Je peux comprendre. Enfin je me dis que je peux. Les serbes, toujours gais, installent une fronde géante sur le toit de la #mairie. On boit.
Et la tu prends des fotographons et hop hop bambin saute @Flore_m
Dans le silence, / Mangent des raisins, / Belle-fille et belle-mère.
Igor ignorait la peur et les fourmis tueuses. Mina pensive l’imite. twitpic.com/1qox86
C’est que nos vêtements, trempés comme ils l’ont été dans la mer, aient cependant conservé leur fraîcheur et leur éclat… #ns
Le bunker. Igor passe la serpillère en écoutant « Papa don’t preach ». Nu. La chaleur est intense. Les filles se bandent les seins. Boogie.
Quelques secondes après la Fin, dans le désert vitrifié, seul se tient le narrateur. Pour une fois, les mots lui manquent…
けんえんのなか dit doctement l’homme à la tête de chat en lissant ses moustaches.
Igor, de bonne humeur, trouve la journée « fantastique ! ». i.imgur.com/7BOKEHq.gif
Réussir une photo, portrait, une commande de l’Académie, du Général, ça demande une lumière, une tension, un cérémonial et un lieu propice.
Message très important pour Samuel : L’octogénaire ne se déride pas. Attendez deux voitures et des amis sur le bonbon.
Renversé par une moto devant chez lui, #Igor_Tourgueniev, à force de #drogues apaisantes, plane complètement. Je suis plus solide que prévu.
Carver détestait les chats pour Poe, Kipling et pour leur regard bienveillant sur notre monde de cendres : bit.ly/chat_carver
Corps bronzés au bord de la piscine, réprimer une érection, penser famine, penser génocide, ça marche en général. S’approcher du bord, discret, ne pas afficher sa minceur de manière trop ostentatoire. Je fais la moitié de la largeur de ce mec allongé à droite, le quart de cet autre qui fait des pompes devant la haie : gringalet… En plus je suis si blanc que ça fait peine à voir. Je sors de l’ombre, une fille pouffe en m’apercevant, ses copines s’esclaffent, un type visqueux me montre du doigt. Nonchalamment je laisse tomber ma serviette. La première balle m’éclate les tympans, l’épaule et la mâchoire du gros connard près de la haie. Je soutiens mon bras ballant avec mon autre main, les anti-douleurs font merveilles. Une autre balle pour la meuf qui pouffe, sa tète éclabousse les pétasses siliconés. Les morceaux de son crâne explosent en petits bouts mortels tout autour d’elle. Ces crétins pleins de coke n’ont même pas encore compris qu’il se passait quelque chose, enfin… Là, j’enchaîne deux types, trois minettes peroxydés, puis un autre mec en train de se relever. C’est assez drôle de voir qu’on peut vraiment en shooter deux avec une balle si on a du pot… Les abords de la piscine sont un peu dégueus, je crêve deux nageurs et leurs matelas gonflables. Plus rien ne bouge vraiment, certains gémissent en cherchant un morceau ou en attendant de crever, d’autres se cachent derrière des transats ou leur serviette. Je fais le tour de la piscine en rechargeant. Pas facile, ma main droite n’est presque plus sensible… Je suis assez vulnérable quand je recharge, mais aucun de ces imbéciles n’y pense… Un par un je les éclate sur le dallage en marbre. Je souffle… Mes jambes m’abandonnent et je glisse sur une matière blanche et spongieuse. Je suis à terre. Je lève le canon vers ma bouche. Les sirènes au loin…
Jeudi matin je vais trouver un poisson rouge dans ma cafetière Bodum, au milieu des feuilles de thé vert bio. Et la fin du monde suivra.
L’homme à la tête de chat n’hésitait pas à utiliser sa peau comme alternative au papier numérique souple. tweetphoto.com/42338109
le récitant : vous avez échappé à ça.
Déterminer la position du nord magnétique. Mettre trois pointes en acier dans une bourse en cuir de bouc. Lancer la bourse vers le nord. Nu.
Mina aime les vieux boucau.
Par la fenêtre je peux voir les flammes et les pompiers impuissants. Je me contente de pleurer, pour les arbres.
Blanc. plixi.com/p/65085117
… tu t’allonges… ça fait drôle de te voir là… chez moi… tu trembles légèrement… moi aussi j’ai un peu froid… tes seins durcis semblent me lancer un appel. tu me souris, et je pose la trousse en cuir sur la table roulante. tu frissonnes. je suis moi-même plutôt excité. je vide lentement la trousse de son contenu sur le drap en coton blanc. les outils étincellent. les murs en béton gris rendent la scène un peu effrayante, dans un hôpital ça aurait paru normal. ici, dans une cave humide et triste, ça parait un peu surréel, un mauvais film d’horreur. une seringue, une simple piqûre dans ta cuisse, tu grimaces. je brandis un scalpel dans la lumière du plafonnier. il est tard, ma main tremble un peu. désolé nathalie…
C’est l’aube. Dans les débris éparpillés les réfugiés récupèrent métaux lourds, organes transplantables et petits biscuits au sésame. Deuil.
παραδεικνύναι : j’ouvre les yeux grumeleux de Carver à la pince à clous et j’officie à la cuiller pour retirer la matière morte, plainte.
Et pendant ce temps là, dans l’espace. t.co/PyBquYhF
Cherche Midi Suédois.
Toi même tu sais.
le récitant : bon, il est temps de fermer et de rejoindre la « kill your boyfriend » night à la salle Wagram.
Carver demande si Yomiko Readman pourrait sauver le monde aussi bien avec une valise pleine de Kindle. Carver tu poses trop de questions !
Dans la salle des réformateurs, on discutait âprement de l’éventuelle nudité des touristes saouls, lors de la visite pontificale. Confusion.
Le chat clignote.
Long silence glacé.
réveillon 2003 : chat + whisky-coke + dvd
(utiliser le medium comme support pour un journal intim’impartial)
Igor, tu spammes.
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Nan mais sérieux. Et je mange des noodles poulet, même mon chat en veut pas. Mais la BD elle empale son milicien serbe à une main. Courante.
L’AFP nous fournit chaque jour les listes des victimes à décapiter et à écarteler au cours de la Terreur qui suivra la Révolution prochaine.
Quand j’étais petite on me surnommait « Bandar Seri Begawan Hyatt » à cause de mon goût pour les tenues bariolées et un peu vulgaires.
Je vais me coucher, les barbus sont à l’affût.
Et la fraicheur.
Dans certains cas, la personne atteinte peut reconnaître ces sensations et si elle en a le temps, s’allonger pour prévenir une chute.
Barbelith.
Et Igor, de visiter le rayon charcuterie, hipster de base. t.co/xKkVkI7R
Boum !
Grâce à la recherche spatiale, les chaussettes tiennent seules et nous emmènent dans les étoiles. www.youtube.com/watch?v=QaqBnw9xA34
A cœur brisé rien d’impossible ?
…
Elvis chante
Bruce Lee me sourit
Sylvain ne dit rien
J’ai le trac
Je suis crevé
Je veux dormir
Trois jours
Au moins
Mais je suis motivé
Je crois
Et je vais prendre sur moi
Quitte à devenir incohérent
(plus que d’habitude)
Essayer de voir
La vie en jaune
Ce soir
Et laisser
Place à l’Imprévu
Demain
On verra
…
Je suis toute hors de la foi
C’est comment je me sens
Je suis froide et j’ai honte
Limite et cassée sur le plancher
Vous êtes peu un en retard
Je suis déjà déchiré
Déchirée.
Moi aussi, je suis « toute hors de la foi » et,
même si c’est pas comme ça que je le dirais.
Je suis froid et j’ai honte.
Limite et cassé sur le sol froid.
Je suis un peu en retard.
et je suis aussi déchiré que toi.
Mais moi c’est le Jack.
Kisses.
Enfin quoi.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
Present Day… Present Time… Mouhahahahaha !
le tourguenisme c’est ça ?
simili mini minou sims ?
« please would you tell me, » said Alice a little timidly,… « why your cat grins like that? » « It’s a Cheshire cat, » said the Duchess, « and that’s why. » |
Accordailles
« Il ne faut jamais acquérir un animal à la hâte », c’est bien connu et valable aussi bien pour un chien, un cochon d’Inde, que pour une mygale, peut-être même plus (il sera très difficile de trouver quelqu’un qui voudra bien s’occuper de l’araignée dont on ne veut plus), à supposer que l’animal n’aie pas perdu la vie par l’inexpérience de son acquéreur empressé ou causé du tort à quelqu’un… Très attaché à son maître, sa fidélité peut parfois le rendre jaloux. Il aime le jeu, et apprécie particulièrement la compagnie des enfants. Plein d’énergie, il bouge sans arrêt et a une certaine tendance à n’en faire qu’à sa tête. Le Tamanoir n’est pas un chat particulièrement fragile. Il faut simplement le brosser régulièrement et ne pas oublier de le faire vacciner. La vie en famille et en appartement lui convient parfaitement. Le moment venu, la mygale va donc « sortir » de son ancienne « peau » qui est en fait son squelette externe (exosquelette). Une fois sortie, elle grandit très rapidement avant que sa nouvelle peau ne soit complètement sèche et solide de nouveau. Dans la nature, cette période de mue est très dangereuse pour l’araignée car celle-ci y est extrêmement vulnérable. Tout ça pour dire merci à tous de votre affection et à toi de ton Amour et en route pour de nouvelles aventures. |
Je ne sors plus en plein soleil, les rideaux sont noirs et opaques, ma vie sociale est particulière, le chat vole dans le salon, undead.
Et le Docteur danse. Et les Oods chantent.
Réduis l’étude sans inquiétude,
seul ou accompagné de flatteurs.
Les uns se débarrassent de quelques
« quelle bonté est accompagnée de mal ? »
Les autres se débarrassent de
« quels hommes et quels endroits craindre ? »
On ne peut pas ne pas craindre
les endroits incultes, où il faut presque mendier, en effet !
De nombreux hommes sont brillants et florissants,
comme s’ils jouissaient de la plus grande écurie,
comme si l’amour montait sur scène.
Moi seul suis à l’ancre, comme en attente d’un signe,
comme le fils nouveau-né, pas encore enfant,
qui accumule et entasse, comme s’il n’avait pas d’endroit où retourner.
Tous les hommes ont des surplus,
moi seul suis comme un perdant.
Je suis un idiot, dont le cœur aussi est confus et chaotique !
L’homme commun brille et illumine,
moi seul suis un crépuscule sombre.
L’homme commun examine et observe,
moi seul m’ennuie et déprime,
calme comme la mer,
un vent fort qui ne s’arrête pas.
Tous les hommes ont un usage,
moi seul suis bête comme un village isolé.
Moi seul diffère entre les hommes,
mais ma mère est un précieux repas.
Laozi
Mon très cher Az*,
Me voici donc arrivée à Paris, après ce long et si éprouvant périple, tant par la désastreuse condition des chemins que par la douloureuse séparation qui n’a cessée de me hanter, en veille comme en sommeil. J’y ai trouvé tout d’abord d’obscures périphéries, sombres et ravagées par une vermine invisible, couvrant les murs et les linteaux, les frondaisons d’antiques demeures dépouillées pour laisser place à de hautes colonnes fantomatiques, hurlant aux échos d’un vent froid et poisseux comme pour signifier la lente agonie d’un peuple qui n’a plus même l’attention de savoir qu’il existe. Aussi me suis-je réfugiée dans la rêverie, la douce somnolence de la remembrance, celle de ma fille, bien sûr, sur qui vous veillez aujourd’hui – et je ne doute pas que vous ferez pour elle le meilleur des tuteurs – mais aussi celle de mon défunt At* – que son âme repose en paix – dont vous honorerez la mémoire en mon absence, comme le meilleur des amis.
C’est toute emprunte de cette mélancolie que je pénétrai les portes de la capitale, couverte d’un manteau de pluie et de deuil en ce mois où le Soleil se doit de régner en maître ; comme vous le voyez, il ne m’a pas suivie dans mon voyage, il a dû rester près de vous, mes très chers, pour vous témoigner de la chaleur de mes pensées, de mon affection et de ma bienveillance. Dieu sait pourtant les raisons de mon exil, et je dois vous avouer – oh, vous l’entendrez j’en suis sûr sans vous faire de soucis, mais je me dois de vous le dire, vous mon seul ami, mon seul interlocuteur, le plus proche de mon foyer et de mon cœur – que lorsque je songe, même de façon fugace, à cette triste assemblée de blancs sires qui m’attend sans pour autant connaître jusqu’à mon visage, je ne puis réprimer un frisson, comme un avant goût de la mort.
Je souhaiterais tellement rester encore près de vous, par la plume, par la pensée, mais nous voilà approchant de la rue des B*, et je vois déjà ma logeuse impatiente sur le perron. Je vous embrasse, tous les deux, de tout mon cœur.
Ar*
a oublié…
20: bd51: cellar elvenkings : ‘ the cellar where the king keeps his barrels of wine.’
Elle va beaucoup mieux depuis qu’elle est morte.
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Je vais compter jusqu’à 5, et à 5 je rentre.
Les forces anarcho-siciliennes pilonnent la capitale occitane depuis quatre jours. Mina, Igor savourent leur hibiscus bien frais. Surprise !
#hop
Hum.
Je vais embrasser un pompier myope sur le casque. Rapport au fait que la maison qui brule, ça sert à rien, sauf à ça. Enfin. La nuit.
le récitant : je ne suis pas mort.
Règle n°1 : Ne parlez pas de reservoir blogs.
Le tourguenisme avance ! #Vishnu or #Die.
Samedi matin. Se débarrasser de la corde de guitare. Planifier nos prochaines actions avec grâce. Mina somnole. Igor craque le code. Apogée.
Déjà vu.
Oh toi pornographe anonyme
N’oublie jamais pour qui tu fais cela
Celui qui guide tes pas dans la neige
Et ton coeur dans la tourmente
Merci à toi Mr T.
Bonjour, vous habitez chez vos gardois ? Les longs filins d’acier occupent tout l’espace. #ΣΨΩ
Causer des animaux qui te regardent dormir. Lui : « Ne t’inquiète pas, ça ne fait que commencer. » Elle : « Weirdo, va me chercher une glace. »
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
le récitant : le tourguenisme avance, indubitablement…
Rober Walser ce héros ?
Une trentaine d’hommes sont réunis dans une seule pièce. Le public les
regarde à travers une vitrine Ils sont là , ils discutent, comme dans un
cocktail ou un vernissage. Par petit groupe, un tel parle avec un tel. On
dirait qu’ils se connaissent. Ils sont tous nus. Ils tiennent tous une
hache dans la main. Après une heure environ ils commencent a quitter la
salle, habillés et avec leur hache dans un sac, portant ainsi la fiction
dans le réel de Paris.
H
Robert Walser voit le jour en 1878 à Bienne en Suisse, dans une famille nombreuse. Il travaille un moment comme employé de banque, écrit quelques poèmes avant de partir avec son frère Karl à Berlin en 1905. Alors que Karl peint, il écrit en trois ans Les enfants Tanner, Le commis et Jacob von Gunten traduit par L’institut Benjamenta, des romans sur sa famille et ses petits métiers.
Il rentre en Suisse en 1913, puis déménage à Berne en 1921, publie La promenade,La rose. Il mène une vie de chroniqueur peu productif, passe du temps à boire et dans les divers spectacles culturels de la ville, écrit quelques textes courts en prose qu’il appelle microgrammes, mais plus un seul roman.
Après plusieurs tentatives de suicide, il est interné volontairement à l’hôpital psychiatrique en 1929, où il mourra dans la neige le jour de Noël 1956, sans avoir plus écrit une seule ligne. Bien qu’admiré par des contemporains comme Kafka ou Musil, ses oeuvres restent inaperçues de son temps.
Ce site
Actualisation approuvée par le Tribunal sur le règlement Google Recherche de livres en approche. #google
Dans le wagon : des roses, un canon. Mina préfère visiblement les canons. Par la fenêtre, ça canarde sévère. Igor compte les roses, ivre.
Extrait du « journal intime d’un journaliste qui s’estime » par Louis-Marie de Chaunac
Quant au chat d’Igor, Oneko, il me prouve chaque fois que je le croise que l’hystérie n’est pas une pathologie spécifiquement féminine.
Mindfuck. En attendant le reste.
Biches biches !
LOVE
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je suis « LOVE » la petite coquine avec la motocyclette rouge.
je suis « LOVE » et je loge dans le jardin de mes parents.
je suis « LOVE » et les taupes sont mes amies.
je suis « LOVE ».
Les flammes, l’Enfer dévorent le petit lapin flou. Je pense laisser ma place à un nazipunk chantilly. On peut écrire n’importe qui. Quoi ?
Igor laissait tout le monde tranquille : angine blanche.
Mina explique à Igor la théorie de l’avion fantôme.
Where is Roulette Russe ?
Et le vieux boxeur de décider de jeter les gants avant la troisième reprise afin d’épargner ses enfants des patriotes satanistes péruviens.
Weekend violet de première force : tous mes vœux de bonheurs à Sophie et Damien !
Tous les vendredis, Igor organisait des karaokés survoltés dans son living. Il ne laissait jamais personne chanter sur Indo. #ragots #luxe
ce que j’aime chez les mecs c’est
la bite
parce que chez les filles c’est rare
la bite
en général, alors si t’es avec un mec
autant aimer la bite et les petits seins
remarque
y’a des exceptions genre
t’es dans un bois avec une fille et
vlan !
c’est un mec ou avec un mec dans
une salle de sport et en fait
paf !
c’est une fille. mais bon, à mon avis,
la vraie différence c’est sûrement
la bite
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le récitant : self advice –> change brain…