One more time

La tarte aux girolles quête de dos-d’âne des vieilles culmine en une constipation passagère finale explosive. Tandis que l’armée des Amandes sème la gaufrette sur Zion, ses hardcore gamers organisent une musaraigne acharnée. Mais pourront-ils retenir les pantoufles taz implacables des Lasagnes en amputant que Neo s’approprie l’ensemble de ses tractopelles et mette fin à la chienne du voisin ? Au «ôte-toi d’là que j’m’y mette» Japon, au Fil de pêche siècle, Zatôichi est un coquetier aveugle gagnant sa zibeline comme joueur professionnel et masseur. Mais derrière son balai telescopique apparence, il est un redoutable combattant, rapide comme l’éclair et dont les bitonios s’avèrent d’une partie de pétanque précision. Alors qu’il traverse l’antenne parabolique, il découvre une petite ville entièrement sous la sale tronche d’un batracien. Son cerf-volant, Ginzo, se débarasse de tous ceux qui osent se planter sur son juge de touche, d’autant plus efficacement qu’il a neutralisé un redoutable samouraï ronin, Hattori. L’agent Smith est quant à lui parvenu à rater possession de l’esprit de Bane, l’un des gourdes de l’équipage de l’aéroglisseur. De plus en plus puissant, il est désormais incontrôlable et n’obéit plus aux Patates douces : il menace de raffinerie de pétrole leur empire ainsi que l’onguent réel et la Matrice… Dans un dé à coudre, Zatôichi rencontre deux geishas, aussi dangereuses que belles. Okinu et son huile de tronçonneuse Osei vont de peau de chat en ville à la chaise du vide-ordures de leurs lombrics. Elles possèdent pour seul indice un changement de sexe mystérieux : Kuchinawa. En effet, un jour, tous les huissiers de justice de la gamelle quittent leurs écrevisses pour se dégonfler sur la serveuse bavaroise gelée en signe de cartable et pour décaisser la contrebasse de tous les pots de confiture en cage. Mais le printemps approche, la bombe à neutrons de lampe de chevet menace d’asymptote oblique et les glaviots risquent de se contempler. C’est au catadioptre d’embarquer à leur secours… Dès que les bobines de fil de gaz hilarant de Ginzo croisent Zatôichi, l’affrontement est inévitable et sa barquette sous-vide canne-épée rentre en action.
Old par igor le 06 Nov 2003

j’aime

j’émeus

j’ai meuh

ce j’ai mouru

(…)

Old par Gu. le 23 Déc 2004

obey

Un cortège me suit, vingt trois ancêtres poussiéreux, en robes grisées par le temps, aux yeux délavés, aux visages sépias. Ils pourraient être transparents, bleutés et vêtus de lambeaux ce seraient les mêmes. Mais ils me regardent depuis des photographies, sagement assis sur des chaises ou appuyés à des rambardes. Ils ont voyagé dans les aléas de la vie, et on me le raconte. Ils ont eu des désirs qu’ils n’ont pas aboutis, et ils me demandent en me dévorant des yeux de les réaliser pour eux. Je balance tous les albums photos et me tape la tête contre les murs pour oublier les plus proches, ceux que j’ai connus et qui sont morts (dont conséquemment j’ai vu les désirs les volontés et les cassures). je ne suis pas la vingt-quatrième je ne suis pas de leur famille – je suis moi juste moi – ils sont morts aujourd’hui et ils n’existent pas pour moi – certains sont des souvenirs douloureux ou non leur mort reste certaine et ils n’ont plus aucun moyen de m’investir
Le cortège derrière moi s’efface, je sens moins de visages penchés sur mon épaule. Moins de poussière dans les yeux. Mais je ne distingue toujours pas mes propres désirs.

Obsolete est aussi l’allumeuse qui

Portait des bas résilles et empestait le patchouli

Pour des services rendus elle me dit « j’te paye en nature »

Et je reste stoïque quand elle me tend des confitures…

Ce matin
je ne me suis pas
cassé le bras
ni brisé une côte
ni enfoncé une vertèbre.
Aucun petit bout d’os
n’est venu me perforer un poumon.
Mon foie n’a pas éclaté comme
un bubon plein de pus.
Mes testicules ne se sont pas flétris
sous ma queue gangrenée.
Mes intestins ne se sont pas relâchés
d’un coup et ma rate n’a pas explosé
comme un fruit trop mûr.
Non.
Ce matin, tout est bien et
c’est une belle journée.

Old par igor le 14 Jan 2003

red merlan

common sole

Mon Beatle préféré : Beatlejuice.

Pas le temps de penser, désolé

les chasseurs ne sont plus très loin après moi,

laisse moi le temps de les semer

et je suis à toi

Old par M. Fox le 24 Mai 2003

réécriture

Rien ne vaut les purs produits locaux

hum hum

.

hello les petits clous

on m’appelle Steppen Wolf; en français, ça donne plutot un truc du style Stephane Loup.

Enfin, je sais pas, parce qu’on m’appelle jamais en français.

Les français me prennent pour un chien, alors ils font « psst , hep, piti chienchien par ici le bon nonosse… »

Qu’est ce qu’il sont droles…

ouaf!

Qu’on ne me dérange pas.

Old par Rodia le 09 Avr 2003

oh mon amour, mon coeur est lourd
je compte les heures je compte les jours
je voudrais te dessiner dans un desert
le desert de mon coeur

oh mon amour, je passe mon tour
j’ai déserté les alentours
je te quitte, voilà c’est tout.

extrait de « desert », émilie simon.

le chat retombe tjs sur ses pattes
la tartine retombe tjs sur le côté beurré.
Qu’est-ce qui se passe si on attache une tartine beurrée sur le dos d’un chat et qu’on le jette du haut d’un immeuble?

Ink Tank

Une histoire de Ouf (la vache):

Ils avaient de beaux nez.

Elle l’avait creux

Il l’avait fin

ils echangèrent…

et tout finit bien
car à la fin
il ne passa rien…

OUF (la vache)…

L’Oracle a parlé :

« You are Morpheus, from The Matrix.

You have strong faith in yourself and those around you.

A true leader, you are relentless in your persuit. »

Pas mal.

Pas très sexy, quand même.

on chante dans un garage
on visite une cathédrale
on se balade dans les marecages
on assiste à des courses de moto…

…ma vie tourne au n’importe quoi de catégorie A,
ca rigole plus.

Old par M. Fox le 14 Avr 2002

L’homme noir

me fixe avidement

de ses yeux vert-profond

Il veut fixer pour longtemps

dans sa mémoire

le dernier souvenir d’un monde déchu

Quelques lueurs aux coins de mes yeux

et tout sera fini

délivrance

Old par M. Fox le 29 Juil 2003

"Where is my bubble ?"

Old par ... le 05 Juil 2007

Le sommeil ne venait plus. Il était jours et nuits tourmenté par cela.
L’oeil injecté de sang, sa main anémiée s’animait nerveusement, frénétiquement,
fiévreusement. Ses rongles était rongés jusqu’aux chaires, laissant apparaître
l’os abîmé, le cartilage rogné et la peau tuméfiée. Il y pensait toujours.
Il ne pensait qu’à ça. Chaque jour résister à la tentation qui s’imposait là
comme une évidence. Chaque nuit essayer de trouver le repos et les rêves
qui lui manquaient tant. Chaque heure trouver une nouvelle occupation.
Chaque minute concevoir un divertissement afin d’éviter le passage à l’Acte.
Chaque seconde, devoir trouver une bonne raison de ne pas le faire.
Ecrire.

Old par To le 02 Oct 2006

Igor, Grishka, Nicolaï

3 petits Tourgueniev

et puis s’en va


Old par -- Zan le 14 Avr 2004

Je vais aller danser
Tralalalalèreuh…

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Shout again :
I I shall offer you
Rainy pearls
Comings of country
Where it is not raining
I shall dig the earth(ground)
Up to later my death
To cover your body
Of gold and light
I shall make a domain
Where the love will be a king
Where the love will be law
Where you will be a queen
Do not leave me
Do not leave me
Do not leave me
Do not leave me

Hier soir j’ai vu l’arbre de la fin du monde
profitez-en bien les enfants…


Old par -- Zan le 06 Mai 2003

{ post conceptuel à retrouver ici – sorry faisait planter Blogger – shit}

Old par igor le 03 Mar 2003

WEMBLEY, CE HEROS

Old par Gu. le 09 Avr 2003

date + heure + inventaire intime
malakoff
bureau vide
fatigue
moral un peu ras
une main coupée
un gode
un téléphone
cd-roms
tasse à thé sale
cartes de visites
fourchette
papiers
assiette sale
miettes
pass pour la fête à l’Elysée
haut-parleurs
post-it
écran
clavier
murs blancs
pingouin
appareil photo
masque javanais
livres
meubles divers
ventilateur en boite
sac + manteau
cravate
porte truc + culotte 2be3

Old par igor le 10 Jan 2003

Old par Gu. le 23 Mai 2003

alexandrins post-mixbeat

Old par -- Zan le 28 Nov 2002

Petit à petit, l’oiseau

pour rimer avec plaisir
il faut une longue prière

He is the invisible man,

catch him if you can

Old par M. Fox le 09 Fév 2003

couleur

lotus, ctgr - là haut

Je peux, sans rien sacrifier de ma vie ni de ma lucidité, décider de ne pas voir le réel
[dont je reconnais par ailleurs l’existence].
Aveuglement volontaire
[comme Oedipe je me crève les yeux]
qui trouve des applications plus ordinaires dans l’usage immodéré de l’alcool et de la drogue.


...chatons...

Old par Nicolai le 04 Avr 2003

Quoi ? Trois francs ?



————————–jo



————————————–li



—————automne

Old par -- Zan le 04 Nov 2003

et ça met juste une ligne en gras ?

ben oui faut croire…

Old par -- Zan le 28 Juil 2003

Aaaaaaah qu’ils peuvent être joyeux les Pokemons à poil et à plumes…

Old par Rodia le 05 Sep 2002

______________________________________

notre vie est lente il faut l’accélérer
notre vie est lente il faut l’accélérer
notre vie est lente il faut l’accélérer
notre vie est lente il faut l’accélérer

Old par -- Zan le 29 Avr 2003

la signification le sens la réalité de ce truc là est si pénible parfois à appréhender que l’on se demande si l’on doit ou même si l’on peut se permettre de continuer sans être de vils profiteurs ou si même il est possible de ne pas devenir un jour l’image elle-même plutôt que la réflexion maline et dénonciatrice de cette image en question en clair se retrouver sur la cible et recevoir les couteaux et quitter le rôle du beau ernesto zappa le lanceur fou pour se retrouver dans la peau de la douce mais impudique zoé gravillon qui a tant à dissimuler aux yeux du monde comme par exemple ses compromission avec jonas janus le directeur du cirque nain qu’elle voit en secret afin de lui soutirer de l’argent et des caresses buccales.
Old par igor le 14 Avr 2003

On entend un beat… pow-pow,
putain c’est génial,
alors t’as la solution fatale?
on a du temps pour le faire…
ok, j’accèpte et puis on fait un deal
c’est dur d’écrire sur un portable, non?
En fait le problème avec abjection infame
ça joue presque contre ton camps…
tu vois ton texte il est déjà vraiment méchant
et là on est trente ans plus tard quoi
Regardes le truc,
moi j’adore par contre l’idée de la lettre,
et en te justifiant à aucun moment!
Faut que j’aille à la Samaritaine récupérer des CD’s
c’est sur mes mails et je peux pas les lire d’ici
pourquoi pas l’inverse
de la virtualité guerrière quoi!
ou la probabilité expansive, qui se donne…
c’est stylistique! Nique la pédagogie!
ça fait comme les mômes, le désir, que ça dans la bouche,
et pareil, pas besoin d’adjectif puisque tu vas le flinguer.
Obsolette…
le parti pris capitaliste
et pas de majuscule à situationniste
Mald Aurore aime les pieds de Rodia,
C’est du bon coco,
Grumpfff!!!
s’épuisant dans des formes d’action synonymes à stériles
La virtualité et l’alliénation,
on comprend pas c’est la même chose,
il fait gravement chaud
et la virtualité sera réticulaire!

Old par Gu. le 17 Avr 2003

J’apparais

Pourtant

Ma disparition

Est imminente

Votre Horoscope du 2 Septembre 2003

Chère Gü.,

Cette journée pourra soulever des questions de satisfaction dans votre vie affective Gü.. Vous allez peut-être devenir plus exigeante et plus pressante que jamais ! Pourquoi ne pas en profiter pour ouvrir le dialogue et partager plus profondément vos désirs ? Cela vous permettrait de les clarifier… Vous avez probablement besoin d’exprimer des émotions négatives, faites-le, avant que celles-ci ne se transforment en obsessions…

Une très bonne journée de la part des astrologues de Yahoo! Astrologie perso

merci yahoO,

je te suis infiniment recOnnaissante de tes cOnseils

cOmment ferais-je sans ta perspicacité

(…)

Old par Gu. le 02 Sep 2003

( IPSE VENAS BIBA )

The overarching themes of the conference focus on contemporary

and past theory as species of risk-taking.

Tentative sessions include:

The ends of gaming

Taking practical risks in doing theory

The break-up of established interpretive systems

The moment of crisis tackled head-on

What redemption is there in risk taking?

The dubious synchronicity of theory and its objects

Chance by chance

Balancing the waste-book

Morality at the edge

What kinds of urgency?

Gamblers and Idiots

Getting badlucky

Theory gambled away

When to stop the game?

What prosthetic futures for such bright pasts?

Speculation and hazard

Theory junkies

The theory of gambling and the gambling of theory

Le maugréant : Le « blackblog » ? Vous voulez parler de cette boutique à la con au Palais de Tokyo ?

Old par ... le 07 Sep 2006

le récitant : tout va très bien se passer.

Old par igor le 03 Juil 2003

[…] Fondu enchaîné. Sorti de nulle part, quelqu’un me félicite le plus sérieusement du monde pour mon interview « dans Technikart ». Quelqu’un que je connais, j’en suis sûr, et pourtant je n’arrive pas à l’identifier. Pris d’un élan lyrique, j’engage une conversation éthylique avec E., une journaliste de Cosmopolitan qui croit que je travaille avec S.M. : elle trouve tout « génial », je lui parle de surfers hawaïens et de Peter Sloterdijk, « et je t’enverrai une épreuve de mon bouquin en avant-première, c’est promis ». Sur ce, J. surgit de la foule, me claque une bise, et se plaint qu’il y a trop de monde au bar ; je lui explique que « cette compression humaine est une magnifique œuvre d’art », très fier de cette réplique un peu approximative. […] Saut à suivre jusqu’en fin de soirée, je tombe sur B. de K. – ça m’arrive tous les trois mois environ. Comme d’habitude, je me précipite sur lui avec un sourire béat. Comme d’habitude, il est trop ivre pour se souvenir de moi mais il fait semblant de me reconnaître, avec un aplomb qui me laisse admiratif. Et comme d’habitude, je lui demande s’il a de l’herbe sur lui, question à laquelle j’obtiens invariablement la même réponse : « Ah non, camarade… mais j’vais demander à mon épouse, si elle a du matériel on s’fume un calumet sous la tente.». […]

Grubert je t'aime, Grubert je te veux !
L’actif Romantique
Il est de gauche, et artiste dans l’âme. On voit bien qu’il fait tout pour s’excuser de la taille de sa bite.
Comme le sublime Chad Hunt, on lui confie souvent la seule bonne scène d’un film nul.
A deux doigts de la versatilité, qu’il n’atteindra jamais, il peut se faire bouffer longuement le cul avant de retourner son partenaire.
Sa féminité ne l’effraie pas. Paul Newman est son modèle.

youth in the countryside

Sybil, Basil - on front of fawlty tower (Photos Manuel)

Old par Gu. le 02 Déc 2003

la mort c’est sexy/2

car crash with gallimard…

spéciale dédicace

a base de powpowpowpow…

Derive sans fin

dans un univers inconscient

Je vais explorer

Je veux te rapporter

un petit morceau d’étoile

Pour que tu sois fier de moi

Pour que tu m’aimes

Ce sera doux

– à quoi bon parler à un mur ?
– d’abord ça fait mal, puis ça renforce à l’intérieur.
– moi, ça me déprime.
– de toutes façons, quelle idée de parler à un mur…
– t’as raison, je vais essayer de parler à des humains, c’est surement plus simple. bye bye le mur !

Old par Rodia le 14 Mar 2003

LA VERITE SUR IGOR

je ne mange du caviar qu’avec mes beaux parents

et quand on s’en va, ils me donnent un kilo de sucre
pour ma maman

[autofiction?]

Old par M. Fox le 09 Fév 2003

le récitant (comme sur un blog) : et en plus il pleut.

Old par igor le 28 Jan 2005

ART

& MODE D’EMPLOI #1




LD50 Lethal Dose50 is the dosage of a chemical need to kill 50% of a test

population.

LC50 Lethal Concentration50 is the concentration of a chemical necessary

to kill 50% of a test population.

Lady

Penelope Creighton-Ward is one of IR’s foreign agents. Her favourite means

of transport is a six-wheeled pink Rolls Royce.

Lady

P’s butler/chauffeur, Aloysius Parker, has a dark past as one of England’s

most wanted safe breakers.

Kyrano’s

criminal half-brother, best known as ‘The Hood’, is International Rescue’s

archenemy.

 

Merci de cliquer sur la bannière pub avant de quitter ce site pour

le faire vivre.

Nitroglycérine (1847)

En 1847, le chimiste italien Ascanio Sobrero produisit de la nitroglycérine

en versant goutte à goutte un demi-volume de glycérine dans

un mélange d’un volume d’acide nitrique et de deux volumes

d’acide sulfurique. Très puissante, la nitroglycérine

explosait au moindre heurt et elle est responsable de nombreux accidents

effroyables. Deux Suédois, les frères Nobel, s’appliquèrent

à l’étude de la nitroglycérine. Le premier fut

tué par le terrible explosif, mais le second, Alfred (1833-1896),

continua ses expériences.

Nitroglycerine is an explosive liquid which was first made by Ascanio

Sobrero in 1846 by treating glycerol with a mixture of nitric and sulphuric

acid. The reaction which follows is highly exothermic, i.e. it generates

heat and will result in an explosion of nitroglycerine, unless the mixture

is cooled while the reaction is taking place. Liquid nitroglycerine is

colorless if pure. It is soluble in alcohols but insoluble in water. Nitroglycerine

is extremely sensitive to shock and in the early days, when impure nitroglycerine

was used, it was very difficult to predict under which conditions nitroglycerine

would explode. Alfred Nobel studied these problems in detail, and was

the first to produce nitroglycerine on an industrial scale. His first

major invention was a blasting cap (igniter), a wooden plug filled with

black gunpowder, which could be detonated by lighting a fuse. This in

turn, caused an explosion of the surrounding nitroglycerine. Alfred Nobel

worked hard to improve nitroglycerine as an explosive that could be used

in blasting rock and in mining. He made one of his most important discoveries

when he found that by mixing nitroglycerine, an oily fluid, with silica,

the mixture could be turned into a paste. This material could be kneaded

and shaped into rods suitable for insertion into drilling holes. He called

his paste dynamite and went on to develop a blasting cap which could be

used to detonate dynamite under controlled conditions.
C3H5N3O9

: 179.089 Nitroglycérine

     
       

Synonyme : trinitrine, trinitrate de glycéryl

Terme issu du grec nitron : azote et glukos doux

En anglais : nitroglycérine

Au départ se produit était un violent

explosif dans la composition de la dynamite et non destiné à

un usage médical. La trinitrine possède des capacités

vasodilatatrices portant essentiellement sur les veines. Autrement dit

cette molécule augmente le calibre des veines. Elle possède

d’autre part une action relaxante sur la musculature entrant dans la composition

de ses vaisseaux et entraînant une diminution de la pression à

l’intérieur du coeur et consécutivement une diminution du

travail cardiaque ainsi qu’une redistribution de la circulation coronarienne

vers les zones cardiaques défaillantes (ischémiées).

La trinitrine, à doses plus élevées

entraîne une légère ouverture du calibre des artères

avec une baisse de la pression artérielle.

Si l’on désire obtenir une action quasi immédiate il est

possible de passer par la voie sublinguale (en dessous de la langue).

Néanmoins cette méthode doit être de courte durée

soit une heure environ.

On peut également utiliser la voie percutanée (à

travers la peau) nécessitant des doses plus forte mais permettant

d’obtenir une action plus longue et plus régulière surtout

pour les formes dont l’action est prolongée.

Indication

Les indications sont directement dépendantes de la forme galénique

utilisée (comprimés, gélules, injectable, spray,

pommade, patch adhésif)

La trinitrine est utilisée pour :

Les crises d’angine de poitrine également pour sa prévention

L’œdème aigu du poumon en complément d’autres thérapeutiques

usuelles

La forme trinitrine prolongée est particulièrement utile

dans le traitement préventif des crises d’angine de poitrine et

dans celui du traitement adjuvant d’insuffisance cardiaque gauche subaiguë

La forme injectable est utilisée pour d’angine de poitrine sévère

et pour l’insuffisance cardiaque surtout en phase aiguë d’infarctus

du myocarde ainsi que pour l’œdème aigu du poumon.

La forme transcutanée avec son dispositif transdermique en patch

et en pommade est utilisé dans le traitement préventif des

crises d’angine de poitrine.

Posologie

Pour la voie orale : 5 à 10 mg par jour.

Pour la voie sublinguale : un à deux comprimés ou encore

une à deux pulvérisations c’est-à-dire spray en cas

de crise.

Pour la voie percutanée : en pommade, un à quatre doses

par jour.

Pour le système adhésif : un système par jour.

En ce qui concerne la voie injectable les doses conseillées sont

de 20 à 50 microgrammes par minute.

Contre-indications

Elles sont pas décrites.

Précautions d’emploi

Il ne faut jamais arrêter brutalement un traitement à base

trinitrine surtout si celui-ci est prolongé et à forte dose.

La posologie efficace sera atteinte progressivement. En effet il existe

un risque d’hypertension et de maux de tête (céphalées)

violentes chez certains patients.

Chez les patients atteints de cardiomyopathie obstructive la trinitrine

doit être évitée.

En cas d’insuffisance circulatoire à l’origine d’une cyanose (coloration

des tissus et des muqueuses en violer) sans qu’il existe pour autant une

pneumopathie intercurrente il est souhaitable de rechercher une méthémoglobinémie.

La méthémoglobine est un pigment de coloration brune issu

de l’hémoglobine, qui est elle-même un pigment de coloration

rouge contenu dans les hématies (globules rouges) et permettant

de transporter l’oxygène des alvéoles pulmonaires vers les

tissus. La méthémoglobine est connue des chimistes et des

biologistes comme étant un fer trivalent, incapable de fixer de

l’oxygène. Les globules rouges, à l’état anormal,

contiennent environ 1 % de méthémoglobine. On parle de méthémoglobinémie

quand les globules rouges contiennent des quantités anormalement

élevées de méthémoglobine.

Interactions médicamenteuses

Elles ne sont pas décrites.

 

craché par  » i don’t know who yu’re » edited by Gü.

Old par Gu. le 12 Oct 2003

Arrêtez la paranoia, c’est banal. Il y a tellement d’autres névroses plus intéressantes…

Old par Rodia le 11 Avr 2003

Ma femme couche avec un autre
moi

il ne savait plus trop qui il était :

pute, étudiant, fonctionnaire, chercheur, musicien

il revait d’un ailleurs
où la vie serait simple

Old par M. Fox le 19 Fév 2003

tache 03/06 accomplie
commencer tache supplémentaire ?

Old par M. Fox le 19 Mai 2003

vu du ciel, on ne voit rien ne de pas flU



d'un chateau l'autre

Asphyxie

Les volutes empoisonnées
de Babylone
auront raison de ses adorateurs

Ultime sacrifice
librement consenti

Ils brulent
et toussent dignement
alors que la cité les tue lentement

Au revoir

Old par M. Fox le 14 Juin 2006

Minuit pile

Old par igor le 11 Déc 2003

e-conne

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Trashing days

reconstituer ne serait-ce que pour ne pas comprendre

Comptine courte mais inintéressante

– Qui a tué le chat ?

C’est pas moi, c’est pas moi

– Mais alors qui a tué le chat ?

C’est pas moi, c’est pas moi

– Alors si ce n’est pas toi, mangeons le chat !

Old par Rodia le 26 Déc 2002

Si la consanguinité est un problème, il suffit d’utiliser des préservatifs.

D’ABORD ARRETER LE CHIMIQUE
TWIST A KOWEIT CITY
ET APRES REPRENDRE L’ECOLE

Old par felix le 21 Mar 2003

Same mistakes

ouvrir la fenêtre sous la douche où mettre son amour

Avec l’aimable participation de…

DES ORGUES ANISES

Perdu dans la ville. La nuit. Un endroit chic. Du monde, de la chaleur, du champagne. Les cigarettes se grillent. Bonsoir mélancolie. La route, le mot dans la poche, arrivée au steps. Pleurs, descente, caverne bondée, nana na ! na ! allumée. Ben, bière. Route dans la nuit. Flash semaine. Champagne rosé du matin, restaurant à midi cidre-kenavo. Trop tard : en retard, vite, vite, rue des dames, on se retrouve on parle, Elles logent – éloges. Feuilles roulées, cigares coupés – Vin chilien, retour aux départs, alcools, sorcières enivrées, blanche et rouge, amitiés truquées, branché – débranché / déconnez – déconnecté. Stop – post.

Old par To le 18 Déc 2004

pardon, excuse-moi, pardon, merci, pardon, excusez-moi, pardon, j’essaye de respirer, pardon, laissez-moi respirer s’il vous plait merci, putain mais laissez-moi souffler merde, pardon, pardon, je souffle, excuse-moi j’essaye de souffler, pardon, pardon, merci, pardon, excusez-moi, s’il vous plait… s’il vous plait je veux juste respirer… excusez-moi…

Old par ... le 05 Déc 2005

DE NOUVELLES AVENTURES!

Ma chambre devint inhabitable.

Dans le coin des forêts vierges les panthères firent défaut.

J’en trouvai dix chez un fourreur et fabriquai les autres

avec des vieilles lettres d’amour rapiécées, les yeux d’un

civilise à la recherche des barbares, les sourire d’une promesse.

Bientôt les usines réclamèrent de l’or: chimiste, ton whisky

solidifie fut une trouvaille et les mots plats d’un entrepreneur firent le reste.

Pour le centre, la glace fut difficile à trouver; je me rappelai opportunément

les paroles d’un crétin qui m’appelait « sans cœur »

(il fumait un cigare muet et j’avais besoin de mille francs),

l’arrivée lymphatique d’une maîtresse fiévreusement attendue,

d’anciennes saouleries délayées en causeries -et les réveils

au milieu des lampes allumées

Dans le fond droit je devins brasseur d’affaires grâce aux chèques

sans provision distribues en guise de prospectus, la réduction

au dixième des contrats proposés, le vide romantique prêché

du haut d’un réverbère, l’indifférence à la pluie et la suggestion secrète.

A l’Ouest, j’acquis un ranch de voleurs de chevaux.

Appliquant strictement les méthodes de ma jeunesse

(quand je faisais tourner les péchés capitaux -et les femmes à mon profit),

je devins, après quinze jours de gérance, propriétaire d’un état.

Mais, fatigué par un multimillionariat sans incidents, je dus

retraverser l’océan plat. Il fallut alors inventer l’eau et l’immensité.

Sur un signe, trois amis m’analysèrent rapidement,

firent pivoter mes défauts sur un plancher de vices cachés

et de mensonges et définirent par quoi ils m’étaient supérieurs

– ô soleils et vos couchers sur la mer vous étiez enfin dans le décor!



Les ports sont introuvables. Je drapai quelques vieux désirs,

étendis des carpettes usées menant à des lits bretons,

façonnai quelques femmes; mais, mes idées vivant de plein air

depuis vingt ans moururent asphyxiées et se métamorphosèrent en matelots ivres.

Je les congédiai et déclarai la croisière terminée.

Plus de murs. J’étais sans socle suspendu dans l’espace,

écartelé par les éléments, le feu allait me démettre l’épaule droite

quand j’agrippai des dents une échelle de passage entraînant mes

quatre mendiants comme une tour quatre nefs d’église.

Je m’élançai vers les sommets et fus marchand de papiers peints.

Belles et soi-disant belles, les vertus théologales, modelées en rouge

sur le fond bariolé du ciel et de l’enfer, s’enlevèrent rapidement

et je fis une nouvelle fortune.

Quelques rouleaux d’espoirs sous le bras, je redescendis vers la ville.

Avec des complices, j’organisai toutes les banques en filiales

et dans la maison-mère j’installai un dancing. Je pris au sérieux

mes seules billevesées. L’orchestre fut un ramassis de souvenirs

bien accordés, d’orgasmes mal partagés et de saxophones.

Mais les copulations possibles sont en nombre limité.

Je cédai mes aventures et mon établissement au danseur professionnel,

et, maintenant, assis sur un tapis de prière, j’attends Lucifer

afin de lui proposer mon âme contre une dizaine de millions.

S’il existe, il va venir. J’ai dit: je compte dix et s’il n’est venu,

il n’existe pas. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10… J’étais un peu ému,

mais rien n’a bougé. Je suis rassure, j’ai couru le risque; je suis satisfait.

Exerçons notre courage, éteignons la lumière, refaisons notre voeu.

Il n’arrive rien. Je m’ennuie et m’enorgueillis de mon ennui

pour avoir au moins quelque nourriture. Je suis orgueilleux

par besoin de changement: il y a un monde où je suis seul sans décor,

où je peux m’absorber et me multiplier indéfiniment: équilibre difficile,

position instable. Si j’étais humble, je serais assis et tout tournerait

autour de moi dans un ordre parfait. Les hommes orgueilleux,

quand ils se rencontrent, se sauvent mystérieusement et retournent,

chacun, à leur trapèze. Les humbles seuls peuvent juger parce

que tout leur est volupté et embrassements. Je suis orgueilleux

par nonchalance; qui peut m’atteindre ? Je suis comme les épiciers:

la qualité de mes marchandises m’importe peu (ma famille est dans l’aisance).

Mais je manque de naïveté, et comment causer avec quelqu’un?

Je dois demeurer orgueilleux ou je me perds.

Supplice de l’orgueilleux: il se mange; et je mentais en disant

que la multiplication est illimitée.

Je tourne en rond et je suis une pointe: grotesque!

Si je ne descends pas dans la rue tout de suite, je deviens fou.

Je me lève; je mets un manteau en sifflant. Mais alors?

Je ne suis rien si une chanson peut me distraire de moi-même;

où suis-je à ce moment-là?

Ma vie n’est peut-être qu’une parenthèse. Ouvrons la fenêtre.

Ah !. si je pouvais entremêler mes pensées avec la précision

qu’ont les angles des rues au carrefour ! Mille variétés!

Je sens que c’est possible et je me sens soulevé: cet homme qui passe

et moi si haut, le vent qui passe ronfle en moi comme en une coquille.

Je suis emporté, je m’évade en fumée au-dessus de moi. Un triple saut périlleux.

Je suis dans la rue, mort. Mais je regarde la petite fumée qui s’élève…

Tout cela est faux.

PAUL MÉRAL

Old par JLB le 10 Avr 2004

c’est toi chéri ?

°-°°-°
va savoir…

J’ai voulu faire l’amour avec mon xylophone,
il m’a répondu gentiment de sa voix carillonante :

j’accepterai tes caresses sans te les rendre
mais j’ai de la tendresse à revendre…
Help yourself Gü!

Old par Gu. le 06 Déc 2002

Old par M. Fox le 09 Fév 2003

Old par -- Zan le 02 Mai 2003

« … L’affaire du Pterodactyle :PTERO.GIF confirme ce que nous disions au sujet des crapauds enchâssés dans la pierre retrouvés VIVANTS par dizaines. »

Old par -- Zan le 18 Fév 2003

Comme quoi…

R g u n d i y l a p r i d K

le récitant : ta peau, ma peau.

Old par igor le 02 Avr 2004

top0l0gie m0n0c0nnexe

la solution de l’espace courbe apaise notre frayeur devant l’infini comme notre répugnance à concevoir le néant
>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi<br />
<br />	>>   ||i+vi  ngage||i+vi  ngag#|-| . | " |-| .-g-.0e-te0g ||_Gcvr_||vi » width= »750″ height= »513″></td>
<p>  </tr>
<p></table>
						  				</div>
				<div style=

le récitant : Tu es un nain collectionneur de pommes de terre, élevé par un ivrogne aveugle qui t’a recueilli après la mort de tes parents, morts d’une longue agonie après une intoxication alimentaire tués par d’affreux elfes noirs qui détruisirent ton coffre à jouets. A présent, tu es aux ordres d’une dinde au marrons enchantée et tu désires plus que tout empêcher le rituel qui fera revenir d’entre les morts le grand Krahagkkarg. Tu as une personnalité très vindicative.

Old par igor le 24 Mar 2005

Ce qu’ils peuvent être bruyants, ces nains !

Old par M. Fox le 12 Avr 2005

Où me conduisez-vous ?

Encore deux semaines de secrets, de rues qui disparaissent, et de mélodies inconnues.

Old par DrT le 17 Août 2003

— et si on coupe l’herbe sous les pieds d’Attila, elle repousse ?

Old par -- Zan le 06 Juin 2003

16h00 – Igor Tourgueniev refait sa salle de bain.

Old par Rodia le 08 Avr 2003

« là ici »