La grosse salope est passée pour la première fois en 15 ans sous la barre des 62 et remercie, par ordre de disparition, tous ceux qui l’ont protégée des mauvaises herbes le temps de l’envol de ces 33. Des amours. Vous m’étiez juste indispensables me confirme kellogg.
Il marchait déjà depuis une heure dans ce putain de désert jaune et les fils de putes qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour attendre. Il avançait vers le nord, vers cette chaîne de dunes qui semblait pouvoir lui procurer un abri contre le vent et éventuellement dissimuler une oasis. Il repensait sans cesse à la caisse d’or abandonnée au bord de la 66, à ces bâtards ignorants en route vers le Mexique et à Charlie et à ses petits seins en poire qui l’avait si bien mené en bateau. Il pestait contre le monde entier et avant tout contre sa stupidité. Le soleil tapait dur sur la peau squameuse des geckos…
Pardonnez tant de vulgarité mais … putain de bordel à culs ! tant de tracas pour retrouver un login recouvert de poussière et se voir refoulé par le rutilant nouveau Blogger qui tue sa race qui veut vous faire migrer, c’est contrariant.
Je voulais juste dire, Igor, il manque un bouton « écrire » dans le bouton à gauche : c’est fatiguant de taper blogger.com. (ok j’aurais pu le faire en privé)
Ah il est tout en bas ? Bon et alors ?! Nan j’ai rien à ajouter ! Merde.
Bonne Chandeleur
(en plus y a même pas mon nom infalsifiable, pfff)
Chez les Druides, le gui était considéré comme une plante sacrée. Selon eux, cette plante avait des propriétés miraculeuses, dont celles de guérir certaines maladies, d’immuniser les humains contre les poisons, de leur assurer la fertilité et de les protéger des méfaits de la sorcellerie.
hop je saute sur le trampoline et oooh je vole mais aaaaaaaaaaaaah je tombe (comme quand il faisait l’insecte sur le lit) j’agite les bras et les jambes, je rêve: tout bascule, le soleil remplace les étoiles et le ciel la mer, tout est scintillant autour de moi et ça n’a jamais été aussi clair. maintenant je marche j’escalade je hampe la lune montagne est belle ruisseau d’argent ,nonon ce sont les poissons qui sont d’or. cheveux échevelés moi très calme, même même si perdue dans tous les éléments, beaucoup beaucoup d’eau autour de moi mais je ne sais pas voler splaaaaash une énorme tortue sort de l’eau et je me pends à un cocottier arrgh. mon amour, je voudrais courir encore, mon amour mon amour, chht, mon amour, chht, mon amour, ne m’emmène pas tout de suite au bout du monde, ne crie-t-elle pas dans l’orgasme et je retombe dans la furie du monde, hall de gares, hall de théâtres, queue du cinéma et de la sécu, bataille avec les draps, mon regard et tu ne me le rends pas, fatigue et ce foutu écran que j’ai marre!, et je retrouve mon état civil, que font vos parents, que fait votre père, et je redessine mes peines sur mes murs, des silhouettes vides sur un miroir, et des femmes sans corps sur la peinture banche mais j’ai sorti un tapis blanc, et le matin je danse dessus…………;blanc éclaté de rouge comme si je voyais trop de lumière
Vous entendez bien que c’était seulement la bonne et double piperie qui le ravissait, les subtilités et patelinages des vrais clercs de Saint-Nicolas, les vieux tours de maître Gonin, conservés depuis deux cents ans dans le sel et dans l’esprit, et que Villon, le villonneur, était son compère, et non point des routiers tels que les Guilleris ou le capitaine Carrefour. Certes, le scélérat qui, planté sur une grande route, dépouille brutalement un voyageur désarmé lui était aussi en horreur qu’à tous les bons esprits, de même que ceux qui, sans autre effort d’imagination, pénètrent avec effraction dans quelque maison isolée, la pillent, et souvent en égorgent les maîtres. Mais s’il eût connu ce trait d’un larron distingué qui, perçant une muraille pour s’introduire dans un logis, prit soin de figurer son ouverture en un trèfle gothique, pour que le lendemain, s’apercevant du vol, on vit bien qu’un homme de goût et d’art l’avait exécuté, certes, maître Godinot Chevassut eût estimé celui-là beaucoup plus haut que Bertrand de Clasquin ou l’empereur Caesar ; et c’est peu dire.
Loin des grands vents du detroit de Magellan, Loin des glaciers cyclopeens de la Patagonie argentine, Loin des Piscos a la chaine dans un improbable bar du bout du monde, Loin d’une terre desagregee ou les dernieres femmes yaganes ont oublie leur propre langage,
– Grishka ? – Oui Igor. – Tu veux pas me tuer d’un grand coup de hache ? – Tu veux ? – Oui, mais par surprise et dans le dos… – … – Ne me rate pas, je ne veux pas souffrir – Alors ne compte pas sur moi, trouve un autre gogo. – T’es pas cool. – Ouais, ça c’est sûr, je suis pas cool.
Je suis sur la branche, je l’observe. Nous écoutons des vinyles en accéléré, je la regarde. Elle se hisse sur la pointe des pieds, esquisse un pas de danse, et tente de s’envoler. Je l’admire.
Au fait, est ce quelqu’un aurait vu mon paillasson? Et ma pompe à vélo sinon? Aux dernieres nouvelles, ils déambulaient désorientés… Perdus dans l’abime de ses yeux fruités, comme d’hab quoi…
un petit message d’amour pour ma valentine même si elle me trouve un peu cruche comme amoureux et que moi je fais ce que je peux pour lui plaire surtout quand on est tout nus et même si elle pense que je pense que c’est elle qui est cruche alors que non en fait je passe mon temps à être admiratif de son esprit.
Je suis une personne majeure (j’ai au moins 18 ans ou 21 ans si c’est l’âge légal dans mon pays). Je ne trouve ni offensants, ni choquants, ni scandaleux les textes et les images à caractère sexuel. Je ne considère pas les oeuvres sur la sexualité comme des oeuvres obscènes ou immorales. Je ne considère pas les descriptions ou les images de nus comme obscènes ou immorales. J’ai le droit d`avoir accès sur l`Internet à de l`information sexuelle pour personnes adultes. Je ne ferai connaître ni l’existence ni le contenu de ce site à des personnes mineures. Je ne parlerai de ce site à aucune personne adulte qui pourrait en trouver le contenu offensant. Je consulte ce site depuis un endroit où il ne viole aucune loi ou règle concernant la morale. Je m’engage à ne pas transmettre le contenu de ce site à une autre communauté ou à des mineurs. Je suis parfaitement conscient du fait que ce site est destiné à des personnes adultes. Je comprends que le but premier de ce site est de fournir des stimulations mentales érotiques. Je suis d’accord avec les principes de la liberté d’expression énoncés dans la Charte canadienne des droits de la personne et dans la Constitution des États-Unis d’Amérique.
ce qu’ils pensent de konsstrukt : (merci à nihil pour sa collecte)
comment peut on avoir envie de faire lire ce genre de choses ? c’est à chiér il n’y a pas d’autre mot. je ne pensais pas lire ce genre de truc sur un forum littéraire.
Gros pb avec le caca, encore au stade anal ?
Ton travail,ton job, pauvre imbécile, est nul, sans idée et sans mot, c’est comique de vacuité, c’est du neurone figé. Tu ferais mieux de charcher une place comme assistant du chef de rayon dans une grande surface spécialisée dans les couvercles de chiottes.
longtemps cru que l’écriture n’avait rien a voir avec eux alors je tu nous ils remplacent le mot par l’image Je regarde ton image Je ne la décris pas Je ne l’écris pas Je désamorce la bombe et n’aime pas ce texte.
2 Autrement ditje l’aime un peu plus
Trouver mes amis un vrai problème et vite, si possible sans aucune solution pas de miracle, surtout pas, au-dessus de nous rien ne compte, pas encore le poids des autres lettres intimidantes, je jouis parfois d’une liberté quasi musicale qui se gausse du sens dont je connais jamais la progression, si, en relisant, oui mais plus tard, quand enfin je suis passé a autre chose, au piano par exemple sur lequel je dessine des majuscules sur chaque touche et je suis heureux good night. (Joué aria des variations goldberg devant un chat et le portrait de l’océan, muet comme une CARPE & comme BACH).
Ce soir, je sors, cela vaut mieux pour vous, femmes inconnues.
Je voulais vivre mes rêves avec eux, ceux que j’ai aimés, tu ne les entends pas rire car ils sont loins. Je les aime pour toujours et le seul son qu’on entend désormais sur la lande ce sont mes sanglots et mes pleurs en langue allemande.
J’en ai marre de toi je ne te supporte plus. Faire la fête, faire la fête à Cupidon mais il peut se la foutre où je pense sa flèche qui rend béat. Je n’accepte plus tes hésitations, les « je t’aime mais tu n’es certainement pas l’homme de ma vie » garde tes objections et certitudes, tiens garde tout si tu veux. Je ne crois plus en rien, en tous les cas plus en « nous ». La grande romance d’antan prend désormais des allures de soap opera et je ne re signerai pas pour une saison. Parce que tu étais belle, j’acceptais tout: la déco « habitat » minable de notre deux pièces rose pâle, tes amis qui pensent que Walter Benjamin est le numéro 10 de l’équipe de Chelsea, ta mère qui ne jure que par la « Samaritaine », ton frère qui me dit que je ferais un malheur chez les brokers de la City, ta copine Marie qui vient toujours à la maison le dimanche après-midi mater en dvd « sex in the city ».
Il n’est pas toujours évident pour un serpent de retrouver la carte choisie par un spectateur ! Heureusement Aldo n’est pas un serpent comme les autres. Apprivoisé par Don Jose, il est capable, s’il le veut bien, de réaliser des prouesses. Surprises et éclats de rire garantis. Aldo, quelle classe !
« Once upon a time you dressed so fine You threw the bums a dime in your prime, didn’t you? People’d call, say, « Beware doll, you’re bound to fall » You thought they were all kiddin’ you You used to laugh about Everybody that was hangin’ out Now you don’t talk so loud Now you don’t seem so proud About having to be scrounging for your next meal.
How does it feel How does it feel To be without a home Like a complete unknown Like a rolling stone?
You’ve gone to the finest school all right, Miss Lonely But you know you only used to get juiced in it And nobody has ever taught you how to live on the street And now you find out you’re gonna have to get used to it You said you’d never compromise With the mystery tramp, but now you realize He’s not selling any alibis As you stare into the vacuum of his eyes And ask him do you want to make a deal?
How does it feel How does it feel To be on your own With no direction home Like a complete unknown Like a rolling stone?
You never turned around to see the frowns on the jugglers and the clowns When they all come down and did tricks for you You never understood that it ain’t no good You shouldn’t let other people get your kicks for you You used to ride on the chrome horse with your diplomat Who carried on his shoulder a Siamese cat Ain’t it hard when you discover that He really wasn’t where it’s at After he took from you everything he could steal.
How does it feel How does it feel To be on your own With no direction home… Like a complete unknown Like a rolling stone?
Reprenant son souffle positif qui revient parfois animer ce qu’il croyait perdu, il pense à un œil franc et calque sa respiration sur la saccade heureuse du temps : prêt à entrer dans le vif de la vie. N’importe quel événement peut alors combler son désir de participation.
« Plus personne ne peut contredire ce qui n’a jamais été que la vérité. Plus personne ne peut contester. J’aime faire des cracottes au chien, définitivement. Les Asiles de Fou et les Pharaons Bordeliques n’y changeront rien. Ite, missa est. »
Communiqué du consortium K&A, Bulle Insulaire Arthro-domaniale, zone 1.
Combien de jours vais je encore dormir dans nos draps… Combien de jours cette fois pour ne plus regretter les traces de ta substance sur mon duvet. Combien cette fois ci?
C’est un trou de bitume, où chante une rivière Se reflêtant follement aux vitres de ce haillon Argent; où la lune, sur la banquette arrière, Luit : c’est un petit Bal où dansent des rayons.
Une jolie fille, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais coton bleu, Dort; elle est étendue sur un siège, sous la nuit, Pâle dans son lit bleu ou la lumière pleut.
Les pieds dans la bagnole, elle dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, elle fait un somme : Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine. Elle dort dans la nuit, la main sur sa poitrine Tranquille. Elle a deux verres de rouge au côté droit.
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Aller à la rencontre des Sans Abris, pour être à l’écoute et par cette écoute rendre une dignité. Nous n’apportons rien; ni couvertures, ni café, ni repas… pourquoi? Certaines associations le font déjà très bien. Nous voulons juste les écouter, de personne à personne et non d’association à SDF. Nous laisser inviter par elles. Apporter quelque chose aide en effet à trouver une entrée en matière… Mais nous voulons apprendre à aller vers les autres naturellement, sans rien à donner.
The TV business is uglier than most things. It is normally perceived as some kind of cruel and shallow money trench through the heart of the journalism industry, a long plastic hallway where thieves and pimps run free and good men die like dogs, for no good reason. —San Francisco Examiner on November 4, 1985
« L’aurore grelottante en robe rose et verte S’avançait lentement sur la Seine déserte, Et le sombre Paris, en se frottant les yeux, Empoignait ses outils, vieillard laborieux. » Crépuscule du matin, Charles Baudelaire
weblog : je peux me tromper mais traiter les tourguenistes de « Russian Fag Brothers« ça peut paraitre un peu abusé mais ce matin ça m’a fait bien rire car, oui, il ne m’en faut pas beaucoup. ceci n’est pas une véritable tranche de ma vie mais bien sur une oeuvre de net-art complètement essentielle à l’art contemporain dans son ensemble, donc petites bougies et bravo-bravo dans les tribunes.
Our vision : e-terroir.com, société spécialisée dans la fourniture de services à haute valeur ajoutée aux collectivités agricoles, met à votre service sa maîtrise de l’ensemble des compétences en Nouvelles Technologies afin de maximaliser le taux de retour de vos agriculteurs sur votre dispositif Internet. Quelques une de nos réalisations :
dans un bus: -jécoute: essai: essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai (ça y est les deux sons [e] commencent à se mélanger) essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai que c’est beau, je trouve ce mot très beau essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai essai et je ne sais déjà plus ce que j’essaie je trouve ces mots très beaux ces mots très beaux -derrière la nuque d’un vieux devant moi, je regarde la peau qui déborde sur le col de la chemise. j’ai 22 ans, c’est énorme vous vous rendez compte, on me dit que j’ai le temps mais considérez: « ça fait 22 ans qu’on ne s’est pas vu » (si longtemps non c’est pas possible) « je finis la fac dans 22 ans » (cri d’effroi) « ils sont partis à l’étranger il y a 22 ans » (on les a déjà oubliés) et en même temps, le monsieur a 60 ans peut être, pas très très vieux, mais c’est un monsieur, je n’ai l’air que d’une jeune fille, il est sévère solide, et j’ai beau être jeune je suis excédée de ne pas savoir ce qu’il sait, ce qu’on ne saura jamais qu’en vieillissant. j’ai fait 1/3 de sa vie, déjà, mais tout à l’air de venir après, après ce petit tiers que personne ne considère autour de moi.
avant le bus: deux hommes sortent du métro sur la place avec des bagages. ils cherchent leur direction, ils la demandent à deux pervenches qui passaient par là. elles leur indiquent. je les entends derrière moi « il faudrait qu’on traverse la pla » suspension, je me retourne, je les voudrais finissant leur mot. ils ont disparu, ils ne sont nulle part tout autour de moi.
Je pars, je veux explorer les strates les plus profondes, persévérer au sein des couches les plus obscures et de cette souillure transcender l’objet. Je veux retrousser mes manches, ne pas ménager ma sueur et ma peine, dynamiter les profondeurs et de cette explosion tirer une joie violente. Et à mon retour, enfin je pourrai t’aimer, mes mains sauront caresser tes contours, je te livrerai mes entrailles.
Nicolaï : hé ? Igor : hé ! Igor : kesktuveux ? Igor : allo ? Igor : hé ! Nicolaï : le slip de ta reum Igor : hum Igor : vachié dans ton cul poilu Nicolaï : tu m’entends ? Igor : oui Nicolaï : chouette Igor : vachié dans ton cul poilu Nicolaï : korebouk Igor : ‘rnebouk Nicolaï : kornebouk ! Nicolaï : Kk Igor : k Igor : ça va gros pétard ? Nicolaï : pouet Igor : cucul Igor : tu fais quoi ? Igor : peter dans ton cul Igor : trou du cul du chat Igor : la bite à papa Nicolaï : Je parlez-vous fronché ?! Igor : j’suis pas un fronché j’suis un américain Nicolaï : américon ? Igor : américon citizon Nicolaï : aaaaaaaaaah Nicolaï : schlasse Igor : schlasse la schlasse américone Nicolaï : Gutten Zlipen Igor : Magdalena langocha Zlipen zliiipen Igor : Zliiipen Nicolaï : It iz olmost ze sème word in germane for sank you Nicolaï : Zliipen ! Nicolaï : Danke Igor : Meine Zliiipen esto tutti Chocola Nicolaï : Danger Nicolaï : Dubist eine Zliipen del Gasapacho ! Igor : Gazapach deine urselve deine urselfe gaspatacho Nicolaï : Gaspapatte der panier en rond !