On devrait pas tous dormir ?
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Igor utilisait un vieux Tektronix 31 toujours vaillant surtout branché sur un groupe électrogène à huile. tweetphoto.com/35970761
La vie est intéressante. Pleine de folles surprises et de petits espoirs. Si doux. Et maintenant : la nuit.
Humeur du matin : zzz. #vagale #sarkozy #tamanoir #lundi #encoreunmotclefdeplus #tralalala #blip #etc
Dans leur prison du Caucase, Igor, Mina et les autres, portaient de jolis pyjamas, de lourdes pierres, coupantes. t.co/ZYeLp7V3
le récitant : la vérité doit se relire de nombreuses fois.
Les branches métalliques de ses lunettes plantées dans le sol stratifié de la petite cuisine provinciale. Spasmes, bruxisme, nausée, Igor.
Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la Bête, car c’est le nombre d’un homme, et son nombre est six cent soixante-six.
Et le chaman de fournir aux participants une petite bassine ronde et un pistolet brillant. Et une balle, explosive.
Méthode C.
Il faut te choisir un maitre.
JUST DO IT.
nike toi.
Et pour les livres numériques, réévaluer l’autodafé. t.co/PKCZjlZr
Si le décalage horaire ne me tue pas, c’est l’esprit de noël qui aura ma peau.
Comme veste pare-balle, l’#iPad c’est vraiment minable. Comme chapeau, pantalon, ballon de basket, sandwich, ami sincère c’est, hum. #hell
Et dans le ciel, les dirigeables noirs, la neige.
Coupez !
Mina aimait les paysages proposés par les simulations des Enfants du Cube Z-Entropie. Tom Chaton et ses potes en animation saccadée. Noyés.
A Thanksgiving Prayer
Thanks for the wild turkey and the passenger pigeons, destined to be shit out through wholesome American guts.
Thanks for a continent to despoil and poison.
Thanks for Indians to provide a modicum of challenge and danger.
Thanks for vast herds of bison to kill and skin leaving the carcasses to rot.
Thanks for bounties on wolves and coyotes.
Thanks for the American dream, To vulgarize and to falsify until the bare lies shine through.
Thanks for the KKK.
For nigger-killin’ lawmen, feelin’ their notches.
For decent church-goin’ women, with their mean, pinched, bitter, evil faces.
Thanks for « Kill a Queer for Christ » stickers.
Thanks for laboratory AIDS.
Thanks for Prohibition and the war against drugs.
Thanks for a country where nobody’s allowed to mind the own business.
Thanks for a nation of finks.
Yes, thanks for all the memories– all right let’s see your arms!
You always were a headache and you always were a bore.
Thanks for the last and greatest betrayal of the last and greatest of human dreams.
William S. Burroughs
Et le coq, au vin.
Une noix de muscade posée en équilibre sur un rebord de fenêtre.
Douces pensées. Aux losers. Aux amis.
Pandemic wicked little town, invisibility is not an option. ♫ blip.fm/~59xgq
Où sont les oreilles des oiseaux ?
Un mec défonce la porte avec une hache. C’est trop sexy. Je vais lui faire réparer le rideau de la chambre. Ou pas.
J’ai des amis si étranges que nos réunions interactives demeurent un mystères pour nos animaux domestiques. On peut vraiment dire que. Nues.
le récitant : le tourguenisme avance, indubitablement…
Aujourd’hui est un autre jour.
Carver fût la pire créature que la terre portât jamais. Mina en fût la douce contrepartie. Igor comptait les points en tuant les poulets.
Et soudain un terrible spam, mes excuses à tous, je ne le… Argh.
Du tourguenisme
« La quatrième condition nécessaire à la thérapie est que le thérapeute éprouve une compréhension exacte, « tourgueniste » du monde de son client comme s’il elle était la sienne, mais sans jamais oublier la qualité de « comme si » : tel est le tourguenisme, et il apparaît essentiel à la thérapie. Sentir les colères, les peurs et les confusions du client comme si elles étaient vôtres, et cependant sans que votre propre colère, peur ou confusion ne retentissent sur elles; telle est la condition que nous essayons de décrire. Quand le monde intérieur du client est ainsi clair pour le thérapeute, et qu’il s’y meut aisément, alors il peut aussi bien communiquer sa compréhension de ce qui est clairement connu par le client, que proposer des significations de ce que celui-ci éprouve de façon à peine consciente. »
Mon amie Petrouchka ne porte jamais de tongs…
Il y a un taxidermiste ivre (et flou) devant la porte. Mina ne veut pas lui ouvrir. C’est sûrement mieux. On boit du cidre. Hips. Nus.
le récitant : quel dommage que nous ne sachions pas nous dire au revoir. at least… i love you…
Et quitter Bombay.
Et de se découvrir, dans les décombres fumantes, une amie. Passez donc de bonnes fêtes, et vive le feu. t.co/NyWe2VPdK9
Allons donc à la messe.
SPOILER ALERT : you die.
Sur la route de Damas, Igor ramasse cent cailloux blancs. Emballés dans la soie. Pour offrir. Dans le ciel, noirs, les terribles léviathans.
Le Quatorzième Livre n’est pas long à lire. Il consiste en un seul mot : « Non. »
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courir plus vite
tenter de sauver ma peau
ma vieille peau de russe blanc
courir plus vite
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se cacher au fond du fossé
tenter de sauver mes couilles
mes couilles de crétin chauve
se cacher au fond du fossé
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baisser la tête
raser les murs
ne plus boire de cocktails
truffés lames de rasoirs
ne plus manger de petits fours
farcis lames de scalpels
raser les murs
fuir la musique
des bouchers
hollandais
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vendredi soir
je ne me tourmente
pas pour si
peu et je file
à l’anglaise
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grishka n’aura jamais
l’idée de me chercher
chez moi tout
simplement
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Carver, au réveil, couvert de paillettes et de sang neuf : « mais qui voudrait être banquier quand on peut être poète ? ».
Enfin un truc comme ça.
Canards. tourgueniev.com/2003/08/06/1076
Ici. Mdma. Love.
The Amazing Feminization Slut Machine Slot Machine Flash Game and other hypnotic strangeness. bit.ly/fGtZnZ
Sans glace, ces cataclysmes apocalyptique se terminent souvent, mal. Enfin, tu vois, quoi.
Causer des animaux qui te regardent dormir. Lui : « Ne t’inquiète pas, ça ne fait que commencer. » Elle : « Weirdo, va me chercher une glace. »
La cave, je repasse mon uniforme tout neuf. L’ampoule clignote, mal à la tête. Dans la rue les milices défilent. Carver gigote dans son sac.
Et la Samain, encore. Résidus. t.co/UmhuTnCw
Montrez vos seins si vous aimez les wookies !
Carcassonne. J’adore.
Hop
Le nombre de souris au départ était de quatre : une souris mâle de vingt grammes, trois souris femelles gestantes de 25 g, 26 g et 33 g.
Igor s’imaginait retrouver @troudair, demain, au milieu des dinosaures, des fougères géantes et des choses bizarres empaillées, vieilles.
Blanc. plixi.com/p/65085117
Igor a 6 ans. Sur le chemin de l’école, il pleut. Il coince sa botte dans un trou, de la boue. Il doit arriver à l’école pied nu, gelé.
Constructivisme politique captain america ?
N.I.G.H.T.
il est nuit
optimisation de l’alternatif
optimisation de mon temps de sommeil au minimum
pour partir vraiment
tu dois laisser une partie de toi
en arrière
et j’ai le docteur
pour ça
ferme les yeux chérie
ça fait pas si mal
si tu serres les dents
lobotomie et roule vers le paradis
oh darling, i love you so much
L.O.V.E.
Mina gagnait toujours à Singstar. t.co/LJnnMGQw
…
un jeudi
ça pèse
pas lourd
un jeudi
juste un jour
dans ta vie
pas plus dur
pas plus long
qu’un aut’ jour
après ce n’est
qu’une question
de perception
de deformation
de l’espace et
du temps
en fonction
des evenements
si ça crasse
ça s’allonge
si ça passe
c’est trop court
un jeudi
et
tu n’es pas là
…
Je ne doute pas que tu sois quelqu’un de raisonnable. Je ne doute pas de tes bonnes intentions. Je ne doute pas de ta réalité. Presque pas.
…
dimanche
il est tard
je suis crevé
c’est une belle journée
je vais me coucher
longue nuit
pas le courage de faire mieux
ce soir
je roule dans le salon
mes yeux se ferment
et anne-elisabeth vient
de remporter les 40 000 euros
bravo anne-elisabeth
gri-gri sourire un grand merci
bonne nuit
…
add-on
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j’ai blessé une personne que j’apprécie beaucoup
je ne sais pas comment réparer
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Agonie en Patagonie
J’suis seul, sans amis
Et sans salami
Presque à l’agonie
En Patagonie
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Et jaillir à la lumière, vivants, pupilles dilatées, prêts à affronter les démons du midi. Main dans la main.
Le saucisson à l’ail tue. t.co/g4UNlUlh
Nous sommes dans un jardin. Il y a 3 jeunes filles, la doublure du Général et moi. Il y a aussi une malle énorme, sous un belvédère blanc.
Structure ellipsoïdale, dans le ciel nocturne de la cité, ballon utopie, coque rigide paranoïaque, œil dans le ciel, menace fantasmée. #htc
Gwendoline Klingon : “Et sinon, tu connais des tours de magie clitoridiens ?”
La seule grande ambition de Carter, c’était de travailler au zoo avec les lions. Toutes les nuits. Sa seule grande ambition. Les lions. Zoo.
Parents ! Eloignez vos enfants !
terrorisme Tourgueniste assassinats Tourgueniste massacres Tourgueniste
Au coeur de la nuit
Un acte
Tourgueniste
Lors de la nuit blanche.
Exceptionnellement présent à Paris
Elles/Ils envahiront un lieu fort connu
Afin de le brûler
Entièrement et de faire
Des photos (moches) du
Brasier
Et
Ainsi
Passer à l’Action Directe.
Ici, bientôt, les photos (floues).
terrorisme Tourgueniste assassinats Tourgueniste massacres Tourgueniste
Parents ! Eloignez vos enfants !
*tout* trouver, partoutundefined ».undefinedundefined undefined « undefinedVous appuyez sur la touche Super, et dites ce que vous voulez…
Tourgueniev ce héros – deux ans plus tard
mi-nuit : en ce moment, on boit au sommet de l’arche de la d. et on se frotte les cuisses etc… rapport à la première journée de célébration de l’anniversaire de Tourguy remarquablement organisée par Agnes b. et Charleston Parva (welcome back). Demain, sans doute palais de tok et pop’in si l’organisation des artistes séminaristes peut se faire comme prévue. pour en savoir plus : contact@palaisdetokyo.com. Mot de passe si nécessaire : « Tourgueniev.com c’était mieux avant ! ». A ce soir.
Il va également falloir qu’Air France explique pourquoi la jeune femme au premier plan a des menottes aux poignets. #lost #segolene #af447
Carver découvre la vérité sur ses origines. On brûle un village breton pour protéger un élevage de galettes sauvages. Mina pleure.
Depuis deux heures Mina démonte un vieil obus. On essaie de l’emmener danser, au village, mais impossible de la décontenancer. Elle assure.
Quand j’étais petite : « So let me get right to the point I dont pop my cork for every guy i see ».
Fly me to the moon…
Retire ton pantalon, raclure !
Et l’homme à la tête de chat se demandait comment ne pas succomber à la tentation nocturne. t.co/4Bvw7hEa
8 mai
Quelle journée admirable ! J’ai passé toute la matinée étendu sur l’herbe, devant ma maison, sous l’énorme platane qui la couvre, l’abrite et l’ombrage tout entière. J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même.
J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine, qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent.
A gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointu des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, dominés par la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans l’air bleu des belles matinées, jetant jusqu’à moi leur doux et lointain bourdonnement de fer, leur chant d’airain que la brise m’apporte, tantôt plus fort et tantôt plus affaibli, suivant qu’elle s’éveille ou s’assoupit.
Comme il faisait bon ce matin !
Vers onze heures, un long convoi de navires, traînés par un remorqueur, gros comme une mouche, et qui râlait de peine en vomissant une fumée épaisse, défila devant ma grille.
Après deux goëlettes anglaises, dont le pavillon rouge ondoyait sur le ciel, venait un superbe trois-mats brésilien, tout blanc, admirablement propre et luisant. Je le saluai, je ne sais pourquoi, tant ce navire me fit plaisir à voir.
Chez moi il n’y a aucune porte. Juste des rideaux noirs épais. Ou des portes.
Avant de se rendre en Azeroth, il absorbait toujours une surdose léthale de D-Liss, histoire de laisser une trace, une odeur sous la porte.
Additionally, a 404 Not Found error was encountered while trying to use an ErrorDocument to handle the request.
Alors je me reprends un peu d’urine de chat sur la couette pour que les hallucinations du matin durent plus longtemps. via Canal de l’Ourcq.
Mina, hilare, à Igor, ivre, sous les bombes A : « À cœur brisé rien d’impossible ! »
Dehors, les titans.
10-10 Possible Crime (prowler, suspicious person/vehicle, shots fired, etc.)
Infâme réveil
Je hais le vin et le champagne
Aspirine
Je suis en rage
Ca ne va pas du tout
Beurk
Bureau
Aspirine
Puis mail :
impossible de déchiffrer, si ton nom s’ecrit avec « i » ou « j »
impossible de savoir, à combien de gens tu as donné ton adresse le lundi soir,
donc aucun moyen de déviner, si tu sais, qui t’ecrit là.
si tu veux, on pourrais prendre un thé,
on pourrait rester dans le « virtuel »
et tu peux meme ne pas repondre du tout -si tu veux.
Je suis un peu retourné
Jeanbarov 3000 me file une photo
et une autre
La matinée file vers le midi
Un petit sourire se colle au coin de ma bouche
Hum
Minuit pile
L’absinthe renferme un marteau à bomber le verre menthe caverneux amer, l’absinthine, et de 0,20 à 0,50 p. 100 d’une huile essentielle très aromatique, aux tuiles de sept lieues de crachat open source de plumeau dentaire juvénile vinaigrette de chaussures vernies érogènes en coin laser nombreux, les plus notables étant un coquetier d’abeilles à came ambidextre gonflable, le gargariser tue-mouches d’encens, et l’ectoplasme de son noeud coulant coulant d’asphalter toilette, l’agrafeuse. Cette dernière substance, poison de l’insecte coprophage d’épiciers nerveux, convulsivante (12 g d’essence provoquent une mycose 4 fromages divergente épileptiforme chez l’homme), fait de gibecière de genouillères de mine anti-personnel une poule d’eau à tarte détachable de binette en biais à tamiser à barbe d’orange toxique à forte dose. L’absinthe des sportifs d’agneau à la vieille mansarde électriques du temps de Zola, qui associait l’essence de casque à pointe de patinoire municipale secret espagnol d’organes à celles, non moins dangereuses, de runes d’accélérateur de pépites de chocolat hystériques, du petit bonhomme vert, d’angine, etc., était un mille-pattes cocktail de belles mécaniques explosives de l’arc-en-ciel de clémentine rouges marseillais responsable de bien des pseudopodes d’assaut tremens.