Il neige à Kaboul.
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
Holiday, Celebrate et vive et vive le feu. Holiday, Celebrate et vive et vive le feu. Holiday, Celebrate et vive et vive le feu. Oh yeah !
Un gros gros tigre.
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je t’aime plus que tout au monde plus que ma vie plus que ma carte bleue plus que mon ensemble haute fidélité plus que mon bras gauche plus encore… |
… une poule sur un mur qui picore du pain dur picoti picota … |
On se fait chier à trouver des goûts rares et les gens ont le palais tellement abimés qu’ils confondent « défaite » et « nostalgie morbide ».
le récitant : Tourgueniev est il soluble dans le vin blanc ?
Je me suis fait tatouer un nénuphar sur la hanche, là ou repose la crosse de mon. Royal Air Force ou Red Army Faction, toujours vive le feu…
Un type de plus de deux mètres. Un soldat borgne. Il installe un néon au plafond. Il a posé son arme dans le cendrier en inox.
En toute chose il y a rythme. Dans le cas particulier du rythme de la tactique on ne peut l’atteindre sans s’exercer.
je suis seul ici
sur ce petit bateau
je regarde passer
les vagues et
je cherche à y lire
des présages
en analysant
la forme de l’écume
et les ondulations
douces de la cime.
je suis vaguologue
amateur et oracle
raté confirmé.
Merci / Thanks to @warrenellis via @AuDiableVauvert pour / for Godzilla Bukkake. Macroherpetophilia for all !
Un signe évident que tout cela n’arrive pas vraiment, que l’empire n’a jamais connu de fin. Un motif, alors sans doute un dirigeable. #htc
S’égarer dans une forêt, la nuit. Vraiment se perdre. Allumer une balise GPS. La fixer au dos d’un tigre non castré. S’éloigner super vite.
Les acteurs des films en 3D payés plus chers que les acteurs 2D ?
Wigotim ?
![]() Aller à la rencontre des Sans Abris, pour être à l’écoute et par cette écoute rendre une dignité. Nous n’apportons rien; ni couvertures, ni café, ni repas… pourquoi? Certaines associations le font déjà très bien. Nous voulons juste les écouter, de personne à personne et non d’association à SDF. Nous laisser inviter par elles. Apporter quelque chose aide en effet à trouver une entrée en matière… Mais nous voulons apprendre à aller vers les autres naturellement, sans rien à donner.
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Les jours se suivent et se ressemblent à la Fédération Française de Danse Country & Line, où nous sommes interrogés sans cesse par des…
Le dirigeable survole la verrière de @Flore_m. Avec nos puissants projecteurs, on lui fout les chocottes sévèrement.
C’est encore la nuit ?
Opération canard laqué.
Chez Tourgueniev, on aime les agents secrets,
alors après Airhole, voici Chico Solo,
le célèbre Agent Secret Moustachu…
Suite aux accrochages répétés avec les protestants chinois, Igor et ses compagnons de galère ne vivaient plus que de l’air, vicié, du temps.
Igor au serbes sélénites : je pense que les dirigeables chinois ne vont pas rester plus longtemps au dessus de la zone franche. #mars
Mina, fatiguée, reste au lit. instagram.com/p/elFkYuvhtt/
Ce matin, l’ascète est totalement fermé.
Carver, nous sommes, Mina et moi, avec toi à Rockland.
Long silence glacé.
But Captain Jim had shovelled out doors and paths, and Miss Cornelia had come down and kindled the hearth-fire.
iynot tour youtddzy tomorpx
There is no cake.
Igor, passion nomadisme temporel.
my left foot is a rascal but i love it like a fool
petite pièce minimaliste à jouer dans un sanctuaire incas en Amérique du sud
personnages :
Albert Jiron (un homme pas bien grand)
Gina Jiron (une femme pas bien grande)
Sylvie Jiron (une fille pas bien belle)
Honoré de Balzac (un grand homme)
le Choeur Antique (2000 incas authentiques chantant en mandarin dans le fond de la scène et répétant les dialogues en coeur après chaque réplique)
Acte 1 : Scène 1 : Un sanctuaire incas en Amérique du sud
Albert Jiron :
– Je me sens un peu balloné.
Gina Jiron (pensive):
– C’est l’altitude, chéri, ça va passer si tu pètes.
Albert Jiron :
– Je ne suis pas convaincu.
Sylvie Jiron :
– Là, sur ma gauche, quelque chose de terrible se passe.
Albert Jiron :
– Et cette enfant est si lourde, dieu, si lourde !
Gina Jiron :
– Sylvie, cesse de jouer avec les momies, le Choeur Antique nous regarde bizarrement.
Sylvie Jiron :
– Tout est si lourd…
Gina Jiron :
– Tu l’as toute débalée, stupide imbécile d’anarchiste merdique trop gatée. Que va dire le Guide du Routard. Petite vicieuse, ton père matte tes fesses.
Albert Jiron :
– Cette momie, elle me semble êtrange. Elle est si grande…
Honoré de Balzac :
– Arrrrrgh.
Le Choeur Antique (seul cette fois) :
– Arrrrrgh.
Albert Jiron :
– Elle est morte, Gina. Tu peux la lâcher.
Gina Jiron :
– Tout est si futile…
voile
(et à vapeur)
Igor est en retard. L’agent est une femme. Il lui donnera sans doute la bande vidéo. Ou pas. La #vérité est possible ici.
Igor à Mina : « Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière ». Mina à Igor : « Je me demande ce que tu veux dire par là, avec ton sourire ».
Et soudain (encore), la nuit.
Mina avait toujours sur elle un P38, deux grenades et bit.ly/YFx3Q
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courir plus vite
tenter de sauver ma peau
ma vieille peau de russe blanc
courir plus vite
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se cacher au fond du fossé
tenter de sauver mes couilles
mes couilles de crétin chauve
se cacher au fond du fossé
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baisser la tête
raser les murs
ne plus boire de cocktails
truffés lames de rasoirs
ne plus manger de petits fours
farcis lames de scalpels
raser les murs
fuir la musique
des bouchers
hollandais
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vendredi soir
je ne me tourmente
pas pour si
peu et je file
à l’anglaise
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grishka n’aura jamais
l’idée de me chercher
chez moi tout
simplement
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Les champignons, au loin, dans toutes les directions. Mina frissonne, se blottit, réajuste ses lunettes polarisantes. t.co/2LJVaPZQ
Saké !? t.co/ouNIeVN
Et Igor, hurlant, de balancer la bouteille enflammée au travers de la fenêtre entrouverte : « tamanoir ! »
je t’aime
je crois que j’aime tes traces de pas
dans la neige
je crois que j’aime les traces de sang
sur la moquette
je t’aime
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ici Paris
demain Pau
retrouver Nicolaï
couper les ponts une semaine
aller à la montagne
ou à la mer
ou juste à la campagne
compter les moutons
et les pissenlits
par la racine
Present Day… Present Time… Mouhahahahaha !
Et nos héros, fatigués, de contempler l’arrivée d’une aube timide, mais riche de promesses. Leurs doigts de s’effleurer. Fredonner, sourire.
Textos
« Je suis là, où les écossais portent des strings sous leurs jupes au lieu de rien«
« Eisberg aux habitudes malsaines, dites moi ce soir qu’un jour on sera bien…«
M.
Et en route pour la joie.
8 mai
Quelle journée admirable ! J’ai passé toute la matinée étendu sur l’herbe, devant ma maison, sous l’énorme platane qui la couvre, l’abrite et l’ombrage tout entière. J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même.
J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine, qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent.
A gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointu des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, dominés par la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans l’air bleu des belles matinées, jetant jusqu’à moi leur doux et lointain bourdonnement de fer, leur chant d’airain que la brise m’apporte, tantôt plus fort et tantôt plus affaibli, suivant qu’elle s’éveille ou s’assoupit.
Comme il faisait bon ce matin !
Vers onze heures, un long convoi de navires, traînés par un remorqueur, gros comme une mouche, et qui râlait de peine en vomissant une fumée épaisse, défila devant ma grille.
Après deux goëlettes anglaises, dont le pavillon rouge ondoyait sur le ciel, venait un superbe trois-mats brésilien, tout blanc, admirablement propre et luisant. Je le saluai, je ne sais pourquoi, tant ce navire me fit plaisir à voir.
Je sais que les hommes me dégoutent. Vous ne pensez qu’à ça.
C’est ce qu’on voit dans les westerns. Je peux t’assurer que si un Indien appelait une femme « squaw » (= putain), on lui faisait son affaire.
El cazador de la bruja ?
Moi j’ai une théorie, des lapins malins…
Canards. tourgueniev.com/2003/08/06/1076
J’attends ton retour, dans ma tour purpurine, mon regard vers la plaine, nulle trace de ton sublime engin, seulement le soleil qui poudroie.
Mina : « n’importe quoi… »
٩(●̮̮̃•̃)۶ ٩(-̮̮̃-̃)۶ ٩(͡ï̯͡ï)۶ ٩(-̮̮̃•̃)۶ ٩(×̯×)۶
Carver et Mina fonçaient sur #Lodz ne se souciant ni des limiers chinois ni de l’incertitude d’Igor. Dans la cale on débutait les parties.
récit de quelques heures difficiles :
de nombreuses créatures étranges
de petits espoirs ballottés par le vent
ma main toute contre ta cuisse
mes yeux sur tes lèvres
une situation à précipices
et des précipitations
en fin de journée.
Il y a un taxidermiste ivre (et flou) devant la porte. Mina ne veut pas lui ouvrir. C’est sûrement mieux. On boit du cidre. Hips. Nus.
Dehors, c’est la nuit.
C’est Mario avec un Uzi. #gong
Après la première, et brêve, réunion, la cellule s’est accordé sur un point, le drapeau : il sera noir. Noir ça va avec tout. Mina se marre.
Message à caractère informatif
– c’est ce qu’elles me disent toutes en fait…
– …
– sinon pour le 31, j’encourage les tourguenistes à se pinter la ruche et à rester au taquet jusqu’à l’aube.
moi je risque d’être dispo à partir de 2/3 heures du mat’ et déjà bien grave donc si vous avez des plans…
Même Mooosssieur Castor me tourne le dos.
Je suis gentil toute l’année. Demain je fais quoi ?
Plus de 3000 liens cassés sur 5 ans, un peu de boulot à venir, donc.
Sortez de vos conapts, accrochez la photo du gourou barbu sur le mur du dojo, commencez-continuez à pratiquer la self defense intellectuelle
Qui est là ?
Dans la forêt voisine, on avait ramassé des cailloux allongés. On les avait alignés devant le bunker. On se cachait derrière pour faire feu.
Carver propose aux trois autres de lancer quelques dés, par vagues : tinyurl.com/ylrz4o5
40 !
Je suis de tout ce que j’avance sur ce tour de la chance si il le faut que je vois il danse virtuel car ils ont marche pas le rendez-vous ?
Et Mina de s’éveiller tardivement. t.co/tiBZTvOn
Nicolas Sarkozy de terminer premier d’ouvrir de finir reformer groupe des vieux barbus sinophiles de sentir vraiment la vérité retraite. #ns
And if a ten ton truck kills the both of us, to die by your side, well, the pleasure, the privilege is mine.
Structure ellipsoïdale, dans le ciel nocturne de la cité, ballon utopie, coque rigide paranoïaque, œil dans le ciel, menace fantasmée. #htc
Maintenant je suis vieux, et j’attends juste le sommeil en nettoyant le vieux fusil de papa. Tu me manques. Les bouts de verre, aussi.
Mina défonce le portier, castagne le videur, embrasse la fille du vestiaire et l’entraine sur la piste de danse. Leurs mains se frôlent. Si.
Mon amie Petrouchka ne porte jamais de tongs…
Une brouette, un géant et une cape antifeu. t.co/vini6NXG
Sous la tente d’Amundsen, le froid, et une chose ténébreuse et ancienne, qui patiemment guette. Le 8, la terre du roi Guillaume est en vue.
Devant les miliciens épuisés, Mina contrebande de son mieux, mais le coeur n’y est pas. Plus de dirigeables en hiver.
Une mystérieuse statuette flamande en jade. Un reliquaire breton en uranium. Un chiffon microfibre anti-aérien. Le télé-achat nu. #hell
Au sujet d’Amanda Lear, de nos passions anciennes, de ces rustines blanches posées sur tes lèvres vulpines, de Muse, de ce mp3, « New Born »
Le soleil sur ta nuque, je m’approche, le capturer, échec. L’ombre sur ta hanche, roder, bondir, sans résultat. Un tigre dans le salon, hey.
Pourquoi je dors jamais ?
pau 1884
la ville est recouverte de brouillard,
les horpailleurs traînent sous les voutes.
je n’ose sortir, la pluie est de plomb,
la formule est sur le point de fonctionner.
A Thanksgiving Prayer
Thanks for the wild turkey and the passenger pigeons, destined to be shit out through wholesome American guts.
Thanks for a continent to despoil and poison.
Thanks for Indians to provide a modicum of challenge and danger.
Thanks for vast herds of bison to kill and skin leaving the carcasses to rot.
Thanks for bounties on wolves and coyotes.
Thanks for the American dream, To vulgarize and to falsify until the bare lies shine through.
Thanks for the KKK.
For nigger-killin’ lawmen, feelin’ their notches.
For decent church-goin’ women, with their mean, pinched, bitter, evil faces.
Thanks for « Kill a Queer for Christ » stickers.
Thanks for laboratory AIDS.
Thanks for Prohibition and the war against drugs.
Thanks for a country where nobody’s allowed to mind the own business.
Thanks for a nation of finks.
Yes, thanks for all the memories– all right let’s see your arms!
You always were a headache and you always were a bore.
Thanks for the last and greatest betrayal of the last and greatest of human dreams.
William S. Burroughs
Albanel : Y-a-t-il un hadopilote dans l’avion ? #rio #paris #hadopi #pizza
Un an de plus… (merci)
De mon fils Thomas c’est l’anniversaire Il est pas centenaire il a 31 ans De mon fils Thomas je suis pas peu fière Vous direz peuchère normal c’est sa maman Tous les tamanoirs sortent de leur tanière En occitan j’aurais pu le faire Si Oneko parlait il te dirait mon père Des chaussettes de ski ça peut pas le faire De notre Thomas c’est l’anniversaire |
Place à la détente. Il y a des huiles de massage. La fête bat son plein. Ça fait mal aux petites bêtes.
![]() La carrière d’un sumotori ou rikishi (terme plus fréquemment utilisé) débute généralement lorsqu’il est âgé de 15 ans et ne dure guère qu’une quinzaine d’années. Entraînés et éduqués dans des écuries (heya), les sumotori subissent un régime alimentaire et sportif très dense : mesurant en moyenne 1,85 mètres pour 148 kg, certains peuvent peser plus de 200 kg (à titre d’exemple, Akebono pèse 234 kg).
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Un milicien : « Comment on appelle le sexe de Michael ? La vérité… Parce que la vérité sort de la bouche des enfants ». #hommage #mj #milice