un prénom tout pourri mais un corps exemplaire ma chérie

Old par felix le 09 Août 2004

Abs(trés)cons – des limites de l’abstraction en milieu saturé

C’est dingue tout ce qu’on peut faire avec une aiguille à tricoter.
Pendant ce temps, les évadés Ks’n Agalek et Urok’rah fightent comme des guedins contre les mouches, les parasites
et les survivants, sur Altaïr 4. « Chacun pour soi poursuit sa nébuleuse », faut bien que jeunesse se masse.

Old par ... le 24 Avr 2006

and you know that.

« – Holy mother of God !! No one can compete motherfucking kushikatsu !!!!

Old par ... le 18 Juil 2005

Révélation !

ouééé !

Old par igor le 25 Juin 2004

en fait mes preocupations principales ces temps ci sont liées au sort de bruce lee robot.est-ce qu’il va s’en sortir? telle que j’imaginais la chose dans le futur,des
agents particuliers en liaison avec la planete mars doivent faire regner l’ordre sur
la terre.mais y’a un probleme! les proxiens sont aussi sur le coup! et les morgs!
et une commando de filles robots! bruce lee revient! ressucite! leve toi! combien
coute un survetement jaune et noir?

Old par -- Zan le 26 Nov 2002

Si un jour tu peux venir…
C’est assez N.A.P.
C’est quoi N.A.P.?
Neuilly-Auteuil-Passy…
Serieux tu les fais boire un peu, et tu leur fais signer des chèques hein!
C’est très bon ce que vous faîtes, moi ça me parle beaucoup.
Moi mes parents…
C’est time consuming…
Mais sois serieux avec ces gars là
Reste là, écris! écris! Tu nous a mis l’eau à la bouche…
Il faut que je trouve la rentrée d’argent récurrente…
Mais va voir ces petits fils de pute d’Auteuil là!
Comme des belettes.
Je lui ai offert du muguet et une brosse à dent, ça c’est de l’intronisation!
Samedi, dimanche, mardi… moi me lever avant neuf heures c’est chaud…
Nous n’irons plus au bois, les chasseurs sont méchants…
PAIX, AMOUR, LIBERTE ET FLEURS…
L’arme fatale, tu es plein de pertinence, ça bouge!
Big up, luxe, création et beauté…
Quand t’es un poète, y faut raquetter cette racaille!

Old par Gu. le 01 Mai 2003

Heureux au Je, malheureux en amour…

… encore perdu !

Old par To le 14 Fév 2004

(a-wa) O kodwa u zo-nge li-sa namhlange
(a-wa a-wa) Si-bona kwenze ka kanjani
(a-wa a-wa) Amanto mbazane ayeza
She’s a rich girl
She don’t try to hide it
Diamonds on the soles of her shoes…

Old par igor le 02 Août 2003

Réduis l’étude sans inquiétude,
seul ou accompagné de flatteurs.
Les uns se débarrassent de quelques
« quelle bonté est accompagnée de mal ? »
Les autres se débarrassent de
« quels hommes et quels endroits craindre ? »
On ne peut pas ne pas craindre
les endroits incultes, où il faut presque mendier, en effet !
De nombreux hommes sont brillants et florissants,
comme s’ils jouissaient de la plus grande écurie,
comme si l’amour montait sur scène.
Moi seul suis à l’ancre, comme en attente d’un signe,
comme le fils nouveau-né, pas encore enfant,
qui accumule et entasse, comme s’il n’avait pas d’endroit où retourner.
Tous les hommes ont des surplus,
moi seul suis comme un perdant.
Je suis un idiot, dont le cœur aussi est confus et chaotique !
L’homme commun brille et illumine,
moi seul suis un crépuscule sombre.
L’homme commun examine et observe,
moi seul m’ennuie et déprime,
calme comme la mer,
un vent fort qui ne s’arrête pas.
Tous les hommes ont un usage,
moi seul suis bête comme un village isolé.
Moi seul diffère entre les hommes,
mais ma mère est un précieux repas.
Laozi

Old par igor le 04 Déc 2002


Old par Rodia le 21 Avr 2003

Prendre un éléphant par la main

Pour l’emmener vers demain,

Pour lui donner la confiance en son pas,

Prendre un éléphant pour un roi.

Prendre un éléphant dans ses bras

Et pour la première fois,

Sécher ses larmes en étouffant de joie,

Prendre un éléphant dans ses bras.

Prendre un éléphant par le cœur

Pour soulager ses malheurs,

Tout doucement, sans parler, sans pudeur,

Prendre un éléphant sur son cœur.

Prendre un éléphant dans ses bras

Mais pour la première fois,

Verser des larmes en étouffant sa joie,

Prendre un éléphant contre soi.

Prendre un éléphant par la main

Et lui chanter des refrains

Pour qu’il s’endorme à la tombée du jour,

Prendre un éléphant par l’amour.

Prendre un éléphant comme il vient

Et consoler ses chagrins,

Vivre sa vie des années, puis soudain,

Prendre un éléphant par la main

En regardant tout au bout du chemin,

Prendre un éléphant pour le sien.

Old par -- Zan le 26 Déc 2003

le récitant : insomnie, j’écris ton nom.

Old par igor le 26 Jan 2004

Epitaphe

Old par JLB le 07 Mai 2006

Old par -- Zan le 20 Mai 2003

Génie&désespoir(?): encore un coup des casseurs de H…

BURP

86 397

Et l’on en est à 3. C’est largement suffisant pour que le dernier tour d’écrou nécessaire ne se fasse pas à donf. Stoppé en cours. Suffisant pour que vos vies se délient sous l’impulsion des vibrations, des chocs. Pétage de boulons en séries et à tous les niveaux – « ben ! pourquoi ça se désassemble !?» – Mais trop tard, les Langoliers ont fait leurs boulots et il ne vous reste plus que le constat : Les trains déraillent, le guidon de votre vélo vous reste dans les mains, les ailes d’avions restent à terre et les avions deviennent grêle. Alors, toujours rien ? hum, tant pis… PAN… 86 397.

on s’est définitivement calmé et on boit désormais froid à Saint-Tropez…

faut-il avoir peur des surfeurs à forte densité testiculaire

=’leftéchapper àl’incertitude();

(pour)

se.Libérer.De.Linconnu =’right’ /



No pain, no gain

B.U.L.O.T. strikes back

Je suis obéissant.

Old par Rodia le 15 Avr 2003

rituel extatik extraordinaire, bustier postume et con délicieux. mes doigts sur ta sueur. mes mains sous tes draps. langueur et langue dans ton oeil . douceur des cils. fraicheur du cuir. brulure de ta mouillure. se lever, enfin. pour etre celle qui monte sur ta croupe.

mais pas sans toi

Authentique – oui trop typique – cette saveur aromatique.

D’autre part, «notre étude indique que cette caractéristique de l’évolution humaine, la croissance continue de la taille et de la complexité du cerveau, est toujours à l’oeuvre aujourd’hui», poursuit-il. Certes, le cerveau d’Anatole France ne pesait qu’un kilo, quand celui de Tourgueniev, sensiblement aussi intelligent, pesait le double, mais la taille du cerveau est quand même en corrélation avec l’intelligence.

Old par igor le 14 Sep 2005

Livin la vida Twin Peaks…

Hola muchachos y muchachas,

Voici certainement l’un de mes derniers messages du Chili. Peut-etre pas le dernier, mais pas loin, pas loin… J’ai passe le week-end a Valparaiso, et je suis sur le point de m’enfuir cette nuit de cette ville au climat etrange pour rejoindre au plus vite la bien nommee La Serena. Depuis mon arrivee hier apres-midi, Valparaiso n’a pas arrete de me tendre des pieges, d’ourdir de sombres plans de facon a me desorienter, a me faire perdre le sens du reel et de l’etabli pour un autre ordre entropique et aleatoire que nos maigres facultes de perception humaine de nous permettent pas d’apprehender (ca va, ca fait assez Lovecraft comme ca ?).

Premier episode : Le vieil homme au canon.

Arrive depuis une petite heure a Valparaiso, je me ballade tranquillement, profitant des rues ensoleillees et de la relative bonne humeur generale de la ville ce samedi apres-midi. Rien que de tres banal en somme. Je flane donc sur le petit morceau de port (erf, erf) accessible au public, envahi par la foule de touristes et de santiagiens (??) en goguette venus profiter de leur week-end au bord de la mer. Je prends quelques photos, amuse par l’affluence. Et la, dans un coin, mon regard s’arrete sur un vieil homme, assis sur le support d’un canon, de telle sorte que le canon lui fasse un peu d’ombre. « How picturesque » me dis-je avec l’accent francais. je m’approche donc, pose un genou au sol et degaine mon appareil. Le vieux ne semble pas m’avoir remarque. Zoom a bloc, 140, je vise… premier frisson : dans l’objectif, le vieux me jette un regard noir, une sorte de haine viscerale qui m’indique que s’il etait seul en tete a tete avec moi, il m’eviscererai avec un cintre pendant des heures et des heures apres m’avoir plante des petite epingles sous les ongles et doucement retire la peau du visage comme on retire un masque en argile.

je baisse immediatement l’appareil. Immediatement dans le sens : tout de suite et tres vite. Le vieil homme regarde la mer et semble ne pas m’avoir apercu, tout plonge dans sa contemplation qu’il est. Je reste interloque une bonne minute, je ne me releve pas, je reste juste un peu… interdit. Je me dis : merde, je prends la photo vite fait et puis tant pis, c’est pas comme si je le harcelai non plus, non mais quoi ho merde alors. Et puis j’ai peut-etre vraiment mal vu… bref, rapidement, je replace le viseur sur mon oeil et la, rebelotte, la meme expression de cruaute incommensurable, le regard noir de haine et de violence. Le doigt tremblant, j’appuie sur le declencheur, replie l’appareil en une fraction de secondes pour m’apercevoir que le vieux regarde toujours d’un air paisible l’ocean, absorbe qu’il est par l’etrangete du spectacle de la cohabitation de gros porteurs colores et de centaines de petits bateaux de peche multicolores, eux aussi.

Deuxieme episode : L’enfant mort de la rue bleue

L’apres-midi continue. Le soleil continue lui aussi a taper, mais un leger vent rend l’atmosphere respirable, balaye la pollution et rafraichit la nuque lorsque la chaleur se fait un peu trop opressante. La ville est construite sur des collines, elle est toute escarpee, de petites maisons colorees sont posees ici et la, presque aleatoirement. Nous sommes samedi apres-midi, les rues sont peuplees par des enfants, dehors, qui jouent, tranquilement. Des que je sors mon appareil photo, ils se precipitent autour de moi… chacun veut sa photo, ils posent, je suis devenu un centre d’attraction tout a fait rejouissant. Evidemment, je participe a leur jeu, prends quelques photos sur les fonds colores des maisons alentours. Pourtant, dans un coin, un petit garcon sur les marches semble bouder, il est tourne de 3/4, de dos, a moitie affale sur une marche, et personne ne semble se soucier de lui. Une fois les autres enfants retournes a leurs jeux, je me dirige lentement vers lui ; je pense qu’il est juste endormi.

Je m’accroupis, et prends une photo. Je suis pres de lui mais il ne bouge pas. Sa silhouette se decoupe sur la facade bleue de la maison. Je crois meme avoir saisi une partie de son visage. Je lui lance un mot, pour lui souhaiter une bonne fin de journee. Il ne reagit pas. Je m’approche pour essayer de lui parler. Il ne bouge pas. Je n’ai pas meme l’impression qu’il respire. Je touche son epaule en lui demandant si tout va bien. Il ne bouge pas. Il est assez froid. Les autres enfants, comme par magie, ont deserte la rue. Je me retrouve seul, face a cet enfant inerte. Une tele renvoie un echo quelque part. Impossible de savoir ou. Plus un souffle de vent, je commence a avoir tres chaud. Je me dis qu’une conjonction etrange est en train de s’etablir. Je decide de m’en aller, assez rapidement. Je tourne le dos et commence a descendre a grands pas. Tout d’un coup, j’entend des pas detaler a toute vitesse. Je me retourne.

L’enfant mort de la rue bleue a disparu.

Troisieme episode : Les musiciens fantomes du Cinzano bar.

Un peu fatigue par une journee de marche ardue dans les collines de Valparaiso, je decide donc, tout a fait naturellement, de me restaurer copieusement au Cinzano Bar, suivant ainsi les conseils de Christan, mon hote. « Il y a un peu de musique la-bas, me dit-il dans son espagnol hesitant (il est d’origine allemande), tu verras, le groupe est assez sympathique. » Enchante par cette perspective, je me rends donc au Cinzano Bar, une sorte de grande brasserie assez kitch bondee de monde. Je m’assied au bar, commande mon Lomo a lo pobre et un petit verre de vin chilien (aaaah, le vin chilien…) et profite paisiblement de l’atmosphere. Compte tenu du grand nombre de personnes, le service est un peu long. Mon regard est soudain attire par un vieil homme, tout au fond du bar, au visage etrange. Il porte un costume beige, un chapeau mou et une cravate rouge tres voyante. Il ne bronche pas un mot. Il semble attendre quelque chose. Sous sa moustache blanche, il semble ruminer. Sa machoire est agitee regulierement de spasmes nerveux.

D’un seul coup, la musique commence, sans que je ne me sois apercu de quoi que ce soit. Personne ne semble s’etre apercu de rien a vrai dire. Dans un coin du bar, sous une sorte de fresque assez grotesque, representant dans un style vaguement realiste des scenes de bar americain des annees 30, une vieille femme en dentelle blanche leve les bras vers le ciel en entonnant d’etranges melopees populaires qui s’inscrivent sur toutes les levres autour de moi sans pour autant que les gens ne chantent vraiment. Elle est accompagnee au piano par un homme gras, au visage degoulinant, dans un costume retro etrique, et par un accordeoniste dont le visage se separe en deux parties distinctes : au dessus de son front, une tres nette demarcation laisse supposer que l’ensemble de son visage est une sorte de masque en latex, un faux. Derriere ses oreilles et sur le haut de ce front etrange, une peau rouge vif, comme ecorchee.

Et personne ne semble les remarquer. Les gens marmonnent les paroles des chansons tout en continuant a discuter, mais personne n’applaudit, personne n’ecoute vraiment. Mon plat arrive. Je me retourne, commence a manger tout en me disant que ca commence a faire beaucoup pour une seule journee. Je ne remarque presque plus la musique. Je dicute avec un couple de chiliens qui vient de s’asseoir a cote de moi. Quand je me retourne, la vielle femme en blanc a disparu. L’homme au chapeau mou l’a remplacee. Il entonne egalement d’etranges melopees, encore moins audibles que celles de la vieille femme (qui a disparu du bar, faut-il le preciser… je scrute les moindres recoins de la salle… impossible de la trouver), sa machoire continue a etre agitee de spasmes nerveux et ne se deplace pas en fonction des paroles ou des sons qu’il emet. De temps en temps, le pianiste emet des bruits d’oiseau. Je secoue un peu la tete, commande un autre verre de vin et demande au couple chilien si l’un d’entre eux connait le nom de ces chanteurs. Curieusement, malgre la popularite du bar, ni l’un ni l’autre n’arrive a retrouver le nom de la vielle femme ou du vieil homme… ils cherchent mais manifestement, la memoire leur fait defaut. Nous discutons un peu. Quand je me retourne, je me rends compte que la scene a ete desertee et la musique remplacee par un enregistrement des memes chansons que l’on vient d’entendre.

Je finis par me lever pour payer, decide a aller boire un verre avec Sergio et Lorena, mes amis de la soiree. Je passe faire un tour au petits coins. Je sors assez rapidement, mes amis m’attendent dehors pour aller au Stocolmo. Juste avant de passer la porte, je me retourne : la vieille femme est de nouveau en scene. Elle chante a nouveau sa premiere chanson.

J’ai une seule reclamation pour ce soir : j’aimerais tellement que le chauffeur du bus soit vivant…

Besos a todos

Old par Nicolai le 24 Mar 2002

DRAGON N°8

SUEDOIS A MUSEAU COURT

Le suédois à museau court est

un beau dragon couleur bleu argenté

dont la peau est très recherchée pour

la fabrication de boucliers et de gants de protection.

Les flammes qui jaillissent de ses narines

sont d’un bleu éclatant et peuvent, en quelques secondes,

réduire à l’état de cendres le bois ou les os les plus solides.

Le suédois à museau court tue moins souvent

d’humains que la plupart des autres dragons,

ce en quoi il n’a guère de mérite car

les régions montagneuses dans lesquelles il vit

sont trop sauvages pour être habitées.

(…)

Old par Gu. le 13 Nov 2003

so sweet


tuez moi
oui, si je me
noie muet
dans le monde, là, autour.

Je suis un petit champignon, tout mignon. Tout mignon champignon.
Un jour, merveilleux jour, je rencontrais un Sarrazin. « Êtes vous une galette? » lui, dis-je.
« Non, je suis un occupant arabe du sud de l’espagne. » dit la galette,
« Hé merde… », dis-je.
Et il me trancha la tête avec son sabre.
Comme quoi, il faut jamais se fier à une galette.
Aujourdhui, on ne peut plus critiquer Israël.
Essayons.
« Israël! Viens manger ton porridge! ».
« Ta gueule! ».
Quelle démonstration fracasante.

Old par igor le 03 Août 2003

cette nuit j’ai rêvé

tu étais mort, tu sais

je pleurais dans mon sommeil

j’ai pleuré à mon reveil

que sommes nous devenus ?

tu m’aimais avant,

est-ce que tu m’aimes, à présent ?

Old par M. Fox le 06 Avr 2002

Restaurer la magie n’est pas aisé,
du bout de mes pieds
à la pointe de mes cheveux
je cherche en vain cette étincelle,
ces p’tits morceaux de reves
savamment bricolés,
un peu d’amour,
de musique
et les couleurs qui dansent tout autour,
l’assemblage habituel
qui me fait tenir et avancer

je ne les trouve nulle part,

peut-etre que les temps changent, finalement

Old par M. Fox le 17 Mai 2003

Projet pour la reconstruction de la tour de Babel

Rakov, je t'aime

Old par M. Fox le 29 Avr 2006

Old par Gu. le 02 Juil 2003

19h31 JE FAIS TOUJOURS LA TETE

Old par A venir le 12 Sep 2002

Règle n°1 : Ne parlez pas de reservoir blogs.

Old par igor le 06 Avr 2003

Tu étais ma petite poupée en flocons de neige

aimante

et pure,

veillant sur mon foyer

et sur moi quand surgissait le tourment

Je n’ai pas compris quand tu as brisé cette image

cette illusion que j’avais de toi

a fondu en une nuit seulement

J’ai l’impression d’avoir vécu une longue imposture

ça me blesse,

je ne sais plus qui tu es

ni qui nous étions

Je te reproche ainsi la perte de mes illusions

c’est tellement immature

et tellement moi à la fois

pardonne-moi

I was the first… & they copy :)

Old par Gu. le 17 Juin 2006

Rober Walser ce héros ?

tu veux de la baston, sale rascal ?
tiens robertwalser.blogspot.com/

Herr Kommandant

Der arme Mann
Es mir nun mal nicht antun kann.
Vor seiner gröblichen Palette
Zerstreut in mir sich jede nette
Aussicht ins Leben. Ach, wie kalt
hat er sein Lebenswerk gemalt !
Er malte, scheint mir, nur zu richtig.
will jemand sich ein wenig wichtig
vorkommen in der Ausstellung,
so wird ihm bang vor solchen Pinsels Schwung.
Schrecklich, wie diese Aecker, Felder, Bäume
einem des Nachts wie klob’ge Traüme
den Schlummer auseinanderreissen.
Hochachtung immerhin vor heissen
Kunstanstrengungen, beispielweise
vor einem Bild worin im Irr’nhauskreise
Wahnsinnige zu sehen sind
Den Sonnenbrand, Luft, Erde, Wind
gab er ohn’Zweifel prächtig wieder.
Doch senkt man bald die Augenlider
vor so selbstquälerischer Stärke
in doch nur halbbefriedigendem Werke.
Zu grausen fängt’s ein’an,
wenn Kunst nichts Schön’res kann,
als rücksichtslos ihr Müssen, Sollen, Wollen
vor schau’nden Seelen aufzurollen.
Wunsch, wenn ein Bild ich seh’,
liebkost zu werden wie von einer güt’gen Fee,
geh, geh, adee !

Rober Walser

Old par igor le 30 Sep 2002

Bout au revoir ceci être notre dernier au revoir je détester pour sentir amour entre nous matrice mais être excédent juste entendre ceci et alors je aller vous donner davantage pour vivre pour plus que vous jamais connaître ceci être notre bout embrasser devoir I rêve et toujours voir votre visage pourquoi pouvoir non surmonter ce mur bien, peut-être être juste parce que je non connaître vous tout baiser, svp embrasser mais embrasser hors désir, bébé, et non consolation vous connaître faire ainsi fâché ’cause je connaître que dans temps je seulement faire vous cri, ceci être notre dernier au revoir vous dire ‘non, ceci pouvoir non arriver, ‘et vous précipiter téléphone pour appeler être là un voix unkind dans dos votre esprit dire peut-être vous non connaître lui tout vous non connaître lui tout, OH, vous non connaître bien, cloche dehors dans église tour carillon brûlant indice dans ce coeur le penser ainsi dur sur son doux oeil et mémoire offrir signe que être excédent… être fini.

WEMBLEY, CE HEROS

Old par Gu. le 09 Avr 2003

il était fier d’affirmer qu’il pouvait faire du vrai avec du faux,
on n’a jamais vraiment trop su ce que ça pouvait bien signifier

mais je crois qu’on peut le voir comme ça,
un homme de formules,
difficile à saisir
et attachant à la fois.

Old par M. Fox le 30 Oct 2002

Close the world, Open the nExt

I am falling, I am fading, I am drowning,
Help me to breathe
I am hurting, I have lost it all
I am losing
Help me to breathe

Old par igor le 26 Juil 2003

La honte – numéro 16

Take me out tonight
Where theres music and theres people
And theyre young and alive
Driving in your car
I never never want to go home
Because I havent got one
Anymore

Take me out tonight
Because I want to see people and i
Want to see life
Driving in your car
Oh, please dont drop me home
Because its not my home, its their
Home, and Im welcome no more

And if a double-decker bus
Crashes into us
To die by your side
Is such a heavenly way to die

And if a ten-ton truck
Kills the both of us
To die by your side
Well, the pleasure – the privilege is mine

Take me out tonight
Take me anywhere, I dont care
I dont care, I dont care
And in the darkened underpass
I thought oh god, my chance has come at last
(but then a strange fear gripped me and i
Just couldnt ask)

Take me out tonight
Oh, take me anywhere, I dont care
I dont care, I dont care
Driving in your car
I never never want to go home
Because I havent got one, da …
Oh, I havent got one

And if a double-decker bus
Crashes into us
To die by your side
Is such a heavenly way to die
And if a ten-ton truck
Kills the both of us
To die by your side
Well, the pleasure – the privilege is mine

Oh, there is a light and it never goes out
There is a light and it never goes out

poster des paroles de chanson, pt’ain c’te honte
p’tain, c’est lundi, faut bien survivre un jour
de plus, p’tain, c’est lundi, je t’aime, p’tain
tu dors…

Old par igor le 20 Nov 2006

pau 1884

la ville est recouverte de brouillard,

les horpailleurs traînent sous les voutes.

je n’ose sortir, la pluie est de plomb,

la formule est sur le point de fonctionner.

Old par igor le 02 Juin 2003

Un an de plus… (merci)

De mon fils Thomas c’est l’anniversaire
Il est pas centenaire il a 31 ans
De mon fils Thomas je suis pas peu fière
Vous direz peuchère normal c’est sa maman

Tous les tamanoirs sortent de leur tanière
Afin de fêter cet évènement
Assis avec nous sur leurs pattes arrières
Ils reprennent en chœur cet air entraînant

En occitan j’aurais pu le faire
Si Antoine était là on jouerait du gamelan
Malheureusement lo parla pas gaire
On y arrivera quand tu auras 100 ans

Si Oneko parlait il te dirait mon père
Chanceux d’être chauve tu es en ce moment
Il ajouterait cramant sous sa crinière
Cette nouvelle année s’annonce chouette je le sens

Des chaussettes de ski ça peut pas le faire
Détective Conseil t’es toujours gagnant
Du Scrabble aussi ça me désespère
La chaleur mon cerveau ramollit méchamment

De notre Thomas c’est l’anniversaire
Chaussé d’espadrille il a 31 ans
De notre Thomas on ne peut-être que fière
Il assure sa race, très insolemment

Old par igor le 02 Août 2004

fin de misère…

1. – Le monde est tout ce qui arrive.

 » La maison de Tourgueniev est à nouveau menacée par la mairie de Bougival. Pouquoi tant d’acharnement sur une datcha qui ne prend pas beaucoup de place et nous fait honneur? Les maisons d’écrivains – celle de Mallarmé à Vulaines-sur-Seine, celle de Chateaubriand à la Vallée-aux-Loups, à Chatenay-Malabry, ou le chateau de Dumas à Marly-le-Roi – sont moins encombrantes et ruineuses à entretenir que nombre de vieilles églises. Peut-etre lit-on moins Tourgueniev qu’avant, et on a tort. On croit moins en Dieu aussi apparemment, mais il est plus facile de secourir Tourgueniev que Dieu. Ou alors l’éternité n’a plus de sens. (…) »

Michel Braudeau – Libération du 17 Novembre 2002

Old par M. Fox le 19 Nov 2002

[…] Fondu enchaîné. Sorti de nulle part, quelqu’un me félicite le plus sérieusement du monde pour mon interview « dans Technikart ». Quelqu’un que je connais, j’en suis sûr, et pourtant je n’arrive pas à l’identifier. Pris d’un élan lyrique, j’engage une conversation éthylique avec E., une journaliste de Cosmopolitan qui croit que je travaille avec S.M. : elle trouve tout « génial », je lui parle de surfers hawaïens et de Peter Sloterdijk, « et je t’enverrai une épreuve de mon bouquin en avant-première, c’est promis ». Sur ce, J. surgit de la foule, me claque une bise, et se plaint qu’il y a trop de monde au bar ; je lui explique que « cette compression humaine est une magnifique œuvre d’art », très fier de cette réplique un peu approximative. […] Saut à suivre jusqu’en fin de soirée, je tombe sur B. de K. – ça m’arrive tous les trois mois environ. Comme d’habitude, je me précipite sur lui avec un sourire béat. Comme d’habitude, il est trop ivre pour se souvenir de moi mais il fait semblant de me reconnaître, avec un aplomb qui me laisse admiratif. Et comme d’habitude, je lui demande s’il a de l’herbe sur lui, question à laquelle j’obtiens invariablement la même réponse : « Ah non, camarade… mais j’vais demander à mon épouse, si elle a du matériel on s’fume un calumet sous la tente.». […]

Old par ... le 22 Avr 2005

sophie et les gens - c'est pas si compliqué

Pas de liens : on se connait pas…
Vert : on est pôtes.
Rouge : on se fait la gueule.
Génial ! Tout devient clair dans ma vie !
Merci Sophie !

Old par igor le 19 Juin 2002

il parait que la blanche colombe à 300 tonnes de plomb dans l’aile
il paraît qu’il faut s’habituer à des printemps sans hirondelles…

il est l’heure de se reposer

Old par Gu. le 01 Juil 2003

post it :

lors de la libération, penser à décapiter toutes ces pauvres merdes, si possible après torture et éviscération pré-mortem.

Selon les chaînes de télévision américaines, citant des sources militaires, les deux fils de Saddam Hussein, Oudaï et Qoussaï, ont « très probablement » été tués lors de combats à Mossoul (nord de l’Irak).

(…)

Les spéculateurs avaient en effet affiché une présence record sur le marché pétrolier la semaine dernière, attirés par des facteurs haussiers tels que l’ouragan Claudette dans le Golfe du Mexique, la faiblesse des stocks et l’absence prolongée du pétrole irakien.

Sous la neige

Dehors, la file des candidats tévé réalisme, répétitions, oh happy days, la neige recouvre tout étouffe les voix gèle petits petons théorie du chaos et capitalisme phase trois, quatre ou cinq en tout cas phase terminale petit cancer portatif plutôt que plaie purulence polype anomalie. On se serre les uns contre les autres, rester vivants, garder la pêche, la voix, le pope est mart dit la rumeur elle dit aussi le jury sera intraitable avec les cathos égarés, ne sera pas tendre avec les jewish princess égarées bottes en fourrure et pantalons customisés strass, ne sera pas tendre si tu ressembles à rien et à personne, pas vendable baisable exploitable recyclable able ad lib. La file avance s’engouffre studio, attention là igor tu fais du sous-clotilde pas éxagérer non plus avec la fusion esprit-esprit, la file s’engouffre donc les premières victimes sont recouvertes par la chiasse blanche qui ne cesse de tomber au moins visuellement ça reste filmable montrable baisable exploitable able ad lib. On ne sale pas devant les studios c’est connu, on ne sable (able ad lib) pas non plus sauf période paris-plage et beaux hétéros beaufs culs nus cherchant JF bien sous tout rapport branchable, baisable, able ad lib. Dehors le temps passe, on piétine les corps ensevelis, on trébuche et si l’on ne se récupère pas on tombe à son tour, tombe et personne ne t’aidera ne te tendra la main ne te sortira de la neige de plus en plus collante terrible blancheur qui écorche les yeux, au contraire, te piétiner te narguer te broyer ne noyer t’éliminer candidat en moins toujours bon à prendre et merci pour le tuyau, de toute façon tu n’étais pas able ad lib alors tu sais c’est mieux pour toi, non ?

Old par igor le 04 Mar 2005

Old par Gu. le 21 Mai 2003


Old par M. Fox le 26 Jan 2004

But some people DO CARE

Old par ... le 06 Juin 2005

Old par M. Fox le 16 Oct 2002

Spleenapse

JE VOUDRAIS BIEN SAVOIR

SI LA COULEUR DES DENTS

DE LA FILLE DENIVIT

M’AUTORISE UN ESPOIR

Old par felix le 27 Nov 2003

ici
à Paris
il fait gris
et il pleut
aussi
ici
  ici
à Paris
il fait gris
et il pleut
aussi
ici

Old par igor le 08 Août 2002


lundi
les gendarmes sont presque plus désagréables que les voleurs
eux au moins sont à ce qu’ils font
je garde le sourire
indubitablement
j’aime écouter shannon wright
je rêvasse
je tournicotte
Sylvain se marre
indubitablement
samedi
j’essaie d’expliquer le mot « émulation« 
dimanche
on regarde le japonais fou manger de la bouffe pour chien
vendredi
on voit effectivement jaune
les gens vomissent dans les escaliers
on sourit
la tente nous tombe dessus
la semaine est sans dessous dessus
jeudi
vite

Old par igor le 28 Oct 2002

Old par igor le 28 Fév 2003

alexandrins post-mixbeat

Bad & bad girl…

Feels so bad…

A doctor for her…

She’s so glad…

Old par Gu. le 03 Juin 2003

PARA UN TANGO FUTURO

corriendo por el frio y la lluvia
courant dans le froid et la pluie
dibujando mi destino sobre labios que imagino
dessinant mon destin sur des lèvres que j’imagine
buscando por algun dia como me llamo
cherchant dans les jours mon nom
corriendo por la calle y por la noche
courant dans la rue et dans la nuit
llamando mi amor pesado como lagrimas
appelant mon amour épais comme des larmes
ya no te encuentro en mi porvenir
je ne te trouve plus dans mon avenir
donde estas? donde estas?
où es-tu? où es-tu?
mi vida… un llanto largo e invisible
ma vie… une plainte longue et invisible
vos… un fantasma que en mi primer nacimiento soñé
toi… un fantôme que je rêvai lors de ma première naissance
mi muerte… tu mano, tu ojo, mi olvido y tu voz
ma mort… ta main, ton oeil, mon oubli et ta voix
llanto febril de un dia olvidado
plainte fébrile d’un jour oublié
corriendo por el frio y la lluvia
sourant dans le froid et la pluie
dibujando mi destino sobre labios que imagino
dessinant mon destin sur des lèvres que j’imagine
buscando por algun dia como me llamo
cherchant dans les jours mon nom
vos… un fantasma que en mi primer nacimiento soñé
toi… un fantôme que je rêvai lors de ma première naissance

c h a q u e n u i t j e m ‘ a t t e n d s – j ‘ a i m e r a i s – t e t r o u v e r d e v a n t m a p o r t e à m ‘ a t t e n d r e


1 brique ça fait combien en $…eeuuuhhh…en € ?

150 years agO (piLe) / 19 août 1854

Lu in Libération aujourd’hui, 19 août 2004

19 août 1854.Tourgueniev préfererait ne pas avoir reçu la traduction française de Mémoires d’un chasseur tellement il est indigné. Le titre est devenu Mémoires d’un seigneur russe ou Tableau de la situation actuelle des nobles et des paysans dans les provinces russes, ce qui donne une tonalité politique dont le livre n’a pas besoin, étant déjà dans le collimateur des censeurs. Mais c’est surtout le texte, des pages ont été supprimées, le traducteur en a aussi ajouté. « Voici un petit exemple de ses procédés : j’ai dit à un endroit « Je m’enfuis »; il traduit ces trois mots de la manière suivante : « Je m’enfuis d’une course folle, effarée, écheuvelée, comme si j’eusse eu à mes trousses toute une légion de couleuvres, commandée par des sorcières » et tout est du même tonneau. » Et celle-ci : « Un lièvre poursuivi par un chien devient sous la plume enjouée de mon traducteur « un écureuil qui monte sur le sommet d’un pin, s’y place debout et s’y gratte le nez ». »
Old par Gu. le 19 Août 2004

A Thanksgiving Prayer
Ce héros
Thanks for the wild turkey and the passenger pigeons, destined to be shit out through wholesome American guts.
Thanks for a continent to despoil and poison.
Thanks for Indians to provide a modicum of challenge and danger.
Thanks for vast herds of bison to kill and skin leaving the carcasses to rot.
Thanks for bounties on wolves and coyotes.
Thanks for the American dream, To vulgarize and to falsify until the bare lies shine through.
Thanks for the KKK.
For nigger-killin’ lawmen, feelin’ their notches.
For decent church-goin’ women, with their mean, pinched, bitter, evil faces.
Thanks for « Kill a Queer for Christ » stickers.
Thanks for laboratory AIDS.
Thanks for Prohibition and the war against drugs.
Thanks for a country where nobody’s allowed to mind the own business.
Thanks for a nation of finks.
Yes, thanks for all the memories– all right let’s see your arms!
You always were a headache and you always were a bore.
Thanks for the last and greatest betrayal of the last and greatest of human dreams.
William S. Burroughs

Old par igor le 17 Août 2002

Je te retrouve enfin, mon amour !


Old par M. Fox le 17 Jan 2005

Elle est retrouvée.
Quoi ? – L’Éternité.
C’est la mer allée
Avec le soleil.

Old par M. Fox le 05 Juil 2002

Old par JLB le 05 Mar 2004

Blogosphère


Old par M. Fox le 05 Oct 2004

wampas kill kill

Bang, bang, bang

La radio, la télé

Bang, bang, bang

Les journaux, le ciné

J’crois que j’vais pleurer

Seul sur mon canapé

Oui, Bang, bang, bang

Oh, Bang, bang, bang
Bang, bang, bang

Les Washington Dead cats

Bang, bang, bang

Oh qui se sont reformés

J’crois que j’vais pleurer

Tout seul comme un bébé

Oh Bang, bang, bang

Oh Bang, bang, bang
Mais c’est comme

« Ne me quitte pas »

Joué à la flute de pan

Bang, bang, bang

Bang, bang, bang

Oh, Bang, bang, bang

Ouh, ouh, ouh, ouh

Bang, bang, bang

Partout les barbichus

Bang, bang, bang

Mais tout n’es pas fichu

Il n’faut pas pleurer

Je reste à tes côtés

Bang, bang, bang

Bang, bang, bang
Mais c’est comme

« Ne me quitte pas »

Jouée à la flute de pan

Un lundi dans le RER

Bang, bang, bang

Ouais, Bang, bang, bang

Oui, Bang, bang, bang

Bang, bang, bang

Bang Bang

Old par Gu. le 10 Fév 2004

Le Code civil nous en parlerons plus tard.

Pour le moment, je voudrais codifier l’incodifiable. Je voudrais mesurer vos danaides démocraties. Je voudrais m’insérer dans le vide absolu et devenir le non-dit, le non-avenu, le non-vierge par manque de lucidité. La lucidité se tient dans mon froc.

J’augmente les doses,
au fur et à mesure

Un jour,
tu ne me feras plus rien

Old par M. Fox le 16 Mai 2003

Time to leave (petit scarabée)

You are gonna have to find out for yourself
You are gonna have to find out for yourself
You are gonna have to find out for yourself
You are gonna have to find out for yourself

You are gonna have to find out for yourself
You are gonna have to find out for yourself
You are gonna have to find out for yourself
You are gonna have to find out for yourself

Old par M. Fox le 12 Nov 2005

« Il en est du véritable amour comme de l’apparition des esprits :

tout le monde en parle mais peu de gens en ont vu. »

(Maximes, La Rochefoucauld)

Hier soir, résultat de la StarAcVision à Cash City dans le 9ème :

  • Sertab arrive devant Sanomi

  • La vodka pomme augmente votre acuité visuelle

  • Tout le monde aime tout le monde mais personne n’aime Charles

  • Prosper est viré

  • J’aime bien Denis paskil est méchant

  • Le clonage de Patsy Kensit sur Pasty Stone a pris. Elle s’appelle Aline et fait la joie de ses parents et de leurs amis.

Old par JR le 25 Mai 2003

Old par Gu. le 04 Avr 2004

cOucOu (…)

Old par Gu. le 28 Juin 2003

genre : monsieur gras et monsieur maigre

ben tiens

Old par -- Zan le 28 Juil 2003

A travers le ciel percé : mon regard oh oh, semble avoir recommencé
à observer la vacuité des mes yeux mensongers. T’ai-je fait croire que nous étions
plus qu’amis en me rapprochant du seuil ? Oh bébé ça pourrait prendre des atours
fiévreux puisque je vis aisément sous de soleils ternes.

Cela ne signifie en rien que je suis sérieux : à quoi bon vivre dans une pièce
avec vue sur l’absence puisque la perte du sens me définit si typiquement ?
Oh bébé, bébé si j’envie librement c’est que nulle rente ne m’est tenue.
Ohoh… Oui, j’ai recommencé.

C’est synonyme de toutes choses prononcées par mes lèvres : jouer à
coeur mon errance de mise Oh bébé, bébé, énigmatique construit
de mon imagination. Oh oh ! … Tu penses que je me love venu du ciel céans,
du cercle céleste qui m’emporte au séjour, qui ne me sait pas innocent.

Fenêtre du temps m’emporte au vol du vent. Vois-tu la difficulté, c’est que mon
rêve vagabonde. Même si j’ai vu des étoiles dévorées par le soleil – souhaits
d’héroïsme à en exister réellement, et faire mouche du juste coup, je pleure
voyant ce jour : ne vois-tu pas que je suis différent ? Et quand même j’attends
Mars assis à en perdre ce sens ce qui me définit si caractéristiquement bébé, oh…
Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui.

Vois-tu, je ne crois pas qu’un futur soit la cause de cet élan éthéré
qui m’emporte moi dans l’Eden. Mais Bretonne, avant de t’en aller, il y a quelque
chose que je souhaite te donner : une fenêtre dans le temps; celle qui m’emporte de
son vol, oui celle là même. Oh quelle magnificence, mais patiente un instant,
n’est-ce pas … un spectacle de chiens de guerre enivrés par leur festin ?
Oui c’est bien cela, un monde occidental qui s’effondre en Orient.
Mais à la fin, je sais que la Douairière l’égarera dans l’Océan,
se complaisant de l’avarice qui inonde notre époque.

Et bien mon coeur, j’y ai plongé pour te la récupérer, mais là qu’ai-je fait ?
Dois-je désormais vivre de profits et de fiertés Oh oh !… J’ai encore visé droit
au coeur. Oui oui oui oui oui oui, je me suis abîmé dans cet ébat oh mon bébé
Oui oui oui oui oui oui, oh oh penses-tu que je viens de l’eau de là ?

Et pourtant, je ne me connaissais pas d’innoncence.

Ozzy Spears (1969-1999)

Old par To le 03 Oct 2005

Déclinaison -III



WISH DO NOT HOPE

HOLD « LOVE » TIGHT

SEE YOU

KiSSES

ps :: there is no end, tourguenism is forever

Carte de voeux

Mars 2007, pas de moutons oranges, mais sans doute pas non plus de mois pluvieux pires que ce mois passé. On range les bottes en plastoc en reniflant tout ce qu’on a. Cécile n’est toujours pas de sortie. On pousse les meubles contre les baies vitrées. Dehors les enfants chantent la bonne nouvelle. 3 mois déjà depuis ce mois de janvier fatal.
biche oh ma biche
Fatal janvier, fatal major, fatal mambo, fatale pluie acide qui ronge nos bugatti trouées. Oneko pèse 6 kilos, temesta devient idéale, on peut voir le dos de ma main en regardant ma jambe gauche. Le chef est dans la cuisine presque tout les jours, Clothilde bosse, tout est bien, sans doute. Tourgueniste, encore un effort…
Old par igor le 02 Jan 2007

le récitant : et la rumeur serait donc vraie ?

Old par igor le 12 Sep 2005

le récitant : sur un air latino.

Old par igor le 15 Nov 2003

Le Bonheur est l’envers de l’Inspiration

Old par M. Fox le 24 Juil 2003

Old par igor le 27 Fév 2003

Old par M. Fox le 30 Oct 2002

Le sondage de l’été

oui
sûrement oui
mais cela ne vous
prend-il pas
comme une envie de pisser
le tourguenisme
parce que moi
oui

Le moyen age était très doux,
lorsque tu y étais avec moi

Old par M. Fox le 14 Avr 2003

Martha m’a dit qu’avant elle n’était rien
et que maintenant elle est tout
et que ça l’exaspère,

tu comprends ça, toi ?!

Old par M. Fox le 22 Nov 2002

Au café avec la douce on regarde passer les voitures et on cause littérature



Old par igor le 11 Déc 2003


Je suis lesbienne…
Mais parfois j’embrasse les garçons.
Coucher, non… Mais parfois embrasser…
Et me serrer, là, tout contre.
Hum…
Mes parents vont-ils me comprendre ?
Hum…
Enfin quoi… C’est pas difficile à comprendre ?
Si…
Ah… Je me disais aussi.
Bises et bon week-end.

Old par igor le 17 Mai 2002

« là ici »