La vie est intéressante. Pleine de folles surprises et de petits espoirs. Si doux. Et maintenant : la nuit.
Demons run when a good man goes to war. Night will fall and drown the sun when a good man goes to war. Friendship dies and true love lies.
Il y a des millions de minuscules bouts de verre très tranchants partout sur le sol du salon, blessures variées et nombreuses, ça déchire.
Je peux vous offrir bien plus que la vie éternelle. Je peux vous présenter une personne incroyable. Un homme à la tête de chat. Une faérie.
Le désert de glace, la cabane et le vieil homme. Les osselets, le destin, l’homme à la tête de chat consulte les oracles aveugles.
« Comprimer l’ombre » est adapté au moment où vous sentez chez votre adversaire l’intention de manoeuvrer.
Nul donc un-dispensable
le récitant : my love is a flower (just beginning to bloom).
la poste, la depression de fevrier, les accents, ce soir on va pendre le DJ, one more time, Je le regretterai sans doute, de cocktails subtils en filles dociles, le micro et sa mixette, panic, etc…
Mi-nuit contre l’homme pieuvre
donc : le festival se prolonge…
ce soir ici
demain 3ème étage de la tour eiffel,
dimanche ici et
lundi là pour l’apothéose finale.
Je suis le roi du pétrole.
We Shall Abovecome ! (dictons tourgueniste)
Mal à la tête. Baissez la lumière.
On se retrouvait dans le hall pour comparer nos expériences. Puis, après le tirage au sort, on remontait dans nos chambres. Changer de sexe.
Moloch in whom I sit lonely! Moloch in whom I dream angels! Crazy in Moloch! Cocksucker in Moloch! Lacklove and manless in Moloch! – itou
Jeudi matin, Oscar Berthelot se demande, gratte, retire, enfile, se dirige, se traîne, se déplace, discute, argumente, est. #oscar #être
Nous repartîmes à toute volée. J’eus le temps de percevoir le tonnerre des légions qui acclamaient leur chef…, puis tout s’évanouit…
Et comme pour chaque malheur vient un petit bonheur, ou pas : www.dailymotion.com/video/xgfzyo
Six belettes et du pain d’épice.
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Moi je crois que je vous suis tous.
Nicolai Tourgueniev épouse Charly B. ce jour, pleurez dans les dancings et les couvents, son cœur n’est plus à prendre. #ipad #ns #love
Ontologie granulaire : t.co/IrKWlFu7
J’ai fait un rêve. 4 lions sur une colline. Un des lions est bleu, avec sa télécommande il impose sa volonté aux 3 autres, en secret. Seul.
Etc.
Les pages jaunes sont en latin. Je ne comprends plus du tout le latin je crois. Le chat m’aide pour la traduction. Un étang, une chanson.
Mardi, Mina lève le voile. Igor ignore le danger. Carver, explicitement, est homme et femme. Dehors, il pleut.
Papa, pourquoi tu as mangé mes frites ?
Douces pensées. Aux losers. Aux amis.
Mercredi : C’est une belle journée, un truc stupéfiant !
You can turn this world around and bring back all of those happy days, Le froid tue la fillette qui n’a plus d’allumettes, holiday, oh yeah.
Cadet Rousselle fait des discours qui ne sont pas longs quand ils sont courts.
Juste avant l’aube, les sirènes. On commençait à s’y habituer. La bonne heure pour nourrir les félins, aveugles. Puis, un thé, vert et fumé.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
There is no cake.
Parfois.
33 coups à nouveau, forcément elle va rouler beaucoup moins bien maintenant. Accent de Bourvil. On va interrompre le match. De suite.
Mina à Igor : « ça commence. »
ah…
La Victoire du moment le plus jouissif revient donc aux Wampas, puisque Didier a déclaré :
« Les Wampas n’aiment pas Kyo et la variété pourrie » avant d’interpréter « Manu Chao ».
Igor écoute Electrelane. Mina assure la couverture médiatique. Carver est féministe pro-sexe. Etc…
Doctor. t.co/Uet0nwtp
On est pas dimanche ?
Hiver 1974, on fait un feu d’enfer pour éloigner les entités cosmiques malvenues. Chauffe Marcel. tweetphoto.com/36457694
Je suis la vieille folle aux chats qui habite la dernière maison sur la gauche. J’ai 123 amis félins. La voisine et moi sommes amoureuses.
Now at midnight all the agents and the superhuman crew come out and round up everyone that knows more than they do.
Un rêve très spectaculaire portant sur la lutte entre le bien et le mal, puis je prenais le métro avec @Monsieur_Poulpe et @salomettte .
Déjà vu.
Mina aimait les paysages proposés par les simulations des Enfants du Cube Z-Entropie. Tom Chaton et ses potes en animation saccadée. Noyés.
mardi
je me lève en retard
une douche rapide
encore une saloperie d’Oneko
je m’habille avec des restes
pas le temps de me raser
ça pousse la barbe
direction le métro
station Crimée
je descends les marches
croise un clochard borgne
il me fait le signe
je contre-signe comme je le dois
arrivée sur le quai
le métro s’éloigne
le clochard est là aussi
je sors Podium
un type sur l’autre quai porte un costume
c’est un costume de chef indien
un sosie de Sitting Bull
le métro arrive enfin
le clochard s’installe en face de moi
je surveille ses mains
elles sont fines et longues
à la station Riquet monte un homme
il est roux et possède 12 chiens
il dit se nommer Arthur
Arthur aime les chiens et la musique
je n’ai pas de monnaie
Arthur ne gagne rien avec moi
Opéra, je change
là, un homme me pousse sur la voie
le clochard, l’indien, Arthur ?
le métro me fauche
je rebondis 4 fois sur les rails
je brûle d’un feu bleuté
on coupe l’électricité, enfin
je compte les secondes
adieu
Et les yeux si ouverts. La nuit si lumineuse.
Je peux lire ton cœur : révolution !
Ligne dure du tourguenisme
Nicolaï : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon coco
Nicolaï : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon
Igor : coco
Nicolaï : oué
Igor : oué
Nicolaï : coco
Nicolaï : c’est bon
Igor : c’est bon
Nicolaï : coco
Nicolaï : je vais aller faire des courses
Nicolaï : coco
Igor : coco
Igor : oué c’est ça coco
Igor : les courses
Nicolaï : les courses coco
Igor : c’est bon
Igor : c’est bon les courses
Igor : coco
Nicolaï : les courses, c’est bon
Nicolaï : coco
Nicolaï : ça fait trois nuits que je dors 10h
Nicolaï : coco
Nicolaï : et ça
Nicolaï : c’est bon
Igor : oué
Igor : c’est bon ça coco
Igor : oué
Nicolaï : dormir coco
Nicolaï : c’est bon ça
Nicolaï : oué
Igor : oué
Igor : c’est bon
Igor : il parait coco
Igor : oué
Minuit presque
par mail :
Désignez quelques nouveaux tourguenistes Igor
et vous allez enfin devenir populaire
et puis écrivez plus nom de dieu si vous ne voulez pas que les lecteurs s’endorment
et puis ce n’est pas possible de tourner en rond à ce point
et ce n’est pas parce que la Maison du Bonheur que
et je ne suis pas un donneur de conseil en vain Igor
—
réponse :
Désignez et et et et et.
—
ping-pong :
D e e e e e
—
les vieux amis font aussi l’amour
ils ne rapellent pas…
les vieux amis il faut pas leur faire confiance
ce ne sont que des vieux amis.
J’avais un gant de baseball et un vélo. Ma mère jouait de la batterie à la cave. Père, en voyage chez M. Guthrie, nous aimait terrible. Fin.
मैं जावा के पास जाओ और मैं प्यार करता हूँ तुमसे प्यार करता हूँ कलंक!
Eliot ne cherche ni ne trouve.
Un jour, j’irai là-bas.
Carver : « Je suis le seul à te bien connaître, Igor ». cf @troudair et « Le moulin des supplices ». Italie, 1960, Giorgio Ferroni. #bis
Au minimum.
Alors je porte Deux masques. Zéro ambition. Une amie et Trois comparses. Et la nuit du passage. t.co/HoC02C1t
La Police de la Pensée, la Police Temporelle, logeaient sous la Piscine Rouvet. Mina envisage une action de sabotage, il y a trois semaines.
Et Igor, Mina, de danser.
Après le premier choc, sa mère à Igor : « Bali c’est joli, Capri c’est fini, Java c’est basta, Lombok c’est pas toc ».
Et comme toujours, tout ou presque sera invisible.
Et puis il y a Regis Robert (pour ne plus tout mélanger – support #Nolife) … www.dailymotion.com/video/x3pmhc
Pas mal le tweet de @matsta. Assez élégant. Gnark gnark.
Donc, il vivait seul, une grande maison sur 2 niveaux, style chalet, il a été Igor, moi, 17 ans, sans doute, sans certitude, chauve.
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Samedi 14 juin 2003 – 15h43
je pleure à gros sanglots silencieux, roulée en boule sur le lino de la cuisine où mes larmes tracent des sillons de propreté.
Merde. Je croyais que ça n’arrivait qu’aux autres. Merde merde MERDE.
Putain j’ai couché avec un mec qui a des magnets sur la porte de son frigo.
Ce matin
je ne me suis pas
cassé le bras
ni brisé une côte
ni enfoncé une vertèbre.
Aucun petit bout d’os
n’est venu me perforer un poumon.
Mon foie n’a pas éclaté comme
un bubon plein de pus.
Mes testicules ne se sont pas flétris
sous ma queue gangrenée.
Mes intestins ne se sont pas relâchés
d’un coup et ma rate n’a pas explosé
comme un fruit trop mûr.
Non.
Ce matin, tout est bien et
c’est une belle journée.
En ce moment, elle jeta les yeux autour d’elle, et vit Lorenzo et le duc qui avaient suivi don Ramirez. #ns
Vous comprenez, la tante de « I dont house the » avait enchanté dans le comédie l’autre génie que neveu.
Carver utilisait les phéromones marqueurs d’attaque de petits insectes tueurs pour se débarrasser des miliciens trop curieux. Affolement.
L’homme à la tête de chat enfin dévoilé. Du thon ! tweetphoto.com/42412627
Quelques minutes avant la pluie, l’air, gel cotonneux, brulant gorges et naseaux, le Général, ses pucelles papotent, en retard.
ouéééé soyons crétins vive la pub vive la tévé vive tek
à mort la prise de tète à mort l’éducation à mort l’école
à mort les pauvres ils ont qu’à être riches ou crevards
vive les tribus vive le réseau mais mort à la solidarité
les intellectuels au bucher, vive le minimum culturel
vive le savoir minimum, vive les states, vive dantec
vive l’alcool, vive nous, vive tralalalala….
Et les grands magasins, d’odeurs et de lumières, flammes et brulé, corps de mannequins carbonisés, peluches en larme, crépitantes.
Mina se demanderait longtemps encore si Carver n’était pas en fait une vaste fumisterie.
Raclure : Petite parcelle que l’on enlève d’un corps en le raclant. Fig : déchet.
Et le Prince, juste, je le déteste.
Le port de l’uniforme m’offre d’intéressantes opportunités de rencontres féminines. Carver ne me parle plus. Mes écrans sont tout puissants.
Explosions variées. Nocturnes.
Allons nous allonger.