
VOS PAUPIETTES SONT LOUUUUUUUUUUUURDES
LOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUURDES
A TROIS, VOUS SEREZ UN CASSOULET
UN
DEUX
…
VOS PAUPIETTES SONT LOUUUUUUUUUUUURDES
LOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUURDES
A TROIS, VOUS SEREZ UN CASSOULET
UN
DEUX
…
par mail :
Désignez quelques nouveaux tourguenistes Igor
et vous allez enfin devenir populaire
et puis écrivez plus nom de dieu si vous ne voulez pas que les lecteurs s’endorment
et puis ce n’est pas possible de tourner en rond à ce point
et ce n’est pas parce que la Maison du Bonheur que
et je ne suis pas un donneur de conseil en vain Igor
—
réponse :
Désignez et et et et et.
—
ping-pong :
D e e e e e
—
Vue au travers d’une vitre embuée, je l’ai nettoyée à la javel.
j’exige que l’on me rende dans les plus brefs délais les deux heures de mon temps, dont je n’ai plus aucun souvenir, que j’ai malencontreusement perdues la nuit dernière.
J’ai de gros moyens logistiques pour arriver à mes fins et j’ai, depuis hier, beaucoup moins à perdre que vous.
Sachez que ce matin, à 9h12, j’ai pris le temps en otage et qu’à partir de demain j’exécuterai une seconde par jour tant que ma revendication ne sera pas prise en compte et que mes deux heures ne me seront pas rendues.
Je vous conseille de ne pas faire les mariolles en faisant tourner la terre plus lentement ou un autre truc du genre, sinon je passe aux minutes.
Préparez-vous à régler vos montres, demain premier jour aux 86 399 secondes, le temps presse.
Sur ce.
Cordialement.
Nomination d’un coordinateur interministériel pour valoriser la biomasse
PARIS, 18 août 2005 (AFP) – Le gouvernement a annoncé jeudi qu’il va nommer
auprès du ministère de l’Agriculture un coordinateur « chargé d’arbitrer et
d’animer les politiques de l’Etat en matière de valorisation de la biomasse et
des matières premières renouvelables d’origine agricole et forestière ».
[…]
cds/slb/sh
AFP 181435 ÌÌÌ AOU 05
Le Piano, car samedi & chanson dans la maison ; hier soir nous n’avons pas dormi
, marteler des accords en imitant Tom Waits en faisant aussi fuir le chat, joli programme,
encore les accents interdits, je me demande ce que cela change dans la voix. Jeune homme
vous nous demandez beaucoup. Je n’avoue pas grand chose. Une semaine pour regarder
des films d’etudiants de la Femis ; verdict : les enfants, pourquoi autant de miserabilisme ? Amours impossibles, corps seuls, voila le contenu de ces images jeunes. Je n’ai pas critique. Je ne suis pas ici pour ce genre de regard noir sans pitie. Mais quelle deception quand meme. Intimite revulsee.
En quoi le recit de vos echecs peut-il bien me concerner ?
sexua
Même en période diurne, les salles obscures m’attirent et me reposent l’âme
Mr. Fox est de retour, les accents pas corrigés, c’est la rentrée pour le Tourguenisme
Une nouvelle année tendre et soyeuse
Sûrement.
![]() petite pièce minimaliste en un acte à jouer sur une aire d’autoroute (idéal pour les vacances) personnages : |
rideau
(de bain de préférence)
La nuit tombait doucement sur l’île, une chanson emplissait l’air du soir, deux voix de femme, un piano…
L’immense hôtel semblait désert, abandonné. Quelques lézards, seuls occupant de la piscine vidée et des tables renversées. Toujours cette chanson dans l’air, entêtante et triste. Sur la terrasse qui dominait le Patio, Igor regardait la mer, à côtés de lui, Oneko, son chat, dormait paresseusement. En contrebas, près du bar, Orad jouait du piano et chantait, accompagnée par Gwendoline, qui se tenait derrière elle, les mains passées autour de son cou. Derrière elles le professeur Fox, allongé sur un transat, semblait dormir. Igor huma l’air, tentant d’y retrouver le fort parfum de vanille qu’il n’aurait pas du pouvoir trouver ici, mais qui semblait imprégner toutes les chambres de l’hôtel fantôme. Oneko se redressa doucement, s’étira et entreprit de se lécher nonchalamment le bout des pattes.
En bas, le professeur Fox dormait maintenant profondément, et les ronflements sonores du petit indien montait doucement vers la lune. Les filles toujours enlacées avaient rejoint la suite qu’ils s’étaient choisie au dernier étage. Nicolaï remontait maintenant le sentier menant à hôtel, portant quelques gros poissons; il semblait avoir arrêté ses toxines habituelles, et commençait à retrouver figure humaine: on pouvait même lui trouver un début de bronzage. Bien sûr il refusait toujours de dormir dans hôtel, et occupait un bungalow sur la colline à l’est de la piscine, mais Nicolaï restait Nicolaï…
La nuit était douce, Igor regardait toujours la mer, dans sa poche la présence du petit pistolet à aiguille le réconfortait, maintenant tout pouvait aller très vite…
La première explosion vint vers deux heures, d’abord une lueur aveuglante, terrible, puis le champignon qui s’élève lentement, le fracas n’arrivant que quelques minutes après.
Nicolaï fut, bien sûr, le premier à sortir, il portait des lunettes protectrices de sa conception, elles semblaient terriblement complexes à Igor, lui ne portait que de classiques Ray-Ban.
Les filles arrivèrent, main dans la main, Orad pleurait un peu, Gwendoline, restait terriblement calme: « trop loin. » Dit-elle doucement, dans un souffle.
Le professeur lui ne se réveilla qu’à la troisième explosion, quand l’onde de choc fit basculer son transat. Un juron plus tard, il rejoignait les autres sur la terrasse.
Igor pris la main de sa sœur et l’embrassa doucement; sa bouche sentait la vanille…
Oneko s’étira de nouveau et s’endormit; Sur la colline, Nicolaï pleurait doucement.
Une chaude brise venant de la mer soufflait maintenant sur l’hôtel.
M. Right est un technocrate, un homme efficace qui sait gerer l’urgence avec beaucoup de sang froid
M. Left est un reveur qui n’arrete pas de faire des jeux de mots idiots et d’essayer d’amuser M. Right en le faisant rire,
ils se connaissent depuis bientot 25 ans, leur vie commune n’a pas toujours été de tout repos
mais je crois bien que ces deux là s’apprecient vraiment et qu’ils ont bien fait de se rencontrer,
j’apprecie leurs discussions, leur sensibilité commune malgré des façons très diffèrentes d’apprehender la vie.
le sens du devoir de l’un mélé à la fantaisie de l’autre rendent le couple explosif : j’aime leurs succès irrationnels, lorsque l’imagination de Left permet d’emporter la victoire alors que l’intelligence conventionnelle de Right peinait à modeler le réel; j’aime leur harmonie alors que beaucoup les sépare; j’aime leur façon de ne pas s’arreter aux apparences, de voir la véritable nature des choses sans trop négliger la réalité; j’aime leur amour des gens et leur respect pour la personne humaine, leur générosité; je sais qu’ils pensent beaucoup à moi, je ne sais pas si je le mérite mais j’en tire une très grande fierté, j’espère que chacun pourra un jour rencontrer un M. Right et un M. Left aussi attachants que les miens.
Pourvu que les mots nous lient
Pourvu que ton esprit me rejoigne
Pourvu que tu sois là
Bientôt
Dans mes bras.
il dit qu’à cause d’une mauvaise combustion
mon eolienne
peut m’asphyxier avec du monoxyde de carbone
Les habitants de la réalité synthétique n°1137227106 commençaient à batir leur monde, les modes s’amplifiaient, flamboyaient et mourraient en quelques semaines. On eu ainsi successivement un usage abusif de mondes sous-marins, de stations spatiales, de tunnels souterrains aux minéraux brillants et translucides, de bio-habitats écologiquement stables et durables… On ne s’inquiétait de rien et à chaque assemblée générale, l’enthousiasme était quasi-palpable tant chacun pouvait exprimer sa créativité librement, sans contrainte matérielle ou légale. Il y eu des débats enflammés pour la gestion et l’apparence des espaces communs et ainsi fut créée la première commission des habitats collectifs, dont les délégués, choisis parmi des artistes de chaque grande tendance des habitants, durent plancher sur l’apparence globale de ce monde en devenir.
Celui qui se laisse dévorer par ses soucis se déséquilibre gravement. La crainte paralyse son action, son esprit plongé dans le doute semble flotter entre ciel et terre, partagé entre les émotions positives et négatives, entre les avantages à acquérir et les préjudices à subir. Tout cela se heurtant en lui, crée une flamme dévorante qui détruit sa paix intérieure. L’esprit, clair comme la lune, ne résiste pas aux feux des passions qui font perdre tout contrôle et oublier le Tourguenisme, la voie juste.
j’ai envie de sortir de chez moi
mais j’ose pas trop
je sais pas trop ce que je vais trouver dehors
j’ai pas envie de me faire attaquer
avec tout ce qu’on entends à la radio
ça serait con quand même de se faire attaquer
juste parce qu’on aime la neige
juste parce qu’on aime marcher dans la neige
non je préfère rester chez moi
j’ai qu’à mater le dvd de fargo
dans fargo y’a plein de neige
et plein de gens marchent dedans
ça fait ce bruit ce bruit vous savez
ce truc si caractéristique et impossible à imiter
en 5.1 c’est presque parfait
ça vaut pas le coup de se faire tuer
juste pour retrouver ce plaisir sans importance
je regarderai bien au moins la neige tomber
à travers la fenêtre
mais on sais pas ce qui peut arriver
quelqu’un pourrait m’insulter
se moquer de mon physique
ils sont comme ça les gens
ils se moquent du physique des autres
ils traitent de sale ceci ou de sale cela
et moi ça me fait beaucoup de mal
et puis il y a les autres
ceux qui veulent me frapper
ceux-là ils attendent
ils ont toute la journée
mais je sortirai pas
eux ils peuvent attendre longtemps
il peuvent pas non plus venir chez moi
je leur ouvrirai pas
de toute façon j’ouvre à personne
et bientôt je vais voter
je sortirai cette fois-là
je sortirai armé et protégé
la police m’escortera
c’est pour protéger la démocratie
et je sais bien moi pour qui je vais voter
Deux geeks, dans les canapés VIP virtuels de leur canal IRC :
« – tu fais combien en visiteurs/jours, toi ?
– hmppfff »
–> vendredi
– allo
– allo
– tu dors ?
– oui
– un accident hier ?
– plus tard, je dors
–> la veille (pas les mots exacts, reconstitution par la police)
– allo
– allo, je suis dans le métro, en retard au yoga
– allo, en voiture, 40 de fiêvre
– houla, ça c’est la fête et la fatigue, ça rend vulnérable aux virus
– mais non
– euh, là je suis dans le métro ça va couper, plus tard ?
– oué, à plus
DDDDDBDDBBhhDDDDDBBBBBBDhzs+<(~~-~~~(<<<+==szhhDDhDDDhhhDDDDhDDDDDDDBBhDBDBBBBBBBBDz=+(--'.....''-~~~(( |
le récitant : si je pouvais me dédoubler, je baiserais avec moi-même ?
69 116 0 101 108 108 101 0 110 101 0 109 101 0 99 111 110 116 97 99 116 101 0 116 111 117 106 111 117 114 115 0 112 97 115 46
Ce que je souhaite vous exprimer, lorsque je vous dis « 13 », mes chers compatriotes, c’est :
TREIZE
le récitant : le coréen sans papier contre-attaque !
Fougère femelle – Athyrium filix-femina
Le genre comprend plus de 180 espèces
– Athyrium filix-femina l’espèce type
– Athyrium filix-femina groupe Cruciatum ont des frondes cristées
Toxicité : –
La fougère femelle est très commune dans nos sous-bois, mais à ne pas confondre avec la fougère-aigle qui est également très commune. L’ensemble des feuilles partent du centre de la plante dans son cas.
« Or, il y a quelques années, on a pu démontrer qu’une légère modification des conditions initiales d’un système décrit par des lois déterministes peut suffire à rendre parfaitement imprévisible son comportement. On dit de ces systèmes sensibles aux conditions initiales qu’ils sont « tourguenistes ».
Très vite on se rendit compte que ces systèmes tourguenistes, malgré leur apparence aléatoire, obéissent à un pseudo-ordre. Les circonbulles qui les définissent, loin de varier dans le temps de manière absolument aléatoire et illimitée, apparaissent en effet confinées, tenues en laisse, maîtrisées, par un élément d’ordre, appelé « attracteur étrange ». La présence d’un attracteur étrange caractérise donc ce que l’on en est venu à appeler le « tourguenisme ».
Ces systèmes sont donc à la fois aléatoires et déterminés, ce qui n’est pas une mince contradiction. Ils peuvent par ailleurs renfermer en eux-mêmes une infinité de mouvements périodiques instables de fréquences différentes. A telle enseigne que même des systèmes tourguenistes simples, ne comportant que trois circonbulles, (par exemple le « modèle de Katzenstein », décrivant les turbulences atmosphériques, les spirales hélicoïdales, les kaléïdodromes apparus il y a cinq ans, et la commercialisation d’eaux profondes en milieu professionnel hyperurbanisé de la même époque), peuvent développer une variété infinie de comportements – ce qui les rend diablement utiles lorsque l’on veut décrire des processus biologiques ou cognitifs, eux aussi tourguenistes. Comme quoi, on s’était pas plantés.
Le tourguenisme, d’ailleurs, n’affecte pas les systèmes seulement dans leur développement temporel, mais aussi dans leur étendue spatiale, des phénomènes cohérents entre eux se produisant au même moment à différents endroits d’un même système, au niveau cellulaire comme au niveau tellurique, c’est dire en fait que c’est au niveau structurel que l’ensemble de l’organisme bullaire pandémise. On parle alors de tourguenisme spatio-temporel, et là ça commence à foutre le vertige. »
Pr. Drüünorst Gulkstra-Grüll, « Le tourguenisme première révolution scientifique du siècle », dans « Le siphon stratégique » n°28 du printemps 2012.
elle dit qu’elle l’aime. il dit qu’il l’aime beaucoup. elle pleure. il ne veut pas la faire souffrir. elle pleure. il l’embrasse. elle sourit. il est triste et sourit aussi.
Oui mais le zèbre vit à Belleville
Je porte à mes lèvres la coupe chargée de tes vices le délice des calices le calice des délices le câlin à hélice le moulin à malice etc…
— Je vais t’expliquer, dit-il. Tout cette histoire d’authenticité ne veut rien dire. Ces Japonais sont des cloches. Je le prouverai.
Il se leva, se précipita dans son bureau et revint avec deux briquets qu’il posa sur la table. — Regarde ça. Ils ont l’air identiques, n’est-ce pas ? Eh bien écoute ! Il y en a un qui a de l’historicité en lui. (Il lui fit une grimace.) Prends-les en main. Vas-y. L’un des deux vaut peut-être quarante mille ou cinquante mille dollars sur le marché des collectionneurs. La fille prit les deux briquets avec précaution et se mit à les examiner. — Tu ne sens donc pas ? dit-il sur le ton de la plaisanterie. L’historicité ? — Qu’est-ce que c’est que ça, l’historicité ? — On dit cela d’une chose qui contient quelque chose appartenant à l’Histoire. Ecoute. L’un de ces briquets Zippo se trouvait dans la poche de Franklin D. Roosevelt quand il a été assassiné. Et l’autre n’y était pas. L’un a de l’historicité à un point terrible ! Autant qu’un objet a pu jamais en contenir. Et l’autre n’a rien. Tu le sens ? (Il lui donna un coup de coude.) Non ? Tu ne vois aucune différence. Il n’y a pas de « présence plasmique mystique » ni d’« aura » autour de cet objet ? — Mon Dieu ! dit la fille avec un respect mêlé de crainte. C’est bien vrai ? Il avait l’un de ces briquets sur lui ce jour-là ? — Sûrement. Et je sais lequel. Tu vois où je veux en venir ? Tout cela, c’est une vaste escroquerie ; ils se jouent la comédie à eux-mêmes. Je veux dire par là, un revolver s’est trouvé dans une bataille célèbre, l’Argonne par exemple, et il est le même que s’il ne s’y était pas trouvé, à moins que tu ne le saches. Ca se passe là, dit-il en se touchant le front. Dans l’esprit, pas dans le revolver.J’ai été collectionneur autrefois. C’est comme ça d’ailleurs que je suis entré dans ce genre d’affaires. Je collectionnais les timbres. Les colonies britanniques de l’époque la plus ancienne. La fille était à la fenêtre, les bras croisés ; elle regardait les lumières du centre de San-Francisco. — Papa et maman disaient toujours qu’on n’aurait pas perdu la guerre s’il avait vécu, dit-elle. — D’accord. (Mais Wyndam-Matron suivait son idée :) Suppose maintenant que l’an dernier le gouvernement du Canada où n’importe qui ait retrouvé les planches ayant servi à l’impression d’un vieux timbre. Et l’encre. Et un approvisionnement de … — Je ne crois pas que ni l’un ni l’autre de ces deux briquets ait appartenu à Franklin Roosevelt, dit la fille. — C’est là le point ! dit Wyndam-Matson avec un petit rire. Il faut que je te le prouve au moyen d’un document quelconque. Un papier établissant son authenticité. Et ainsi, tout est faux, une tromperie collective. Le papier prouve la valeur de l’objet, et non pas l’objet lui-même ! |
Et les deux enfants restèrent assis, tout seuls côte à côte dans le crepuscule gris, et ils attendirent que le futur commence.
« pOst » ?
which One ?
iS there One ?
W. Dir ?
MuSe ?
Thing ?
It might / shOuld / wOn’t be all (…)
IN THE CIRCONSTANCES
FORMAL DRESS IS TO BE
OPTIONNAL
(…)
![]() Bueno Estente ! ![]() Meteorologicos, Scorccio ! Multas Gracias por su Attenzione |
Nadia, l’analyste héroïne, est non seulement en train de dénouer un imbroglio inter étatique passionnant mais surtout en train de chercher une morale amoureuse entre son ancien fiancé guébiste, Oleg l’idéaliste, son sauvage baiseur de l’Ouralbank et le phallocrate assassin Igor
Ils nous ressemblent mais vivent dans un monde au dela du miroir,
ils se comportent comme nous, mais à l’envers
Alice est leur reine
et tous lui sont fidèles
Alice a le don
de la métamorphose,
elle peut se transformer
et rien ne s’y oppose…
DRAGON N°9
UKRAINIAN IRONBELLY (PANSEDEFER UKRAINIEN)
Le plus grand des dragons, l’Ironbelly,
peut atteindre un poids de six tonnes.
Le corps arrondi, plus grand que le Vipertooth
ou le Longhorn, l’Ironbelly est néanmoins
extrêmement dangereux et peut écraser sous
son poids une maison sur laquelle il atterrit.
Ses écailles sont d’un gris métallique,
ses yeux d’un rouge foncé et ses
griffes particulièrement meurtrières.
Les Ironbellys font l’objet d’une surveillance
constante par les autorités magiques ukrainiennes
depuis qu’en 1799 l’un d’entre eux a emporté
dans ses serres un voilier (heuresement vide)
amarré dans la Mer Noire.
(…)
de nos jours les loups aussi envoient des textos…
la preuve scientifique là .
il a l’air moins dangereux.
Le temps est une poubelle
Le temps est une catastrophe ferroviaire
Le temps est une planche à repasser
Le temps est une musaraigne
Le temps est une lotion capillaire
Le temps est une selle de vélo
Mon arrière grand-père, c’était l’homme-chose.
Le vrai.
Tout en pierre avec des super tatouages.
Photographié ici à Paris en 1929,
il a émigré à New York
dans les années 30
à cause de la prolifération des pigeons
qui faisaient qu’à lui chier dessus.
C’est là qu’il a rencontré Stan Lee, ce salaud
qui l’a exploité et lui a piqué son histoire
sans lui retourner le moindre kopek.
Dans la misère il a fini par se jeter
dans l’Hudson River
avec une corde au cou
attachée à son bras
Quant à mon arrière grand-mère,
elle éleva seule ses petits cailloux
et n’usa qu’avec parcimonie
de son don d’invisibilité.
Depuis dans la famille l’invisibilité
est un gène récessif
Le cœur de pierre aussi.
…
j’ai un peu les boules là
j’arrive tôt
mais
miss Car(r)o se lêve tôt
aussi
alors on cause
(et c’est cool)
et Costes me fait rigoler
donc
—————
merci Car(r)o et Costes
pour ne pas m’avoir laissé
seul ce matin
…
Mardi, moi je ne fais jamais de pornographie sauf celle de France-Info le matin.
Je suis trop fatigué du lundi, je me repose, et puis les gens, ils viennent ici que pour le cul, alors crotte.
C’est pas gentil tout ça. Nous on est aussi des êtres humains. Pervers, mais humains. Enfin moi…
Je veux dire.
Enfin.
…
La nuit approche,
l’enfer est à nous
Pas juste à moi,
l’enfer est à nous
N’oublie jamais,
l’enfer est à nous
[b]ce qu’ils pensent de konsstrukt :[/b]
« Ses assedics s’arrêtent bientôt, il va trouver un travail, fonder une famille… Adopter un chien… Parfois le dimanche, il se demandera encore l’espace de quelques secondes : »Mais où est donc Ornicar ? »
Ainsi, années après années le malaise se dissipera… Et le poète maudit qu’il est, se verra bientôt confronté à des questions toutes autres ; mais qu’est-ce que je vais faire à bouffer aux gosses ? D’autant que bobonne est partie ; Vaut-il mieux partir trois fois en week end ou une fois en vacance ? Ou enfin ; Ne suis-je pas, ici, dedans, aujourd’hui, loin de ce que je fus hier, ailleurs, dehors? Non celle là faudra pas cela poser, hein !
Texte crade sur la pédophilie, franchement gerbant.
Un jour, je te balancerai un grand coup de genou dans les couilles, espèce de Mathieu Amalric du ouèbe…
konskrturrkukt, ou l’autoédition à l’usure et la poésie au kilo.
alors il etait comment ton caca aujourdhu’i »
[b]KONSSTRUKT NUMERO CINQ : CENT PAGES DE LITTERATURE SALE[/b]
[b]cliquer ici pour télécharger le konsstrukt numéro 5 :[/b] www.artsolid.net/ebook.php?idgal=186&dl=yes
[b]cliquer ici pour regretter d’avoir raté la soirée de l’année :[/b] konsstrukt.blogspot.com/2006/02/le-23-fvrier-ctait-soire-ramasse_28.html
je suis devant la porte ouverte. J’ai mal au ventre, sans doute la diarée. Je suis devant la porte, encore 22 minutes, en gros… Je suis devant la porte et j’attends. Encore 21 minutes, j’ai mal au ventre et je crois que je commence à saigner du nez, oui je saigne du nez. Je suis devant la porte, dix minutes plus tard mais allongé par terre, je saigne moins et la douleur dans mon ventre est moins forte, la petite vitre de ma montre s’est brisée. N’indiquera pas l’heure du choc comme dans les films, marche encore, peut être elle indiquera l’heure de ma mort. Environ 10 minutes encore, je tousse et crache une glaire sombre de mauvaise augure. La lumière a baissé et je peux constater la légère phosphorescence des murs, du sol et de ma peau. Sans doute vais-je perdre mes dents dans les minutes qui viennent, PERDRE MES DENTS NON MAIS QUELLE CONNERIE JE SUIS DEJA CHAUVE FAIT CHIER !
Faim, qui avale du vent après l’avoir soigneusement mâché
La Mort lente qui ronge
La lecture de mauvais genres
Posée sur la table en fer
Toujours insatisfaite, rongée par
Tout ce qui s’élève au soleil
Où mènes-tu, petit sentier ?
Je suis Dany Dan.
Regarde-moi bien dans les yeux.
Je vais compter jusqu’à trois et tu vas t’endormir.
UN.
Tu respires profondément …
SCAPIN
Cachez-vous, voici un spadassin qui vous cherche.
(En contrefaisant sa voix.) « Quoi ! jé n’aurai pas l’abantage dé tuer cé Géronte et quelqu’un par charité ne m’enseignera pas où il est ? »
(A Géronte, avec sa voix ordinaire.) Ne branlez pas.
(Reprenant son ton contrefait.) « Cadedis ! jé lé trouberai, se cachât-il au centre de la terre. »
(A Géronte, avec son ton naturel.) Ne vous montrez pas.
(Tout le langage gascon est supposé de celui qu’il contrefait, et le reste de lui.) Oh ! l’homme au sac
— Monsieur.
— Jé té vaille un louis, et m’enseigne où peut être Géronte.