Je penche pour 80%.
Dans certains cas, la personne atteinte peut reconnaître ces sensations et si elle en a le temps, s’allonger pour prévenir une chute.
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
Pourquoi jamais on dort ?
Mina panse Yves limite ?
Mina : je ne sais pas si mon japonais est compréhensible… Aku di dalam kabut ?
Les américains l’avaient dans un sac depuis des années et ben, il commençait à sentir. Mais en fait, il n’existait pas. bit.ly/iE5ZP1
The Lesbian Conspiracy 2.0 manifesto mais je vais à l’étage supérieur. J’ai une superstar. — thatcan.be/my/next/tweet
Duryôdhana : Vois, mon maître, la grande armée des fils de Pându rangée en ligne par ton disciple, le fils habile de Drupada.
Carver, il y a quelque chose dans votre dos. A Pompéi, tournez à gauche.
Couche-toi près de moi, bariolée, nous avons du temps de reste pour retourner à la bergerie. #ns
La mère de Carver ne pouvait s’empêcher de surveiller ses fréquentations et sa consommation de pilules. tinyurl.com/nononodrug
le récitant : Theoretically, Chaos Magick is a meta-belief – beyond belief, a system without a philosophy, or a system that can contain all philosophies. Yet, there is very definitely a Chaos Magick ‘vibe’. It is not only a magickal practice, but also a magickal (anti-)philosophy. Just focus on the word ‘Chaos’. What does it mean to you? Flux, constant change, anarchism? A fractal understanding of a mathematical universe? A discordian object of (mis-)worship? The word is important, regardless of its ‘true’ meaning. Its cultural baggage imparts a nihilistic, post-modern, anarchistic flavour to much Chaos Magick speculation. Insures very Nietzschean stuff be goin’ down: God is dead. Laugh, for we have killed him. Since life is meaningless, be the artist of your own destiny. Create your own meaning, rather than be enslaved or conditioned by anyone else’s. If nothing is true, then everything is permitted.
Deux longues de suite c’est comme écraser un serpent sur terrain plat ou jouer aux courses au mois de mai, c’est la mouise maximale. #chance
Je peux ouvrir ce chien juste avec une orange. Couper un artichaut en quatre ne le ramènera pas parmi nous, ce maigrichon. On va limiter ça.
Igor possédait un zx81, est né sous Pompidou, est chauve, en marcel et déjeune au soleil avec sa mère. #jesuisvieux
Les bicyclettes neuves contre la barrière de la maison trahissaient la présence de visiteurs. Explosions à l’intérieur : ennemis enragés.
Sur Rowe Island, Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat achèvent les préparatifs. On décore les palmiers. t.co/yA2xfh75
Ben Stiller m’a conseillé un livre de contes chinois. Mina sublime, peinture et boxe française. Carver, vélo et baïonnette, la grande forme.
Je regarde la porte, j’écoute les bruits de pas dans l’escalier, je l’imagine sur le seuil cherchant ses clefs. Mais non.
La nuit. Et les fembots chantaient un truc qui m’colle encore au corps et au cœur.
Intertextualité quand tu nous tiens. Hein quoi qu’est ce !?
Petit déjeuner dans les ruines. t.co/MSu75e6W
Alors ils se sentent le nez et c’est la paix.
un verre de vodka red bull et tout devient si facile quand on ne peut pas franchir le seuil de la piste de danse malheureusement je reste au double pastis alors attention les pieds et les genoux car.
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quand on arrive en ville on recueille le salut des étoiles et les baisers des jeunes filles en fuite, les jeunes hommes se pressent afin de voir passer notre étonnant cortège, ils aiment à se parfumer.
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de ces trois fleurs aucune n’est bleue et pourtant je ne peux m’empêcher de les trouver désirables comme quoi les images mentales que l’on se fait des objets ne gâtent en rien une éventuelle satisfaction.
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temesta attaque oneko qui la suit et lui fout une trempe, se barre puis elle le suit, il l’attaque et elle se sauve, il se sauve et il l’attaque et il ne peut pas manger ni elle pisser alors ils se sentent le nez et c’est la paix.
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ceci est un texte qui va me servir de modèle afin de définir ce que je vais pouvoir mettre ici dans cette petite case minuscule qui va être neuf fois reproduite afin de construire un post particulier.
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au pulp, le club des filles qui rigolent, on se demande toujours ce que les gens trouvent à cet endroit puis finalement on danse, c’est pas joli-joli mais finalement pourquoi pas la vie est courte alors merde hein non mais oh.
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dans le jacuzzi avec patrice carmouze tout à coup ça m’est revenu le tourguenisme, en fait il ne s’agit pas de l’intégrer à une quelconque réalité, juste de le remarquer et de le pointer, éclater la masquarade.
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le tourguenisme n’est pas un mode de vie ou un mouvement artistique de plus ou un délire crétin (quoique) c’est juste un mot pour dire qu’on existe et qu’on est, qu’on garde les yeux ouverts et la pensée.
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dans le nouveau salon il y’a un très beau jonc de mer un peu verdâtre c’est très beau vraiment et très stimulant pour la plante des pieds, en plus l’odeur d’herbe coupée persiste à me rappeler tokyo la nuit, les dirigeables.
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Oh un cochon !
Et les renards nazis.
Et les grands magasins, d’odeurs et de lumières, flammes et brulé, corps de mannequins carbonisés, peluches en larme, crépitantes.
Mina : « La seule doctrine valable est la folie calculée. »
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Carver fredonne : « And our time is right now, now we can do anything we really want to. Our time is now, here in the morning of our lives. »
Renversé par une moto devant chez lui, #Igor_Tourgueniev, à force de #drogues apaisantes, plane complètement. Je suis plus solide que prévu.
Les jours se suivent et se ressemblent à la Fédération Française de Danse Country & Line, où nous sommes interrogés sans cesse par des…
Et l’homme à la tête de chat de déclarer la chasse ouverte. Penser à applaudir. Mina qui baille. t.co/JMLqxdWO
On avait retrouvé un des premiers travaux en couleur de Nadar dans les malles d’un vieil officier hollandais. plixi.com/p/64639956
A long day of outdoor activities.
Comme le rappelle si bien Médoc, dans les années 80 on s’habillait exclusivement avec les vêtements des ennemis vaincus au combat.
Chez les Navajos, c’étaient les femmes qui prenaient l’initiative du divorce en exposant les affaires du mari devant la maison commune.
Et nous préparons la Samain par quelques danses et liqueurs favorables. Les yeux humides.
Enfin tu vois quoi.
Mina, Igor, Carver, un peu orphelins. t.co/0lIJ0sKq
Aujourd’hui nous est venu un enfant, et son nom est bacon.
La nuit. Je ne jette rien par la fenêtre. Promesse.
Mina, Igor et Carver surveillent l’horloge nucléaire coréenne. L’Homme à la Tête de Chat ouvre son abri plombé au public. Années 80.
Fu & ZiLe
bon elle me dit
tu peux participer
et me donner un coup
de fusil rapport au fait
qu’on soit de bon pôtes
presque la même famille.
alors moi je dis ok
The crime of the century / Who shot little Bambi / Never trust a hippie / ‘Cause I love punky Bambi / I’ll kill to find the killer. #mj #sex
Je n’aime pas les Macs, c’est cher pour ce que c’est et franchement jamais vu un Unix si bordélique, mais c’est beau, parfois. #moonfruit
La fille, avec les fleurs.
je crois, je dois dormir, un jour.
Du bouledogue au sanglier : vous recevrez encore des amis ce soir. Le vent souffle les flambeaux.
Enter three Witches.
FIRST WITCH: When shall we three meet again? In thunder, lightning, or in rain?
SECOND WITCH: When the hurlyburly’s done, When the battle’s lost and won.
THIRD WITCH: That will be ere the set of sun.
FIRST WITCH: Where the place?
SECOND WITCH: Upon the heath.
THIRD WITCH: There to meet with Macbeth.
FIRST WITCH: I come, Graymalkin.
ALL: Paddock calls. Anon! Fair is foul, and foul is fair.
Carver et Mina avaient discuté longuement de la notion de « fantômes américains ». Igor, lui, jouait du banjo. bit.ly/mjexclu #mj
Encore quelques minutes. Je vais sauter. Le portable le plus FIN DU MONDE. Quelques secondes. Odeurs corporelles. Très étroit. Seize. Enfin.
le récitant : hahahehehohohehehehohohe he he hohoho hihihiiiii hehehe hehe hoho ho haha haha haha !
la femme que j’aime : je suis contente d’attendre la pluie avec toi.
le récitant : hahahehehohohe hoho ho haha haha hahi !
Igor, au réveil, coincé entre Mina et Carver, souriant : « mais qui voudrait être ailleurs quand on peut être ici ? »
Tourgueniev, avec l’aide précieuse de Carro (visiblement suèdoise), vous offre une première leçon de langue :
t k’un canard= du ai bara en anka ! :)
ya elskar dey : je t’aime
Dai regnar…. : Il pleut !!
varje natt jag ser dey framför mina ögon :) : chaque nuit je te vois devant mes yeux :)
jag är lite sömnig nu…och jag tänker gå sova : j’ai un peu sommeil, et je vais dormir
puss och tack le-chat : bises et merci le-chat
Dai regnar inte…. : Il ne pleut pas !!
Mon petit chat….. : min kära katt
tja / tjaba : bonjour
det är mitt största nöje / ingen fara : c mon grand plaisir / de rien
Voilà c’est tout pour ce soir… God natt. Don’t believe the hype !
A la campagne, les Furieuses Forces Fédérées, devaient souvent se contenter de peu. Trop peu. tweetphoto.com/35834900
Igor, Carver, se jouent des forces maléfiques invisibles des milices mystérieuses, des phalanges grises, des œufs mal cuits, nus, forcément.
Salut les jeunes, je viens vous parler d’un truc grave :
la drogue. Oui, toi jeune, si tu prends de la drogue
tu risques de finir comme moi.
Enfin tu vois, quoi.
Igor cherche une solution, à l’anglaise. London calling. twitpic.com/yk9zd
le récitant : I don’t wanna be like everybody else, that’s why I’m a mod, see?
et donc, le matin.
Et les filles, si.. Si. t.co/DFL9kPS
Grise.
Mercredi : C’est une belle journée, un truc stupéfiant !
Yeah I got busted. So I used my one phone call to dedicate a song to you on the radio.
Trop de trucs brisés, vieux, en miettes, détruits pour que ça soit honnête. Je dois couver un truc. Ouf, je porte pas de chemises bleues.
le récitant : fermer tourgueniev.com ?
… vendredi enfin, longue nuit à rêver de Saint-Bernards géants (pompompom-pom), à me tenir à la fois loin et près de l’autre, me reveiller souvent, pas désagréable… bipbip toute les 6 minutes à partir de 8h… micro-siestes…
« Pour des raisons tactiques, nous ne préconisons pas actuellement l’usage de la violence ou de la sorcellerie contre les individus » – Fiona X, porte-parole du Front de Libération de l’île du sud.
Putain il fait chaud… Je sais pas quoi faire… Ce soir… Y’a quoi pour nous ce soir… Et demain… Et si on fait rien on aura rien… Become Invisible
Grâce à la recherche spatiale, les chaussettes tiennent seules et nous emmènent dans les étoiles. www.youtube.com/watch?v=QaqBnw9xA34
Le corps éparpillé, l’esprit comme les larmes d’Atlas, je retrouve les limites de nos idéaux. Enfin tout ça. Histoire de dire un truc. Nuit.
Murder, sex, drugs, and anarchy follow.
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Le souvenir de la Maison est de plus en plus fort, les images me reviennent, terribles, par vagues incontrôlables. J’évite de trop souvent fermer les yeux tant la persistance rétinienne anormale qui me frappe se fait envahissante. Je revois ses murs et ses souterrains, ses recoins sauvages, ses zones humides et les créatures qui la peuplent. Je sais que je vais devoir y retourner, Elle m’appelle. |
La maison nous aimait tellement. Nos amis ne juraient que par ses miracles. Et puis un jour ils furent dans la cave. Sous la terre. Enfin.
Une limite blanche sur le bitume…
Ne pas la franchir sans autorisation. Si on s’avance on risque gros. Mais si on ne la franchit pas on reste sur le carreau. Pas de récompense sans prise de risque. Ok, je marche. J’enjambe la fine ligne blanche. Ca y’est…
Rien n’a changé, il fait juste un peu plus chaud. Derrière moi, le gris… Devant, c’est flou et changeant, mais coloré. On devine des formes à la limite du champs de vision.
Des choses plus ou moins menaçantes ou voluptueuses. Il serait si simple de faire un pas en arrière et de revenir en sécurité. Je croise du regard un sourire amical, non, plus qu’amical. Une courbe attrayante sertie de pointes et de griffes acérées. Ca commence… Je fais un pas en avant à nouveau, il fait plus chaud… Derrière moi, la ligne à deux pas…
Risquer ou ne pas risquer… Vivre ou ne pas vivre…
Renoncer, enfin…
![]() Moi je pensais que, comme tout le monde, j’allais écrire un roman inoubliable. Aujourd’hui je me dis que ça n’est sans doute pas mon truc (à supposer que j’aie un truc). De là à renoncer à raconter des histoires… mais écrire un roman, je crois que ça ne serait pas… comment dire, juste. C’est la nuit, elle est loin et elle me manque. |