Broken girlfriend.
Igor : « si un tigre hésite trop longtemps à prendre une décision, il s’endort ».
Vous allez tous mourir !
Igor’s blowin’ in the wind.
Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.
Carver répondait toujours « autre ».
Poison.
« I can teach you the secret of enlightenment…or I can teach you how to fly a jet plane. »
Igor : « Tu as tué mon père, tu as tué ma mère, tu as tué mon peuple ! Et tu as volé l’épée de mon père ! »
Les acteurs des films en 3D payés plus chers que les acteurs 2D ?
Et la Nuit. t.co/yUJsxzcQ
Il fait incroyablement beau ce matin de printemps. Alors on ouvre la lourde porte du bunker. Dora, alors, nous laisse là, seuls, sans son sourire et sa lumière. Alors on pleure, on se tient la main, puis on retourne dans le bunker où il fait un peu plus noir, un peu plus froid.
On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
Etc.
Solune venait de mourir. On ne rigolait plus au Paradis. L’increvable vieille dame en partance, destination finale. Le parrain, en larme.
Dehors les choses vertes vomissent petites coupures, ma femme rentre à la maison et j’en perds la raison. Je mange très sain, yin yang ring.
Les milices bengali me paient des frites et du pastis. t.co/HfXI0lLh
U
Mina, lasse, assise dans la douche exiguë, se laisse aller à la nostalgie. L’eau, pas très chaude, déborde tranquillement. Dehors, il neige.
Je suis contre. Je suis contre. Contre toi. Je lutte contre. Je suis contre. Mina contre les hommes poulpes de Zanzibar. Les loups sont.
La nuit je fais des cauchemars en rouge.
Mais tu dis n’importe quoi.
A Ngakau. A Ngakau. Tihe mauriora. Kia koa koe. E taku hine, e taku hine.
Deux mots : saucisson et chocolat. Sagesse. (thx @ioudg)
Mina à Igor, l’œil torve : « Krakoukass ! »
I just lost the game. bit.ly/lost_game
Et Mina, d’aimer toujours Nicola et son pigeon aux yeux laser. t.co/qFdGEdzk
Tu sais ce qu’elle te dit ma main ? t.co/iQ2vHvcG
Un traducteur corrézien ivre de joie mélange pourparlers de paix et phase de poules. Drame.
20 ans après sa sortie on peut encore sentir l’huile de patchouli sur la première édition de « Like a prayer ». Igor parfois la nuit.
Fermez les yeux. Et comptez de 5 à 0. Ça va piquer un peu.
Mina, Igor, luddites.
Je te vois…
Samedi matin. Se débarrasser de la corde de guitare. Planifier nos prochaines actions avec grâce. Mina somnole. Igor craque le code. Apogée.
57 secondes.
Je rentre. Fermez les yeux.
Linda Kasabian : « Je ne suis pas comme toi Charlie, je ne suis pas capable de tuer quelqu’un ».
Twitter me permet de raconter au monde exactement ce qui arrive au moment où ça arrive. L’important c’est l’objectivité de l’observateur.
Tu es amoureux ou tu as juste besoin d’amour ?
Au clou la vie passée. Patatrac. plixi.com/p/58879634
13h14 : Carver ne bouge plus. Mon reflet, un peu effrayant, la milice me va trop bien, l’uniforme, le pistolet à aiguille, frisson. Ne pas.
Tachycardie dans la maison des secrets.
Pas de mutilation aujourd’hui. C’est réconfortant. Nos tortionnaires se détendent, jouent au curling, ivres. C’est mon anniversaire.
Moi, non.
Ils ont volé mes cartes de crédits, pas le liquide, je me lève, ils me repoussent, dans la baignoire, je brûle les plans du zeppelin.
Sur la table : une boite, noire. Dans la boite : cinq millions de nanomachines plutôt agressives. A la porte, les miliciens flous. J’hésite.
Je vais entrer dans ta maison, dans la forêt, et, étranger, te regarder dormir, sans bruit. J’aurai un masque, un animal totem, et une scie.
Dans les prisons de Nantes (air connu).
Enfin c’est dimanche matin. Dehors c’est la fin du monde et tous les chats sont gris. Mina décroche son fusil à illusions perdues. Méfiance.
« Middle night crisis » : l’homme à la tête de chat donne son avis, enfin. Igor, Mina, Carver, rechargent. On va manger froid.
Et Laurie Strode s’appelle finalement Angel Myers. The Shape est dans la maison ce #soir.
On sortait la mappemonde, la maquette de dirigeable, les bouquins sur les armes et les revues de mercenaires et on triangulait naïvement.
Il ne reste plus que moi et le blizzard dans la station, ils sont tous morts, comme les chiens, mais. Ça gratte dehors. Urbi et Orbi. Tic…
A cœur brisé rien d’impossible. Je me sens tellement comme Rimini sous la pluie. Electrelane à fond dans le salon, toujours rien avalé.
Le mystérieux manager androgyne de Mina et ses Minettes, Carver, hantait le backstage, ses pupilles, énormes, ses amulettes, mortelles. Si.
Hey ! Le dialoguiste de nos vies, stop l’acide.
Carver restait flou, ne pas renoncer à retrouver ses amis dans les ruines de Londres, Rome ou Paris. Et rien encore. On peut rêver. Si.
Le mardi c’est pour la vie.
Quelques jours après la guerre, les ruines de l’antique cité. La jungle partout. Les militaires, de tous pays, rient, baisent et pardonnent.
Le matin.
Une femme fontaine. Zarma. À la maison, les chats. Ouf.
Pourquoi je dors pas. #zerozero
Les lamas incendiaient les pneus, la colline de la mélancolie, le nuage de fumée rendaient les délires islandais bien vains. Je, le réseau.
Pierrot Tactile ?
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
S’il vous plaît, Patron, vous permettez que je m’abrite avec le couvercle ? Il y a un de ces courants d’air !
Mina, Igor et Carver, dans le salon, observent le géant, ivre, qui repose sur le canapé, défoncé. À la radio, Electrelane. Ici, il est midi.
Le ninja du biriani a encore frappé.
On m’a pardonné, je garde ce compte : la science c’est vraiment amusant.
Don’t tweet !
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Je ne doute pas que tu sois quelqu’un de raisonnable. Je ne doute pas de tes bonnes intentions. Je ne doute pas de ta réalité. Presque pas.
Et Carver, se soustraire à la foule. Soudain.
#Mina aime la vitesse, les duels, les kaijū eiga et les femmes pirates. #Mexique 2011, les immunisés se paien… ♫ blip.fm/~5a00r
Carver, Mina, à la pêche au bébé dauphin, depuis la passerelle du dirigeable surarmé, discutent philosophie alien.
Je suis un homme brisé, comme la pâte. #gâteau #quiche #patrimoine
Fesses. No. More.
Celui qui kérave, il sait.
Mina, en larmes, sur la jetée.
Un jour.
Et Carver, d’enfoncer son borescope encore plus avant dans les profondeurs dangereusement verticales, nues, de son abdomen rutilant, soyeux.
A la maison, joyeux trio. Le chat, moi et ton absence.
L’homme à la tête de chat n’est pas rentré depuis deux jours. Ses amis s’inquiètent. Ses ennemis aussi. t.co/eu8BHIUW
L’escalier du gibus, la féline, je laisse passer les deux filles avec les chapeaux fluor.
Kaboul de pétanque ?
et puis le lapin géant bouffeur de planètes IL BOUFFE DES PLANETES ALORS QUE Y’A DES GENS DESSUS!!!
Read each balloon in whatever order appeals to you most. Freestyle! It’s your book now! Don’t let the man tell you which direction to read!
Traboule moi toute.
On flotte tous en bas. Décontractyl + Ibuprofène à haute dose et mon cerveau, ma jambe de concert deviennent flous, voire flippants. #crash
Cut the cake.
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Enfin, bon, toussa toussa.
Comment expliquer. Je porte le badge blanc. Et je danse jusqu’à vieillir la nuit.
La compote fut inventée en 1756 par le Chef Français et restaurateur particulier du Duc de Tourgueniev. Réduire un adversaire en Compote ?
Carver : on parle beaucoup ces jours ci d’un homme à la tête de chat. Un penseur hilare. Un festif félin facétieux à facettes. Un gourou ?
Tu devras porter un badge blanc ou un masque de chèvre. Je suis pas clair, camarade ? Un lundi sur Dieu, bouddha bouddha peste ?
Miliciens, anglais, chinois et serbes avaient résolu de se retrouver au dessus de la Tour Eiffel. Les dirigeables constituant zone neutre.
Fly me to the moon…
Igor : quand tu n’es pas là je mange vraiment des trucs supers. twitpic.com/1i5lrg
Ils sont pas tous fondus à la même taille. C’est assez peu pratique, pour faire du deltaplane, du jokari ou compter sur ses doigts.