.

Old par Rodia le 02 Mai 2003

La brume ne s’est pas encore dissipée et pourtant je vois déja l’horizon.

Old par Rodia le 11 Avr 2003

Je n’arrive pas à dormir.

Old par Rodia le 03 Avr 2003

« Personne ne fait de la psychologie par amour : mais plutôt par une envie sadique d’exhiber la nullité de l’autre, en prenant connaissance de son fond intime, en le dépouillant de son auréole de mystère. »

Old par Rodia le 19 Avr 2003

Old par Rodia le 30 Avr 2003

Je ne suis pas malade, je suis triste.

Old par Rodia le 27 Avr 2003

« La solitude offre à l’homme intellectuellement haut placé un double avantage : le premier, d’être avec soi-même, et le second de n’être pas avec les autres. »
Cette nuit, je serai donc en bonne compagnie.

Old par Rodia le 07 Avr 2003

Oui, mais quels mots choisir ?

Old par Rodia le 03 Mar 2003

« Tu veux que je te fesse ? » I.T.

Old par Rodia le 07 Avr 2003

Tu t’es echappée ?

Old par Rodia le 05 Mar 2003

– Qui êtes vous ?
– Je suis triste, déboussolé, perdu, pathétique, égaré, malade.
– Vous êtes embauché.
– A quel poste ?
– Pauvre type.

Old par Rodia le 10 Avr 2003

Old par Rodia le 23 Avr 2003

Farfadets Ectoplasmiques !
Le vieux Ruben courait à travers la pièce enfumée, emplie de la moiteur torve des clients.
Au bout de son périple, goguenard, attendait son double surmoi même, Nadir le gnome des plaines, le célèbre voleur de pièces de Backgammon.
Foutriquet tourneboulesque, violeur de lombrics putrides, fantasmagorique hérisson écrasé, je t’avais bien dit de ne plus jamais remettre tes doigts palmés sur mon comptoir !!
– Mon ami, mon frère, mon autre innocente personnalité, comment me jeter quand je t’apportes félicité et sonnants sonnets ?
Au diable tes plans foireux, je ne me ferais plus avoir. Mon fondement a encore honte de ce que lui fit subir ta dernière brillante idée.
– Rooooooooooooooooooh, comme s’il n’avait connu pire qu’un ballet d’haltérophiles Moldaves…
Et il se moque le faraud, il se gausse, m’humilie plus que de raison, assassin de mon souvenir dansant déjà la carmagnole sur mon tombeau ! Dehors ou je t’expédies au paradis des bienheureux rétrécis !
– Des menaces, on s’apprête à molester son sauveur… quelle ingratitude…
Si tu ne déguerpis sur le champ, cette ancestrale balayette te pourfendra de haut en bas !
– Vas y donc si tu m’aimes si peu…

Et, ne l’aimant vraiment que peu, il le fit…

Old par Rodia le 16 Oct 2002

Cette nuit j’ai rêvé que j’étais papa, que j’avais un petit bébé
Mais il n’y avait nulle part de maman, c’était plutôt affligeant

Old par Rodia le 29 Déc 2002

Ce soir, je suis fatigué.
Longue journée de boulot.
On me dit qu’il faut pratiquer la tolérance :
Attitude consistant à tolérer ce qu’on pourrait rejeter, refuser ou interdire;
dérogation admise à certaines lois, à certaines règles.
Ce n’est pas un droit, c’est une tolérance.

Je n’ai pas le courage de me branler.
Je me sens bien.
Je t’aime
ps :

Old par Rodia le 06 Mar 2003

J’ai la banane.

Old par Rodia le 07 Avr 2003

SCOOP : La planète Terre vient d’être envahie par une armée de fourmis compulsivement mythomanes.
La NASA, l’Office des Amis des Insectes & la Chambre des Lords de Papouasie invitent les populations à cacher leurs pots de confiture.

Old par Rodia le 09 Juil 2002

« Il m’est inconcevable de penser qu’il y a des gens qui ne comprennent pas Bach, et pourtant cela existe »

Old par Rodia le 03 Avr 2003

Déçue.



Old par Rodia le 12 Avr 2003

Dormir avec des phantomes.

Old par Rodia le 05 Mai 2003

Je vais partir.

Old par Rodia le 12 Mar 2003

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Vision d’Eternité ?

It was the blackest night

There was no moon in sight

You know the stars ain’t shinin’

’cause the sky’s too tight

I heard the scarey wind

I seen some ugly trees

There was a werewolf honkin’

’long the side of me

I’m mean ’n I’m bad, y’know I ain’t no sissy

Got a big-titty girly by the name of chrissy

Talkin’ about her ’n my bike ’n me…

’n this ride up the mountain of mystery, mystery

I noticed even the crickets

Was actin’ weird up here

And so I figured I might

Just drink a little beer

I said, « gimme summa that what yer suckin’ on… »

But there was no reply

’cause she was gone…

« where’s those titties that I like so well

’n my goddamn beer! »

Is what I started to yell, then I heard this noise

Like a crunchin’ twig, ’n up jumped the devil…he’s about this big…

He had a red suit on

An’ a widow’s peak

An’ then a pointed tail

’n like a sulphur reek

Yes, it was him awright

I sweared I knowed it was

He had some human flesh

Stuck underneath his claws

You know it looked to me

Like it was titty skin

I said, « you sonofabitch! »

’cause I was mad at him,

Well he just got out his floss

’n started cleanin’ his fang

So I shot him with my shooter

Said: bang bang bang

Then the sucker just laughed ’n said, « put it away…

You know, I ate her all up…now what you

Gonna say?  »

You ate my chrissy? « titties ’n all! »

Well, what about the beer then, boy? « were the cans

This tall?  »

Even her boots? « would I lie to you?  »

Shit, you musta been hungry! « yes, this is true. »

Well don’t they pay you good for the

Stuff that you do?

« well, you know, I can’t complain when the checks come through… »

Well I want my chrissy, ’n I want my beer

So you just barf it back up now, devil,

Do you hear?

« blow it out your ass, motorcycle man! I mean, I am the devil,

Do you understand? just what will you give me

For your

Titties and beer? I suppose you noticed this little

Contract here… » yer goddam right, you son-of-a-whore,

« don’t call me that »

That’s about the only reason

…gimme that paper…bet yer ass I’ll sign…

’cause I need a beer, ’n it’s titty-squeezin’ time

« man, you can’t fool me…you ain’t that bad…

I mean you shoulda seen some of the souls I had…

Why there was milhous nixon ’n agnew, too…

’n both of those suckers was worse ’n you… »

Well, let’s make a deal if you think that’s true

I mean, you’re the devil, so whatcha gonna do?

(improvised dialog)

« wait a minute…a tinge of doubt crosses my mind…when you say…

That you want to make a deal with me… »

« that’s very, very true

I’m only interested in two things

« yeah?  »

See if you can guess what they are »

« i would think…uh…let’s see, maybe stravinsky… »

« i’ll give you two clues. let go of your pickle »

« what?  »

« let go of your pickle! »

« i’m not holding my pickle »

« well, who’s holding your pickle then?  »

« i don’t know…she’s out in the audience…

Hey dale, would you like to come up here and hold

My pickle to satisfy this weird man out on the stage?  »

« i’m only interested in two things, and that’s

Titties and beer

You know what I mean?

« what?  »

Titties and beer

Titties and beer

Titties and beer

Titties and beer

Titties and beer

Titties and beer

Titties and beer! »

Titties and beer! »

« i don’t know if you’re the right guy?  »

Titties and beer! »

Titties and beer! »

« no! don’t sign it! give me time to think…

I mean hold on a second boy, ’cause that’s magic ink! »

And then the devil let go of his pickle

And out come my girl, there was her titties

Flop-floppin’…all around the world

She said « i got me three beers and a fistful of downs

And I’m gonna get ripped, so fuck, you clowns! »

Then she gave us the finger, it was rigid and stiff

That’s when the devil, he farted

And she went right over the cliff!

The devil was mad, I took off to my pad

I swear I do declare, how did she get back there?

I swear I do declare, how did she get back there?

I swear I do declare, how did she get back there?

I swear I do declare, how did she get back there?

I swear I do declare, how did she get back there?

St Frank Zappa, 1977

Old par Rodia le 27 Août 2003

Avril, mois de la hache ?

Old par Rodia le 28 Avr 2003

Ridicule.
Elle répondra jamais.

Old par Rodia le 15 Mar 2003

Orgie de sucre, seule solution trouvée… bâfrer, ingurgiter, déglutir, régurgiter. L’odeur devient insupportable, mes miasmes se mêlant aux baies industrialisées. Le jour, la lumière, retrouver le monde auquel j’appartiens, vite, Vite, VITE.

Le sage du fond de son tonneau de Bordeaux éructait que seul un bon Saint Emilion permettait de sortir des tréfonds de la sombritude. Jamais compris ce qu’il voulait dire… pas eu les diplômes nécessaires.

Première goulée d’air, aspiration avide, émerveillement, tête qui tourne, extase.

Mon corps reprend ses proportions habituelles, à mon grand désespoir, rien ne s’est arrangé en lui, la mécanique fonctionne toujours aussi mal.

Mais cela n’a aucune importance : ma mission, juste ma mission, la finir. Il est là, face à moi, voûte le dos, il est en position d’attaque, mon œil exercé perçoit les feuilletons fleuves qu’il a roulé dans sa main gauche.
Je ne peux m’empêcher de rire… il croit réussir à me noyer sous ces flots de caractères typographiques ?

Non… pas par une attaque aussi facile, c’est tellement élémentaire…

Et pourtant…

Un commando de Ä du Nord s’infiltre dans ma bouche, bouchant les parois tandis que des Õ Sudistes infiltrent les autres orifices de mon coärps.

Je n’õrrive plus à penser, les lättres infiltrent mõn esprit. Jä, jõ, jäõ mõärs…

Un lutin sort de l’oreille du héros malheureux et regarde le cadavre. Haussant les épaules il repart, cherchant une nouvelle proie…

L’intégrale des aventures de Tourgueniev est disponible pour votre plus grande joie ICI Grand sourire cathodique

Old par Rodia le 05 Juil 2002

Je ne suis pas un chat.

Old par Rodia le 04 Avr 2003

Elle me plait.
Et ça c’est vraiment chouette.
J’espère que c’est réciproque.
J’en sais rien en fait. Je ne la connais pas encore assez.
Je vais lui demander : tu m’aimes un peu ?

Old par Rodia le 14 Mar 2003

« Je suis un homme malade… Je suis un homme méchant. Un homme repoussoir. Voilà ce que je suis. » F.D.

Old par Rodia le 28 Mar 2003

Il était une fois deux charmantes demoiselles

Old par Rodia le 10 Avr 2003

Temps de merde.



Old par Rodia le 06 Mai 2003

Qu’est ce que je fous là ?

Qu’est ce que je fous là ?

Qu’est ce que je fous là ?

Qu’est ce que je fous là ?

Pourquoi ne suis-je pas avec toi ?

Old par Rodia le 05 Mar 2003


« Une forteresse et une prison dans Paris, la Bastille fut un symbole de l’absolutisme royal avant la Révolution Française. Sa construction démarre en 1369 et fut originellement dédiée à la défense de la ville. A partir du XVIIe siècle, la forteresse fut utilisée comme lieu d’emprisonnement. Voltaire et le Marquis de Sade furent permis ses hôtes les plus célèbres.
En juillet 1789 un jeune juriste Camille Desmoulins appela à l’invasion de la Bastille dont les canons menaçaient le quartier populaire du Faubourg St-Antoine. L’histoire a retenu la date du 14 juillet 1789 comme date officielle de la prise de la Bastille. C’est pourquoi depuis la Place de la Bastille que partent les manifestations de protestation ainsi que le défilé syndical du 1er Mai. »

Old par Rodia le 22 Avr 2003

Old par Rodia le 14 Avr 2003

Tes mains autour de ma gorge… je suffoque… je violettise… kof kof

Hop non, pas d’accord, pouce, c’est pas du jeu !!!

Je te tues et je suffoque ! C’est quoi ce merdier ?

Y en a marre, ras le bol bonhomme !! Tu diriges peut être ma vie mais pas ma mort… contre… on réecrit le script !

Comment ça… Non ? Tu te prend pour qui ? Dieu… ok.. je la ferme.. tues moi… tu le regretteras…

Batard…

Old par Rodia le 14 Nov 2002

Je n’aime pas l’esthétisme.

Old par Rodia le 24 Mar 2003

Aliénation mentale, anorexie mentale, autisme, automutilation, démence, dépression, énurésie, neurasthénie, nymphomanie, suicide, vide…

Old par Rodia le 11 Avr 2003

Old par Rodia le 14 Avr 2003

J’arrive, j’arrive. Y a pas le feu.

Old par Rodia le 24 Mar 2003

Old par Rodia le 10 Mai 2003

Je n’aime pas les jeux de mots : « j’aime m’épier » (dit-elle)

Old par Rodia le 17 Avr 2003

Regarde toi.

Old par Rodia le 15 Mar 2003

17h33 – Je lis Tourgueniev.com

Old par Rodia le 25 Mar 2003

Je suis obéissant.

Old par Rodia le 15 Avr 2003

Youpi.

Old par Rodia le 12 Mar 2003

Bon alors il faudrait que tu penses à faire cela, et puis aussi contacter Mr K, oui, le client, pas le prestataire, et enfin organiser le cocktail.

Mais je n’aurais pas assez de temps pour le faire !

Hé bien étend le…

Old par Rodia le 26 Jan 2003


« La place de la Bastille à Paris est le symbole de la révolution. Au centre se trouve une colonne et sur un côté l’opéra Bastille. Le quartier est souvent fréquenté par les jeunes en roller, surtout du côté de l’avenue Daumesnil. Non loin, des bars et des discothèques (notamment le Balajo), se trouvent dans la rue de Lappe. »

Old par Rodia le 22 Avr 2003

Merci pour tout, petite anglaise.

Old par Rodia le 23 Mar 2003

Les Motards

Old par Rodia le 31 Août 2002

10 mai 2003 22:55:34 : je me prépare un hot dog.

Old par Rodia le 11 Mai 2003

Nadine a la tête sur le billot, Druans est au dessus d’elle, une hache de pompier à la main, le regard flamboyant. Le mari sans nom fait une clé de bras à la mère paternelle qui grimace de douleur, cherchant à s’échapper pour sauver sa fille. Un disque de Luis Mariano, incongrûment, déverse ses paroles niaises sur la scène.

– Mais laissez moi, je veux vivre !
– Ma fîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîîlllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllleuh
– Mon tribut est enfin devant moi, le contrat va pouvoir être validé !
– Mais qui es tu, monstre druanesque ?
– Je suis le SdT, Seigneur des Ténèbres, je n’ai pas réussi le casting de Sauron, aussi je me venge en ce moment, Mouah ah ah ah
– C’est donc de là que te viens ton rire ridicule, enfant du Démon ?
– Oui, mais grâce à ton sacrifice, je vais enfin pouvoir me débarasser de cette malédiction zygomatique, ma chère enfant.
– Je n’étais donc qu’un pion entre tes mains, être sombrophage… Sob sob … alors soit, j’accepte dignement de mourir

Et Nadine tendit dignement le cou, prête à subir le pire des outrages

Ben finalement…

A suivre

Old par Rodia le 29 Déc 2002

Solitude

Quart de piècette Arcosienne à jouer de nuit, dans une pénombre calfeutrée, suite à l’ingestion de substances illicites et prohibées, avec des ampoules.

Acte 1

Une vieille femme, seule, sur une chaise. Une lanterne à ses pieds.

Agnès : Mon fils, je vais te rejoindre, toi qui a été emporté par la guerre.
Tu es dans la lointaine prison du Nord, je le sais.
Je t’ai fait ces petits pains aux fruits, que tu aimais tant.
Je viens te rejoindre dans ta peine.
Mon enfant…

La lanterne s’éteint et une autre s’allume, sur la droite.

Etre 1 : Que la guerre d’hommes et de femmes a tué
Que de familles ont pu être ainsi décimées
La vieille Agnès, femme de marin
A vécu tout ces malheurs, et les a endurés.

La lumière s’éteint à son tour et une autre s’allume sur la gauche.

Etre 2 : Un mari simple et honnête
Une découverte l’un de l’autre il y a de ça bien longtemps.
Des amours et des joies simples, des peines aussi.
Trois enfants, trois fils, fierté de la famille
Robustes, vaillants et honnêtes.

La lumière de droite se rallume.

Etre 1 : Une guerre, de celles dont les seigneurs se repaissent

Etre 2 : Complots, politique, appât du gain, haine !

Etre 1 : Un grondement naissant emplissant les corps et les âmes.

Etre 2 : Les simples convoqués, leurs fourches remplacées par des épées.

Etre 1 : Le départ vers l’ennemi, sombre inconnu

Etre 2 : Femmes pleurant le manque de leurs maris, de leurs fils.

Etre 1 : Premier engagement, teinte d’écarlate, corps tombant lourdement.

Etre 2 : La mort….

Etre 1 : Un courrier arrivant haletant, et gêné

Etre 2 : Madame votre mari et deux de vos fils sont morts !

Etre 1 : Effondrement, pleurs, la vieille ne comprend pas.

Etre 2 : Son corps rachitique se replie sur lui même

Etre 1 : Ses vieux os se recroquevillent, tant d’amour…pour ça…

Etre 2 : Quand soudain !

Etre 1 : Une lueur d’espoir…

Etre 2 : Et le petit ?

Etre 1 : Emprisonné, loin au Nord.

Les deux lumières s’éteignent, silence.

Acte 2

Agnes : Et ainsi je partis au loin
Sur les chemins, toujours vers le Nord
Suivant la grand route, celle du lointain.
Nombreuses nuits de solitude
Froid de la neige contre mon corps frêle
Moi qui n’avait connu que la douce caresse du soleil.
Maladie, souffrance…
Mais mon petit, l’être sorti vagissant de mon ventre
Mon petit était au bout de la piste.

La vieille dame se lève de sa chaise, s’avance et tombe. Un homme en haillons s’approche d’elle, et tente de la réveiller.

Robin : Hé, m’dame !
Oh, ça va ?
Tu vas pas nous claquer dans les doigts maint’nant ?

Il l’asperge d’eau et lui donne deux trois claques pour la réveiller Les deux lumières des côtés se rallument en même temps juste pour une phrase et les deux êtres, à l’unisson :

Etre 1 : A croire qu’il a envie de connaître la suite…
Etre 2 : A croire qu’il a envie de connaître la suite…

Agnès, sous les frictions, se réveille lentement.

Agnès : Mon…mon Antoine, mon bébé ?

Robin : Ah non ma bonne Dame, je ne crois pas !
Robin, déserteur des armées stupides de notre seigneur
Et vagabond à ses heures perdues, pour vous servir.

Agnès : Oh, j’avais cru…où sommes nous ?
Que ..pourquoi suis je ainsi dans la neige,
Toute indécente empêtrée dans mes jupons.

Robin : A mon avis t’as pas mangé depuis pas mal de temps
Et puis t’es plus toute jeune
Qu’est ce que tu fais comme ça sur les routes,
A tenir ce bout de pain moisi comme un talisman ?

Agnès : Rire aigrelet, pris par la démence
C’est un pain de fête
Et je l’amène à mon petit Toinot
Celui que la guerre n’a pas tué…

Robin : Et où il est ton fillot ?

Agnès : Dans la grande prison du Nord
Et aussi vrai que j’ai élevé mes trois gamins
Je ne laisserais pas le seul qu’il me reste
Sans son pain de fête cette année.
Robin : Ton entreprise est folle,
La prison est à des milles et des milles d’ici
Mais j’aime la folie aussi…
Dorénavant je t’accompagnes !

Les lumières s’éteignent toutes (durant toute cette scène toute la rambarde avant était illuminée)

Acte 3

Seul l’Etre 2 est éclairé.

Etre 2 : Ainsi donc nos deux pauvres héros repartirent vers le nord
Subissant les intempéries, les moqueries des ruraux
Mais marchant, toujours un pas devant l’autre
Devenant plus proches que n’ont jamais pu l’être
Deux personnes en ce monde.

La lanterne de l’Etre 1 s’allume.

Etre 1 : Mais la prison jamais ne semblait vouloir s’approcher.
La vieille, toujours contre son ventre,
Tenait ce pain, petit tas de croûte noirâtre,
Qui n’avait plus d’aliment que de nom.
Mais elle s’y accrochait comme à une relique de sa vie.

Etre 2 : Et puis ce qui devait un jour arriver arriva.

Etre 1 : La fatigue, la vieillesse…

Etre 2 : Tout cela eut raison de l’énergie, de la foi

Etre 1 : De la vieille Dame.

Les lumières s’éteignent, deux lanternes au centre se rallument, illuminant Robin et Agnès. Elle est de nouveau évanouie.

Robin : Agnès, petite mère, tu ne vas pas me lâcher là, hein ?
La prison est juste à côté, allez ! Réveille toi !

Agnès : Se réveillant lentement
La prison ? Mon…mon Toinot, enfin, c’est toi ?

Robin : No…
Si maman, si c’est moi.
Oui c’est moi, ton petit enfant.

Agnès : Prenant Robin dans ses bras
Oh mon Toinot, mon fils vit, alors…
Je peux mourir en paix.

Dans un dernier souffle la vieille décède et Robin pleure. La lumière reste allumée sur eux mais celles des êtres se rallume aussi. Tout le long de cette fin Robin se lamente sur la perte de son amie.

Etre 1 : Bien sûr….le fils était mort depuis longtemps dans de putrides geôles

Etre 2 : Mais cela Agnès ne le sut jamais.

FIN

Old par Rodia le 04 Oct 2002

Il se sentait comme un Kermit enfermé dans un Kinder surprise, le lapin rose aux doigts coincés dans la porte

Old par Rodia le 22 Juil 2003

Je ne t’ai encore jamais croisé.

Old par Rodia le 05 Avr 2003

Il était une fois dans l’ouest parisien.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

La flemme de faire une sélection…

Old par Rodia le 18 Avr 2003

R.I.P.

Old par Rodia le 30 Avr 2003

Suis un peu décalé ces jours-ci.

Old par Rodia le 07 Mai 2003

Mitraillette à baillements ?

Machoire inférieure accrochée au sous sol…

Old par Rodia le 23 Déc 2002

Aaaaaaah qu’ils peuvent être joyeux les Pokemons à poil et à plumes…

Old par Rodia le 05 Sep 2002

Mr Propre is not dead

Vue au travers d’une vitre embuée, je l’ai nettoyée à la javel.

Old par Rodia le 22 Mar 2006

« Dieu est amour; celui qui demeure dans l’amour demeure uni à Dieu et Dieu demeure en lui.
Si l’amour est parfait en nous, alors nous serons pleins d’assurance au jour du Jugement;
nous le serons parce que notre vie dans ce monde est semblable à celle de Jésus-Christ.
Il n’y a pas de crainte dans l’amour; l’amour parfait exclut la crainte.
La crainte est liée à l’attente d’un châtiment et,
ainsi, celui qui craint ne connaît pas l’amour dans sa perfection. »

J’ai un petit coup de blues…

Old par Rodia le 28 Fév 2003

« Rien de ce qui arrive réellement n’a la moindre importance. »

Old par Rodia le 28 Avr 2003

– ORDUUUUURE !!! JE TE DETESTE !!!
– Heu… attend, je t’explique…
– Tu m’avais promis. TU T’ES BIEN FOUTU DE MA GUEULE !!!
– C’est tout du faux, calme toi voyons…
– Et les photos, c’est tout du faux ? SALE TYPE !!!
– On ne te reconnait pas…
– Tu n’es qu’un mec malsain et pervers, ADIEU et ne t’avise pas de croiser mon chemin.
– C’était pour rigoler, c’est tout… Pars pas…

Old par Rodia le 07 Mar 2003

Je vous regarde de haut.

Old par Rodia le 09 Avr 2003


– Allo mimi ?
– Ouuuais.
– Je suis super désolé. Mais je vais pas pouvoir vous assassiner sauvagement à coups de hache demain soir.
– Ha bon ????
– Ouais, j’ai une grosse surchage de boulot, je vais devoir bosser comme un malade tout le week-end.
– Zut, c’est dommage.
– Donc on fera ça la semaine prochaine, mais je sais pas encore quel jour. Je vous appellerai pour vous dire. Ok ?
– Ok.
– Alors à plus et encore désolé, vraiment.
– C’est pas grave. Bon courage, travaille bien. Salut.
Old par Rodia le 10 Mai 2003

Trois jours que j’ai le coeur au bord des lèvres
Trois jours que je me confine devant une cuve de faïence
Amoureux, malade, les deux peut être ?
Oh toi, mon doux ver solitaire…

Old par Rodia le 11 Oct 2002

Un dragon point trop écailleux lissait ses moustaches gominées en méditant sur les restes de son repas, déjà envahis par de grasses mouches pourtant affamées.
Pourquoi encore et toujours vouloir posséder, se rendaient elles seulement compte de la vacuité de leurs existences ?
Philantrope et d’un souffle, il abrégea ses pensées par une crémation générale.

Old par Rodia le 15 Avr 2003

Bruxelles, ville surréaliste

Old par Rodia le 02 Mar 2004

Staphylocoque… exil (volontaire ?!) de la Toile, retour, vision de cet être, de ce concept, que dis je, de ce monument… Benoit… et ce mot qui hante mon esprit depuis ; Sta – phy – lo – coque… petite bactérie deviendra grande dit on.. heureusement pour nous certaines meurent dans l’oeuf !

Et inlassablement il retourna à son dur labeur, secouant et remuant des tonnes d’immondices, espèrant, un jour, peut être, atteindre la mythique perle de merde

Old par Rodia le 07 Août 2002

J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

Je veux du vert pâle.

Old par Rodia le 14 Avr 2003

Tu es floue.

Old par Rodia le 14 Mar 2003

« là ici »