Dorothée et les gens, c'est à la fois simple et en fait pas tellement, mais elle se crée beaucoup de problèmes aussi si elle couchait pas avec le premier venu elle aurait pas tant d'emmerdes au cul bien fait pour elle la salope
Super les copains !
Qui est-ce qui m’échange la brillante de Discor contre 3 super rares d’Ulysse 31 ?

« Les efforts qu’il déployait pour systèmatiser les présages étaient inutiles. Ils se présentaient d’un seul coup, en un éclair de lucidité surnaturelle, comme autant de moments de certitude absolue et éphémère, mais insaisissable. En d’autres circonstances, ils étaient si naturels qu’il ne les identifiait comme présages qu’après coup. Quelquefois encore, ils étaient clairs et nets et ne se réalisaient pas. A force d’habitude, ce ne furent bientôt rien de plus que de vulgaires accès de superstition« 

Old par M. Fox le 10 Juil 2003

On a fait des tas de guirlandes. Puis on a fait la fête avec des feux d’artifice. Et ce courant d’air est revenu. Il est passé sur mes épaules dénudées, puis il s’est glissé dans mon dos, entre l’étoffe de ma robe et ma peau. Le frisson a parcouru tout mon corps et s’est attardé au centre de mon plaisir. Je ne me suis pas retournée. Il me disait: maîtriser ses pulsions engendre souvent la jouissance. Alors je ne me suis pas retournée. J’ai bien fait.

Je maintiens Toccata que le Mordicus en ré mineur servait
de générique à une émission de notre enfance. De la mienne,
en tous les cas.

Old par DrT le 25 Mar 2003

il est 17:34

Et entre les lignes de silence, lequel des deux prend sa valise et s’enfuit ?

Old par Nicolai le 14 Avr 2002

Bonjour,

Bonne journée à tous, il est huit heures et avant de prendre son petit déjeuner, nous allons faire quelques mouvements de gymnastique intellectuelle :

Trouvez les définitions des mots suivants :
consultant,
poésie,
coruscant,
syncytium.

C’est bon … maintenant, vous pouvez prendre votre petit déjeuner.

Passez une bonne journée, en ce vendredi 4 avril 2003.

A bientôt.

Plouf

Old par M. Fox le 02 Mai 2005

Old par igor le 06 Jan 2004

[…] Fondu enchaîné. Sorti de nulle part, quelqu’un me félicite le plus sérieusement du monde pour mon interview « dans Technikart ». Quelqu’un que je connais, j’en suis sûr, et pourtant je n’arrive pas à l’identifier. Pris d’un élan lyrique, j’engage une conversation éthylique avec E., une journaliste de Cosmopolitan qui croit que je travaille avec S.M. : elle trouve tout « génial », je lui parle de surfers hawaïens et de Peter Sloterdijk, « et je t’enverrai une épreuve de mon bouquin en avant-première, c’est promis ». Sur ce, J. surgit de la foule, me claque une bise, et se plaint qu’il y a trop de monde au bar ; je lui explique que « cette compression humaine est une magnifique œuvre d’art », très fier de cette réplique un peu approximative. […] Saut à suivre jusqu’en fin de soirée, je tombe sur B. de K. – ça m’arrive tous les trois mois environ. Comme d’habitude, je me précipite sur lui avec un sourire béat. Comme d’habitude, il est trop ivre pour se souvenir de moi mais il fait semblant de me reconnaître, avec un aplomb qui me laisse admiratif. Et comme d’habitude, je lui demande s’il a de l’herbe sur lui, question à laquelle j’obtiens invariablement la même réponse : « Ah non, camarade… mais j’vais demander à mon épouse, si elle a du matériel on s’fume un calumet sous la tente.». […]

asilum side strangest side



pour avaler ton âme, j'irai chialer sous la lune avec les autres chiens ooooooooooooOOOOO

Minuit pile

Old par igor le 08 Jan 2004

le moment le plus fort :
– je t’aime.
– moi aussi, je t’aime.
un autre moment 1 :
– je t’aime.
– pareil !
un autre moment 2 :
– je t’aime.
– …
un autre moment 3 :
– je t’aime.
– moi non.
un autre moment 4 :
– je t’aime.
– idem…
un autre moment 5 :
– je t’aime.
– oa ossi ! (voix comme si on a des cailloux dans la bouche)
un autre moment 6 :
– je t’aime.
– timide !
un autre moment 7 :
– je t’aime.
– tamanoir ?
un autre moment 8 :
– je t’aime.
– ta gueule et écarte les fesses !!
un autre moment 9 :
– je t’aime.
– le lundi ?

Old par igor le 19 Déc 2002

En cas de malaise…

Old par -- Zan le 23 Mai 2005

I’m a little shy. So she gives me a smile …

Retraite tourgueniste, variante koozonordique.

« Il fait froid dans le monde », et je suis un fan de bowling sur glace.

Un cercle empathique sous une décoration tintinnabulante,

dernier carré ou première ligne, anonymes familiers,

un sourire de tasse de thé et sa transcendante alchimie,

une activité agonique, ses secrétions politiques saturées,

l’accélération tous azimuts, le sofa surf décloisonné,

et un gros feu de cheminée.

Strike.

Old par ... le 24 Déc 2004

% et je cherche

Il est établi, et ce même au sein du système même, que Mao a eu raison à 70 %.
On soupçonne Tourgeuniev de l’avoir à 95 %.

je suis en train
de me fournir
en armes de
destruction
massive
ici

Old par igor le 22 Avr 2003

50 Ways to Leave your Lover

le récitant : kill your boyfriend.

Old par igor le 08 Mai 2006

Les ombres sous la pluie"

Je me suis encore réveillé habillé ce matin. J’ai du mal à émerger. Je ne sais pas exactement où je me trouve.

Plus tard, le docteur un sourire apitoyé sur les lèvres vient me voir.

« Vous devriez tenir compte de mes avertissements. Je fais vraiment du mieux que je peux avec vous, vous savez ? »



« Vous avez des illusions suivies de pertes de conscience. »

Je l’écoute d’une oreille distraite ; en regardant la pluie ; je sais bien que je suis normal : ce ne sont pas des illusions. Comment expliquer ce que je vois, comment expliquer ces ombres sous la pluie ?

Peut-être me verrez-vous un jour dehors.

Nous serons entrain de danser sous la pluie.

Quand je vois mes amis dehors, je les rejoins.

Ce matin, le marais autour de La Maison, je suis allongé dans l’herbe humide avec toi. Tu me souris. La vieille demeure semble pour une fois accueillante. Des bruits d’eau, je me sens renaître, enfin. Les rues en pente nous mènent à de charmants jardins où la fraicheur nous accueille et nous entoure de toute son attention et de toute son affection. Ta main dans ma main, je suis là, de nouveau vivant, mes folies et mes égarements se dissipent ne me laissant plus qu’une évidence : toi. Merci.

Old par igor le 18 Août 2003

larguez les amarres!

-et aussi: jetez l’ancre, on en a trop besoin pour ne pas la laisser couler…

-mais, par quoi commencer moussaillon?

-les deux mon capitaine!

Old par Gu. le 02 Juil 2003

(Y)

// UNDERPUBLICCONSTRUCTION //

biKini mOdel

Old par Gu. le 14 Jan 2004

Obscur et froncé comme un oeillet violet

Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au coeur de son ourlet.

Minuit pile

Old par igor le 06 Jan 2004

il dit que la femme qu’il aime
est partie au japon

et qu’il couche avec des hommes
pour ne pas la tromper

Old par M. Fox le 14 Avr 2003

trois mois ont passés sans que nulle voile ne couvre mon horizon,

mon ame pleure de ne pas etre auprès de toi,

chère Venise,

tu me manques tellement,

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Je ne t’ai encore jamais croisé.

Old par Rodia le 05 Avr 2003

Hallo !

may use such information for its business purposes, including for technical information in a form that personally identifies you.

My name is Yana. I live in Ukraine. I am easy-going and sociable, I like meeting new people and learning new things in my life. I like to go out with my friends, to go to picnics, to dance and to listen to music. I love sport games, especially beach volleyball. And I have my own homepage, so if you are interested, you can have a look at it

My page

Best wishes,

Bye-bye

Yana

Parole du héros
La persévérance ? Oui, quand bien
même l’objet de la recherche serait vain, ou impossible
à atteindre, seul l’effort donnerait du sens à
l’épreuve ; c’est le mouvement du travail qui reste
sacré, la cible pourrait ne pas exister, il en serait de
même : l’acharnement, oui c’est le mot juste, pourquoi ?
mystère acharnement à montrer que rien n’est
évident.
Danger.
Considérer que le sens
de sa recherche est hors de soi,
est une mort à
petit feu.

Nothing says « I can kick your ass » quite like a camo muscle tee does. Designed for chicks, our tight-fitting green camouflage sleeveless top features reverse stitch raglan shoulders, green binding at edges, and reverse stitching at hem.

Old par D.b le 30 Juin 2003

A quatorze ans, un zoroastrien nommé Vilmna me rasa les testicules.

Rien ne vaut un scrotum tondu.

A couper le souffle !

Breaking news…

l’autre fois ___________________
histoire d’essayer
on a interchangé nos coeurs
juste comme ca.
tu as rendu le mien vite fait
l’exposant aux intempéries à l’air libre,
te plaignant notamment de ces messages
intermittants disant tout le temps…
par contre ha, pas bete, moi j’ai gardé le tien.
certes il est gros il prend de la place
il y a des vents contraires dedans,
mais il est plein de compartiments secrets
ou je peux m’y assoupir à l’occasion.
bon, on a l’air malins maintenant.
moi, gardant ton coeur qui ne m’appartient pas.
et toi, jonglant avec le mien
sourire en coin, entre tes mains…

Note sur le héros
(Intermittence etc.)

Il y a quelque chose qui s’ouvre parfois, une
amitié s’amorce, un retour d’&eacutenergie
comme des milliards de points qui convergeraient
sur cet impératif : vivre ; l’échange
doit se produire, car la chance tourne vite : la loi de l’alternance
comme dit R. Laporte est une machine qui peut n’importe
quand lui retirer ce pouvoir, alors urgence de tendre la main avant
qu’elle soit brulée, pour construire son regard dans l’amour.

(Amour de quoi ? corps, spectres, mots, pays………)

Old par -- Zan le 01 Jan 2005

Instantané

« – un oeil dans le ciel » (le récitant, léégèrement paf, 00h56)

Vous…des…nouvelles…oui…sûr…non…

…chaleur…on sait… tous…pas d’histoire…

je me promè…en short…vita nuova…

têtes mortes…disparues…where are you…

parle de loin… une bouche ?…oui…oui…

va mal…comme d’hab…une jeune fille…

de 18 ans…non…des heures…travail…que ça…

plus tard…voyages…qui lit… le petit…

salaud…cinema + hamburger… oui…

quel programme…non…pas vraiment…

heureusement…amis…old times…

vieja vita…j’ai chaud…déprime…

blanche…sans…douleur…ça dure longtemps…

depuis le début…oui…trop chaud…

pour… et vous…non… une jeune fille de 18…

centimètres…au cinema avec elle…

premier rang… voyages ?…oui…Italie…Espagne…

je vous…raconterai……oui…les …nouvelles…oui…

le récitant : ne pas écrire post-biture.

Old par igor le 22 Fév 2004

PASTICHE 51 : « Il faut être creux pour raisonner ».

Old par To le 29 Oct 2005



Old par igor le 16 Jan 2003

Old par Gu. le 02 Mai 2003

EBAT, CE HEROS

les vieux amis font aussi l’amour
ils ne rapellent pas…

les vieux amis il faut pas leur faire confiance
ce ne sont que des vieux amis.

Old par igor le 27 Jan 2003

Mensonge

L’autre soir, en voulant expliquer l’idée de la mort à ma fille inquiète,

je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai parlé de Dieu…

l’ennui s’accumule et se chosifie

Lors de la première moitié du XXIe siècle,

la littérature européenne affiche certains traits qui relèvent de la notion de

fragmentation telle qu’entretenue par les nouvelles sciences des signes, comme

celles de la médecine et de la mode. Dans cette thèse, nous ramenons ce lien au

tourguenisme. Le tourguenisme entretient une certaine ambivalence face à la

fragmentation: il semble acquiescer à un état de choses auquel il s’oppose. Le

tourgueniste tout comme des sociologues, identifient comme symptôme principal de

l’être fragmentaire l’ennui. Cette réaction prend de l’ampleur à partir de 2004,

quand, pour des raisons en grande partie socio-politiques et économiques, le

tourgueniste se propose comme héros qui se dissocie de l’époque tout en

insistant sur sa propre modernité. Sans prétendre faire le tour de l’horizon du

tourgueniste au XXIe siècle, notre premier chapitre cherche à relever les lieux

publics où s’exprime son ennui. Le salon, le club, le bistrot, la rue sont

autant de théâtres où le nouveau héros tend son miroir au monde, se repliant sur

lui-même, prônant l’irréductibilité de sa manière d’être. Homme des foules, le

tourgueniste se définit par rapport à sa critique de la loi de l’échange. À

travers les trois figures du médecin, du collectionneur, et de la prostituée, le

tourgueniste produit un discours qui fétichise la valeur de l’individu. Chez le

médecin, l’ennui se fétichise en névrose. Chez le collectionneur, esthète du

naturel, l’ennui s’accumule et se chosifie. Chez la prostituée, l’ennui prend un

visage érotique qui résume la spécificité du tourguenisme. Le tourgueniste doit

sa spécificité à son implication dans la mode. La logique de la mode est celle

du fétichisme dont l’analyse, dans cette thèse, se déroule sur deux niveaux: le

niveau hype, impliquant le discours de la pathologie, et le niveau psycho anal

impliquant les procédés du fétichisme. Nous regardons les théories marxiste et

freudienne du fétiche sous cette double perspective, d’une part pour démontrer

leurs affinités avec le tourguenisme et d’autre part pour cerner le

fonctionnement du tourguenisme. Par ces théories, nous verrons comment le

tourguenisme révèle le caractère fétichiste de la masculinité. Si le noyau de

cette thèse se constitue d’analyses de textes littéraires, c’est que certains

artistes littéraires de la fin du XXe siècle contribuent à l’élaboration d’un

champ de réalisation de l’idéal du tourguenisme. Chacun des auteurs dont nous

analysons l’oeuvre constitue une variation sur le thème du fétichisme qui remet

en question l’identité masculine. L’oeuvre du tourgueniste est un cas limite de

la négativité de la notion de castration, le héros y assumant une névrose

féminisante. Chez le tourgueniste, le héros est imprégné de tourguenisme dans la

mesure où il s’approprie le genre féminin sans pour autant renoncer à

l’idéologie du masculin à l’époque victorienne. Enfin, tourguiguy soulève

l’héroïsme romantique au sein de la démarche tourgueniste, la dialectique

incommode entre l’aveu et le désaveu. Le tourguenisme s’avère un foyer important

d’interrogations sur l’identité masculine. Sa logique fétichiste aboutit à

l’aveu que la différence se situe à l’intérieur d’un héros dont l’ennui revêt

tous les symptômes d’un désordre féminin. Si la femme est châtrée, le héros

affiche sur son propre corps la preuve que l’homme l’est également. Son identité

masculine est fondée sur la castration de son moi.

il buvait tellement, qu’il se reveillait en faisant des crises de manque

angoisses et sueurs froides

alors il mettait la musique à fond et concentrait son esprit sur les fêtes à venir,
histoire d’oublier la panique et la peur

Old par M. Fox le 01 Mar 2003

« La solitude offre à l’homme intellectuellement haut placé un double avantage : le premier, d’être avec soi-même, et le second de n’être pas avec les autres. »
Cette nuit, je serai donc en bonne compagnie.

Old par Rodia le 07 Avr 2003

Lo que me procura el contacto de tu Piel
It is happening again…

Old par Nicolai le 03 Jan 2003

craché par  » i don’t know who yu’re » edited by Gü.

, Mon amour
Old par Gu. le 02 Nov 2003

Cela fait un bout de temps que j’observe d’un côté les fils de news de Reuters, AFP et AP, et de l’autre, les cours de la Bourse.

Les réactions du marché sont si évidentes, si prévisibles, si enfantines, que je me demande parfois si je ne ferais pas mieux de passer mon temps à spéculer comme un dingue.

Et puis je repense à Thalès.

Et alors je continue mon roman.

Hockey-glace-LNH-CL 21/10/2005-11:53 – AFP – 0mn35

LNH – Les résultats de jeudi

WASHINGTON, 21 oct (AFP) – Résultats des matches du Championnat
professionnel nord-américain de hockey sur glace (LNH), disputés
jeudi:

Boston – Buffalo 3 – 4
NY Islanders – NY Rangers 5 – 4
Atlanta – Tampa Bay 0 – 6
Florida – Washington 3 – 2
Toronto – Carolina 5 – 4 après prolongation
Pittsburgh – New Jersey 3 – 6
Nashville – ST Louis 3 – 2 après tirs au but
Calgary – Edmonton 3 – 1
Dallas – Los Angeles 2 – 7
Vancouver – Phoenix 3 – 2

bur/bvo

AFP 210953 GMT OCT 05

Old par Nicolai le 21 Oct 2005

Il a dit: Je suis d’une génération élevée par des femmes, j’ai pris l’habitude de leur autorité.

Moi j’ai dis: Je suis d’une génération qui s’élève seule.

C’était un instant fort.

Pullule comme le criquet, pullule comme la sauterelle.

rideau

eux : nous gouvernons le monde bzzz bzzz !
masque 1 : je suis masqué.
masque 2 : oui et moi aussi.
criquet 1 : bzzz bzzz ?
criquet 2 : je ne sais pas.
masque 1 (piétinant les criquets) : je ne suis pas parisienne et ça me gène.
criquet 1 (mourrant) : je te comprends.
masque 2 : on pourrait compter les amis que l’on se fait…
criquet 2 : oh mon ami, tu nous quittes.
eux : mouhahahahaha bzzz bzzz !
masque 1 : je vais mourir pour le tourguenisme.
criquet 2 (tout bas) : anarchiste !
masque 2 (criant) : va, mon ami, va.
masque 1 (explosant) : restons sobre avant tout.
eux : la guerre sera rude bzzz bzzz.
masque 2 : ganesh veille sur moi.
criquet 2 (sort de scène) : bye bye.
eux (sortent de scène) : bzzz bzzz
masque 2 (seul) : je suis bien seul ce soir.

rideau

Old par igor le 11 Août 2005

chère amie,

je suis pour l’instant
tenu loin de vous
par une ignoble maladie,

j’espere prochainement
pouvoir vous rencontrer
à nouveau dans notre prairie,

bien à vous,

Old par M. Fox le 04 Nov 2002

[konsstruktVOUSaime] punKpoésie

mes chaussures sentent la pourriture

j’ai du sang jusqu’aux genoux

et ça n’arrête pas de monter

maurice papon estun héros

d’ailleurs mon site lui est dédié

quand je marche ça fait un bruit tout mou

un peu comme si je marchais dans de la terre molle

autour de moi c’est rouge sombre

j’ai un peu de mal à penser

les gémissements m’empêche de fixer mes pensées

je marche sur des cadavres

aussi loin que je regarde il y en a

les cadavres de ceux qui ont ouvert leur gueule

pour dire ce qu’ils pensaient

les cadavres de ceux qui ont fermé leur gueule

de peur de dire ce qu’il pensaient

les cadavres des gens trop cons

pour penser quoi que se soit

les cadavres des flics

les cadavres des victimes de flics

les cadavres des juifs

les cadavres des nazis

maurice papon a incarné la justice

dans notre beau pays

maurice papon a pris des décisions

en faveur de la justice

maurice papon connaissait bien

la justice et l’injustice

des cadavres sous mes chaussures

des mains mortes qui s’accrochent à mon jean

et des gémissements qui s’accrochent à mes pensées

je n’éprouve aucune culpabilité

je n’ai pas pu tuer tous ces gens

pas tout seul c’est pas possible

je suis trop jeune après tout

et sans doute pas assez fort

on a du s’y mettre à plusieurs

mais les autres c’était qui

je n’éprouve aucune culpabilité

simplement de la fatigue

oui je suis si fatigué

c’est si difficile de marcher

dans une boue de cadavres

c’est si difficile de penser

avec ces gémissements qui n’arrêtent pas

vivement que je perde la mémoire

vivement l’amnésie

leur douleur moi je m’en fous

c’est eux qui sont morts c’est pas moi

tout ce que je demande c’est penser

tout ce que je veux c’est pouvoir marcher

tout ce que je veux c’est pouvoir penser

ce n’est pas moi je ne vous ai rien fait

je n’étais pas là quand vous êtes morts

je ne suis pas là alors que vous mourrez

je serai ailleurs quand vous continuerez à mourir

ce n’est pas moi ce n’est pas moi

je ne suis pas là laissez-moi marcher

laissez-moi être libre

laissez moi penser

lachez-moi je ne vous aime pas

je n’éprouve aucune compassion juste de l’épuisement

vos gémissements m’épuisent

votre poids dans ma mémoire m’épuise

je veux vous oublier

je veux vous oublier

[konsstruktVOUSaime]

on imagine facilement a quel point votre vie peut se
r&eacuteduire a un triste &eacutenonc&eacute qui chaque
jour se r&eacutetr&eacutecit jusqu’au ridicule ;
pr&eacutesence persistante bien qu’infime dont
le bruit me fait penser aux g&eacutemissements
terminaux d’une mouche que je viens d’&eacutecraser. Elle pourrait
constituer un sain motif de col&egravere, voire de m&eacutepris,
mais la complaisance dans le regard que vous portez au miroir rend
difficile le d&eacutetachement que suppose ce m&eacutepris.
Pourquoi ? Parceque je suis parfois aussi tent&eacute de m’exercer
aux belles gesticulations devant le regard d’autrui. Craner dit-on.
Se pavaner dit-on. Se plaindre dit-on. G&eacutemir dit-on.
Mais il y a autre chose a honorer (d&eacutecouvrir ?) le dehors.
(Je comprends la s&eacuteduction de la chambre et le bonheur d’y rester en
compagnie ou seul pour jouir ou g&eacutemir. Exposez-vous dehors,
il fait assez bon. en ce moment. Je vous en prie, &eacuteconomisez vos images
vos confessions, il n’y a plus d’homme digne de se fondre dans l’attente de
l’amour, de disparaitre sans fracas.)

Old par A venir le 09 Oct 2002

la cloche

Il faut quitter ces bars.

Ne pas attendre que la dernière cloche retentisse.

Non, il n’y a rien de moral là dessous. Catégorique, le dernier verre que l’on boit sans trop savoir pourquoi est vain. Un point c’est tout. Laisser ces formes passer en sachant qu’il n’y aura d’étreinte que dans la pensée. Torture dérisoire.

Il faut quitter ces bars.

à vous

Faire l’image au plus vite, vivement. Ecrire dessus une légende, un texte. Savoir qui
écrit et celle qui va lire. Au moins, la prose est au-devant d’une femme.

Cela élimine un certain nombre de gêneurs. Les états civils sont encombrants, certes. Mais la privation pose d’autres difficultés. Légères gênes solitaires.

A qui suis-je en train de penser, sinon à vous-même ?
J’évoque tout de suite l’insuffisance du procédé, et son manque de finesse. L’insistance a la part belle de l’entreprise. Je vous rends l’image. Je n’y figure pas. Comment pourrais-je ? Je la fabrique. Il y urgence, je pense. J’ai été photographe, mais il y a longtemps. Une générosité : c’est le mot qui s’écrit sur l’image, et le reste défile sur l’écran blanc.

à vous

(correspondance/deux/chapitre/comment je me figurais l’autre/comment
la rencontre et pourquoi la rencontre/recommencements/
autologie/anticipations/public & privé/vies/politique oblique/nubile et humide/dragues/commentmontrer/faire/penser/vivre/interface/inter-fesses/
retour paniqué de l’aura/critiques/impudeur/inconnues/infini/monde discret
/intime & ignoble/amis et cochons/prévisions
/comment je m’étonnais de m’étonner/tous les jours/une à une/réveils moyens/recommencements/retour paniqué de Laura/correlats/image-nique/recommencements/devenir fou/ écrire
/parasites/éloges/aventures/
audaces moyennes/image/vraie/origine/recommencement
/comment j’accumulais les bourdes/)

Environnement-énergie 18/08/2005-14:35 – AFP – 1mn12

Nomination d’un coordinateur interministériel pour valoriser la biomasse

PARIS, 18 août 2005 (AFP) – Le gouvernement a annoncé jeudi qu’il va nommer
auprès du ministère de l’Agriculture un coordinateur « chargé d’arbitrer et
d’animer les politiques de l’Etat en matière de valorisation de la biomasse et
des matières premières renouvelables d’origine agricole et forestière ».

[…]

cds/slb/sh

AFP 181435 ÌÌÌ AOU 05

« NAAAAAAN !!! »

(prototronço)

Old par ... le 04 Déc 2004

d’accord il plongea, il s’insinua dans ce qui ne représente rien pour là-haut. ici si je pleure c’est comme si je ne pleurais pas. il resta calmement au fond sans repirer sans respirer.
et peut-être après c’était mieux.
si je ris c’est comme si je m’étouffais
il s’ouvrit sur le dos regarda le dos de la surface là-haut, frontière encore plus implacable que de l’autre côté. je reste.

je ne suis pas encore pret.

Old par M. Fox le 30 Sep 2002

tOday, Saint-Gü. (…)

Old par Gu. le 08 Avr 2004

Le Tao est perturbé. Le monde est déréglé.
Mais tant qu’il y aura des choses comme ça, je serai heureux de vivre.

Old par DrT le 08 Avr 2003



REMETTRE DE l’ORDRE

BORDEL

j’ai connu Tourgueniev à St Petersbourg en 1937.
nous n’en menions pas large.
il avait des escarpins beige…. ou rose.
je ne sais plus très bien.

J +/- 0

à toi marm, …

tchin !

bon ben ça a pas l’air de marcher…

visibilité effective : 0%

pertinence : 0%

humour : 0%

L’un est enthousiaste et l’autre est quoi , déjà ?

Old par -- Zan le 28 Juil 2003

Tourguenaï, âgé de sept millions d’années, est bien la plus ancienne espèce connue d’hominidé, a affirmé mercredi le professeur Michel-Paul Narev, qui a détaillé devant la presse les nouvelles données permettant de le confirmer et qui font l’objet de deux publications dans la revue Naturiste-Jeudi.

De nouveaux restes fossilisés attribués à Tourguenaï (Tourgus Urgueniensis), ainsi que la reconstruction en 3-D du postérieur découvert par l’équipe du professeur Narev en 2001, indiquent qu’il est proche du dernier ancêtre commun aux hommes et aux femmes, et qu’il représente « la plus ancienne espèce connue du rameau humain ».

Le postérieur de Tourguenaï avait été mis au jour à l’ouest de la vallée du Rift dans le Djourab Biélorusse en 2002 par Pf. Narev, qui l’avait présenté comme le doyen de l’humanité, ce que d’autres paléontologues ont mis en doute, le considérant plutôt comme un ancêtre du chinchilla.

Six fossiles étaient jusqu’à ce jour attribués à Tourguenaï : un crâne, deux fragments de fesse droite, ainsi que trois dents. Aujourd’hui, Pf. Narev et ses collègues de la Mission Paléoanthropologique franco-moscovite au Centre de la Recherche Scientifique (CRS) de Rochmeunier en Gironde (centre-gauche ouest) annoncent avoir décrit deux mandibules et une prémolaire supérieure.

« Ces éléments de la tête osseuse et des dents permettent d’envisager une taille de 105-120 cm, soit une taille proche d’une grosse souris commune (Pan troglodytes). Ce qui n’est pas pratique à placer sous un oreiller. Même si Tourguenaï ne ressemble ni à un bidet ni à un lavabo », fait valoir le chercheur.

« Ce que vous voyez ici et qui fait la Une de Naturiste-Jeudi, est un modèle en latex de la première paire de fesses de l’Humanité, dont le moulage a été réalisé à partir d’une odeur reconstituée virtuellement », a affirmé le chercheur.

La reconstitution électronique en 3D du derrière a été effectuée selon deux protocoles indépendants, l’un purement géométrique, l’autre utilisant les contraintes anatomiques existantes chez les postérieurs de primates : singes, grands singes et encore plus grands singes.

« L’analyse morphométrique de la reconstruction finale montre que Tourguenaï se range dans le groupe des rayez la mention inutile et non dans celui des grands singes », selon le Pr Narev, pour qui Tourguenaï présente « une mosaïque originale de caractères primitifs et dérivés » qui le distingue à la fois des grands singes africains actuels (on ne citera pas de noms), mais aussi de tous les autres genres d’hominidés fossiles décrits jusqu’à ce jour (on ne citera pas de noms non plus).

« On a trouvé chez Tourguenaï une dizaine de caractères dérivés qui n’appartiennent qu’au rameau humain », comme le O, le X le Z et surtout le Q, mais aussi la forme des dents, l’orientation nucale, l’épaisseur de l’émail dentaire, les canines, souligne Pf. Narev, qui met au défi ses détracteurs de produire « un seul caractère dérivé commun à Tourguenaï et au gorille ou à un lavabo ».

« Tous les éléments que l’on peut observer sur ce postérieur sont indicateurs de bipédie, mais il faut être prudent, car il y a une ambiguïté: il y a plusieurs types de bipédie. Même si je serais surpris qu’on arrive à la conclusion que Tourguenaï n’était pas bipède, je n’imagine pas qu’il marchait comme moi aujourd’hui », explique le chercheur homosexuel.

« Qu’y a-t-il eu avant Tourguenaï? Je n’en sais rien, et c’est pourquoi je veux étendre des recherches et aller en Arkansas », a conclu le chercheur qui, après avoir rencontré le colonel M.Khadafi, a été l’instigateur d’un accord entre les universités de Poitiers et Tripoli pour travailler dans ce pays où le mystère de l’antériorité du Tourguenaï reste entier.

Old par To le 06 Avr 2005

Ce matin
je ne me suis pas
cassé le bras
ni brisé une côte
ni enfoncé une vertèbre.
Aucun petit bout d’os
n’est venu me perforer un poumon.
Mon foie n’a pas éclaté comme
un bubon plein de pus.
Mes testicules ne se sont pas flétris
sous ma queue gangrenée.
Mes intestins ne se sont pas relâchés
d’un coup et ma rate n’a pas explosé
comme un fruit trop mûr.
Non.
Ce matin, tout est bien et
c’est une belle journée.

Old par igor le 14 Jan 2003

tire pas merd !!!!!

chamrousse  1968 - tin!!! tout shuss dans les bosses !

comme des moineaux

on allait grapiller les bisoux

des championnes

au salon de coiffure

et à sept ans

des bisous

t’en as tant que tu veux

tinnnnnnnnnnnnn !!!!

Les petits garçons naissent dans les Choux,

Et les petites filles dans l’Eros.

Old par To le 02 Fév 2005

le récitant : do yourself a favor and become your own savior.

Old par igor le 28 Mar 2003


psst, hey, psst… mmm?

On s’est dit que les dialogues de films

pourraient être une matière première adéquate

(…)

Old par Gu. le 21 Juil 2003



another broken heart


dimanche
il est tard
je suis crevé
c’est une belle journée
je vais me coucher
longue nuit
pas le courage de faire mieux
ce soir
je roule dans le salon
mes yeux se ferment
et anne-elisabeth vient
de remporter les 40 000 euros
bravo anne-elisabeth
gri-gri sourire un grand merci
bonne nuit

add-on
——————————–
j’ai blessé une personne que j’apprécie beaucoup
je ne sais pas comment réparer
——————————–

Old par igor le 10 Nov 2002

ce soir je mange une salade de lentilles

Old par ... le 01 Déc 2006

Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons.

Et je n’ai pas besoin de toi.

Et tu n’as pas besoin de moi non plus.

Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards.

Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde.

Old par M. Fox le 04 Juin 2003

Je n’ai jamais su

ce que pensait cet homme.

Il avait les yeux comme

tournés vers l’intérieur

de lui même…

Dieu en vacances sur la cote d’azur…

Reviens gitane.

Faisons de nouveau le tour que je parcours en un éclair la lune hospitalière.

Que je comprenne que sous les cratères, caos apparent il y a la vie, il y a le temps.

Ce cycle qui nous bouscule éternellement.

Repète moi une fois à voix basse la formule qui ouvre le coeur.

Confirme moi qu’il n’y a pas une route que ce n’est pas un labyrinthe mais un dédale (une entrée et plusieurs sorties).

Regarde moi enfin dans les yeux pour le signal « vas-y ».

Et tout recommencera….

Spock à Entreprise ?

Entre 1958 et 1972, Vladimir Chauviré livrera quatre romans à Milo Tourgueniev. Tous montrent une identique précision dans le regard quasi-chirurgical, à la fois proche et détaché, porté sur ses personnages, des gens simples, des antihéros, anti-fascistes et anti-sceptiques, pouvant le rapprocher de Dieu et de son confrère le docteur Tchekov.

Old par To le 13 Avr 2004

Comme dans une boule de cristal

Lundi mididix, gros comme une maison je vois
une révolution hebdomadaire de plus avec son
chronométrage horaire ennuyeux, ses urgences
et ses tâches de fond, ses raccourcis et ses
passages secrets, sa succession comme gravée
dans le marbre d’instants rituels et de corvées
bénines, ses éventuels tunnels obscurs et ses
hypothétiques parenthèses éthérées.

Gros comme une maison je devine même le spam
du jour provisoire mais marketé, mentionnant
un réveil difficile à l’écoute de TSF ou une
connerie comme ça, c’est en fait assez lassant…

Rapide coup d’oeil à l’horloge : un rituel
organique bien basique mais gastronomiquement
réhaussé s’impose.

Old par ... le 14 Mar 2005

Exopode

Les douleurs ont repris, un scan rapide a suffi à confirmer l’intuition : l’extension de la chitine, l’armature surnuméraire aux vélléités totalisantes, la reconstitution d’un rostre acrimonique, ça lance et relance. la course reprend contre à la fois l’hormone sombre et la rigidité cadavérique. Les pinces coupantes n’ont pas repoussé, pas encore, pas encore tournées vers l’Autre ; les seuls outils alentour tordent pour l’instant les articulations de l’arthromorphe, poussent les stimuli internes et les alarmes psychiques à leur paroxysme. Faire confiance à son propre cuir est une erreur stratégique à éviter, même si on replonge sans cesse dans les mêmes eaux noires avec une constance qu’on dirait emprunte de délectation.

Si l’exoconversion reprend, malgré les trous fumants qui percent encore la cuticule, les conséquences à en tirer dépasseront de loin la simple reconstitution du statu quo ante. Mais le changement peut advenir sur place, pas besoin d’oscillations mentales, ni de voyages long courrier. Il reste l’hormone : la minerve qui la distille a pris du poids, ses fondations se sont renforcées, le complexe céphalothoracique est transpercé d’une miriade d’attaches métalliques et de sangles de limaille cruellement enfoncées dans la chair, parcouru d’une forêt de piques luisantes et froides comme des seringues. Et la thérapeutique préconisée par les Prêtres Pulsatifs s’avère totalement bidon. La minerve en fonte s’est alourdie, parce que l’arthropode éventré et à moitié carbonisé n’a pas su l’extirper à temps, et surtout parce qu’il a perdu ce à quoi il aspirait. La principale racine tubulaire de ce joug déséspérant plonge désormais au coeur de la neuromère endommagée. Le centre névralgique est délabré et désert, mais des diodes bioluminescentes continuent de briller dans le noir. Une unique source de chaleur dans l’interzone, qui servait de veilleuse et de baromètre à surpression. Des diodes. Elles auraient pu devenir des géantes rouges, briller sans fin, et pourront certainement encore irradier ainsi, mais rien ne peut s’enflammer sans comburant – et l’air s’est méchamment raréfié. En attendant, il s’agit d’adopter des positions antalgiques, de joindre les canines, et de respirer par à-coups : l’atmosphère est un poison, mais le drame est qu’on aime cette intoxication, au-delà de toute raison.

Old par ... le 23 Nov 2005

AUTOLOGUE

COCO C’EST PAS BIENTÔT FINI CEs JÉRÉMIADES,
JE TE L’AI DIT TU N’AS TOUJOURS PISSÉ QUE DE L’EAU (je ne pouvais pas prévoir une réaction aussi violente ?).

Peut-être fallait-il envisager l’affrontement ?

(Sous la littérature, sous le monde, là où il y a encore de quoi faire, sans poser.)

TOUT CE QUI VIENT DE TOI NE M’ÉTONNE JAMAIS. CHACUNE DE TES PENSÉES EST EMPRUNTÉE À D’AUTRES PENSÉES MAIS PAS LES TIENNES…

(j’avais conçu le projet d’une œuvre qui se serait éloignée des autres, des livres, près de la vie, du vivant surtout.)

J’écartai avec une certaine élégance les gêneurs. Mais pour qui ?)

intrOsautOsOâ/#2



s’OctrOyer un large espace, trOp, dessiner un univers, vaste, y (p)Oser sa planète (…)

Old par Gu. le 26 Fév 2004

c’était très étrange

même dans le cadre expérimental du labo

Kiki continuait à s’exploser la tête spontanément

Old par -- Zan le 01 Juil 2003

Old par Gu. le 08 Oct 2003

A dada paranoïa: encore un coup des russes ?

Old par To le 14 Déc 2004

Old par Gu. le 19 Oct 2003

Je sais que tes yeux jaunes ne m’ont pas quitté
Pendant que je séchais alangui dans la mousse
Tu as dû voir alors
Passer sur mes flancs nus
comme une gifle
l’ombre funeste
de deux grandes ailes
qui tournoient au ciel
et te guettent aussi

Old par -- Zan le 06 Jan 2003

Old par Gu. le 01 Juil 2003

L’entrée de mon cerveau.

Old par Rodia le 31 Mar 2003

« là ici »