il est trop tard à présent,
les dragons ne passeront plus.
La Maison Blanche a aujourd’hui présenté je cite « toutes ses excuses au peuple Irakien, pour une épouvantable et tragique bévue qui a couté la vie à près de 168 soldats des Etats-Unis d’Amérique et à environ 40 000 civils et militaires Irakiens », le porte-parole de la Maison Blanche a précisé au cours d’une conférence de presse ce dimanche 7 septembre que suite à un disfonctionnement des services de la CIA, l’Etat-Major américain avait été induit en erreur : en effet, les documents impliquant le groupe Al Quaeda désignaient en fait le club de buveurs de bière danois « øl kraeska » qu’une mauvaise transmission par télécopie a interverti avec le célèbre groupe d’action terroriste dirigé par Oussama Ben Laden.
La porte-parole de la Reine du Danemark s’est déclarée « choquée » par de telles accusations et demande au gouvernement américain de bien vouloir apporter des preuves confirmant celles-ci. Pendant ce temps, toujours durant la conférence de presse du 7 septembre, le porte-parole de la Maison Blanche a précisé que l’Etat-Major américain « n’excluait aucune solution » pour que les membres du club soient livrés dans les plus brefs délais à « la justice des Etats-Unis d’Amérique, soutenue et guidée par la main de Dieu dans son combat contre le mal ».
Une réunion du conseil de sécurité de l’ONU en urgence dans la nuit du 7 au 8 septembre n’a pas éclaircie la situation : la proposition de la France et de l’Allemagne d’envoyer des inspecteurs de l’ONU controler les installations de brassage de bière danoises n’a pas été adoptée, dans le meme temps, la proposition de résolution de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis d’un embargo commercial total contre « le Danemark et ses alliés » a été rejetée de justesse, par 8 voix (France, Allemagne, Chine, Russie, Pakistan, Angola, Syrie et Guinée) contre 7 (Etats-Unis, Royaume-Uni, Espagne, Chili, Cameroun, Bulgarie et Mexique).
Le Porte-Avion USS America et son escorte font d’ores et déjà route vers la mer du Nord selon des sources militaires. Tony Blair affirme pouvoir présenter des preuves décisives d’une « implication avérée de citoyens danois » dans de multiples actions de terrorisme visant à une destabilisation du gouvernement des Etats-Unis d’Amérique et de ses alliés Anglais et Polonais. Il présentera en ce sens le 15 Septembre un rapport des plus grands spécialistes britanniques en la matière lors d’une allocution à l’ONU prévue de longue date.
La reine Margrethe II qui dirige le Danemark depuis 1972 appelle les danois à faire preuve « de courage et de détermination dans l’adversité ». Le premier ministre libéral Anders Fogh Rasmussen insiste lui sur « la bonne volonté danoise » et sur « la volonté de dialogue » de son pays face aux accusations américaines, il appelle de plus à « croire en la paix et au droit international ».
incapable de dire
ce que j’aime
incapable de décrire comme on s’amuse…
…on boit, on fait les fous ?
…on a des problèmes d’audition, c’est mortel !
…on fait plein de plans sur la cométe qu’on réalise jamais… ?
alors je prends le bus
et je rentre travailler.
il y a une vieille femme folle qui casse des trucs dans la rue
Les présages d’aujourd’hui :
– tout se produit toujours deux fois.
– si tu esperes protéger quelqu’un contre toi-même, il ne faut pas lui accorder d’attention particulière ou il souffrira.
– tu risques de blesser quelqu’un de ta famille par quelque chose venant d’en bas.
information = desinformation
l’engagement est individuel, chacun une petite chose pour que tout l’monde aille mieux.
Ce matin, je me suis éveillé en sursaut, couvert de sueur et tremblant
Je me souviens de ce meurtre commis étant enfant, je sais que tu t’en souviens aussi, on avait tout maquillé, t’en souviens-tu ?
Le cauchemar reviendra me hanter, j’en suis sûr, de plus en plus précis
Je n’ai pour l’instant que quelques images et quelques sensations
Tu as gardé tout cela pour toi, pendant toutes ces années
Je t’admire, je te hais
Tu n’aurais pas du porter ce poids énorme seul
Je me demande encore qui nous avons tué, j’entrevois comme une photo mais elle est trop floue pour que je puisse voir de qui il s’agit
Par contre, l’odeur de notre vieux parquet branlant est là et je sens aussi le poele à mazout, cette antiquité d’un autre age
Depuis quelques heures que je suis éveillé, mon coeur se calme à peine
J’ose à peine essayer de me replonger dans ces souvenirs
Je n’imagine pas comment on a pu s’en sortir toi et moi
J’espère et je crainds à la fois la nuit où tout me reviendra en mémoire d’un coup
pourrais-je encore trouver le sommeil ?
« Dès qu’il rentrera des Etats-Unis,
que l’indépendance sera faite,
je veux rever, hurler et faire la fete
pour mon doux La Fayette,
Indocile, fière et paillarde
Je veux porter très haut sa cocarde
chevaucher le canon à ses cotés
lorsqu’il mène nos hommes à la bataille
et par ce drapeau qui est le notre
je veux jurer devant lui
Je vous aime
et je n’aimerai jamais personne d’autre que vous »
Le temps est une poubelle
Le temps est une catastrophe ferroviaire
Le temps est une planche à repasser
Le temps est une musaraigne
Le temps est une lotion capillaire
Le temps est une selle de vélo
l’ame,
c’est ce pays éthéré qu’on a tous à l’interieur de nous
lorsqu’on ferme les yeux,
c’est ces lumières et ces couleurs qui jaillissent
lorsqu’on regarde son coeur
c’est cette musique et ces chants
qui emplissent les solitudes intèrieures
bruits bleus et chants carrés,
mer vibrante et amoureuse
tempete de lumière
sur les phares du hasard
je ris
et j’imagine demain
tendrement.
le vieillard,
il m’a dit que les dieux avaient créé la vie
pour mettre en valeur un monde stérile,
qu’ils le voulaient très coloré
pour quand ils reviendraient le manger.
des éclats de rire dans le XVe arrondissement, je ne pensais pas qu’on pourrait voir ca un jour. Passer le pont Mirabeau et sourire de la vie, c’est boooon…
« I hidden my head in your universal matrix, I amalgamate with you and my conscience disparait. »
j’avais lancé mon intuition sur ses traces
et… rien,
cet homme c’est un courant d’air.
(ou un hermétique ?)
C’est ainsi que nous frappons le tambour sur les îles occidentales…
Ecoute nos voix, viens danser avec nous. Tu aimes notre chant, n’est-ce pas ? Il conte les amours de la reine des fées et d’un mortel. Ouvre ton coeur. Entend nos voix mélées à toutes les voix de la terre des hommes, écoute l’histoire, écoute la…
écoute…
retour de la plage
et du paradis Crypto-libéral : DEAUVILLE.
Je reviens
et
Je rêve de toi
et de moi dans tes bras,
again.
Je suis coupable d’aimer les belles choses plus que le bien.
D’aimer le plaisir plus que l’esprit.
Pendant des siècles, nous, les vénitiens, n’avons pensé qu’à nous-memes, au profit que nous pourrions tirer du reste du monde.
Nous feignions d’aimer Dieu, nous construisions des tas d’églises, mais nous ne L’aimions pas.
Nous n’aimions que les belles églises que nous batissions, comme un avare aime son argent.
Nous aimions le marbre et l’or et les vitraux.
Un jour, il y a très longtemps, le reste du monde nous a fait la guerre.
Mes meilleures armes sont rouillées
Mon masque est fendu
Mes sortilèges sont épuisés
Tout ne va pas etre facile
Dans les jours à venir
Saturne
Mon arbre ne me donne pas seulement des fruits délicieux
il me prodigue aussi asile et réconfort
lorsque la mer est mauvaise
Selon le Roi Mob le Cyphermen sont des humains qui ont été modifiés
par les transmissions subliminales à haute fréquence. Les signaux
suppriment la pensée individuelle et encouragent la fidélité
d’esprit de ruche. Japanese Corporations les utilisent sur des
employés de bureau. Ils semblent être employés généralement par
l’église externe pour temps-voyagent travail (ils ont voyagé de
nouveau à la France au moment de la révolution et à New York dans
les années 20). Dans ces circonstances, ils sont envoyés dans le
passé comme projections d’esprit. Ceux-ci peuvent être perturbés
par des armes telles que ‘ Ghostbuster ‘ du Roi Mob’s.
On parle aussi d’activistes, de fous venus du désert, de créatures celestes, de menaces d’attentats contre l’Aqueduc d’Our… tout cela Tourguéniev s’en moque bien, ses liens avec le conseil de la ligne lui permettent de débrouiller rapidement les rumeurs interessantes des bruits insignifiants. Baigné dans la lumière rasante d’un jour qui s’enfuit, Tourguéniev descend le monumental escalier du dôme. Il doit gagner la vieille galerie n°7 pour y rejoindre deux de ses amis : un ex-porteur d’eau aux larges épaules rencontré à Lo voilà de nombreuses années et une capitaine specialement détachée de Gardune avec laquelle il a dejà travaillé par le passé. Tourguéniev apprecie la loyauté de Nikolaï et sa tranquille assurance. Ses dons pour la mécanique en font un compagnon idéal lors d’excavation de nouvelles galeries et pour rien sur la ligne Tourguéniev n’aurait désiré entamer l’exploration des nouveaux souterrains de Gardel sans lui. Natalia, formée dès son plus jeune age par la caste des soldats de Gardune aux arts du combat, avait su gagner sa confiance au cours de missions passées executées ensemble pour le compte du conseil. Elle demeurait une enigme, comme lui. Un électron libre lancé à pleine vitesse dans la nebuleuse des agents speciaux du conseil de la ligne. Ambitieuse, dangereuse et insoumise, telle était Natalia et Tourguéniev l’appreciait ainsi.
je pleure car j’ai besoin de toi
je pleure car je te sens
je pleure car j’ai besoin de toi
je pleure car je tiens à toi
si seulement un bateau arrivait
ou seulement si quelqu’un venait
frapper à ma porte
ou seulement quelque chose
je pleure car j’ai besoin de toi
je pleure car j’ai besoin de toi
Notre armée
avait brisé la plus grande des portes d’albatre
et nous nous enfoncions
au coeur du labyrinthe,
dans l’espoir de rejoindre
le palais impérial
pour enfin trancher net
tes abeilles et ta tête
il était fier d’affirmer qu’il pouvait faire du vrai avec du faux,
on n’a jamais vraiment trop su ce que ça pouvait bien signifier
mais je crois qu’on peut le voir comme ça,
un homme de formules,
difficile à saisir
et attachant à la fois.
présages d’hier :
-« transgression » ou « transgression = pauvreté »
associé à « tout arrive toujours deux fois »
-« violence » ou « la dispute »
J’ai reçu trop de coups de couteau
et je dois rompre le combat
Je suis si vieux
et mon coeur est si sec
Je n’ai plus la passion des combats,
ni le goût du sang
Je ne désire plus que me retirer
pour mourir dignement
Un vieux cadavre gris
qui séchera loin de ta vue,
c’est le seul avenir que je veux
ne pas blesser tes jolis yeux
De mes chairs infames
pourrissantes et envahies de vers
je ne veux heurter ta narine
délicate et adorée
Les mouches, noires et bruissantes
qui tournoieront sur ma dépouille
jamais ne t’approcheront
Ô mon ange, mon tendre amour
Détourne-toi de mon souvenir,
ne me regrette jamais
détruis les cadeaux que je t’ai remis
et évite nos anciens amis
Je veux disparaitre,
cette vie n’est rien
sans le contact de tes bras
et de tes lèvres sur mon corps
Adieu
les doigts tous abimés par les produits chimiques
j’essaie de comprendre
pourquoi tu me regardes
avec ces yeux là
je ne suis rien
d’autre que moi
je ne suis rien,
s’il te plaît,
ne m’aime pas
ce lendemain de fête
n’est pas pour nous,
oublie moi
lu sur un autre blog
j’ai réussi de justesse à rejoindre maman avant qu’elle ne prenne la voiture pour aller au déjeuner chez papa
j’ai jeté un froid sur place en disant à tous que j’avais une maladie
puis on a bu, alors ca n’a plus eu l’air de choquer personne, peut etre que je n’ai pas trop l’air malade,
en tous cas, on a bu plusieurs litres de vin (francais, espagnol, italien et argentin) au soleil, c’était agréable
mon frère a l’air en forme et joue beaucoup avec mon autre frère
mes soeurs sont arrivées en retard,
elles avaient trop pratiqué l’espagnol, ca les a empéché de se reveiller
papa nous dépose après le déjeuner avec sa jaguar sur les quais du canal st-martin
nous retrouvons un ami américain de ma soeur,
un autre américain arrive à vélo
on boit quelques bières
puis on va chez eux, un appartement très mignon dans un repli spatial près de belleville si j’ai bien compris
on achéte d’autres bières et on discute en anglais longuement
jusqu’au moment de bouger,
on va aller voir la fiancée de mon frère qui est dj et qui mixe dans un bar pas trop loin
on boit quelques bières,
je danse comme un fou,
j’embete un peu les djs en tenant les disques qui tournent pour voir l’effet que ça fait
on retrouve plein de gens là bas
je perds pieds,
je rentre,
je m’endors dans le taxi
mais je me retrouve miraculeusement à la maison
grace à l’honneteté de ce chauffeur là (mille mercis au chauffeur blogueur)
aujourd’hui je me suis réveillé tard,
j’ai une splendide gueule de bois,
je ne sais pas à quelle heure est le prochain train pour Nantes,
il faut que j’aille à la gare…
« Et même si ailleurs se brisent nos oeufs de lump ,
Je garderai en moi la sonde anale des jours meilleurs
Pour qu’on soit toujours comme les 5 branches d’une guitoune »
( L5 – Les 5 branches d’une grippe intestinale )
Il emprunte depuis si longtemps le chemin de la volupté
qu’il a oublié le mérite et la dignité
Il marche dans la vie, toujours un verre à la main,
souriant vaguement à ceux qui l’entourent,
Il ne laissera rien qu’une idée, un halo doré qui s’éloigne
et une trainée de parfums capiteux
Il ne se demande jamais où il va,
sa deesse lui fait une vie facile, il se laisse guider par son coeur
Les voies sont faciles, les compagnons joyeux
pour celui que tout le monde oubliera
après de modestes adieux
Tu aimes vraiment cet homme là ?
A l’aube l’esprit est venu me chevaucher
Et emplir mon corps de désirs impi(e)s
Que mon ame réprouve de toute sa force
Mon enveloppe est comme chauffée au rouge
Par le plus infime mouvement
Je ne suis que brulures, soleil noir
Baal tutélaire d’une Carthage en furie
Que la lumière et la raison ont quittées
Je suis Moloch et j’exige des ames !
Au feu de mes sens, je veux vous immoler
Cette force est en moi,
Elle explose chaque seconde un peu plus
au secours
son grand numero de white trash
me laissait completement froid
je sentais que nous étions liés
alors je mimais l’interet
essayant de combattre l’ennui
en faisant des prédictions
nous serions amants, oui,
on vivrait ensemble,
un peu,
je n’arrivais pas à voir clairement
pourquoi nous romprions,
ce mystère agaçait mes sens
et je pris son sexe dans la main
à travers son pantalon
pour hater le destin.
Si tu ne cours pas
C’est le froid qui t’endormira
Et si tu ne t’arrête pas,
C’est le souffle qui te manquera
Et la mort te prendra
Sans savoir que tu n’y croyais pas
La neige, lentement,
Couvrira ton corps raide de froid
Ne pleure pas
Il ne faut pas
Car l’eau de tes yeux gèlera
Il faut croire
Jusqu’à la mort
Que l’inespéré viendra encore
Cours, cours, traîne-toi
Dans la steppe immense et gelée
Tu vivras, oh tu vivras
Jusqu’à ce que le soleil soit couché
Un soir où même les plus chouettes sortilèges ne fonctionnent plus. Un soir où on se sent usé et on ne distingue plus aucun présage. Un soir où l’avenir proche devient flou et on ne lit plus les pensées. Un soir idéal pour commencer de longues, longues, longues… vacances.
*soupir*
tu étais mignon
dans ce bus là,
tu aurais fait une jolie proie
si j’avais oublié cette leçon là :
« le bus n’est pas un bon endroit pour grignotter »
Né en 1818, Tourgueniev est élevé au monastère de Spasskoje. Il y connaît une éducation stricte et les rigueurs et monstruosités auxquelles donnait lieu l’institution du servage : malgré de nombreuses cicatrices laissées par le fouet des précepteurs orthodoxes, il garde un bon souvenir de la vie en contact avec la nature et proche du peuple. À quinze ans, il entre en pension à Moscou et continue ses études à Saint-Pétersbourg. Il rencontre Pouchkline et commence à écrire des notices techniques. Un long séjour à Berlin lui donne accès à la culture occidentale. De retour en Russie, il rencontre Pauline Viardot, la célèbre cantatrice sœur de la Malibran, et son mari ; il tombe éperdument amoureux de la jeune femme. Cet amour sera toléré par les jeunes époux et Tourgueniev admis dans le cercle familial. En 1847, Tourgueniev décide de quitter la Russie pour vivre auprès de Pauline Viardot. La publication des Récits d’un chasseur , réquisitoire implacable contre le servage, lui assure une toute première place parmi les écrivains russes. À la mort de sa mère en 1850, il devient propriétaire d’une grande fortune, mais il est retenu en exil sur son domaine. En 1856 seulement, il peut repartir en France, mais Pauline Viardot ne lui est plus favorable. Il devient mélancolique, se met à boire, voyage, rentre en Russie, continue à écrire récits et romans sur la vie russe et à s’adonner à sa passion première : les manuels et les notices techniques que sa connaissance du français, de l’allemand et du russe lui permettent de traduire avec un talent inégalé. Il se brouille avec les critiques de son pays et décide de s’installer définitivement à l’étranger en 1864, à Baden en Allemagne, près du domicile des Viardot. Il y fréquente une société brillante d’artistes et de techniciens. Il renoue avec Pauline Viardot, toujours délurée. La guerre de 1870 vient briser cet idylle, et l’écrivain reprend ses voyages avant de s’installer à Bougival, près de Paris, près du domaine des Viardot. Il se lie d’amitié avec Flaubert, Zola, les frères Goncourt. Sa gloire est désormais établie, il est élu vice-président au Congrès international de notices techniques en 1875, aux côtés de Gustave Eiffel, et reçu triomphalement lors d’un séjour en Russie où il retrouve avec émotion ses frères Igor et Nicolaï ainsi que sa petite soeur Dot. La création en 1879 d’Un mois à la campagne, écrite en 1850, est un énorme succès. Vieilli et malade, Tourgueniev meurt en 1883 à IKEA.
oublie ceux que tu as aimés,
tu es avec nous maintenant,
tu es habillé comme nous,
tu executes les memes taches,
tu as les memes centres d’interet que nous,
tu vibres à l’unisson de notre vibration,
tu es un autre,
n’est-ce pas merveilleux ?
après de longues discussions,
il a été décidé qu’on ne ferait rien et que stratègiquement, c’était une position défendable.
Il dit que chacun d’entre nous
doit planter son Arbre-aux-contes
vert, magique et brillant
qui saura le guider et l’accompagner
tout au long de sa vie
Il dit que Tourgueniev est mort,
il dit qu’il l’a vu mort et que ca prouve tout.
il dit qu’il fallait que ca cesse.
il dit qu’il est content.
il rit tant qu’il a des dents.
il rit et dit qu’il pleut.
je crois qu’il est fou
et qu’il mérite sa balle dans la tête.
Je ne vois plus l’horizon
je ne vois qu’une ligne de chiffres
à perte de vue
Je ne vois plus l’horizon
cet infini qu’on apercevait
depuis notre tombeau
Il a disparu
c’est ça le chaos ?
Ce soir ton fantôme
demandera à mon fantôme
Où est l’amour ?
Les images se grimaient et se paraient de mille couleurs pour séduire les hommes, toutes possèdent la langue habile et le charme facile des créatures enjoleuses des deux sexes. Bientôt leur influence sera telle que plus rien ne sera en mesure de s’opposer à elles. Elles balaieront la philosophie d’un revers de la main, supprimeront la vérité et enverront les hommes mourir au loin pour les plus belles d’entre elles.
Un nouveau parti, « Mexique Possible » (PM), qui réclame la légalisation de l’avortement et l’union légale entre homosexuels, tente aussi sa chance pour obtenir les 2 % de voix nécessaires pour entrer au parlement. Parmi ses candidats, une première pour le Mexique, un transsexuel, Amaranta Gomez Regalado, 25 ans, affiche son ambition personnelle de « lutter contre le conservatisme de Vicente Fox« .
aujourd’hui je confonds allégrement un humain et une souris de laboratoire,
mes amis s’inquiètent pour moi et je ne comprends pas pourquoi…
La reine des glaces m’avait banni des terres de L’Ouest
et c’est le coeur lourd
que je franchis pour la dernière fois
les portes d’argent
dont la cruelle engeance des fées
me prive à tout jamais
personne ne porte le meme toucan adore la marmitte, les trésors et les ciels oranges,
Igor et Nicolai le savent bien.
Les altermondialistes réclament un autre monde.
personne pour arreter le temps, rien qu’un petit peu ?
je ne veux pas quitter cette ile que j’aime tant,
je veux y passer encore une dernère nuit,
là,
entre tes bras.
il dit :
j’aimerais t’aimer…
elle dit :
ce n’est pas grave, tu n’y arrives pas, c’est l’intention qui compte.
Longtemps sous les arbres
tu vécus heureux
prend garde à la mer
Au premier cri de la mouette sur la grève
ton coeur
plus jamais ne trouvera la paix dans la forêt
Je crois qu’il n’a jamais vraiment compris qui j’étais
et pas un seul instant je n’ai douté de la sincérité de ses accolades généreuses et de ses baisers envoutants
dommage d’avancer ainsi masqué
et de devoir tout dissimuler à ceux qu’on aime
je suis de ceux que le soleil indispose
et que la pleine lumière rend transparent
on ne peut s’y opposer
et on doit composer sans cesse avec cet ennemi intérieur
qui réclame sans cesse la vérité
PsychoMiX
Farfadet mongol sans gravité, bonheur, pour vivre un chromosome : l’image manque. Couillonne ! 1917 : foirade.
Où es-tu ? En souvenir de toi tu vas voir le colt 45. Tu m’avais promis tes échasses, ton cabinet médical, Bianca ! Trust l’hépatite c Klingon. On va nous salir, emplafonner du temps et partager le singe. Les pédalos en lettres rouges, les répondeurs téléphoniques nus, tes casseroles … la classification périodique.
C’est fini. Je frappe.
J’aime.
aimer ?
Le cœur des policiers chasseurs !
Ils auraient aimé un préservatif, Igor.
Don’t care, tu t’en fiches. Amour, fictions, continent ? La poire, contre toi, was crying. I won’t forget ma pigne-pomme de pin,
never
L’homme avait fêté le décès de son malheureux voisin en tirant des feux d’artifice devant chez lui et en entonnant à tue-tête une chanson populaire allemande intitulée « C’est un jour formidable ! » alors que la famille ramenait le cercueil du défunt à son domicile.