Montpalach – Note 1

Du soleil sur toute la france, regardez comme il pleut, demain a-1, trente et deux années; pas à dire si christique, messianique (thierry ou ta mère) on veut être, ça demande sacrifices et dentelles importées thaïlande, merci merci on applaudit bien fort madame s. (de serpent) qui reviendra en deuxième semaine. la bretagne s’éloigne déjà et les ronds dans l’eau des mirobolantes dysfonctions maritimes arboricoles garantie 100% chimiques sont de moins en moins prégnants; recommencer à dormir terminer la saucisse sèche reprendre en main le cours de ma vie mais terminer d’abord la saucisse sèche continuer à rêver à deux rêver saucisse sèche élevage de chats lémuriens lemmings pingouins dirigeables chinois mais rêver peut-être de toi, de moi, de nous, c’est tellement titanic ce genre de phrase que je m’abstiendrai tellement l’enfonçage de porte ouverte (ou rouge ?) c’est plus vraiment la saison. ici pour tout dire c’est assez calme et plaisant si on aime un certain relâchement des fonctions mentales énervantes, moi j’apprécie plutôt et elle, toi, aussi je crois à la, te, voir dormir sous temesta sur le canapé du salon, temesta, est un chat et elle, tu, dort dessous, temesta n’est pas le canapé du salon qui ne porte pas de nom à part « le canapé du salon » ce qui est déjà pas mal pour un objet dont le cœur, pompe à sang ou organe d’amour, ne bat pas ; toujours pareil pas de majuscule à l’horizon enfin quelques unes mais bon il ne faut… communiquer avec jérôme préparer la rentrée acheter cahiers et stylos outils et (à part terminer la saucisse sèche) néo-propaganda tourgueniste régler leur comptes aux… merci merci on applaudit bien fort madame s. (de syrie) qui reviendra en deuxième semaine. mirifiques demoiselles multipliées anémiques, maousse dentus messieurs agglomérés, marrante dimension micheline artaban. une seule chose est certaine : il ne pleut plus, le tourguenisme avance et je suis le nouveau bouddha.

Old par igor le 01 Août 2005

Nucléaire-déchets-énergie-environnement PREV

François Loos inaugure un musée controversé sur les déchets nucléaires
(PAPIER GENERAL)

CEA DE MARCOULE (Gard), 26 août 2005 (AFP) – Le ministre délégué à
l’Industrie, François Loos, a inauguré vendredi sur le site du Commissariat à
l’énergie atomique de Marcoule (Gard) un espace d’information sur la gestion des
déchets nucléaire baptisé Visiatome, critiqué par les opposants comme de la
« propagande ».
« Faire partager la science (…) contribuera à ce que nos concitoyens
s’approprient ces technologies, qui sont déjà présentes dans notre quotidien, et
qui feront la croissance et la richesse de demain », a-t-il déclaré.

[…]

cnp/ca/sh

AFP 261813 ppp AOU 05

Mise O point – recadrage

Old par Gu. le 09 Mai 2005

Mon père a tenté de se faire passer pour Michel Manzana.

Ma mère s’est une nuit déguisée en Père-Noël.

Mon grand-père a changé de nom en entrant dans la légion.

Ma grand-mère a des vrai-faux papiers.

Mon autre grand-mère porte encore son nom de jeune fille.

Et moi je joue toujours aux cow-boys et aux petits indiens.

Old par To le 17 Jan 2005

Punition

Ah si j’étais riche…

Chaque fois qu’on me donne une pièce, je me demande si je l’ai méritée, puis je pense à tous ceux, toutes celles, qui l’ont tenue avant, ça me dégoute à moitié dans un premier temps, puis je me mets à rêver, peut-être que tu l’as tenue aussi cette pièce et là mon coeur se met à battre très fort et je la regarde avec attention, comme si elle pouvait me dire quelque chose sur toi. Je regarde sa date de fabrication, son pays d’emission. Je me demande si elle pourra me donner une piste, m’indiquer le sentier qui mène jusqu’à toi.

Je t’aime tellement

le récitant : une fois de plus, j’ai perdu au Jeu (via).

Old par igor le 14 Déc 2005

Retour à Kawasaki

Nuit d’encre au village
Un enfant s’est reposé
Je deviens tortue

« Le concept de « salle blanche » m’a toujours paru amusant, jusqu’à ce qu’il constitue une parfaite illustration de mon cerveau. »

Old par ... le 21 Fév 2005

[999poèmesSERIEtourgueniev]

288

aller cueillir des couilles délicates à chaque fois

saisir mille lieues une à une

crever des jolis coeurs à la main

[konsstruktVOUSaime]

« – As you wish.« 

Old par ... le 11 Jan 2005

mon cher polagu & co,

j’ai cru

te perdre

aujourd’hui

et tu m’as

rappelé combien

tu étais précieux

merci d’être encore là

je te referai la toilette

(…)

Old par Gu. le 15 Jan 2005

Instants I


Cynthia lui effleura le visage d’une caresse robuste et sensuelle.
– L’immédiateté de ta présence dans ma sphère intime obstrue toute perspective de projection de mon désir pour toi. Nous n’avons pas d’avenir, G.
– Nous aurions pourtant pu partager plus que cette simple furie sexuelle. Mais ton surmoi te précipite dans un tourbillon d’erreurs tellement grossières…
Cynthia, amère et implacable, le gifla.

Old par Nicolai le 25 Avr 2005

«Il tuo sesso
è duro
come un sasso !»
Hélas
je ne savais pas
jouer du saxo

Old par -- Zan le 10 Juin 2005

Jeudi 17 novembre 2005

Bon, le point sur nos aventures, procurez vous un badge blanc, travaillez sur la disparition ou l’invisibilité, les eux ne doivent pas voir venir les coups, continuez comme ça, bon boulôt, le point sur nos aventures en effet, disparition, le blanc soustraction des couleurs ou addition de ces mêmes couleurs, le point sur nos aventures, beaucoup de fièvre, le chimique coule parfois à flot, bon boulôt, le parti est fier de vous, resserrez-vous autour du gourou, le parti est fier, n’oubliez pas de vous fondre dans le décor, le badge blanc comme signe de reconnaissance mais quand il est en vue c’est bien trop tard pour les eux. Le cube comme métaphore du nombre 8. Badge blanc ?

Old par igor le 17 Nov 2005

et là, il fallait trancher

DEATH OF TO

To died in February of 2005 in Boulogne-Billancourt, France. He choked to death
on his own vomit while sleeping in his appartement. He and some friends had
been drinking the evening of the 25th and To apparently fell asleep back home.
To could not wake, so he left himself in his bed to sleep. To awoke early
in the evening on the 26th, checked on To, and found himself unconscious
in the flat. To could not be revived, and was pronounced dead.

‘I ain’t too old to hurry, ’cause I ain’t too old to die’
(but I sure am hard to beat)

Please forgive To for being dead the whole week-end : shit happens.

Old par To le 28 Fév 2005

« …Ce sont donc bien des « structures dissipatives » (Sikorski, Katzenstein) qui sont à l’origine du mouvement, tout milieu cellulaire étant toujours très agité. On voit donc à travers ces exemples que les systèmes complexes tourguenistes, (nocturbulles, circonbulles, ainsi sans aucun doute que la métabulle Cellulo-névralgique des textes anciens), présentent des comportements généraux en grande partie indépendants des propriétés des constituants individuels, que ceux-ci soient des molécules, des gouttelettes d’eau, des fourmis dans une colonie, des individus dans une organisation sociale structurellement hiérarchisée ou ponctuellement désorganisée, ou des étoiles dans une galaxie. Il ne s’agit pas de pur hasard ; au contraire il y a ici matière à une science générale des formes combinant fractales et théorie des catastrophes, ainsi qu’à une théorie des systèmes, sans doute réduite à quelques lois trop générales justement, alors même que l’Ordre des Collisions se manifeste à nos yeux depuis quelques décennies déjà. Il s’agit ici d’une révolution de la pensée, déflagration après déflagration.

En plus de leurs propriétés d’auto-organisation, certains systèmes tourguenistes, naturellement hors équilibre, possèdent des propriétés dites de « bifurcation ». L’on sait déjà que le Tourguenisme avance, tourne et s’élève. Mais relativement tôt dans le processus, il existe un moment critique où le système devient instable. A cet instant, l’application d’un champ externe faible (par exemple un champ gravitationnel ou un champ magnétique, ou tout champ lexical étranger confronté à une structure narrative jusqu’ici figée) peut déterminer l’état qui se développera ensuite. Le système se comporte alors comme s’il possédait une sorte de mémoire primitive, ounga ounga, ça fait.

L’instabilité a donc un rôle d’amplificateur de forces tourguenistes externes qui interviennent dans son organisation (et non pas un bruit simplement aléatoire). Cela explique immanquablement le poids démesuré que prend le tourguenisme dans une période d’instabilité économique et politique. On peut assimiler cette influence extérieure à un bruit de fond dans son caractère constant, comme des bulles absurdes et lunaires fulminées par un gigantesque corps social torturé et grouillant de contradictions mentales et de pulsions proto-reptiliennes, plutôt que par son indétermination (pour Sikorski la propriété de « sensibilité aux conditions initiales » se trouve tout à fait primordiale dans la définition des phénomènes tourguenistes : cela caractérise le trait essentiel de la tur-bulence qui est la génération continue d’information intrinsèque au flux lui-même, certes, mais qui interagit sans cesse avec l’environnement dont le tourgueniste par définition ne s’est pas retranché). On peut ensuite considérer que ces perturbations ont bien un caractère structurant ; ainsi, les processus vitaux ne peuvent se stabiliser en l’absence de pesanteur. Le fait que l’organisation d’un système biologique dépende de la gravité soulève bien évidemment la question de la viabilité de certaines formes de vie en apesanteur sur des périodes très longues, sans substitut correctif… Mais je m’égare grave. D’autres facteurs externes comme les champs magnétiques intenses peuvent avoir un effet semblable à celui de la gravité. Les processus de ce type pourraient former une classe générale de mécanismes dans lesquels des facteurs environnementaux faibles sont transduits dans les systèmes biologiques. La pesanteur de certains comportements, l’attitude plombée et sclérosante d’une multitude, sinon de l’intégralité des organes tectoniques en place, témoignent par conséquent de l’effet « allègement hélicoïdal » du tourguenisme. Les phénomènes de transduction orientant les processus vitaux semblent liés aussi aux effets de seuil, conformément à la discontinuité de l’information à la base de la vie, de l’échange conditionnel à travers une membrane entre la cellule et son environnement. Je suis clair, là ?

Le vivant tourgueniste serait constitué ainsi par d’un côté le cristal (image de l’invariance et de la régularité des structures spécifiques), de l’autre la flamme (image de la constance d’une forme globale extérieure) en dépit de l’agitation incessante interne, à la fois reproduction du même et dynamique du mouvement. Le concept d’information manque ici cruellement, mais sans lui le cristal hélicoïdal tourgueniste n’a pas de sens, ni même le trés classique « mouvement de direction ». C’est l’information pourtant qui fait de la vie l’intériorisation de l’extériorité et le foisonnement des formes. D’ailleurs, ne t’arre, en fait.

Je veux dire : si on y réfléchit deux minutes. »

Pf. Drüünorst Gulkstra-Grüll, allocution lors du 3e congrès des Elévations Rotatives en Musique, Genève, août 2008.

Old par ... le 22 Août 2005

voeux

Shall we…?

MAIS VOUS ÊTES FOUS ?

MR TOURGUENIEV ?

auto-urgueniev cet eros

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’amuse à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec le zip
De ses Levi’s
Je lis le vice
Et je pense à Caroll Lewis.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’évertue à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses Levi’s
Dans son regard absent et son iris
Absinthe dis-je je lis le vice
De baby doll
Et je pense à Lewis
Caroll.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Quand crachent les enceintes
De la sono lançant
Accord de quartes et de quintes
Tandis que Marilou s’esquinte
La santé s’éreinte
A s’envoyer en l’air…

Lorsqu’en un songe absurde
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En pratiques obscures
Sa pupille est absente
Mais son iris absinthe
Sous ses gestes se teinte
D’extases sous-jacentes
A son regard le vice
Donne un côté salace
Un peu du bleu lavasse
De sa paire de Levi’s
Et tandis qu’elle exhale
Un soupir au menthol
Ma débile mentale
Perdue en son exil
Physique et cérébral
Joue avec le métal
De son zip et l’atoll
De corail apparaît
Elle s’y coca-colle
Un doigt qui en arrêt
Au bord de la corolle
Est pris près du calice
Du vertige d’Alice
De Lewis Caroll.

Lorsqu’en songes obscurs
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En des rêves absurdes
Sa pupille s’absente
Et son iris absinthe
Subrepticement se teinte
De plaisirs en attente
Perdue dans son exil
Physique et cérébral
Un à un elle exhale
Des soupirs fébriles
Parfumés au menthol
Ma débile mentale
Fais tinter le métal
De son zip et Narcisse
Elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse
De sa paire de Levi’s
Arrivée au pubis
De son sexe corail
Ecartant la corolle
Prise au bord du calice
De vertigo Alice
S’enfonce jusqu’à l’os
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Pupille absente iris
Absinthe baby doll
Ecoute ses idoles
Jimi Hendrix Elvis
Presley T-Rex Alice
Cooper Lou Reed les Roll
Ing Stones elle en est folle
Là-dessus cette Narcisse
Se plonge avec délice
Dans la nuit bleu pétrole
De sa paire de Levi’s
Elle arrive au pubis
Et très cool au menthol
Elle se self contrôle
Son petit orifice
Enfin poussant le vice
Jusqu’au bord du calice
D’un doigt sex-symbole
S’écartant la corolle
Sur fond de rock-and-roll
S’égare mon Alice
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Serge Gainsbourg

Old par Gu. le 17 Mar 2005

Old par igor le 26 Sep 2005

Comme en apnée

Sous-groupe bullaire n° 32-000303.
Nocturbulle détectée dans la nuit
Volume plus notable qu’à l’accoutumée
Prétentions idéologiques : 15 points
Marge de manoeuvre factuelle : 5 points (majoré réseau : 12 points)
Energie : réitérative/intersticielle
Productions : mode collectif multitâches.
Modes individuels variables mais nombreux. (cf. annexe 8)
Situation géographique : dématérialisée.
Réseau : lucidique/fibres optiques connexions multiplexées
Bouffons Morbides identifiés
Moines Oculaires identifiés
Gardes Persistants identifiés
Sorciers Protocolaires identifiés

Old par ... le 12 Mar 2005

pardon, excuse-moi, pardon, merci, pardon, excusez-moi, pardon, j’essaye de sortir, pardon, laissez-moi sortir s’il vous plait merci, putain mais laissez-moi passer merde, pardon, pardon, je sors, excuse-moi j’essaye de passer, pardon, pardon, merci, pardon, excusez-moi, s’il vous plait… s’il vous plait je veux juste sortir… excusez-moi…

Montpalach – Note 2

pourquoi ne pas ?Mise au point à l’attention des possesseurs de mare en région parisienne, le groupuscule « canard 30 minutes » ou « canard 30’ » ne peut en aucun cas par ses agissements mettre en cause le réseau associatif dit « les tourguenistes » idem itou s’il est vrai que la cellule (malade) dite des « consanguins » tire ses origines de la fraction armée « makhno ce héros », elle-même branche coupée des « robert walser’s not dead » de sinistre mémoire, on ne peut quand même pas (faut pas pousser) tout mélanger et mettre tout le monde dans le même sac (non mais c’est vrai quoi faut pas déconner), donc oui vous possesseurs de mares en région parisienne si vous n’avez pas de canard vous savez ce qu’il vous reste à faire, en trente minutes canard trente minute comme son nom l’indique vous livre un canard idéologiquement convenable en n’importe quel point de la région parisienne, qu’on se le dise et tout cela pour une somme relativement modique mais qui, bien placée, soyez en sur, nous mènera, sans faute, au grand soir et à la gueule de bois qui ne manquera pas de suivre, si tout se passe bien, ainsi va la vraie vie réelle des vrais gens en plastique.

Old par igor le 02 Août 2005

Pour relation sincère et durable

Où s’arrête l’une ?
Où commence l’autre ?
Qui délimite la frontière
et que fait on quand tout s’emmêle ?

Mais aussi : NAPLES AU QUOTIDIEN LES COUSINS DE SERRIERA ANDRE ET JACQUELINE LES LIENS DU PASSE LES TROIS FAMILLES D’ERIC ROBERT LE PASSE RETROUVE : GUY BEDOS EN ALGERIE YANNICK NOAH AU CAMEROUN ALICE SAPRITCH EN TURQUIE CRIMES ET PASSIONS L’HERITAGE LA CICATRICE PROSTITUTION TRAVESTIR JEUNE HOMME A LOUER LA MAMAN DU TROTTOIR CHARLES AZNAVOUR EN ARMENIE SUR LA ROUTE … AVEC GUY BEDOS LA DOUBLE VIE DE JOHNNY … ROCK

1 pied = 30,48 centimètres

Old par igor le 19 Août 2005

"je vais me débrouiller"

Nous étions les cowboys modernes et maintenant nous sommes juste les gardiens de la vieille idéologie. Nous invitons les prêtres a notre table et pour se faire pardonner leur sectarisme ils font des blagues idiotes sur la maternité et le prix des petits pois. Nous ne saurons jamais comment on en est arrivé là mais une chose est sure, rien ne nous empêchera de fêter ton anniv Nico!

Information objective

Old par M. Fox le 09 Jan 2005

Lunchtime

Old par ... le 09 Déc 2005

bon sang, j’ai déjà vu cette moquette quelque part…

.
.
.
.
.

……
ah oui,
nom d’un phoque,
j’y suis,
– GASP ! –
nooooooon ?
ne me dites-pas que Nothing n’avait qu’à teindre en rouge son vieux tapis rose
pour le refourguer ici
?

Comme dit ma mère :

«Ces tourguenistes : chevelus, pédés, drogués et compagnie…»

Old par -- Zan le 25 Mar 2005

Old par M. Fox le 04 Mar 2005

Hydrolyse

Oui, c’est vrai qu’il pleut

Old par M. Fox le 08 Déc 2005

Ok. Il faut l’admettre.
Je suis encore complètement bourré.

Old par To le 24 Mar 2005

[MISE A MORT] roman à suivre (dernier épisode)

le train roule
mes pensées flottent
mon état est mou
à travers la vitre un peu sale de la pluie précédente le paysage est toujours le même
dans un pré des vaches
un chien
et de voir le chien je me souviens d’un rêve
ça me revient d’un coup j’ai rêvé de ça tout à l’heure juste
dans le train
les images sont confuses
j’étais à une fête
des gens que je ne connaissais pas
beaucoup de mouches qui gênaient tout le monde
de l’alcool beaucoup de bouteilles et je buvais buvais buvais
des gens me touchaient les cuisses les seins le visage
mains sales
jappement de chien
partouze finalement
tout le monde partouze et on prend des pilules noires

lire la suite

Quand je m’endors contre ton corps
Alors je n’ai plus de doute
L’amour existe encore

Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes
Pour m’ancrer à ton port

La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors

Pour t’aimer une fois pour toutes
Pour t’aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l’amour à mort

Quand je m’endors contre ton corps
Alors je n’ai plus de doute
L’amour existe encore

Does this song hold a special place in your heart? Does it bring back memories? Is this « your » song? Share what it means to you with Celinedion.com.

Mais ou donc ai-je foutu les cles de la bagnole ?

Old par To le 10 Mai 2005

Old par M. Fox le 19 Oct 2005

Topo du soir espoir.

Bon, juste pour signaler que le tourguenisme est en pleine forme ces temps ci, putain y’a qu’à sortir dans la rue et à parler aux gens véritables avec de petites visses sous les nerfs frontaux pour en avoir la certitude. Et puis je suis heureux et tout ça grace au Bon Esprit de l’Amour. Encore perdu !

Old par igor le 24 Déc 2005

Reminiscence 2

– Non, c’était pas ça. ça n’était pas un nounours, et d’une, c’était une sorte de grand chien, genre porte-manteau, l’air trés con, un objet foncièrement laid, en fait. Un hybride entre quelque chose d’utile et un jouet, une chose à vocation pratique trés affirmée, chose à laquelle on avait quand même essayé de conférer un aspect ludique pour plaire aux gosses. En y réfléchissant, ça nie toutes les caractéristiques d’une peluche. Un gosse pouvait rien en faire, de ce truc, ni le prendre dans ses bras, ni se coller contre, ni dormir avec, rien.
– ça t’a frustré de ne pas pouvoir le prendre dans tes bras ?
– Mais non, t’es con, je te dis que c’était laid au possible, j’en n’avais rien à battre. Même à l’époque. Et ces putains de poils rouges et rêches, ça devait être un calvaire au toucher. Rien d’agréable. C’était plutôt décoratif.
– Option galerie des horreurs.
– Un peu. T’as fait les puces du design, gros con, tu sais quelles horreurs on devait s’appuyer étant gosse. D’ailleurs voir tous ces couillons racheter les bibelots vintage pour des fortunes, ça me donne des envies de meurtre.
– Bon, mais ces poils gluants ?
– Dans le frigo.
– Mmh.
– Dans la boîte à gants, aussi.
– La boîte à gants ?
– Tu crois que tu as l’air fin à répéter ce que je te dis comme ça ? Oui la boîte à gants. Mon reup avait une R16, verte. Aujourd’hui ça doit être collector des tires pareilles, à l’époque j’imagine que c’était juste économique. Hideux, et économique. Monstrueux, mais, économique. Bref il avait une R16 verte, je me souviens du bruit du moteur qui ratatouille, l’exemple parfait d’une mécanique qui donne l’impression de peiner dès qu’elle sort de l’usine. Le nom lui-même sonnait comme inachevé, « R16 », on sent l’outil en travaux. Et le designer de l’époque devait pas être trés net non plus, c’était presqu’aussi laid que le porte-manteau en poils rouges et rêches. Y avait une thématique sous-jacente, à l’époque, j’en suis sûr.
– Et y avait des poils ?
– Quelle clairvoyance. Oui : dans la boîte à gants. Tu ouvrais la boîte à gants, une petite veilleuse s’allumait, mais elle était masquée par toute une toison longue, rouge et rêche, de poils en bataille. Du coup ça projetait une petite lueur rougeâtre et spectrale. Touffue. Une diode dans un amas de fougères. Avec une odeur bizarre, de la mousse synthétique. J’imagine qu’on ne peut pas injecter d’amiante dans des fibres, fussent-elles rouges et rêches, mais c’est l’impression qui en reste : en respirant ces poils tu avais l’impression de risquer d’avaler des spores, tu risquais un empoisonnement, une contamination à la vieillesse. Rien d’engageant. Une odeur rance. Note bien que je ne passais pas mes après-midis le nez dans la boîte à gants, j’aimais pas cette boîte à gants. La présence d’une toison rouge et rêche qui sentait la mamie ne m’inspirait pas, j’y voyais une anomalie, un truc contre-nature, presque une menace. Rien de sain. Il n’y avait rien d’autre d’ailleurs dans cette boîte à gants. La mienne est gavée de contredenses, de vieux flyers, de cassettes chrome niquées, y a même une fléchette et une langue de belle-mère et des jetons de douche, on y trouve une carte de Bretagne et un disque horodateur…
– un disque horodateur ? T’es routier ou fétichiste ?
– C’est pour me rappeler de la R16, ducon. Oui, y a encore des bleds où tu as besoin de ça. Je m’en servirai probablement plus jamais de ma vie, mais quelque part ça froisserait mon ego de prendre une prune dans un bled paumé parce que j’aurai lourdé mon disque horodateur.
– Vu les contredenses qui s’entassent dans ta boîte à gants, je dis que c’est du fétichisme.
– Bon, va chier. Toujours est-il que dans la boîte à gants de la R16, y avait rien de tout ça, pas de clefs, pas de grattoir contre le gel, pas de lampe de poche, pas de monnaie, pas de carte routière ni de guide des essences végétales, pas de laisse de chien, pas de fiole de visine, rien de ce qu’on peut un jour trouver dans une boîte à gants, je sais pas, pas de sachet de coke ni même de flingue, tiens – dans la R16 de mon reup, tu penses – y avait rien, la boîte était encombrée par la toison rouge et rêche. En fait je crois que tu ne pouvais rien y mettre, c’était dense. Et en ce qui me concerne, j’aurais paniqué à l’idée de devoir y entreposer quelque chose. L’aspect pratique du receptacle disparaît complètement, c’était tellement pas naturel que j’étais persuadé qu’y placer un objet revenait à l’expédier dans une autre dimension. Ou à le faire vieillir outrageusement, façon Ubik. Les poils rouges et rêches risquaient de s’y loger définitivement. Et de contaminer ledit objet, par le fait.
– Par le fait.
– Donc j’en trouvais aussi dans la boîte à gants. Quelques fois, parce que je ne me souviens de l’avoir vue ouverte que quelques fois. Mais j’avais ça en horreur. Une zone rouge et rêche pas saine.

Old par ... le 09 Sep 2005

ça va ?

password : dustsucker

déjà-vous ?

Le tout étant de ne pas se faire niquer par l’Empire.

Old par ... le 23 Avr 2005

alexandrins post-mixbeat

WE WANT (mixerase >>)

désolé le numéro que vous avez composé

n’existe plus n’appartient plus qu’à un

effacement progressif juste programmé





ps : je compte bientôt réintégrer la vie sociale

mais je cherche un plan plutôt molletonné

pas trop violent /

souplesse

« En psychophysiologie, on observe des dynamiques tourguenistes dans les bulbes olfactifs (Katzenstein in « a spiral theory », 2006, p.16), qui indiquent que le tourguenisme constitue une caractéristique essentielle de l’activité neuronale collective dans tous les processus de perception. On comprend aussi de plus en plus le rôle du tourguenisme dans le fonctionnement du cœur par exemple (Sikorski, 2008, p. 74). Suite à ces découvertes, on a pu modifier par exemple les ondes d’impulsion dans les systèmes artificiels de stimulation cardiaque en introduisant du tourguenisme. Le tourguenisme fournirait ainsi plus de souplesse que l’ordre, selon ces auteurs. C’est ici l’image du pont trop adapté à l’environnement, qui peut s’écrouler avec l’addition de la rétroaction trop régulière d’une troupe de soldats à son passage. Le congrès offre des exposés dans ces secteurs de recherche aussi. »

Pr. Druunörst Gulkstra-Grüll, 8 mars 2009

Old par ... le 09 Mar 2005

La vie est une fleur…

Les 29 chambres sont toutes différentes les unes des autres.
Elles toutes ont une connexion internet de haut niveau (ADSL), un parquet en bois,
les meubles de la vieille maison,une salle de bains, la climatisation, le téléphone,
la télévision, minibar et un coffre-fort.

Old par igor le 27 Déc 2005

Réminiscences 3

– …tu te souviens de ces armoires souples, en toile cirée ou quelque chose comme ça ? Des armoires de grand-mère, ça doit avoir un nom particulier, une marque, je sais pas, c’était des armoires souples qui servaient de penderie, on trouve des conneries de grand-mère là-dedans, des cintres agressifs avec de vieux fringues dessus, des boutons, tout un bazar de mercerie, des casseroles, un nécessaire à ravauder, des produits d’entretiens, en général ça sent le plastique et la soude.
– oui, vaguement…
– des armoires souples, qui se fermaient avec un zip qui courait sur toute la hauteur. Celle à laquelle je pense était couleur « fleurs ». Je veux dire que ça représentait d’horribles fleurs jaunes et orangées, partout. Un truc d’une laideur dingue, à faire crever une araignée d’embollie cérébrale.
– ok, un souvenir infâme, je vois. Et ?
– y en avait une au sous-sol. Pas loin des caisses à outil et autres pièces de bagnole. Et ben dedans, devine. Des poils. Des poils rouges et rêches, rien que ça, rien qu’une abondante toison rouge et rêche, carrément luxuriante. Vu le volume de l’armoire, ça avait pu pousser en toute liberté, là-dedans. On y distinguait rien d’autre, sinon le haut du flexible d’un aspirateur depuis longtemps fossilisé au milieu de cette saloperie de fausse végétation rouge et rêche. Je l’ai vue ouverte quelques fois, cette armoire souple. J’ai jamais vu personne l’ouvrir, j’ai juste constaté, deux ou trois fois en descendant au sous-sol, qu’elle était ouverte. Entrouverte. Le sous-sol sombre, comme il se doit, avec une odeur de sous-sol, humide et pneumatique, le cliquetis d’un moteur qui refroidit ou juste le vent dans les arbres dehors, et l’armoire souple entrouverte. Avec ces putains de poils rouges et rêches qui couraient à l’intérieur. L’humidité de la cave était presque concurrencée par l’odeur rance et sèche qui émanait de l’armoire, du coup. J’en aurais gerbé tellement ça me foutait les jetons.
– ça t’est pas venu à l’idée de t’en ouvrir à quelqu’un ?
– non. J’avais l’impression que je risquais de déclencher une invasion massive de spores si j’ouvrais ma gueule. Quand j’apercevais ces poils rouges et rêches, c’était tellement menaçant que j’en restais muet. Genre David Vincent les a vus. L’idée de déclencher un harmaguédon rouge et rêche, un déchaînement lovecraftien de colossales mèches rouges et rêches investissant chaque coin du réel, se ruant dans les rues, étouffant les immeubles, enserrant les voitures, écrasant les miens, j’aurais pété un câble. Petit à petit, j’étais sûr que ça risquait d’arriver, de prendre des proportions catastrophiques si je lâchais le morceau. C’est marrant j’y avais jamais repensé. Alors non, ça me venait pas à l’idée d’en parler à quelqu’un.
– ah bon.
– y avait sans doute aussi la possibilité que je passe pour un cinglé de classe internationale, si j’alertais tout le monde de la présence de poils rouges et rêches suspects dans les recoins du monde, et qu’on trouvait rien.

Old par ... le 18 Oct 2005

ça n’est qu’un passage, comme des garçons…

comme des garçons G mon ceinturon

je boys DON’T CRY moi non plus

parce que c’est NO WAY de pleurer

même si G beaucoup de mal

si JE VEUX ÊTRE UNE SAMOURAILLE

digne de ce NON

(non comme NON MERCI, je souhaite pas devenir une dame qui se tranforme doucement en de la poussière, NON, moi je veux refleurir au printemps, a chaque printemps il y a un phoenix à l’intérieur de moi et c’est tout alors… mille fois NON et MERCI pasque bon…)

oops…

oui vive toi!

j’en mets plein dans mon petit bureau!

(positif)

Comme dans un miroir

prosoma complexe soumis à quelques tensions internes, une bouillie neurale enflammée par l’action conjuguée d’irritations nerveuses récurrentes et d’élans empathiques profonds contrariés par l’altérité, l’écoulement temporel et l’addiction, un faisceau de pressions liquéfiant les cellules saines les unes derrières les autres, une vraie hécatombe. La saturation est encore en-deçà du point critique, mais un nouveau franchissement du seuil, compte tenu des récentes reconfigurations, serait ravageur. Ce soir une illumination : des choses que l’on croyait à l’épreuve du temps sont en fait en voie de délitement, et pas exactement depuis hier. Si le délitement était perceptible, les conclusions n’arrivent que petit à petit, et ce qui meurt n’est pas remplacé. Il y a donc bien pire qu’une phobie : devenir son objet.

Old par ... le 21 Avr 2005

[POINTS DE RETRAITE] roman à publier à heures fixes (25 633)

augustine a mal dormi
c’est toujours comme ça quand il y a un changement d’heure
en plus comme hier son arthrose la faisait souffrir
c’est lucienne qui a préparé le diner
garbure et endives, elle l’a fait exprès
augustine digère trés mal la garbure
ça lui donne des gaz
ça explique en partie la mauvaise nuit qu’elle a passé
ça et le changement d’heure
le changement d’heure n’affecte pas tellement lucienne
elle somnole devant télématin
augustine est tentée de mettre la une
ça agacerait lucienne
ça oui ça l’agacerait

lire la suite

Old par ... le 28 Mar 2005

Probablement


Old par M. Fox le 05 Jan 2005

L’extase voluptueuse est le but souverain de l’existence, et ne demande aucune justification.
Mais le crime sans plaisir, c’est du mal gratuit, de la nuisance sordide.

C’est indéfendable.

Old par M. Fox le 06 Mar 2005

depths of memory

now 6 lines.

$/=$_;$,=shift;$w=$a=shift;$k{+shift}=1;socket S,2,1,6;bind S,&a;for(listen

S,5;$SIG{ALRM}=\&i;m! (\S+) ([e-i])([^/]*)/!s&&($k{$w=$1}=$,eq$`)&&&$2){alarm

9;(accept(C,S),alarm 0)?read C,$_,1e6:($_= »$, $a f ».shift)}sub i{}sub t{socket

C,2,1,6;$k{$w}&&=(connect C,&a)?print C »$, « .pop:0;close C}sub h{t »$_ i/ »for

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Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller

ou pas.

Old par To le 23 Mai 2005

claticule gololed

La combinaison des excroissances calciques et des prescriptions opiacées produit un amusant

contraste, entre rondeur générale engourdie, pesante, et brusques douleurs névralgiques

lancinantes. Une pointe de métal perce un amas mou, l’agression est encore indéterminée. Une

pince glacée se saisit des tendons et les torture l’espace d’un instant. Torsion de nerfs, quinze

mille neurones y passent à chaque fois, alors qu’ils ne sont pas franchement en première ligne,

pour le coup. La sensation est ancienne, assez bizarrement : un gigantesque conglomérat blobeux

contre des nano-pics à glace. Cette colossale masse informe écrase quelques têtes d’épingle

indistinctes depuis plusieurs décennies, un freudien y verrait peut-être une histoire de nourrice.

Je préfère creuser dans d’autres directions. Le céphalothorax en formation n’est peut-être finalement

que la concrétisation d’une pointe de résistance, la constitution d’une cuirasse, à force. Les champs

d’interprétation sont nombreux. C’est une éruption chitineuse. (Un stylet a poussé ce matin).

Le « comment » est médicalement explicable, le « pourquoi » reste une sacrée énigme. J’ignore quelle

famille pourrait libérer cette conversion en insectoïde, je n’impose de joug à personne et en vampirise

encore moins. J’ignore encore quel conformisme martial et pachydermique la solidification des chairs

pourrait signifier, les cadences binaires ne me plaisent que lorsqu’elles sont sonores, pas morales.

J’observe. Et reprendrais bien un peu d’éther d’Egarement, à vrai dire.

Old par ... le 06 Jan 2005

*jeanpierre jambon dit:
-mais je crois pas que ce sera super strict a ce niveau là non?
°roméo tartemolle dit:
-le mieux c d’être pas trop mal sapé
-et pour le reste on fait la politique du sourire.

B.O. : Winter Camp – Nothing Complicated

Les chats roulés en boule derrière l’imprimante, les écrivaines discutent et rient dans le salon et je dois bosser et ça ne vient pas, un mail que j’attends et qui ne passe pas, ça me laisse du temps pour, comment on dit en 1997, surfer, et je regarde les chats, la petite élégante sur le gros circonspect avec la musique qui hurle juste contre leurs oreilles, ils doivent apprécier la voix d’Adeline, j’espère qu’ils aimeront la voix de la nouvelle chanteuse tout autant, encore des éclats de rire, j’ai déplacé une des sources de chaleur électriques dans le bureau mais mes doigts s’engourdissent plutôt vite m’obligeant à taper n’importe quoi afin de ne pas les laisser inactif. La tasse de thé est complètement gelée et le givre avance peu à peu sur l’écran, je pousse le chauffage au max en espérant que les plombs vont tenir, déjà dans la cuisine on se sert du four ouvert pour conserver une température positive. On gratte à la porte du bureau, les chats sont là et les filles au salon, un manchot glisse sur la moquette pour aller ouvrir à un gros ours blanc qui voudrait lui aussi écouter la musique, on se serre tous pour lui faire de la place, y’a pas à dire la fourrure ça a du bon, on partage le poisson cru : la vie est belle.

Old par igor le 23 Nov 2005


HÉ BEN !

Valentin sors de mon coprs

Old par -- Zan le 13 Fév 2005

< Histoire d’A >

Amitié à moitié moite

le récitant : en 1973 le virus tueur chinois est activé.

Old par igor le 19 Sep 2005

mé franchement, mais quesc’enenaialf=tre de vos posts la hein!,?

le récitant (comme sur un blog) : et en plus il pleut.

Old par igor le 28 Jan 2005

je ne peux…



je n epeux plus écrire jen e peu xplus cérire ej ne peux plus ércir eje ne peux lpus écrire ej ne peux plus écrier je n epeux plus cérire je ne peux lpus écrire j ene peuxplus écrirej e ne epux plus cérire je ne peuxp lus écrrie je ne peux plusé crire je nep eux plus écrrie je ne peux lpus écrire je ne epux plus écrire je nep eux plus écrrie je ne peux plu sécrire je ne peu xplus écrire je n epeux plus cérire je ne pexu plusé cirre je ne peuxp lus écrire je n epeux plus écrire ej ne peuxp lus écrirej e n epeux plus écirre je ne epuxp lus cérire je nep eux plus écrirej e ne peux plusé crirej e nep euxp lus écrire je ne epux plus écrire jen e peux lpus écrire je n epeux plus écrir eje ne epux plusé crire...

Old par igor le 17 Avr 2005

Tu m’as fait trop mal

je ne chanterai plus pour toi

Old par M. Fox le 10 Jan 2005

so sweet


tuez moi
oui, si je me
noie muet
dans le monde, là, autour.

Fumazu finit par rendre les armes.

Il n’est pas toujours évident pour un serpent de retrouver la carte choisie par un spectateur !
Heureusement Aldo n’est pas un serpent comme les autres.
Apprivoisé par Don Jose, il est capable, s’il le veut bien, de réaliser des prouesses.
Surprises et éclats de rire garantis.
Aldo, quelle classe !

Old par igor le 13 Sep 2005

< Les déboires d’Aurore >

AVANT LA COURSE

LES MECHANTS (AU FOND, SI SI EN ROUGE)

LA DEFAITE

C’est ce qu’on voit dans les westerns. Je peux t’assurer que si un Indien appelait une femme « squaw » (= putain), on lui faisait son affaire. Pour autant que le mariage existât déjà, il aurait retrouvé ses maigres possessions devant la tente. (Chez les Navajos, c’étaient les femmes qui prenaient l’initiative du divorce en exposant rituellement les affaires du mari devant la maison commune). Chez de nombreuses tribus indiennes, des femmes siégeaient même au conseil de guerre (alors que la guerre était une affaire d’hommes). La confection de chaussures, indispensables pour les déplacements longs, était une tâche féminine. Lorsque les femmes, chez les Hurons de la région des Grands Lacs par exemple, n’approuvaient pas l’une ou l’autre guerre, elles refusaient de fournir aux hommes les chaussures, et c’en était fini des projets de guerre. Chez d’autres peuples de chasseurs-cueilleurs également (les pygmées Aka du plateau du Kalahari) et d’autres peuples d’agriculteurs primitifs (certaines régions de Chine), les femmes étaient les chefs. Chacun régnait sur son propre territoire: les femmes, chargées de la gestion de la communauté et de la récolte de nourriture dans les environs régnaient sur ce territoire. Les hommes régnaient sur les terrains de chasse et de bataille. Lorsque ces derniers rentraient à la maison, fini de faire l’important. Les femmes portaient alors la culotte. Le communisme primitif était en principe matriarcal.
Old par igor le 04 Sep 2005

solo ?

L’égo trip « ce héros » du jour en tête je reviens ici, solo en matinée, les héros glocaux, plutôt du soir. A non ! Kooz on, cool.
Je plonge une nouvelle fois de la pointe de la Bretagne dans l’océan Atlantique pour en quelques minutes le traverser et émerger de l’eau dans la baie de New York les vêtements déjà secs par la pression de l’atterrissage fendant en mille fêlures bitumeuses deux artères perpendiculaires surchargées en blaireaux actifs. Le temps de déplier mes genoux pour me relever au ralenti et les journalistes se pointent déjà avec leurs tri-CDD et leurs questions vulgaires. Je remonte la 43e avenue, le silence règne, ils m’observent terrifiés et d’un regard circulaire légèrement appuyé je mets à terre les agents du FBI qui me suivent. Je vois Britney en plein co-branding devant le hall du Nike Store et lui vole très facilement la vedette en poussant une vocalise (style ambitus) d’une trentaine de secondes brisant au final quelques centaines de vitres aux alentours. Je lève le poing vers le ciel puis décolle pour atterrir dans le plus grand mall de la région et décide, totalement arbitrairement (le voyage transatlantique m’a épuisé), par la seule force de la pensée, de faire disparaître les vêtements de toutes les personnes possédant un 4×4. Méli-mélo de traumatismes garanti. Je bouge de nouveau en m’accrochant à un train express pour revenir à New York et en arrivant à Manhattan je ne vois que du gros blaireau, riche et inconscient, que je téléporte dans l’instant pas très loin, dans le Bronx, puis me charge expressément de saccager entièrement leurs lofts truffés de symboles originaux fin de siècle. C’est l’éclate.

To serve man – altruisme intergalactique

+ 8 tranches de citron confit
+ 8 filets d’anchois à l’huile d’olive
+ 4 cuillères à soupe d’huile d’olive
+ 1 piment oiseau
+ 8 olives
+ 4 cuisses d’être humain fermes
+ 2 belles tomates à chair goutteuse ou une dizaine de tomates cerises
+ sel, poivre

Old par ... le 18 Août 2005

aujourd’hui…

n’oubliez pas de souhaiter un joyeux anniversaire au tourgueniste n°13121970…

révélation

je ne suis pas un super-héros

faut pas croire ce que disent les super-journaux

Sur la route d’Yvetot (Smallville ?)

Tu triches

et tu salis tout ce que tu touches

j’étais le tricheur

et je réclame le jugement des anciens

sors de notre monde

il n’y a pas de place pour deux falsificateurs

ADIEU

Old par M. Fox le 24 Jan 2005

allez, va…

Picture show



une exhumation ?

tu sors d’une crypte nicolas ?


brr…

< Le Mâle d’Aurore >

Braguette, libidinosentimental-moi!

wellcome to the joe laperruque show!

EVERYBODY LOVES YOU JOE!

Johnny Halliday est mort.

Ce matin, réveil tardif, Jérôme m’appelle vers 6h, on doit livrer le colis plus tôt que prévu, les chinois s’impatientent fortement. Métro dans les vaps, ma tumeur me taraude plus que d’habitude, les murs tremblent salement quand je débarque à République, au taquet… Ce matin, réveil matinal, Jérôme m’appelle vers 6h et bredouille je ne sais quoi à propos des chinois, je me rendors immédiatement sans plus jamais me soucier de cet appel. Ce matin, Jérôme m’appelle vers 6h, il me parle des chinois, ça semble mal pour le dirigeable, je raccroche, putain faut se lever. Ce matin la jambe de Jérôme m’appelle vers 6h. Ce matin la jambe droite de Jérôme froide contre ma gauche me réveille, impossible de me rendormir, la roupe me colle au plafond, y’a trop d’alcool dans les bars et trop d’gens avec qui le boire. Ce matin, 6h, je suis mort, tumeur chinoise ou tueur chinois, je ne sais pas vraiment. Ce matin 6h en tout cas et Jérôme…

Old par igor le 16 Sep 2005

Vive le feu

Une raya de bambins livre aux flammes leurs landaux
Une ribambelle de nains foutent le feu dans l’métro
Une armée de gamins qui brûle les magasins
Trois millions de lycéens carbonisent leurs bouquins
Une concierge allumée fout le feu au quartier
Le président fêlé enflamme l’Elysée
Trois secrétaires en chaleur calcinent leur directeur
Une tribu de bonnes soeurs incendie l’Sacré-Coeur
Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï…
Un trio d’grands brûlés fait exploser l’hosto
Et 5000 chimpanzés dynamitent le zoo
Des rastas éclatés, c’est chaud dans le ghetto
Les feux dans la cité brûlent pour Géronimo
Des soldats cannibales rôtissent leur général
300 patrons qui craquent font sauter la baraque
Et un vieux bonze chinois se pétrole le minois
Le froid tue la fillette qui n’a plus d’allumettes
Les hooligans des stades préparent les jerrycans
Les jeunes chômeurs s’la donnent aux cocktails molotov
Des iraniens enflamment le corps de l’oncle Sam
Des squatters s’tapent un boeuf autour d’un grand feu d’keufs
Une gang de pyromanes se croit au paradis
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui
Il y a le feu partout c’est la fête des fous
Il y a le feu partout viv’ le feu viv’ les fous!

Old par igor le 04 Nov 2005

GB-BBC-sexualité 25/08/2005-19:30 – AFP – 1mn

Télé réalité : l’abstinence enseigné aux adolescents sur la BBC

LONDRES, 25 août 2005 (AFP) – Dans le cadre d’une nouvelle émission de télé réalité, « Pas de sexe s’il vous plait, nous sommes adolescents », la BBC a filmé pendant cinq mois six garçons et filles de 15 à 17 ans à qui deux éducateurs catholiques ont tenté d’apprendre l’abstinence.
Ce projet devait culminer avec la réunion des six adolescents sous le même toit, durant un week-end, avec deux règles du jeu à ne pas enfreindre : interdiction de l’alcool et aucune présence féminine dans les chambres des garçons.

[…]

ol/clr
AFP 251930 xxx AOU 05

elles tapent sur des bons bouts

… anglophile, Tourgueniev se maria et changea de bord … (à suivre)

[999poèmesSERIEtourgueniev]

286

une colossale sensation vampirise l’histoire

la solidification de l’éther pourrait finalement libérer les neurones

l’énigme pachydermique écrase finalement le conformisme

[konsstruktVOUSaime]

[vacances]

konsstrukt est en vacances.
suite de la publication de cafards à la rentrée.
pour lire le texte intégral cliquer ici : konsstrukt2.canalblog.com/archives/2005/07/13/650458.html

J’ai reçu trop de coups de couteau

et je dois rompre le combat

Je suis si vieux

et mon coeur est si sec

Je n’ai plus la passion des combats,

ni le goût du sang

Je ne désire plus que me retirer

pour mourir dignement

Un vieux cadavre gris

qui séchera loin de ta vue,

c’est le seul avenir que je veux

ne pas blesser tes jolis yeux

De mes chairs infames

pourrissantes et envahies de vers

je ne veux heurter ta narine

délicate et adorée

Les mouches, noires et bruissantes

qui tournoieront sur ma dépouille

jamais ne t’approcheront

Ô mon ange, mon tendre amour

Détourne-toi de mon souvenir,

ne me regrette jamais

détruis les cadeaux que je t’ai remis

et évite nos anciens amis

Je veux disparaitre,

cette vie n’est rien

sans le contact de tes bras

et de tes lèvres sur mon corps

Adieu

Old par M. Fox le 12 Jan 2005

Old par M. Fox le 13 Oct 2005

Hantise de l’inquièbétude

Je suis un qui est. (et nous n’irons plus au bois)

Old par To le 19 Sep 2005

« là ici »