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Pour rester zen, il vit sur le long terme en se posant les bonnes questions pour les choix qui s’imposent.
Ne pas se laisser submerger par la tension, le négatif stress.
Il a troqué le métro pour son vieux vélo et le week end fait le tour des quais en rollers tout en scrutant le coefficient de pollution de l’air.
D’humeur égale en tous temps. Encéphalogramme plat bip, bip, bip, bip.
Avec lui pas de surprises ou presque.
La folie, la démence de la jeunesse il a connu et en est revenu.
Il a passé l’âge de faire des conneries, on peut compter sur lui il fait toujours ce qu’il a promis.
Raisonnable, il sait qu’il faut savoir dire NON.
Pas rancunié pour un sou.Tout le monde peut s’emporter avoir ses écarts (sauf lui).
Il faut pardonner un point c’est tout, promouvoir le dialogue car la violence ne résoud rien.
Prévoyant, attentionné, rangé. Un brin maniaque: le ménage c’est tous les soirs. Sa chambre ressemble au couloir d’un hôtel.
Rien ne dépasse c’est l’équilibre en tous points.
A SUIVRE….
C’est ainsi que nous frappons le tambour sur les îles occidentales…
Ecoute nos voix, viens danser avec nous. Tu aimes notre chant, n’est-ce pas ? Il conte les amours de la reine des fées et d’un mortel. Ouvre ton coeur. Entend nos voix mélées à toutes les voix de la terre des hommes, écoute l’histoire, écoute la…
écoute…
tu veux vraiment apprendre le mal
auprès de moi ?
alors commence donc par m’aider
à arroser mon jardin,
notre discipline n’est pas pour les impatients
Ceci n’est pas un commentaire.
Ceci n’est pas une guerre virtuelle.
Ceci n’est pas vraiment cohérent.
Ceci n’est pas non plus le fait du Mime Marceau.
Ceci n’est pas grand chose.
Ceci est un happening Tourgueniste, bande d’ignares.
Que Jah soit dans vos coeurs. Rastaffarin !
Jeune étudiant prétentieux, se prenant un peu (beaucoup) pour Napoléon, cherche hache de poche pour le 22 avril prochain entre 19h00 et 20h00.
Ah !! Mercredi, enfin… Le jour des enfants… On se dit que tout va être plus bleu, plus doux, plus tout…
En fait c’est comme hier, mais on a un jour de plus…
Vous me direz, 28 ans et un jour de plus, c’est pas bien grave. Mais quand même, on le sent un peu, ce jour de plus, là plus bas… Il taraude, il gratte. Oh, rien de grave, juste un jour de plus.
Foutu mercredi…
Retraite tourgueniste, résidence du pharaon pacifique.
Et j’irai dans les mers du sud sans même toucher le levier de vitesse
Me noyer dans vingt centimètres d’eau claire.
La question typographique du jour :
et mon
Q
c’est du boud’1?
(hommage à Quentin Préaud, typographe gastronome)
peut-être
oui
après tout
ça fait si longtemps
il fait si chaud
voyons voir
juste le bout des orteil, alors
prendre un peu le frais
tout doucement
Bits of dreams rush / Something is falling over / The window borders on orange / When the night in day changes / Entre deux temps un rien trop tard / Un rien trop tôt et je m’égare / La fenêtre tire sur l’orange / Quand les démons laissent place aux anges / The sun relieves the moon / Colors mix on the mound / The window borders on orange / When black with red blends / S’achèvent les sombres errances / Dans les parfums de rosée rance / La fenêtre tire sur ma vie / Tu n’es pas venue cette nuit / lalalalaaaa
Clichés
Aurore
Nos cendres
Eparses dans le temps
Je les ai vues ce matin
Dans la lumière du levant
Aurore ma soeur
Aurore mon coeur
Les reflets d’or
De tes yeux
Brûlent mes regrets poussiéreux
Je ne fus pas un ange
Je fis un pacte avec la Lune
Aurore ma soeur
J’ai vendu ma carcasse
Ils m’ont troué la peau
Et bu dans le cristal
Mes derniers sanglots.
juste avant minuit
un message pour tous
d’espoir et de paix.
ça parait un peu niais
mais pour une fois
que je ne parle pas
de petits enfants
découpés au scalpel
dans ma cave…
faut bien varier les
plaisirs, non ?
ho non jean-robert!
t’endors pas dans les spaguettis!
« Or, il y a quelques années, on a pu démontrer qu’une légère modification des conditions initiales d’un système décrit par des lois déterministes peut suffire à rendre parfaitement imprévisible son comportement. On dit de ces systèmes sensibles aux conditions initiales qu’ils sont « tourguenistes ».
Très vite on se rendit compte que ces systèmes tourguenistes, malgré leur apparence aléatoire, obéissent à un pseudo-ordre. Les circonbulles qui les définissent, loin de varier dans le temps de manière absolument aléatoire et illimitée, apparaissent en effet confinées, tenues en laisse, maîtrisées, par un élément d’ordre, appelé « attracteur étrange ». La présence d’un attracteur étrange caractérise donc ce que l’on en est venu à appeler le « tourguenisme ».
Ces systèmes sont donc à la fois aléatoires et déterminés, ce qui n’est pas une mince contradiction. Ils peuvent par ailleurs renfermer en eux-mêmes une infinité de mouvements périodiques instables de fréquences différentes. A telle enseigne que même des systèmes tourguenistes simples, ne comportant que trois circonbulles, (par exemple le « modèle de Katzenstein », décrivant les turbulences atmosphériques, les spirales hélicoïdales, les kaléïdodromes apparus il y a cinq ans, et la commercialisation d’eaux profondes en milieu professionnel hyperurbanisé de la même époque), peuvent développer une variété infinie de comportements – ce qui les rend diablement utiles lorsque l’on veut décrire des processus biologiques ou cognitifs, eux aussi tourguenistes. Comme quoi, on s’était pas plantés.
Le tourguenisme, d’ailleurs, n’affecte pas les systèmes seulement dans leur développement temporel, mais aussi dans leur étendue spatiale, des phénomènes cohérents entre eux se produisant au même moment à différents endroits d’un même système, au niveau cellulaire comme au niveau tellurique, c’est dire en fait que c’est au niveau structurel que l’ensemble de l’organisme bullaire pandémise. On parle alors de tourguenisme spatio-temporel, et là ça commence à foutre le vertige. »
Pr. Drüünorst Gulkstra-Grüll, « Le tourguenisme première révolution scientifique du siècle », dans « Le siphon stratégique » n°28 du printemps 2012.
< Noir Désir >
« Si vous ne trouvez plus rien cherchez autre chose. »
l’ame,
c’est ce pays éthéré qu’on a tous à l’interieur de nous
lorsqu’on ferme les yeux,
c’est ces lumières et ces couleurs qui jaillissent
lorsqu’on regarde son coeur
c’est cette musique et ces chants
qui emplissent les solitudes intèrieures
bruits bleus et chants carrés,
mer vibrante et amoureuse
tempete de lumière
sur les phares du hasard
je ris
et j’imagine demain
tendrement.
Banalement
Ordinairement
Rituellement
Normalement
Béatement
Actuellement
Docilement
&
B.a.d.i.d.e.dement
Assurément
Dorénavant
Généralement
Idéalement
Régulièrement
Lentement
.
.
.
T’as l’air un peu palotte, t’as mal dormi ?
Tes ch’veux c’est une horreur, de la paillasse !
T’as le regard dans le vide, tu fumes beaucoup trop.
Tu dors plus, tu manges plus, tu recommences à te droguer.
T’es toute moche, recroquevillée sur ta chaise, en écoutant de la musique triste.
Tu fais un deuil, mais tu ne connais pas le nombre de morts. Peut être même que tu en fais partie.
Tu ne sais plus à qui tu as menti, à qui tu as dit que tu allais bien.
T’es aigrie, t’es jalouse, va pas chercher plus loin.
Rêve pour l’hiver
L’hiver nous irons dans un petit wagon rose
Avec des coussins bleus.
Nous serons bien. Un nid de baisers fous repose
dans chaque coin moelleux.
Tu fermeras l’oeil, pour ne point voir, par la glace,
Grimacer les ombres du soir,
Ces monstruosités hargneuses, populace
De démons noirs et de loups noirs.
Puis tu te sentiras la joue égratignée…
Un petit baiser, comme une folle araignée,
Te courra par le cou…
Et tu me diras: « Cherche! » en inclinant la tête,
– Et nous prendrons du temps à trouver cette bête
– Qui voyage beaucoup…
Tu m’as dit que tu m’aimais malgré mon corps défaillant
tu sais que je n’ai pas d’avenir
mais tu dis que tu m’aimeras encore quand j’aurai perdu mes dents
que tu m’aimeras toujours quand mes cheveux seront tous tombés
et même lorsque je commencerai à devenir fou et à oublier ton prénom,
tu m’aimeras encore
Merci, je t’aime aussi
La poésie qu’est-ce au fond
Sinon des mots dé-pesés, détoxiqués – – –
Hola muchachos y muchachas,
Me voila donc de retour de la terre de feu, du parc des Torres del paine ou j’ai passe 3 jours, plus un petit aller-retour au glacier du Perrito Moreno en Argentine, un glacier d’une vingtaine de kilometres de long, qui avance, avance et avance en faisant un bruit invraisemblable… bref, un glacier parleur, d’un bleu etonnant sous le soleil brulant de Patagonie.
Je repars ce soir pour Punta Arenas, ou je vais continuer ma route vers le sud jusqu’au Fuerte Bulnes, ou est l’un des phares les plus celebres du detroit de Magellan, celui de la fin de « Happy Together » pour les plus cinephiles d’entre vous.
Je suis assez heureux d’etre revenu en terre hispanophone apres 4 jours de stage d’allemand renforce. C’est invraisemblable… du moment ou j’ai pris le bus pour aller a Torres del Paine, je me suis retrouve plonge dans une terre essentiellement germanophone. Un indice certain m’a d’ailleurs montre que je passais dans un espace-temps distinct : avant de monter pour avaler 3 heures de voyage sur des pistes caillouteuses propres a detruire les dos les plus resistants, je fumai ma derniere cigarette d’une vie de fumeur urbain, la tete dans les nuages, observant le ciel changeant d’une demi heure sur l’autre, je ne remarquai pas la presence de cet homme en noir et blanc au coin de la rue, en train de commenter mes moindres faits et gestes. Au moment ou il se tut, je jetai mon megot sur le trottoir, encore ignorant du peril qui me menacait… le megot, insultant, au lieu de se coucher comme tout bon megot qui se respecte, se tenait droit, sur le sol, pose sur sa base, le nez vers le haut, fierement, comme pour me dire : « Hahahah, tu as oublie ta methode Assimil allemand, tu vas le regretter mon petit bonhomme, tu viens de rentrer dans la quatrieme dimension, der katriem dimenzion, hahahaha »
Dont acte : dans les refuges, on chantait la Lorelei, autour d’un feu de camp et d’une bonne francfort, la chope de biere a la main, sauwerkraut et compagnie. Sur les sentiers, on devisait joyeusement en anglais, l’accent teuton au bord des levres, le cheveu bond au vent, la birkenstock au pied leger, pour soulager les exces de biere de la veille. Gutten Morgen, Bernart, como estas ? Hola Brigit, did you sleep well ?
C’est en voulant fuir mes compagnons de voyage que je commis l’erreur fatale. Epuise par deux nuit de discussions animees autour d’un saladier de chou cuit et de sympathique charcuterie bavaroise, je cherchai le reconfort de la solitude vers la valle del frances, emportant avec moi toutes mes affaires, musique, sac de couchage, chaussettes sales, bref… a 5heures du matin, je desertai la place, m’enfuyai du refuge pourtant si accueillant pour ne pas entendre de nouveau « Ars du gutt gestshlafen » qui m’aurais conduit a un massacre a la tronconneuse certain. C’etait sans compter la puissance de la nature, reconnaissante de la politique ecologiste menee par les gouvernements Shroeder et Khol. Apres une heure de route sur des sentiers boueux, dans des souffles de vents glaciaux, en tentant d’escalader une paroi humide et glissante, je retombai lourdement sur ma jambe droite. Jamais ma hanche ne fut si proche de mon epaule. Clopin clopant, je retournai au refuge, penaud, la tete basse, alors que le soleil pointait de nouveau.
« Zer, Nicolas, did you hurt youself on the sendero »
« Nothing serious Bernart, thanks »
Le jour fut sublime. Je bus moult bieres en chantant « La petite Huguette » en allemand, bien plus drole que la version francaise. Je pris a l’instar de mes compagnons d’infortune de nombreux coups de soleil ; le teint rouge, je rentrai le soir meme pour Puerto Natales en car, sur les routes pierreuses, en buvant de l’eau gazeuse pour digerer le chou cuit et en chantant « Der Kaporal », une tres jolie ballade des annees 70 avec Ingrid et Yuki, un japonais qui lui aussi s’etait acoutume a la culture traditionnelle locale.
Sinon, la Patagonie est sublime et non, je n’ai pas rencontre Florent Pagny.
Besos a todos
petite promenade dans Paris
je me souviens des jours heureux
et insouciants,
lorsque l’amour
était lointain,
on faisait le plus de bétises possibles
pour énerver tes parents,
on draguait ta soeur,
mais pour rire,
les heures n’étaient pas des prisons
mais des étangs où baignent
cygnes et nénuphars,
la lune veillait sur nous,
je me souviens…
Tu étais ma petite poupée en flocons de neige
aimante
et pure,
veillant sur mon foyer
et sur moi quand surgissait le tourment
Je n’ai pas compris quand tu as brisé cette image
cette illusion que j’avais de toi
a fondu en une nuit seulement
J’ai l’impression d’avoir vécu une longue imposture
ça me blesse,
je ne sais plus qui tu es
ni qui nous étions
Je te reproche ainsi la perte de mes illusions
c’est tellement immature
et tellement moi à la fois
pardonne-moi
Tu pourrais faire quelque chose de ta vie : tes talents
ne manquent pas. Exercer un métier ?
Pour camoufler une activité plus secrète.
Parfois tu iras bien loin de tes origines.
Un air impertinent et content de soi en impose aux femmes et agace les hommes.
Récits d’un chasseur, Ivan Tourgueniev
lu ce matin dans la presse spécialisée:
« connasses diplomées
cherchent bites d’amarage
pour ancrer divers bateaux… »
mercredi 18 avril – je porte un pantalon long – je peux courir plus vite – je peux t’aimer plus fort- je ne suis pas là – je n’existe pas – je ne suis pas à mon avantage – je n’écris pas bien – je n’écris pas – je ne suis pas – il fait si chaud sous ce soleil – un kilo – à la pendule il est 18 avril…
« Pourquoi perdre son temps quand on n’a plus rien à dire, quand on a cessé de croire et que les renoncements se prennent pour seul objet d’étude ? »
— Well… Robert… To me, men are like books. Sometimes a romance, sometimes a thriller, and sometimes… I want a classic. But when I finish, it’s back on the shells so then to the next.
— You never been married ?
— Oh no !
— Maybe… you’re reading too fast.
Numéro de Charme
Quand on me demande quelle est mon arme de séduction je dégaine mon Rubik’s Cube.
Il me faut moins de 5mn pour le résoudre.
C’est infaillible !
D’ailleurs, l’autre jour, c’était un samedi je crois… bref, mon chéri qui aime bien le quinoa
mais c’est sans rapport, en avait les sourcils tout ébouriffés.
Il m’a dit d’un air coquin :
« Ma chériiiiie, il faut absolument que je te filme en train de faire ça ! ».
Pour une vie sociale riche et joyeuse
daltonien et sexy
… Nikolaï sponge the sweat of its face. Of one collapses on the stony ground, Nathalie has just given an opinion in front of him. Tourgueniev fixes an oil-paper band on the opening, the band indicates « not to enter, risk of serious illness – very contravening discovered last this line will be liable… » and engages in its turn in the gallery. Nikolaï shoulders the torch with fusion in silence. Nathalie smiles and starts to describe circles in extreme cases of the operating range of the chemical torch. This method, Tourgueniev gradually included/understood, enables him to cause the attack of a possible attacker while remaining in a position to defend oneself effectively. Tourgueniev home to lair and y detected relents of moisture… one humidity teller quill neon has cone quad Los, press due large pit. It wrinkles the eyebrows and close friend silently to both others the order…
bon week-end…
Rothschild
Les mycoses et syphilis
Ont poussé dans ton vagin
Où dort le psoriasis
Entre ton con et tes deux seins
Y vient aussi nos concombres
Que la nuit débandera
Ton anus qui les rend sombres
Avec eux s’élargira
L’abondance des eaux vives
Laisse couler l’or laiteux
Laisse il faut que tu poursuives
Le concombre que tu veux
Jou ou Fou
En plein inselberg virtuel j’atomise du regard tous les créatifs talentueux.
Pas très Jou les totos
Le manifold Jou est un manomètre
Une recristalisation perso.
Y voir un poil plus clair.
Cool.
J’étais à ma toilette – j’ai entendu bruisser les hautes fougères
J’ai ralenti mes gestes.
Et puis j’ai aperçu tes côtes saillantes courir à travers les taillis.
J’ai séché longtemps au soleil.
Sad itou
car :
Je suis le réel, l’anti-idéal
Je suis l’incarnation de l’hérésie
Que vos dieux appelaient pourtant Amour
Mon arbre ne me donne pas seulement des fruits délicieux
il me prodigue aussi asile et réconfort
lorsque la mer est mauvaise
« être près de toi
et t’aimer toujours
être près de toi
et t’aimer d’amou-ou-ou-our
peut être qu’un jour
toi, tu m’aimeras
peut être qu’une fois
tu m’aimeras d’amou-ou-ou-our
on se touchera
ça te troublera
tu gémiras d’amou-ou-ou-our
on s’embrassera
ça me troublera
pour toujours on sera rois ! »
… Nikolaï chantonne encore cette vieille comptine de Lo alors que les trois envoyés du conseil de la ligne quittent la galerie. Ils se débarrassent de leur matériel et se quittent. Nikolaï restera à l’abri, Natalia regagnera Gardune à pied et Tourgueniev ira à Gardel faire son rapport au correspondant local des services spéciaux …
Elle s’imagine des spirales
un peu partout,
dans chaque petit bout de son corps
ça lui donne le vertige
elle sourit
J’espère que David Lynch a du succès avec les femmes.
Parce que là c’est un peu ma dernière chance, quand même.
Sinon il me reste mon « pseudo idiot ». C’est un peu léger.
Et mon image de « nerd solitaire ».
Assoiffé d’open-bar et fasciné par « le porno, les jeux-vidéos et la culture postpunk ».
Il paraît que ce sont mes « paradigmes »… Je savais même pas que j’en avais.
Ce qui est sûr, c’est que ça fait pas très sexy.
C’est pas non plus très véridique – mais bon, à la limite c’est pas ça le plus important.
40 000 lecteurs, ça fait quoi ? disons 20 000 meufs ? dont 5000 qui sont vraiment jolies ?
5 000 jolies filles qui m’imaginent comme un nerd boutonneux, le genre qui mange des pizzas seul devant sa play-station.
Sympa. Merci la presse branchée…
Décidément faut vraiment que je refasse mon plan-média.
Tiens, bah j’vais commencer tout de suite.
Je lance officiellement un appel d’offre.
Jeune intello-artiste-bidule très très talentueux cherche attachée de presse.
Travail non rémunéré mais socialement hyper-valorisant.
Ambiance de travail décontractée (tutoiement autorisé, casual friday, alcool à volonté, drogues autorisées).
S’adresser à la rédaction de tourgueniev.com (je n’ai pas encore d’assistante pour s’occuper de ma messagerie).
PILLS
«La pêche à la méduse».
Bob et Patrick retrouvent Carlo le calamar.
«La faim du plankton».
Plankton cherche à obtenir la recette du pâté de crabe.
merci Papy Ivan d’avoir enfin rétabli la moitié de dialogue manquante
entre monsieur gras et monsieur maigre.
Vous êtes définitivement mon héros et mon Dieu,
et merci à Igor, le saint esprit, d’avoir intercédé en ma faveur…
(Je ne révèlerai jamais qu’il fabrique d’obscures mises en scènes
avec la complicité de son frère Nicolaï
pour se faire une fausse auréole
à l’aide d’une casserole….)
En attendant Monsieur gras a subi une sévère cure d’amaigrissement, je ne sais pas si ça lui va bien…
link from last post was a (private) joke.
IGOR IS INNOCENT!
Romans
J’avais prévu d’aligner ma vie sur quelques figures
périlleuses,
lesquelles avaient la forme plus ou moins classique
et scandaleuse de l’hélice ;
j’en parlais
de suite aux spécialistes d’images et forts en communication
de l’ame et du monde,
et ces gens, m’avouèrent que la comparaison
fut déja utilisée dans des milliers d’écrits.
Ha que ne puis-je comparer ma vie a une hélice.
Je fus perdu, sans mot et paf désemparé :
le combat en question nécessitait chaque jour
un numéro d’adresse, du genre,
voyez mesdames ce qui se passe dans l’intensité d’une phrase,
dans la joute d’une idée qui fait mouche. Grosso modo le spectacle.
L’ami suisse m’avait conseillé quelques années
d’abstinence textuelle, sans quoi, selon lui, je risquais de perdre
au combat des chefs, aux jouissances générales
de pacotille qui volent les mots aux autres. Du moment que tu ne leur as pas
pris leurs femmes, tout va pour le mieux dans le meilleur
axe pour annexer la galaxie Gutemberg.
J’arrivais donc au milieu des autres pret pour raconter mon histoire.
Mais je n’avais jamais vraiment vécu grand chose digne
de faire palpiter le coeur de mes ainés.
Pourtant, je décidais ce jour la, malgré
la méfiance saine de l’ami suisse, qu’impressionner
méritait encore notre approbation, et ceci, malgré
l’intimidiation d’espèces modernes rivées
a la complaisance de l’échec. Etais-je seulement
hors du coup et pas du tout nuisible ?
Comme j’aurais aimé cette hélice !
Si je baise ?
Affirmatif
Quoi ? Des noms ?
Des salopes…
Affirmatif
Des actrices…
Des gamines…
Affirmatif !
De quel âge ?
Flight Track
– voler sous le plancher radar ;
– en cas de détection, engager l’affrontement immédiatement ;
– n’accorder à l’affrontement que quelques secondes, rompre le combat ;
– quitter le théâtre des opérations sans délai ;
– ne laisser aucune trace visible ;
– décréter la fin de la mission.