Le soleil, la vie, l’amour, les petits enfants et Daniel. www.youtube.com/watch?v=dMYjCINcH9g
Groau…
L’homme à la tête de chat fréquente une femme et l’amante de celle ci. Ils sont bons amis. Il fait ronron.
Collocation 101 : le ménage, toujours nus, partager les munitions, les vivres, les amant-e-s, un seul lit, se sourire, et la révolution.
Et je marche dans les rues qui de donnent (et la pluie et la nuit).
Dans la remise, Carver et l’homme à la tête de chat réparent le vélo, atomique.
Et depuis 50 minutes et pour encore 10 minutes (heure de la fuckin’ métropole) les animaux peuvent parler. Profitez-en.
Il ne faut pas longtemps pour perdre le fil de notre pensée, pour s’égarer et ne plus considérer la recherche fondamentale comme la seule vraie vertu de notre univers foutraque et néanmoins plein d’amour. Je profite donc de cet espace de liberté pour tenter de vous avertir des dangers qui vous menacent si vous ne cherchez plus fondamentalement à, chaque seconde, dépasser les limites, en chine ou ailleurs, qui vous astreignent à ne concevoir votre normalité que comme un pis que pendre tout juste bon pour un saumon mort, sans plus, et encore. Alors moi je suis un chien… Alors moi je suis un chien ? ALORS MOI JE SUIS UN CHIEN ! …UN CHIEN ? Warf. |
Se toucher et/ou se retoucher (un mac brulant).
Are you in Tasmania? Have you seen stoned wallabies? Send us your comments using the form below. #karachigate #ccqmdt #opium
Entrepenu ?
Please do not reply to this message; it was sent from an unmonitored email address. This message is a service email. #hell
Qui est là ?
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
Igor et Nicolaï se retrouvent en zone neutre pour parler de la #vérité. On boit.
Zarathoustra répondit : «J’aime les hommes.»
Igor : « si un tigre hésite trop longtemps à prendre une décision, il s’endort ».
Expérience traumatique dans le métropolitain. Sous les fenêtres de l’ambassade, heureusement tout va bien. Couleurs. t.co/dMLNIVaL
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
bon à rien à cette heure, trop de fatigue, mais pas de mal.
bon à rien à sept heure, trop de fatigue, mais pas de mal.
demain on traque le maléfique et on recommence à bouquiner.
demain on reprend le rythme et on recommence à travailler.
je suis bien en ce moment, ça peut durer, on va tout faire pour.
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ne pas oublier de participer au barbecue théatral.
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peut-on rester femme et mère en prison ?
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lutter par le silence contre une petite pointe d’ironie.
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je vais à la cuisine chercher un couteau auto-aiguisé.
je vais à la cave chercher un biceps.
sortir une poêle, mettre un peu d’huile d’olive.
faire chauffer l’huile, bien bien chaude.
jeter le biceps, laisser griller,
un coup pile, un coup face.
quelques herbes
miam.
L’été, Carver partait chasser les dernières baleines bleues qui, cancéreuses, se précipitaient, chantantes, sur son harpon. #euthanasie
Enfin tu vois, quoi.
Mina : « Je suis froide et j’ai honte, limite, et cassée sur le plancher, vous êtes peu un en retard, je suis déjà déchirée, déchirée. »
Rencontrant Mina, le simple d’esprit sourd muet avait écrit sur son ardoise : « je mapel silence é je sui genti ». Coup de cœur immédiat.
Pendant tout le début du conflit, les enfants sont restés dans les ruines de l’hôtel. Le plus souvent dans la piscine. À jouer aux cadavres. Nus.
je me demande : pourquoi on fait ça ?
je me demande : pourquoi on lance ces petits messages ?
je me demande : pourquoi on poste ?
je me demande : pourquoi on s’illustre ainsi ?
je ne comprends vraiment pas : pourquoi on s’obstine ?
je te demande : à quoi ça sert ?
Je peux entendre ton cœur battre / posé dans le bidet / la pression éclabousse / un rouge profond et granuleux / ton cœur / le bidet. #hum
le récitant : mes parents étaient profs en Russie mais mon russe est rouillé alors je ne m’en vante pas. #fiction #russe #tourgueniev #panda
C’est une plaque tournante avec des ramifications internationales, particulièrement avec le Centre de Recherche Post-Dostoïevskien.
Endormi devant Transformers 3, au réveil, les grincheux t’infligent la double peine.
{ post conceptuel à retrouver ici – sorry faisait planter Blogger – shit}
La tête me tourne, je zieute alentour, hésite, la vallée ou le campement des hooligans mutants ? Les cyclopes font un excellent vin naturel.
Le cœur sur la main. t.co/OTP5XoXx
Mais avant, brunch avec Mina, Carver dans le cratère d’un volcan en éruption. L’homme à la tête de chat mangera des sardines, du thon.
This is Fucking brilliant ! bit.ly/AK3YE
AUTOEXEC.BAT
Dans les débris de la ville décapitée, une boite en acier nu. Au fond de la boîte, sous la sciure, l’espoir et un petit dragon en plastique.
We are Sex Bob-Omb and we are here to make you think about death and get sad and stuff.
Je me téléporte a l’arbre à lettres de Ledru vois pile Jou puis manipule du regard et par l’agitation intensive de mes mains l’ensemble. #bi
Et en face… C’est la côte anglaise. Mina enlève son pull. Sur le ferry, l’ambiance est vraiment pourrie. On balance les corps à la flotte.
Mina, Igor et Carver se livrent à l’ennemi. Une énigme pour tous.
C’est stupide mais : un tiens vaut mieux que deux tu l’auras.
… mardi… ou mercredi… ça va couper dans trois minutes… la fin du monde..? non, ils coupent le réseau et je vais en profiter pour aller marcher un peu au soleil… ça c’est une idée… ça va me faire du bien… le soleil, c’est bon comme anti-depresseur… je dois me presser, faire vite, écrire dans l’urgence, automatiquement : cutter, pince, poitrine, nains, légumes mutants, chinois et chinoise, Bourdieu, tamanoir. héhé, les moteurs vont en raffoler. bises, bonnes soirées…
Et, en pleine Exposition Universelle londonienne, le gang tourgueniste arrose son fish & chips à la meth, pas fier. On ne dort pas beaucoup.
comme sur un blog : hier soir
terminer tard, je passe sur le repas inexistant, cidre et pop’in puis vernissage comme si c’était 2003 continuer salons de l’hotel de ville danser mannequin silhouette chauve se faire rappeller à l’ordre. igor prend garde. se barrer marcher dans le marais à la recherche d’une soirée fantasmée avec jean-phil-yes, en attendant otto, sans résultat, se retrouver seul et marcher, chercher le garçon, P.A.Ris est sans taxis, de plus en plus froid, ta voix qui me soutient de loin en loin, échanger quelques mots avec le fantôme de villeret venu ramasser ses souvenirs soupe au choux avant de lever le camp définitivement. a deux on est moins seul, il semble regretter de partir si tôt mais bon il se dit que finalement il n’a pas vraiment raté sa vie et que ça aurait pu être pire. je souris au chauffeur de taxi qui m’écoute parler tout seul puis tu es là enfin.
D’un côté, sur le plateau, le couvercle du trou du souffleur est rangé à proximité dudit trou.
Personne. (faites un jet de SAN / étouffez la rumeur du monde si vous le ratez).
Salut les jeunes, je viens vous parler d’un truc grave :
la drogue. Oui, toi jeune, si tu prends de la drogue
tu risques de finir comme moi.
Hop.
Le chat et l’islandaise font naitre en moi divers sentiments. Dehors il neige toujours. Le volcan se réveille. Je vais ranger le… BAD WOLF
La nuit³, encore.
Absorbé conformément au mode d’emploi, Ubik procure un sommeil ininterrompu garanti sans torpeur matinale.
Zzz…
Rien est vrai ou Rien est faux. Ou Tout est vrai ou Tout est faux. Ou les deux. Ou pas. Ou on s’en fout. Ou c’est gris. Ou rose pâle. Rayé.
La Fédération des Tourguenistes Informels vous souhaite de bonnes fêtes révolutionnaires zé molletonnées.
I want to be straight, I want to be straight
I’m sick and tired of taking drugs and staying up late.
I wanna confirm, I wanna conform
I wanna be safe and I wanna be snug and I wanna be warm
I want to be straight, I want to be straight
I wanna create a place of my own in the welfare state
Brr, gonna be good, brr, gonna be kind
It might be a wrench but think of the stench I’m leaving behind
I want to be straight, I want to be straight
Come out of the cold and do what I’m told and don’t deviate
I wanna give, I wanna give, I wanna give my consent
I’m learning to hate all the things that were great when I used to be… bent!
I want to be straight, I want to be straight
I’m sick and tired of taking drugs and staying up late
I know that you’re right, I know I was wrong
So thanks very much, please keep in touch, I’ll be rhyming along
si loin de tout et de tout ça
je me demande si je dois
me demander des précisions
quant à mes projets futurs
concernant les enfants
que nous pourrions
avoir toi et moi.
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oneko week
thx miss C.
C’est la nuit.
Un mail à l’instant : « je m’appelle thomas, Ballard croit à la douceur du bistouri et à la géométrie sans limite de l’écran de cinéma »
Carver, héros d’une dramatique télévisuelle, de fascicules brochés, se sentait, à l’aise, à l’@udobar. t.co/XANG8owt
Mal à la tête. Baissez la lumière.
Sujet : « au réveil votre main favorite a disparu, racontez en 140 caractères, hoho ! Pas facile de taper votre texte sans une main. Haha ! »
Avant l’aube, le chat est capturé. Retour à toi.
Mina : ἐπηρώτησεν δὲ αὐτὸν ὁ Ἰησοῦς· τί σοι ὄνομα ἐστιν; ὁ δὲ εἶπεν· λεγιών, ὅτι εἰσῆλθεν δαιμόνια πολλὰ εἰς αὐτόν. Hum…
little trip to Hypol for buzz l’éclair.
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Hurg…
Mal à la tête ce matin
Très bonne soirée
Merci à Chloé pour le lancement
Jolis sourires de tout côtés
Bon accueil chez Gallimard
Petit happening soufflette dans les salons
Jolis sourires de tout côtés (bis)
J’espère ne pas avoir trop agressé Dantex
Qui ressemble à un bisounours
Et pas à un vilain nazi
Lui proposer de participer à Tourgueniev ?
Bien bu et l’éclair pète sur les photos
Tout à coup descente du métro
Séparation d’avec les « aux bons amis«
Puis une cave dansante puis retour…
Je ne sais pas comment
En taxi je pense
Omelette tardive à la purée de carottes
Dodo et gueule cassée
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παραδεικνύναι : j’ouvre les yeux grumeleux de Carver à la pince à clous et j’officie à la cuiller pour retirer la matière morte, plainte.
Je suis l’ami des enfants
je vais marcher au bord de la mer ce soir et peut-être demain si le temps est ok si je rencontre une fille je vais essayer de la faire venir chez moi et de lui faire ouvrir la bouche pour mettre ma langue dedans et si elle est ok continuer à la séduire pour ensuite me marier avec elle puis avoir des enfants pour ensuite les manger sauf si par hasard un de mes fils est lui aussi un ogre sans parler de la possibilité infime de la petite ogresse.
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On me signale à l’oreille que c’est la journée mondiale de l’orgasme, l’anniversaire de ma mère et le début de l’hiver.
Pour quitter le bunker : pressez le bouton rouge, énorme, puis attendez la fin des explosions, puis celle de l’hiver nucléaire, puis sortez.
Le mardi matin, je vais au jardin chercher un os pour parfumer la soupe du déjeuner. C’est important le parfum. J’aime le mardi, c’est bien.
Igor aimait les dirigeables, un dirigeable dans le ciel, c’était déjà un signe d’uchronie, de dystopie ou d’utopie. Avant l’Accident.
On brule les effigies de La Licorne Rose Invisible à Varsovie. Les serviteurs de L’Huitre Violette (of Doom) défilent, briquets en l’air.
La Reine Blanche : Le Gros Coco l’a entendu, lui aussi. Il est venu à la porte un tire-bouchon à la main…
Je rêve d’un duel avec toi.
N’envoyez pas aux gens, de grandes quantités d’information non demandée.
Place de la République, nos amis avisent un petit homme naïf qui s’époumone, fier, on est mercredi, dans quelques jours, l’hiver nucléaire.
Suis vivant, dans une ferme près de la centrale électrique, avec winchester, pistolet, hachette, carte, montre, munitions et de la bouffe.
Douleur à la poitrine coté gauche qui se prolonge, mal à la toux. Mina pense que la vieille blessure indienne, la balle perdue, s’agite.
La tournée se termine, Minnesota, plutôt un succès. Le groupe est dans la salle de bain. Allongé sur le lit, je compte le fric. Détonation.
Au village on gardait la virginité pour les grandes occasions. Collectionner les oreilles, c’était, à ce moment là, d’un coup, un peu vain.
Il va également falloir qu’Air France explique pourquoi la jeune femme au premier plan a des menottes aux poignets. #lost #segolene #af447
Les néons clignotants, les murs suintants, graisseux, l’air goût recyclage, les cafards volants massifs, on est lundi. Igor baisse la tête, Carver se blottit, tout contre, leurs doigts s’effleurent. Mina, déjà ivre, prépare un mauvais coup, du genre politique, et nucléaire. Boum.
Igor : Stylnox à gogo.
L’Avant P.A.R.I.S d’Igor…
« Assis à la table du fond depuis 18h avec quelques amis, Igor picole, morose et achève les dernières réserves de bière amassées pendant les happy hours.
A ses côtés ses compagnons se laissent aller mollement sur la table et rient distraitement aux blagues de chacun. Igor laisse son regard errer parmi les clients agglutinés autour de la table…
L’habituelle faune: suédois, américains, anglais des deux sexes, se pressant les uns contres les autres, quelques parisiens comme égarés.
Assis par terre, presque piétiné par la foule, un petit homme à manteau vert, en train de se faire une ligne de poudre rose avec une paille dorée. Un peu de temps passe…
Igor est de plus en plus embrouillé, ses amis sont partis, des gens assis autour de lui, les cafards de plus en plus près, de plus en plus gros.
Un ange passe, un homme immense à l’accent slave s’assoit à la droite de Igor, il sort une flûte de champagne de sa cape et la propose à la jeune fille rousse (Charlie ?) à sa droite.
Elle retrousse un peu sa jupe (on aperçoit le haut de ses bas), sourit à l’homme et accepte la flûte.
L’homme extrait à présent de sa cape une bouteille de champagne, un singe et d’autres coupes qu’il distribue alentours.
Igor en reçoit une et le petit gars en vert aussi, il est maintenant assis sur le genou gauche de Igor qui s’en aperçoit à peine.
Un ange passe, un coup de feu au bout du pub, une bousculade, le mort est vite déchiré par le public affamé.
Le petit homme vert continue à sniffer, une poudre jaune…
La table est pleine maintenant d’objets surgis de la cape du comte.
Sous la table un couple de nanas s’agite, la plus grande essayant de ligoter la plus petite (une finlandaise aux cheveux aile de corbeau… Charlie ?) avec la bretelle de son soutien-gorge à fleur…
L’absinthe coule à flot dans le pub, tout le monde a les pieds mouillés…
La fumée devient de plus en plus épaisse et bleue.
De sombres oiseaux et quelques cafards (plus de deux mètres d’envergure) volettent çà et là en heurtant le public aveuglé.
Igor dodeline de la tète, sa flûte est vide, il se penche et la remplit d’absinthe…
Deux grands allemands blonds en short debout sur le pub se fracassent la tète à coup de hache; voluptueusement les spectateurs trempent les tranches de l’énorme gâteau flottant, qui s’avance doucement vers la table de Igor, dans le sang qui gicle partout…
Igor, qui, justement, fouillant ses poches pour trouver des thunes à claquer tombe sur le petit pistolet noir à silencieux.
Une patte de cafard le heurte à l’oeil, il sort le flingue…
Charlie vient d’apparaître dans la fumée, elle a l’air un peu perdue et lasse, elle porte son habituelle robe blanche immaculé qui la rend si belle.
…
Bang ! Dans l’oeil du nain vert…
Bang et rebang ! Dans le front du comte et dans sa cape…
Bang pour un cafard !
…
Igor se lève et marche vers Charlie… Il explose la tète du barman d’un tir courbe en croissant de lune le long du plafond, vise un des allemands et le manque: plus de tète déjà.
Elle semble le reconnaître et lui fait un demi-sourire.
Un allemand (Grishka ?) tente de fendre le crâne à Igor qui esquive péniblement la hache qui le frappe. Le cadavre du nain sniffeur, accroché à sa jambe droite tente de le retenir…
Igor dégaine sa Gattling et mitraille à gauche, à droite, faisant exploser tètes, bras et idées noires.
Plus de munitions, il se débarasse de son arme sur le pied du gros allemand qui part en hurlant les chants de Maldoror.
Charlie dans les bras de Igor… Un ange passe, Igor le vise et l’abat avec son petit pistolet.
Igor entraîne sa compagne vers l’extérieur, en évitant table qui volent, cafards et lévriers ainsi que le public surexcité et les larmes aux yeux.
…
Dehors Nicolaï attend patiemment au volant de la Tourguy-mobile le retour de son frêre.
Déjà il arrose la façade du bâtiment de torpilles au napalm.
…
A l’intérieur la foule est en transe, hurlements, chants, danses, viols et meurtres gratuits se succèdent à un rythme frénétique, un seuil sur l’enfer est ouvert et les démons envahissent le pub; Bizarrement ils paraissent bien tristes et moroses dans l’ambiance pyrotechnique qui règne dans le pub.
A l’aide d’un grand fouet, Igor finit de se dégager un passage et atteint la sortie, là résolvant rapidement l’épreuve du sphinx, il surgit à l’extérieur avec Charlie à son bras.
Nicolaï achève de détruire le bâtiment à coup de missiles sol-sol pendant que nous entrons précipitamment dans la grosse voiture.
…
Je serre Charlie, elle essuie une larme et se pelotonne contre moi. La voiture prend de la vitesse et s’envole vers la base lunaire.«