tellement coincée
elle ne savait plus où se mettre
« Je suis un homme malade… Je suis un homme méchant. Un homme repoussoir. Voilà ce que je suis. » F.D.
« Dès qu’il rentrera des Etats-Unis,
que l’indépendance sera faite,
je veux rever, hurler et faire la fete
pour mon doux La Fayette,
Indocile, fière et paillarde
Je veux porter très haut sa cocarde
chevaucher le canon à ses cotés
lorsqu’il mène nos hommes à la bataille
et par ce drapeau qui est le notre
je veux jurer devant lui
Je vous aime
et je n’aimerai jamais personne d’autre que vous »
TOURGHOLM (AT) – Un chasseur tourguenien a été assommé par une bernache du Canada sur laquelle son fils venait de tirer, rapporte l’agence de presse Associated Tourguians.
« J’imagine que l’oiseau voulait se venger », a déclaré Ulf Ilback au journal Extra Ostergotland, précisant que l’oie sauvage avait fait une chute de 20 mètres.
Le chasseur, qui a perdu connaissance après avoir reçu l’animal sur la tête, a dû garder le lit deux jours.
Les bernaches peuvent peser jusqu’à 6 kg.
BALADE ORANGE |
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QUAND LES PROGRAMMES DE DIVERTISSEMENT TELEVISES SONT TERMINES - LA VILLE NE SE CONTENTE PAS D'ETRE VIDE - ELLE EST SILENCIEUSE - ET LES LUMIERES S'ETEIGNENT - COMME DANS LE COULOIR DE LA MORT - QUAND LA CHAISE ELECTRIQUE EST EN MARCHE - |
Je t’ai tant aimée
je t’ai tant désirée
je ne vis plus qu’au jour le jour
c’est risible bien sûr
c’est absurde
incroyable
on dirait des foutaises
mais je ne pense qu’à toi
du matin au soir et toute la nuit
cette longue nuit qui n’en finit pas
car je ne connais pas le repos
je t’aime
et tu ne quittes pas mes pensées
chaque seconde je rêve de toi
les yeux ouverts je dors
le jour je perds la vie
et j’espère sans bruit
j’attends en silence paralysé
je vois seulement le temps passer
mais je ne le sens pas s’écouler
pourtant je sais que chaque instant t’éloigne un peu plus de moi
chaque jour passé me ronge un peu plus et je ne sais que regretter tout ce temps perdu à n’avoir pas su te dire plus tôt je t’aime encore
je t’aime
encore
je t’aime …
14:04
Un mail de oneko@altern.org (mon chat à moi) :
> Cher Papadieu,
> tu es parti au travail et je suis triste, je m’ennuie sans toi. Je vais
> peut-être aller faire pipi sur ta couette a ton retour pour te temoigner
> mon affection. Car je t’aime Papa-Dieu.
> Je suis tres heureux chez toi, en + ca marche bien avec les meufs, et y’en
> a plein. Comme elles sont plus dodues que les garcons, c’est agreable de
> planter mes griffes dans leur chair. En plus elles crient c’est rigolo.
> Reviens moi vite Papadieu.
> Miaou.
>
> Kawaï Oneko.
>
> PS : est-ce que tu peux me ramener une balle avec un grelot dedans s’il te
> plait?
> Merci.
Hum… Ma vie prend un tournant décisif…
Et pour la balle à grelot on va voir…
En tout cas, bise à toi Oneko et ne t’inquiète pas si je rentre un peu tard ce soir je dois passer à la soirée SPOKE.
monsieur Tourgueniev n’est pas Dieu
elle chante,
elle parle des vieux amis,
je t’ai serré dans mes bras hier,
très ému,
je suis heureux de t’avoir revu,
elle chante
et parle de son premier amour,
je serai ton vieil ami
tant que tu voudras de moi
la lumière est en toi.
reconstituer ne serait-ce que pour ne pas comprendre
il a ouvert la bouche
et prononcé quelques mots
que je n’ai pas compris
bien que mes oreilles
fuss fussent fussssssss
enfin
de grandes oreilles.
EGu.-trip!
Il y a les pré-Gu., les Gülistes, les Güliens, les néo-Gu., les pseudo-Gu., mais la vrai Gu. c’est môa…
(merci à Fred Vargas)
Mes yeux sont le sang, le déversoir de flaques
Les vers m’ont définitivement rongé comme
Un évènement majeur dressé devant l’art
Une île, les vacances de Pâques, il y’a bien longtemps
Un camp scout, éclaireurs en fait, une légère nuance
Me retrouver perdu, isolé pour quelques minutes
Entre les rochers, la mer en furie et un sous bois profond
« Brocéliande ! » dis-je
Un instant magique, propice…
Un rayon de soleil traverse le feuillage et m’entoure d’un halo bienveillant
« Sortez créatures magiques, n’ayez pas peur, je suis des vôtres, montrez-vous à moi »
Rien ne bouge, le vent se lève, je suis seul
Je patiente, recommence à appeler, à implorer
Personne ne s’est dévoilé
Des cris pas loin, les autres, je sors de ma transe
Ils me cherchent
En larme, je les rejoins
Ce jour là, j’ai beaucoup trop grandi
Elle ouvrait la bouche
pour lui,
pour l’avoir rien qu’à elle.
Elle voulait
avoir le sexe d’un garçon comme lui
dans la bouche d’une fille comme elle.
Elle y pensait
et y repensait
et elle salivait quand elle y pensait.
Ce sentiment
de l’avoir en elle
completement soumis.
C’etait comme voler
quelques instants
d’éternité,
très haut,
loin de tous.
Pendant ce temps là, Ronnette vient de se faire torturer, puis violer. Elle a même arraché des fragments du corps de son amie Laura avec ses dents. On voit bien d’où elle vient, le pont metallique derrière elle, là où plus aucun train ne passe depuis des années, mais on ne sait pas bien où elle va.
Continuité
1.Et ce n’était finalement que le jeu
(stérile ?) d’un entretien sans
interlocuteur ; Invention de l’autre,
méprise de soi.
2.Il avait poussé la curiosité
jusqu’à ouvrir le dernier roman de M.K.
peur qu’il ne soit pas à la hauteur
des livres adorés quand
il avait dix huit ans ; la difficulté du retour, ce fut aussi
la sienne, retrouver un espace littéraire, inchangé.
3. Curiosité comme dévoilement, fuite et recherche de
l’image juste.
4. Il irait à Prague pour s’acheter un tee-shirt avec Kafka dessiné dessus.
5. Curieux des autres, de lui-même, aussi.
…
métro
station Concorde
je descends pas
contre moi un mec très grand, très mince, grands yeux verts
assez bronzé, maladif mais bronzé
donc Concorde
la porte s’ouvre
il se penche vers moi et me murmure un truc à l’oreille
moi, dans les vaps : « hein ?«
lui se repenche, la sonnerie retentit, la porte va se refermer
il murmure un truc du genre : « larvae fugit toma«
moi : « quoi ?«
il bondit dehors
la porte se ferme, je me rapproche de la porte
sa main, paume ouverte, me frappe au visage, collée à la vitre
une marque, un tatouage ou une brûlure…
ses yeux verts, que je devine, me scrutent
je fixe la marque…
le métro démarre
boulot
…
La musique comme seule sensation
J’écoute de la musique :
quand je travaille,
quand je prends le métro,
quand je cours,
quand je suis seul chez moi,
quand je lis,
quand je m’endors.
Bientôt, j’écouterai de la musique :
quand je serai au téléphone,
quand ils me parleront,
quand je disparaîtrai.
fermeture du site
le lundi 12 avril…
The overarching themes of the conference focus on contemporary
and past theory as species of risk-taking.
Tentative sessions include:
The ends of gaming
Taking practical risks in doing theory
The break-up of established interpretive systems
The moment of crisis tackled head-on
What redemption is there in risk taking?
The dubious synchronicity of theory and its objects
Chance by chance
Balancing the waste-book
Morality at the edge
What kinds of urgency?
Gamblers and Idiots
Getting badlucky
Theory gambled away
When to stop the game?
What prosthetic futures for such bright pasts?
Speculation and hazard
Theory junkies
The theory of gambling and the gambling of theory
BALADE NOIRE |
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PUISQUE TOUT N'EST QU'UNE QUESTION DE STATISTIQUES - ET NON DE PREVENTION - DE SECURITE - JE PRENDS MA VOITURE ET FILE DANS LA NUIT - J'EXPLIQUERAI AUX FLICS QUE L'ALCOOL QUE J'AI DANS LE SANG NE ME PERTURBE PAS - MAIS QU'IL ME RASSURE - ET SI JAMAIS JE TUE QUELQU'UN - ON PROUVERA FACILEMENT - LORS DE MON PROCES - QUE C'ETAIT UN CON - |
le récitant : et dansent les caniches…
Le temps est une poubelle
Le temps est une catastrophe ferroviaire
Le temps est une planche à repasser
Le temps est une musaraigne
Le temps est une lotion capillaire
Le temps est une selle de vélo
From: « Paul »
Sent: Saturday, March 08, 2003 9:48 AM
Subject: boo!!
> Testing my swanky new iBook :) Now I am a proper Mac owning « art-f*g »
> :) hehe
From: « Paul »
Sent: Saturday, March 08, 2003 10:41 AM
Subject: test
> does this work :/
From: « Paul »
Sent: Saturday, March 08, 2003 10:47 AM
Subject: test again
> now that i have a mac none of you are safe!!!! :)
From: « alex »
Sent: Saturday, March 08, 2003 6:01 PM
Subject: Re: boo!!
> There are about 600 subscribers to this list. So emailing three
> times makes about 1800 emails.
>
> That might not be the best way to test your new computer.
des Maraudeurs Arthropodes, quelques Sécréteurs Bullaires,
accélération le temps de descendre une rue les bras chargés
ça n’est qu’une pure hypothèse mais elle avance, elle tourne,
et s’élève.
Pr. Gulkstra-Grüll, « Quand j’ai bu ça tourne aussi », juin 20??, p.468.
Tom, get your plane right on time.
I know your part’ll go fine.
Fly down to Mexico.
Da-n-da-da-n-da-n-da-da and here I am,
The only living boy in New York.
I get the news I need on the weather report.
I can gather all the news I need on the weather report.
Hey, I’ve got nothing to do today but smile.
Da-n-da-da-n-da-da-n-da-da here I am
The only living boy in New York
Half of the time we’re gone but we don’t know where,
And we don’t know where.
Tom, get your plane right on time.
I know you’ve been eager to fly now.
Hey let your honesty shine, shine, shine
Da-n-da-da-n-da-da-n-da-da
Like it shines on me
The only living boy in New York,
The only living boy in New York.
« – Je sais pas… dois-je penser ?
– Ben comme tu peux pas t’arrêter….
– Autant accompagner les mouvement ?
– Comme un vélo dans une pente… »
probabilité de viabilité : 0%
Alice dit que la souffrance des hommes lui est indiffèrente,
qu’ils n’avaient qu’à faire attention en portant le regard vers elle,
elle se penche ensuite vers moi avec la sollicitude d’une mère
et me dit :
toi ce n’est pas pareil, nous sommes amis…
ah… Alice…
la femme s’évanouit dans un éclat argenté, elle gagne à toute vitesse un trou béant dans la galerie où s’enfonce le torrent et disparait. Après être resté interdit près d’une minute, Nikolaï se risque à parler :
– « on aurait dit un poisson, cette femme »
Tourgueniev et Natalia se regardent avec des yeux ronds un instant et répondent en choeur :
– « un quoi ?!! »
– « une de ces choses à écailles qui vivaient dans les grandes eaux vives, autrefois, un peu comme ces choses qu’on devine sous la surface et qui brillent, là ».
Natalia part en éclaireur dans les diffèrents tunnels qui s’enfoncent dans la terre autour du torrent et de la galerie principale. Nikolaï réalise des prélévements d’eau et tente de capturer l’un des animaux qu’il nomme poisson. Tourgueniev sort les documents officiels qu’il doit remplir pour completer son rapport au conseil de la ligne. Dans la case « nom proposé pour la concession », il indique « dame-poisson » puis biffe cette mention et inscrit : « Poissonière » …
maithili
prend mon sourire
dans sa main
en souriant
la pluie tombe
mais pas trop fort
tout est une question
de rires et de pleurs
Brume épaisse dehors, on garde les masques, je démonte un canapé derrière la maison, Chloé fait des feuilletés au chêvre et paufine sa fiction, les criquets sont plus calmes, les nouveaux chats se sont battus cette nuit, une victoire sans doute, sur la vieille platine passe un vieux standard de Laperruque, une jambe dans chaque main, le disque saute souvent mais c’est bon quand même, on repense à la PopFest2005 et on boit frais gynécologiste ventripotent prépuce coupe du bois bien chaude à Saint Tropez.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
j’ai le choix entre « drivers » « utilities » et « contact » (des onglets)
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
et je dois dire qu’il n’y a pas grand chose dans chaque catégorie
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
le vide intersidéral
n dit :
ben drivers
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
alors si
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
j’ai 4 ptes icones à droite dans drivers
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« show motherboard informations »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« browse the content of the support CD »
n dit :
nan
n dit :
nan
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« technical support request form »
n dit :
nan
n dit :
mhum
n dit :
grmbl
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« browse the file list of the support CD »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
et c’est tout
n dit :
rhaa
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
sinon y’a un grand fond bleu avec des étoiles floutées blanches. et puis rien. le vide.
n dit :
browse content alors
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
TU VOIS JE SAVAIS QUE CA ALLAIT ETRE LA MERDE
n dit :
ben oui
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
alors
n dit :
mais je comprends pas ca m’arrive jamais ce genre de merde
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
là ça devient quand même un peu juteux
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
nous arrivons dans un espace avec plein de soucoupes jaunes
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
intitulées au choix :
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« bin »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« drivers »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« manual »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« software »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
comme tu le vois c’est plutôt bananas les flots
n dit :
mais c’est toujours dans l’interface de base ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
……………
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
l’interface de base ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
que veux-tu dire ?
n dit :
ou c’est une fenêtre différente
n dit :
ben ce menu là
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
c’est une fenetre différente.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
est-ce mal ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
je sens que c’est mal.
n dit :
c’est comme un explorateur windows quoi
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
heu je ne sais
n dit :
genre il attend que tu choisisse un truc ou pas ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
en haut dans adresse il y a marqué « asus D: »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
non il attend rien
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
ce sont des petits dossiers jaunes sympas qui bougent pas
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
il marque « fichiers actuellement sur le CD »
n dit :
rhaa
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
c’est très mal je le sentais
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
pourquoi ça n’arrive qu’à moi ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
pas aux autres ?
n dit :
ben c’est que là je me rends pas compte
n dit :
ca arrive à Anne aussi
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
ben voilà.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
ça arrive au sexe féminin.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
c’est typique.
n dit :
il me semble oui
n dit :
va comprendre
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
un truc satanique qui plane dans les ordinateurs.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
qui s’attaque aux blondes à gros seins.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
enfin façon de parler.
n dit :
ouais
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
tout cela est sinistre
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
je me roule un joint.
La terre entière se servait de la même langue et des mêmes mots. Or en se déplaçant vers l’orient, les hommes découvrirent une plaine dans le pays de Shinéar et y habitèrent. Ils se dirent l’un à l’autre :
– « Allons! Moulons des briques et cuisons-les au four ».
Les briques leur servirent de pierre et le bitume leur servit de mortier.
– « Allons! dirent-ils, bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche le ciel. Faisons-nous un nom afin de ne pas être dispersés sur toute la surface de la terre ».
Le dieu descendit pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils d’Adam.
– « Eh, dit le dieu, ils ne sont tous qu’un peuple et qu’une langue et c’est là leur 1ère œuvre! Maintenant, rien de ce qu’ils projetteront de faire ne leur sera inaccessible! Allons, descendons et brouillons ici leur langue, qu’ils ne s’entendent plus les uns les autres »!
De là, le dieu les dispersa sur toute la surface de la terre et ils cessèrent de bâtir la ville. Aussi lui donna-t-on le nom de Babel car c’est là que le dieu brouilla la langue de toute la terre, et c’est de là que le dieu dispersa les hommes sur toute la surface de la terre.
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The best way to seduce someone is by making yourself unavailable. You just have to be busy all the time and they’ll be craving to see you. Then you don’t fuck them for the first five dates. Let them get closer and closer but definitely don’t fuck them. Be disinterested Not too disinterested, they’ll think they’re barking up the wrong tree. But it’s always good to play hard to get. Good perfume is really important too. Everyone is a sucker for garter belts. You wear a dress and stockings and garter belts. You don’t let him have you, but at some point you have to make him see that you have a garter belt on. No underpants is also a big turn-on. Sucking on your finger every once in a while doesn’t hurt, like in the middle of dinner. Telling jokes is good. And on every date you have to say one really disarming thing.
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Précipitation des songes, je vais écrire sur papier ce qu’il nous arriva ensuite.
…
je viens de voir ton ex
beau gosse embrassant Nicolaï
il me parle de vous deux
et ça ne me fait ni chaud
ni froid et
toi et moi on se regarde
en souriant
aux anges
…
16h53 : Je lis La chambre des demoiselles. On y parle de viol et de coulées d’urine.
Tes mains autour de ma gorge… je suffoque… je violettise… kof kof
Hop non, pas d’accord, pouce, c’est pas du jeu !!!
Je te tues et je suffoque ! C’est quoi ce merdier ?
Y en a marre, ras le bol bonhomme !! Tu diriges peut être ma vie mais pas ma mort… contre… on réecrit le script !
Comment ça… Non ? Tu te prend pour qui ? Dieu… ok.. je la ferme.. tues moi… tu le regretteras…
Batard…
si un admirateur
te fait porter des fleurs
ce ne sera pas moi
si une petite musique
te rend romantique
ce ne sera pas moi
mais si les nuages recouvrent le soleil
et qu’un vend froid
vient te souffler des horreurs à l’oreille
ce sera moi
quand tu s’ras seule si quelqu’un
te tend la main
ce ne sera pas moi
si ton téléphone
dans la nuit sonne
ce ne sera pas moi
mais si un mauvais rêve te réveille
remplie d’effroi
ce démon qui brisera ton sommeil
ce sera moi
de peur que le bonheur
cet empoisonneur
comme du chloroforme
ne nous endorme
lorsque sur ta route
surgira le doute
ce sera moi
si tu es maussade
le bon camarade
ce ne sera pas moi
si tu es malade
le garde-malade
ce ne sera pas moi
mais si sur ton sourire se pose une ombre
sache déjà
que la seule cause de tes humeurs sombres
ce sera moi
de peur que le bonheur
cet empoisonneur
comme du chloroforme
ne nous endorme
lorsque sur ta route
surgira le doute
ce sera moi
lorsque sur ta route
surgira le doute
ce sera moi
JUST A PERFECT DAY
Just a perfect day
drink Sangria in the park
And then later
when it gets dark, we go home
Just a perfect day
feed animals in the zoo
Then later
a movie, too, and then home
Oh, it’s such a perfect day
I’m glad I spend it with you
Oh, such a perfect day
You just keep me hanging on
You just keep me hanging on
Just a perfect day
problems all left alone
Weekenders on our own
it’s such fun
Just a perfect day
you made me forget myself
I thought I was
someone else, someone good
Oh, it’s such a perfect day
I’m glad I spent it with you
Oh, such a perfect day
You just keep me hanging on
You just keep me hanging on
You’re going to reap just what you sow
You’re going to reap just what you sow
You’re going to reap just what you sow
You’re going to reap just what you sow…
LOU REED, 1972
I wOuld like,
if I may,
tO take yOu,
On a perfect day
(…)
Do you speak arlix ?
Regardez bien !
Il y a des requins dans le transat de JLB* !
* JLB vit près de Répu.