mïchå£L dit : mon amant secret est l’ange aux pattes de velours.

Petit "poussez"

Hier encore j’ai épousseté ton ombre avec phil et sophie.

Sur le mur d’en face collés, il y avait ces trous bleus et les étoiles de ta mêre…

Coment vous dire ?
J’ai vu ce mur et tout de suite il m’a plu … alors avec ma tête j’ai commencé à taper dessus. D’abord très doucement pour chauffer un peu les muscles et les tissus, puis de plus en plus fort. Mais très progressivement. Au bout d’un quart d’heure il y avait à 175 cm sol une belle tache sanguinolente je ne sentais plus du tout les morceaux de ciment et de parpaing qui s’incrustaient dans mon front. J’avais juste un peu mal au cœur, mais ça, j’avais l’habitude.


Until under a pale grey sky
We shall arise… again.

Old par To le 03 Juil 2005

11h18 : Je ne sais pas quoi poster.

Old par Rodia le 17 Avr 2003

BALADE BLANCHE
ON SE RETROUVE PARFOIS DEVANT DES CHOIX TELLEMENT DECISIFS QU'ILS SONT INSURMONTABLES - ALORS COMME HAMLET - ET PARCE QUE NOUS SOMMES DES LACHES - NOUS RESTONS DANS UNE INDECISION PERPETUELLE ET OBLIGATOIREMENT DESTRUCTRICE - EST-CE VRAIMENT L'ACTION QUI EST PAYANTE ? - ET SI OUI - DOIT-ON - POUR DECIDER DE L'INDECIDABLE - TIRER A PILE OU FACE ? -


Bon anniversaire de la part d’Igor et Oneko

Old par igor le 27 Jan 2003

HELP !!!

Old par Gu. le 17 Mai 2003

quand?
Les ombres sur un ventre nu, tordu, rejeté en arrière, oublié puisque ses jambes ont été arrachées. Aurait-il crié si le cou n’avait été brisé d’un seul coup ?
Personne n’a rien entendu. Seules les ombres perdues sur ce ventre témoignent de ce qu’on ne saura décrire.
pourquoi ?
il aura été un gentil garçon, un fils de la terre. Il aura été celui-là –qui a travaillé–qui n’a pas travaillé– j’aurais pu l’aimer !
quand ?
de quoi se souvient-on finalement ? ni sa discrétion ni son cri emporté en même temps que sa tête. pourquoi lui a-t-on fait tant de mal ?
son sang en méritait-il un autre ? devrais-je mourir pour lui.
pourquoi ?
il avait attendu une fille, peut-être moi, allongé nu sur un matelas sale sur le sol dans un coin de pièce en carrelage. Y avait-il cette triste musique d’A. Pärt ou un silence encore plus triste ? la fille, peut-être moi, est venue. Je suis venue et je lui ai embrassé les genoux.
quand ?
ah… je ferme les yeux. maintenant je vois… je vois ce noir, et cette impossibilité de décoder les mouvements. la violence suspendue.
ils m’ont oubliée –regardez : j’ai encore du sang sur le poitrail.
pourquoi ?
je suis restée regarder ensuite. parce qu’ils sont partis. au milieu du désert le sang réunit les membres détachés. le vent emporte le sable. le sable ivre de sang est trop lourd. mais il l’emporte aussi. le reste reste là. il n’y a plus de sable. le désert n’est plus que la désolation de ces restes oubliés. Ai-je aimé ce corps ?

hamburger ou fellation?

06 61 63 58 84

besoin d'un ravalement ?

Old par Gu. le 09 Juin 2003

Tom, get your plane right on time.
I know your part’ll go fine.
Fly down to Mexico.
Da-n-da-da-n-da-n-da-da and here I am,
The only living boy in New York.

I get the news I need on the weather report.
I can gather all the news I need on the weather report.
Hey, I’ve got nothing to do today but smile.
Da-n-da-da-n-da-da-n-da-da here I am
The only living boy in New York

Half of the time we’re gone but we don’t know where,
And we don’t know where.

Tom, get your plane right on time.
I know you’ve been eager to fly now.
Hey let your honesty shine, shine, shine
Da-n-da-da-n-da-da-n-da-da
Like it shines on me
The only living boy in New York,
The only living boy in New York.

Old par igor le 24 Oct 2002

Né en 1818, Tourgueniev est élevé au monastère de Spasskoje. Il y connaît une éducation stricte et les rigueurs et monstruosités auxquelles donnait lieu l’institution du servage : malgré de nombreuses cicatrices laissées par le fouet des précepteurs orthodoxes, il garde un bon souvenir de la vie en contact avec la nature et proche du peuple. À quinze ans, il entre en pension à Moscou et continue ses études à Saint-Pétersbourg. Il rencontre Pouchkline et commence à écrire des notices techniques. Un long séjour à Berlin lui donne accès à la culture occidentale. De retour en Russie, il rencontre Pauline Viardot, la célèbre cantatrice sœur de la Malibran, et son mari ; il tombe éperdument amoureux de la jeune femme. Cet amour sera toléré par les jeunes époux et Tourgueniev admis dans le cercle familial. En 1847, Tourgueniev décide de quitter la Russie pour vivre auprès de Pauline Viardot. La publication des Récits d’un chasseur , réquisitoire implacable contre le servage, lui assure une toute première place parmi les écrivains russes. À la mort de sa mère en 1850, il devient propriétaire d’une grande fortune, mais il est retenu en exil sur son domaine. En 1856 seulement, il peut repartir en France, mais Pauline Viardot ne lui est plus favorable. Il devient mélancolique, se met à boire, voyage, rentre en Russie, continue à écrire récits et romans sur la vie russe et à s’adonner à sa passion première : les manuels et les notices techniques que sa connaissance du français, de l’allemand et du russe lui permettent de traduire avec un talent inégalé. Il se brouille avec les critiques de son pays et décide de s’installer définitivement à l’étranger en 1864, à Baden en Allemagne, près du domicile des Viardot. Il y fréquente une société brillante d’artistes et de techniciens. Il renoue avec Pauline Viardot, toujours délurée. La guerre de 1870 vient briser cet idylle, et l’écrivain reprend ses voyages avant de s’installer à Bougival, près de Paris, près du domaine des Viardot. Il se lie d’amitié avec Flaubert, Zola, les frères Goncourt. Sa gloire est désormais établie, il est élu vice-président au Congrès international de notices techniques en 1875, aux côtés de Gustave Eiffel, et reçu triomphalement lors d’un séjour en Russie où il retrouve avec émotion ses frères Igor et Nicolaï ainsi que sa petite soeur Dot. La création en 1879 d’Un mois à la campagne, écrite en 1850, est un énorme succès. Vieilli et malade, Tourgueniev meurt en 1883 à IKEA.


Old par M. Fox le 07 Juil 2003

I guess they aren’t tourguenists

Old par -- Zan le 14 Oct 2004

la pop, ce éros…

J’ai couru dans ma chambre pour terminer les réjouissances, tant pis, moi seule, mais à l’abri des regards. Cela je ne peux vous le raconter. Il faudrait pour cela que vous voyiez mes accessoires, qui sont exemplaires, et qui m’ont été ramenés par des mains amies de pays lointains. Ce que je peux vous dire c’est que ma couche en porte encore les traces, et que, paraît-il, certains couples cachés sous ma fenêtre pour se conter fleurettes m’ont entendue crier de contentement. Espérons que ce cri les aura aidés à être moins timides…


Happy World

happy world

Il……… …… ………… ……
…………………… …………………………ne………… ……………

…………… ………………… …………… ……………………… vise…………………
……………………………… aucune………………………… ………………………………

………… …………… ……………… …………cible………………… ………………………………

Mercredi : C’est une belle journée, un truc stupéfiant !

Old par igor le 21 Août 2002




un petit message d’amour pour ma valentine même si elle me trouve un peu cruche comme amoureux et que moi je fais ce que je peux pour lui plaire surtout quand on est tout nus et même si elle pense que je pense que c’est elle qui est cruche alors que non en fait je passe mon temps à être admiratif de son esprit.

Old par igor le 14 Fév 2004

Old par -- Zan le 31 Jan 2003

Il ne savait pas trop vraiment à quoi s’attacher

Il ne m’a pas tué avec ses griffes,
si c’est ce que tu veux savoir

il ne m’a pas tué avec ses dents non plus,
si ça peut te rassurer

il n’a fait que me regarder,
avec innocence

et mon coeur s’est arreté

Old par M. Fox le 15 Mai 2003

bingirl : Ah oué d’accord. En même temps, pendant que j’écrivais ça là, je viens de réaliser pourquoi l’autre exalté littéraire las bas dans son coin d’internet il me prend pour un homme, ça doit être quand je dis des trucs comme ça avec la bière, les jeux vidéos, encore un que ça doit dépasser. Trés claire impression de déja vu 20 fois ce genre de petite nature. Encore un qui a du mal avec les filles à cernes, ou celles qui parlent un nerd bien senti, avec les mains et tout, ça le fout mal à l’aise quand c’est pas son univers. Mais normal, si ton type c’est la gentillesse (voire la conasserie) de Garance Clavel dans `chacun cherche son chat`, moi c’est pas trop le mien du coup, puis au lieu de faire le malin avec tes trucs pas drôles à force qu’on dirait des blagues d’animateur de tf1, regarde la tronche de ta page un peu, on dirait un truc fais avec un vieux mac par un prof de philo de 29 ans qui a pas la notion de bande passante, je suis pas maniaque mais y a des limites sur la forme, bordel. Pour résumer, connard, qu’est ce que tu viens me faire chier là, tu peux pas rester dans ton putain de monde d’artistes surmenés, et moi dans le mien ?

igor : ok

Old par igor le 09 Avr 2003


Back in town babe !

Merci à tous pour le « show »
Je suis amoureux de vous

Vous êtes beaux

Sans jouer on ne peut pas gagner
Ni perdre (notez)

En ce beau dimanche d’août
Je vais boire un peu de vin blanc
A votre santé
Au bord du canal
(avec un ciel si bas qu’un canard s’est pendu, le bougre)

A varsovie à la fin de la guerre
Les bordels pédophiles n’étaient pas légion
Et les vautours bien nourris

Punch Drunk Love
For everybody

Old par igor le 09 Fév 2003

And now he’ll live (gAmEr)

Fetching in his dreams what he can’t get in real life
Wandering thru the realms of his distant hopes
The steel scent cuts like a knife while the silver glitering pods scope
(the joypads shake & tumble)
Sky-diving from the ever-changinq textured clouds to a daedelous lava maze,
he visits a 1000 worlds in (a mouse click).
Others are trying to destroy his world.
But he’ll protect it, building cities out of (nothing/dust), breeding farmers to feed his troops.

Old par JR le 29 Juil 2002

Si la guerre était un jeu qu’un homme ou un enfant
Pouvait penser gagner
Quelle sorte de règle
Pour renverser un fou
Et laisser la terre comme déteinte ?

Old par M. Fox le 16 Avr 2003

Et pourtant (…)

Old par Gu. le 29 Juin 2004

le récitant : pourquoi ne pas rester pieds nus ?

Old par igor le 13 Juil 2003

je pense avec amertume à toutes ces belles endives perdues.

toi aussi, bouffe la bande passante de l’UMP !

Paramaribo – Note 1


Je marche sur la plage une à deux heures par jour,
Chloé reste à l’hôtel à bosser sa fiction,
On nous porte des glaces à la papaye vers 10h,
Les chambres contiennent des geckos impresionnants,
Chloé n’aime pas vraiment les geckos mais ils mangent les moustiques,
Je ne travaille pas à un roman avec une grande absence de constance,
Sur la plage ce matin, gisement de bauxite foulé au pied,
Vaudou samedi soir, les loas me conseillent de voyager de nuit,
Puis viennent le cacao, le café, les agrumes, les bananes et la canne à sucre…

Old par igor le 04 Sep 2005

par la puissance des arcanes putrides de l'espace je te renie et te chasse vieux bouc pourri dans ta tête !

L’Hyper-paranoïa, ce héros…

Old par Gu. le 01 Mai 2003

Blind pilots

toutes ces dents lexicales se referment sur mes doigts éteints

Au désir de renouer avec la toile, vacance : forme ?
petits jets de petites choses. Pour préserver comme
dirait l’autre, pas pour construire.

Impératif fatras, mélange,
c’est tout ce que je peux faire, et vaille que vaille.

Oui, parfois qualité douteuse. Gommage interdit.

… misère

Couillon le Canard montrait à Benoit
Que la Solution lesbienne pouvait sauver Ganesh.
Mais Martin Luther King saoulait son monde,
Troudairisant, avec ses lunettes, la tribune lectorisitrice
Et fascinant les pauvres Tourguenistes ébahis…

Véronique et Davina, si elles avaient été présentes auraient commenté :
Quelle poubelle, et une séance de stretching Geradonienne, hop !

Old par Rodia le 22 Nov 2002

Habille-toi

il faut qu’on parte

avant que ton père

ne s’éveille

Old par M. Fox le 18 Juin 2003

WERNER, MON AMOUR

Old par To le 21 Nov 2004

J’ai rechuté.

Old par Rodia le 12 Mai 2003

le bouquin « vive l’Amour » de l’été : Index de Peter Sotos à La Musardine.

Old par igor le 05 Août 2003

le récitant : tout va bien.

Old par igor le 27 Nov 2003

pau 1884

la ville est recouverte de brouillard,

les horpailleurs traînent sous les voutes.

je n’ose sortir, la pluie est de plomb,

la formule est sur le point de fonctionner.

Old par igor le 02 Juin 2003

Qu’est-ce qu’on s’emmerde ici!

A

hahahahahahahhhhhhhhhhaa

Old par Gu. le 05 Avr 2004

Forniquer ?

Old par Rodia le 20 Avr 2003

relation textuelle de niveau 2

yes sure sms me

and i’ll texto you

yes sure sms me

and i’ll texto you

yes sure sms me

and i’ll texto you

sorry for tonight

kiss & seeU … in hell?

[POINTS DE RETRAITE] roman à publier à heures fixes (25 633)

augustine a mal dormi
c’est toujours comme ça quand il y a un changement d’heure
en plus comme hier son arthrose la faisait souffrir
c’est lucienne qui a préparé le diner
garbure et endives, elle l’a fait exprès
augustine digère trés mal la garbure
ça lui donne des gaz
ça explique en partie la mauvaise nuit qu’elle a passé
ça et le changement d’heure
le changement d’heure n’affecte pas tellement lucienne
elle somnole devant télématin
augustine est tentée de mettre la une
ça agacerait lucienne
ça oui ça l’agacerait

lire la suite

Old par ... le 28 Mar 2005

))) -blOwing-blOg- (((

### (…) Ö / Ô / Ò )-

Old par Gu. le 13 Juin 2003

fuck le layout

la queue de la souris dans l’encre de chine.

Old par A venir le 16 Oct 2002

ELEKTRON-KANIVEAU LIBRE!

Queria muito ter todos os trade paperback dos invisibles(s?o sete ao todo), mas infelizmente na importadora cada um custa 105 reais. So quando eu trabalhar e ganhar uma grana boa portanto…. Enquanto isso vou me virando com a vers?o em português que ate agora esta s? no n?mero 10, e tende a ser interrompida no meio apesar da grandess?ssima boa-vontade dos editores, que se preocupam em trazer para o Brasil esses quadrinhos t?o bem escritos…

Old par igor le 13 Juin 2003

Autologue.
# -1
Je ne pourrais le percevoir qu’à distance, comme si je me souvenais
de la vie d’un mort.

Et pourtant les bruits, les paroles des autres sont si près de lui,
que je le vois maintenant, presque sous mes yeux.

Tout est prêt.

« Il ne me reste plus qu’à m’en emparer. »

Là. Rien au-delà. Présent.

Tentation de ne voir plus que les choses minuscules.
Tentation de n’aimer que l’ombre dévorante
de l’amour que je ne m&eacuterite pas.

C. m’a confié :

« peur dans un grand restaurant de mettre à hurler, &agrave
danser nue sur une chaise. »

Mais toute allusion à la vie est un déchirement,
comme si je bafouais son silence,
son secret.

Viol du réel par le langage, c’est très sérieux et
vraiment ressenti comme tel.

Fermeture des yeux du héros, main saisissant le front
stressé de notre homme, extinction de la lumière, fermeture du lieu.

je vais me trancher la tête

et hop, plus de problème de coiffeur

Old par -- Zan le 26 Avr 2003

WE WANT (mixerase >>)

désolé le numéro que vous avez composé

n’existe plus n’appartient plus qu’à un

effacement progressif juste programmé





ps : je compte bientôt réintégrer la vie sociale

mais je cherche un plan plutôt molletonné

pas trop violent /


pas mieux…

Au revoir Neptune

POLITIQUE DE L’AUTODESTRUCTION

Minuit pile

Old par igor le 24 Oct 2003

The choice

Choose life. Choose a job. Choose a career. Choose a family, Choose a fucking big television, Choose washing machines, cars, compact disc players, and electrical tin openers.Choose good health, low cholesterol and dental insurance. Choose fixed-interest mortgage repayments. Choose a starter home. Choose your friends. Choose leisure wear and matching luggage. Choose a three piece suite on hire purchase in a range of fucking fabrics. Choose DIY and wondering who you are on a Sunday morning. Choose sitting on that couch watching mind-numbing sprit-crushing game shows, stuffing fucking junk food into your mouth. Choose rotting away at the end of it all, pishing you last in a miserable home, nothing more than an embarrassment to the selfish, fucked-up brats you have spawned to replace yourself. Choose your future. Choose life. chose not to choose life: I chose something else. And the reasons? There are no reasons. Who need reasons when you’ve got heroin? is the pleasure of it. Otherwise we wouldn’t do it. After all, we’re not fucking stupid. At least, we’re not that fucking stupid. Take the best orgasm you ever had, multiply it by a thousand and you’re still nowhere near it.

CE SOIR I WANT MY CANE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Old par JLB le 04 Oct 2004

Old par To le 15 Jan 2005

***Holiday in the $un***

Il a pris le chauffage du salon où je vais dormir.

R 39 609 0 R

Autrefois pour faire la cour

On parlait d’amour

Pour mieux prouver son ardeur

on offrait son coeur

Aujourd’hui c’est plus pareil

Ca change, ça change

pour séduire le cher ange

On lui glisse à l’oreille

Ah…Gudule!… Viens m’embrasser…

Et je te donnerai !

Un frigidaire

Un joli scooter

Un atomixer

Et un Dunlopillo

Une cuisinière

Avec un four en verre

Des tas de couverts

Et des pell’ à gâteaux

Une tourniquette

pour fair’ la vinaigrette

Un bel aérateur

Pour bouffer les odeurs

Un pistolet à gaufres

Un avion pour deux et nous serons heureux

Autrefois s’il arrivait

Que l’on se querelle

L’air lugubre on s’en allait

En laissant la vaisselle

Aujourd’hui , que voulez-vous

La vie est si chère

On dit :rentre chez ta mère

Et l’on se garde tout

Ah…Gudule…Excuse-toi…ou je reprends tout ça.

Mon frigidaire

Old par D.b le 19 Fév 2004

Et maintenant qu’une embellie se fait jour sur le front moral

et qu’une muse consentante daigne presque se soulager sur le haut de mon crâne,

des tendons, ligaments, ou quelque articulation à la con, ont décidé

de m’interdire l’accès aux interfaces, en s’enflammant sans raison sinon

celle bien vicelarde d’exciter mon nevraxe jusqu’à incandescence. Un excès de calcium

ou une contrariété spongieuse, certes ça change des verrous mentaux ou des fatigues

neuronales, et les psychotropes y gagnent en composants pharmaceutiques – mais merde

c’est quand même pas de bol.

Ou alors qui sait, tranchez-moi les deux bras et j’écris une encyclopédie.

Old par ... le 01 Déc 2004

Rendez-vous là

à l’heure dite


Old par -- Zan le 05 Juin 2003

J’augmente les doses,
au fur et à mesure

Un jour,
tu ne me feras plus rien

Old par M. Fox le 16 Mai 2003

1 Dans un bus, assise, une femme et sa jupe, bavarde et cocasse comme une toile de Miro.
Images, je n’assume pas la gêne que vous me causez ! Que faire de vous ?
2 Une jeune fille, après être photographiée, fonce vers le photographe pour l’embrasser.
3 Un clochard explique trop longuement ses circonstances, sur trois stations, c’est beaucoup de donneurs potentiels qui descendent.

ce matin : réveil + sourire + en retard + métro + boulot + mails + MSN
(utiliser le medium comme support pour un journal intim’impartial)

Old par igor le 30 Déc 2002

message personnel (4)

agent zero,

note pour plus tard:
merde à l’amour
encore et toujours…
et surtout:
silencio.

Everything but the boys
Extremely cool – Paup

Old par Nicolai le 04 Jan 2003

sur l’alpage abandonné …

pollution, moi je dis NON

Zealous Assassination Neohuman

Old par -- Zan le 16 Jan 2003

Alice prétend que je suis son lapin blanc, que je prends des airs affolés pour me donner du style et qu’elle n’en peut plus de ce cinéma.

Old par M. Fox le 05 Jan 2003

Aime ton ennemi

Old par Nicolai le 20 Nov 2006

Les plus mauvais aphorismes du monde (deuxième partie)
Le mauvais mari est comme le manchot de l’hémisphère sud : il trébuche quand tout va bien, et il lui pousse des ailes quand il a la tête dans l’eau.
Laurent Iglo

Old par DrT le 18 Avr 2003

< L’Emoi d’Aurore >

Magma bordélique, pénombre-moi encore!

je crois qu’il a des comptes à regler avec lui-même

et comme il est incapable d’en prendre conscience,

il reporte ses angoisses sous forme de peur et de haine envers les autres

Old par M. Fox le 12 Mar 2003

leçon de musique

Old par JLB le 19 Nov 2004

Dare-Dare Motus :  » Jeunesse : « Qualités d’un être
ou d’une chose qui n’a pas encore perdu toutes les qualités
dont il (ou elle) est susceptible. »

Bon tamanoir d’anniversaire (en retard)

Old par Gu. le 20 Juin 2003

descente de lit

là, j’écoute « Lady Xanax » de Duran Duran

mwaha je ferais mieux d’aller en prendre un

Perdu d’avance (…)

Old par Gu. le 05 Mar 2004

cette nuit, cuit moi les yeux au balcon (en omoplates)
et ce matin, dessines un dragon sur mes omelettes…


les temps changent, avant on faisait plus dans le diamant

Old par igor le 13 Mai 2003

Ici, bientôt, aura lieu un double meurtre, et ce ne sera pas du cinéma.

Old par Rodia le 02 Avr 2003

Minuit pile

je suis un signe

Old par igor le 01 Oct 2003

Le juste retour de soi aux choses, plutôt.

Avec l’aimable participation de…

#9
Il soupçonne ses réactions dites instinctives
de n’être pas spontanées.
« Est-ce que je ne simule pas l’enthousiasme quand C.
par exemple me téléphone ? »

Mais il ne s’en rend pas compte. Peut-on retrouver l’âme véritable ?
Il ne veut pas s’y essayer car il a peur de la découvrir noire,
pleine de haine et d’indifférence.
« Si ça se trouve, la voix de C. impromptue dans une journée
consacrée à la méditation solitaire me pèse atrocement ;
l’entendre ne provoque aucun amour, pire encore : aucune reconnaissance.
Mais je n’accepte cette part de méchanceté. Je dois faire des efforts de bonté».

Le héros, comme on le voit, est clivé. Sa tâche : éteindre
une à une les fausses paroles, les gestes empruntés.
Une bataille au cœur du langage, face aux corps. N’être plus qu’un.

« là ici »