Par la fenêtre, les hommes en noir. Le bruit des bottes.

Short par igor le 26 Mai 2014

le récitant : lu_ndi, retour à la vie réelle.

Old par igor le 07 Juin 2003

 

1966 – Le 4 novembre, la plus grave inondation.

Short par igor le 30 Avr 2011

 

Igor : « ronpich »

Short par igor le 18 Sep 2012

 

Vous ne savez faire que ça ? – t.co/Bgabc0W

Short par igor le 15 Juil 2011

Minuit pile

Old par igor le 01 Déc 2003

{ post conceptuel à retrouver ici – sorry faisait planter Blogger – shit}

Old par igor le 03 Mar 2003

 

L’homme à la tête de chat saute au dessus du feu et, intronisé membre, propose à la tribu sa pratique libertaire de l’astronomie hivernale.

Short par igor le 26 Mar 2014

le récitant : Souhaitant vivement vous rencontrer pour vous exposer plus amplement mon expérience et mes motivations, je me tiens à votre disposition et vous prie de recevoir, Madame, l’expression de mes salutations distinguées.

Old par igor le 17 Avr 2003

 

Aujourd’hui c’est tellement un jour neuvième Docteur.

Short par igor le 04 Oct 2011

je suis perplexe

Old par igor le 03 Nov 2003

le récitant : parfois il faut savoir garder ses vieux textes dans le grenier…

Old par igor le 14 Jan 2003

 

#Mina est, évidemment, une rouquine acrobate. Commander sur un dirigeable demande beaucoup de sang froid et d’empathie.

Short par igor le 29 Avr 2009

 

Argh mes yeux, mes yeux, si petits !

Short par igor le 12 Nov 2010

Jeudi 13 Juin 2002
Un petit message à quelqu’un que j’aime plus qu’il ne le pense ?
C’est son numéro 24 en ce jour
(même numéro pour les jumelles M. que j’embrasse autant que c’est permis)

Old par igor le 13 Juin 2002

 

En Belgique sino-prusienne on se servait des ipad encore en état de marche, donc peu, pour les gauffres et le marquage des chèvres. #ipad

Short par igor le 23 Avr 2010

le récitant : je suis l’illusion de la jeunesse dans le coeur de tes jours d’enfance.

Old par igor le 24 Nov 2004

 

Mina cherche partout son boxer écossais, il est sur sa tête. Carver trouve que, quand même il déconne pas le peyotl des migrants russes.

Short par igor le 31 Déc 2010

 

On trouvait de touchantes nécrologies imprimées sur le fond des sacs à vomi offerts aux passagers ivres. tweetphoto.com/42326776

 

« …who let themselves be fucked in the ass by saintly motorcyclists, and screamed with joy,… » Ginsberg – Howl

Short par igor le 29 Juil 2011

 

Carver, à vélo, traverse Westeros, sous l’averse.

Short par igor le 08 Juin 2012

je suis amoureux d’une fleur sauvage

un sorcier veau doux ?

je viens de recevoir mes papiers militaires

pour partir à la guerre avant mercredi soir…



le modem marche… un peu…

il fait plus froid la nuit, un t-shirt,

à manches longues ?



la nuit est chaude, elle est

so vache ?

Old par igor le 18 Sep 2003

 

Enfin c’est dimanche matin. Dehors c’est la fin du monde et tous les chats sont gris. Mina décroche son fusil à illusions perdues. Méfiance.

Short par igor le 18 Déc 2011

 

J’aime faire des « en plus » inutiles.

Short par igor le 06 Oct 2011

 

Œil bleu, œil gris, œil blanc, œil noir.

Minuit pile

Old par igor le 08 Jan 2004

 

Comme par exemple « Washington Sofitel » ou « Tokyo Mercure » ?

Short par igor le 23 Sep 2011

 

Animaux mythiques à la fois chassés et vénérés depuis au moins 40 000 ans, les ours sont des mammifères de la famille des Ursidés. #hadopi

Short par igor le 11 Juin 2009

 

Je t’€{45* !

Short par igor le 15 Nov 2012

 

Igor, sur le sable luminescent, sous un soleil mortel, repensait aux décisions égoïstes, financières, masculines qui menaient à ce moment.

 

Et, pour un rien, les larmes aux yeux, souriant, pourtant.

Short par igor le 11 Juil 2013

 

Un moyen de savoir si une femme est une sorcière consiste à la jeter nue à l’eau, mains et pieds attachés ensemble pour l’empêcher de nager.

Short par igor le 07 Jan 2012

Minuit pile

je suis la poursuite

Old par igor le 09 Nov 2003

 

Au camp on continuait à ne se fier qu’aux apparences, surtout trompeuses. Ça sauvait des vies et du carbone. tetedampoule.com/roue/

 

Les filles, stop la vie. Maintenant c’est le lit et les cornues a gogo. « mon cœur ? c’est moi ! ». Stop ou encore, on va se masser. #louche

Short par igor le 15 Avr 2010

Je sais pas ce qui se passe
Je sais pas ce que ça veut dire
Je sais pas comment tu t’appelles
Je sais pas si tu m’aimeras
Je sais pas si je t’aimerai
Je sais pas si…
En fait…

Je sais pas grand chose.

Old par igor le 25 Juil 2002

 

Jens !

Short par igor le 23 Sep 2012

 

Mina, Igor, rodent dans les parages. Visite nocturne ultra connectée des antiquités égyptiennes. Momie en folie. Carver, sa valise, en bois.

 

Je ne doute pas que tu sois quelqu’un de raisonnable. Je ne doute pas de tes bonnes intentions. Je ne doute pas de ta réalité. Presque pas.

Short par igor le 05 Sep 2015

 

Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.

Short par igor le 18 Mar 2012

 

Renard ?

Short par igor le 24 Fév 2013

tiloui est l’ami des petits
tiloui est un grand
tiloui dans sa tête il est encore petit
tiloui est très gros et fort
tiloui aime beaucoup la petite lucie
lucie aime aussi beaucoup tiloui
tiloui est si fort que quand il serre
lucie craque et crie

cric-crac lucie

Old par igor le 04 Nov 2002

 

Grippe.

Short par igor le 03 Jan 2011

 

Junebug, junebug…

 

On roule. Dehors les premiers signes de la Fin. On ajuste nos casquettes en aluminium, s’embrasse, pleure, aussi. t.co/7sjb8GsB

Short par igor le 31 Déc 2011

 

FRANCE – Sarkozy souhaite « une solution » pour éviter aux jeunes de « rester en marge ». #AF447 #crash #ps #camps # noyade #versification #ump

Short par igor le 22 Juin 2009

 

et Carver n’avaient aucun problème à verser quelques sous afin de soutenir la seule chaîne non soumise aux milices : nolife-tv.com/

Short par igor le 01 Juil 2009

 

Grâce à la recherche spatiale, les chaussettes tiennent seules et nous emmènent dans les étoiles. www.youtube.com/watch?v=QaqBnw9xA34

Short par igor le 20 Jan 2011

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

le récitant : ou dans la rue, au choix.

Old par igor le 26 Juin 2003

 

Disque. t.co/7Quule5R

Short par igor le 09 Fév 2012

 

Carver : « Je suis le seul à te bien connaître, Igor ». cf @troudair et « Le moulin des supplices ». Italie, 1960, Giorgio Ferroni. #bis

Short par igor le 03 Juil 2009

Minuit pile

Old par igor le 11 Nov 2003

 

22 mecs se tirent dessus pour un bout de terrain sec, un vieux dirigeable et deux voitures bricolées. On peut trouver mieux, ou pire. #cdm

Short par igor le 11 Juil 2010

 

Mina à Igor, ivre : « la situation internationale est trashic. »

Short par igor le 15 Juin 2013

Relire Cyber-Mao ?

Old par igor le 17 Avr 2002

 

Taxi. Paris. La nuit. Les bombardements. Les dirigeables noirs dans le ciel. Avec Mina on refait le monde. Nus. Carver décide de ne pas. Nu.

Short par igor le 17 Fév 2013

Old par igor le 14 Mai 2003

 

Nos lésions ont du talent ?

Short par igor le 17 Déc 2012

 

Le canal gelé servait de terrain de chasse à une bande de gamins kantiens. Gare aux chats et aux souris de passage. Les chiens, ça passait.

Short par igor le 02 Sep 2015

 

En Inde on avait demandé à Igor de frapper une carpe sur la tête afin de déterminer l’ordre de succession d’une famille trop nombreuse.

Short par igor le 17 Fév 2013

Il n'y a pas de personnages sur Internet, il n'y a que des legos
Hey Bart,
I’ll trade you this piracetam
for a cup of your
deeee-licious coffee !

Old par igor le 24 Juil 2002

 

Une tablette est une petite table. Ça peut servir pour poser la bouffe du tigre ou les enfants ou les deux. Le plus Fin du monde. #ipad

Short par igor le 27 Mai 2010


je marche au bord du canal
j’ai quitté la ville
je repense à toi et à tes sourires
je chemine à présent sur un petit sentier
de l’herbe autour de mes Docs
je repense à la douceur de tes seins
je contemple l’eau un instant, immobile
la fraicheur vient à mon visage
à mes pieds brille un objet en métal
une médaille attachée à une cordelette
quatres lettres en fer forgé : ILUM
un mot magique, porte bonheur ?
je retourne la médaille
quatres lettres en fer forgé : MUJI
je la balance à la flotte
retournons en ville

Old par igor le 27 Mar 2003

 

Ne pas boire avant le festival.

ouéééé soyons crétins vive la pub vive la tévé vive tek

à mort la prise de tète à mort l’éducation à mort l’école

à mort les pauvres ils ont qu’à être riches ou crevards

vive les tribus vive le réseau mais mort à la solidarité

les intellectuels au bucher, vive le minimum culturel

vive le savoir minimum, vive les states, vive dantec

vive l’alcool, vive nous, vive tralalalala….

Old par igor le 20 Fév 2004

 

Au milieu des débris du cockpit, une unique pépite. Ses bras crochetés autour de la jeune galaxie encore inerte. Mina dort encore.

Short par igor le 26 Déc 2013

Mc coy aimait les femmes qui aimaient le whisky
… Un phénomène intéressant Cap’tain… Mais je remarque que la peau de ces « tourgueniennes » n’est pas verte et qu’elles ne portent pas de bikinis oranges sous leurs vêtements…
Old par igor le 24 Juil 2002

 

se demande si / choses noires / rôdent dans les bois / se rendent compte à quel point nous sommes nus et vulnérables. Outils tranchants.

Short par igor le 22 Jan 2010

 

La preuve par l’italien, l’heure pile : la nuit solide et mes souvenirs si fluides me donnent les moyens de « suis un personnage de friction »

Short par igor le 04 Sep 2009

before POP IN

———————-

mes voisins se disputent fort

elle pleure – il hurle

le temps que je me décide à intervenir

ils rigolent

———————-

Old par igor le 04 Nov 2003

 

« On ne gère pas un pays avec une calculatrice mais avec un livre de philosophie » : @troudair

Short par igor le 25 Juin 2010

 

Les réseaux sociaux sont la télé-réalité de l’Internet.

Short par igor le 18 Sep 2012

le récitant : ça sent le taureau.
Old par igor le 15 Déc 2003

 

Avant moi, rien ne fut créé sinon d’éternel. Et moi, je dure éternellement. Vous qui entrez, abandonnez toute espérance. Sympa la pandémie.

Short par igor le 10 Nov 2009

 

iynot tour youtddzy tomorpx

Short par igor le 15 Sep 2010

Ma très chère Ar*

C’est la larme à l’œil que je découvre le paysage malsain qui vous entoure. Cette ville moribonde et crasseuse que vous dépeignez dans votre lettre, est-ce que ce peut être Paris ? Peut-on concevoir pareil tableau de la capitale où je croyait réfugiées les plus hautes valeurs de l’humanité ? Si la liberté existe bien quelque part en ce monde, n’est-ce pas en ces murs ?

Cependant, les relents d’humidité que vous respirez, la grisaille qui vous surplombe sont autant de désagréments que je souffrirais volontiers, tant la situation de notre pays s’est dégradée. Nos cieux d’été, embrasés de couleurs vives, grandioses ; la douceur de l’air salin, l’indicible beauté sauvage de nos terres généreuses, et ces gens, plein d’entrain et de malice. Tout s’est affadi, Ar*. Jusqu’à cette table où nous avons si souvent diné, et qui ne manquait jamais de nous ravir le palais. Jusqu’à ces cœurs jadis gonflés d’orgueil et d’insolence. Rien ! Il ne reste plus rien à déglutir où à penser qui ne soit corrompu par la fadeur. Celle là que nous a légué la poigne de fer des nouveaux maîtres de notre avenir. Souvenez-vous, ma chère Ar*, de cette dernière année. L’hiver est arrivé avec une rare rigueur. Vous me faisiez remarquer un matin, sur ce ton ironique qui était alors le vôtre, assise à cette table d’où je vous écris, que la saison préfigurait peut-être un sombre avenir pour ce pays. Ce « mauvais présage » dont l’improbabilité nous a fait rire un instant s’est depuis révélé plus véridique que nous le l’imaginions. C’est à peine s’ils ne viennent pas désormais ramper dans nos rêves. Par les plus odieux stratagèmes, ils sapent l’identité de cette culture qui nous a vu grandir, influencent nos choix en nous bombardant sans répit des rhétoriques les plus spécieuses qui se puissent concevoir. Notre histoire est devenue un champs de bataille où sévissent les censeurs obsédés par l’avenir. Ces usurpateurs arrivés dans un vent de fortune ont décidé de voler notre mémoire en remodelant l’ histoire.

Désormais, beaucoup sont partis pour des destinations que l’on boudait autrefois. Nous étions si fiers de ce pays que l’on avait jeté comme un voile sur le reste du monde. Celui-ci s’est vite déchiré et vous voici à Paris. Je vous aurais volontiers suivi, vous le savez, si les rigueurs de l’âge m’avaient laissé un peu de répit. Mais voilà que cette lèpre nationale s’est fait précéder par l’addition d’une vie dont je n’ai pas lieu d’avoir le regret, toute au service de la table, de la chair et de cette douceur de vivre que l’on connaissait jadis en ces murs. J’avoue que le couronnement de cette existence aurait été cette dernière escapade à vos côtés. Mais je m’avoue parfois vaincu par ce désespoir qui suinte de vos murs gris et qui me cloue au lit.

Chère Ar*, rassurez-vous, j’ai beau accusé le coup de nos délicieux excès passés et de la folie de nos frères, j’ai beau me plaindre et forcer le trait de nos misères, je n’en demeure pas moins sec et opiniâtrement attaché à la vie comme un cep de vigne à la terre. Dorénavent, je mettrai mes caprices dans l’avenir de nos enfants. S’il est encore un peu d’espoir dans cette gérontocratie, c’est d’eux qu’il viendra ; et croyez-moi sur parole, Ar*, je ne cèderai pas, ni au trépas, ni au chantage, ni à la haine. Votre jolie petite fille sera élevée comme elle le mérite : comme un enfant. Elle connaitra les joies du jeu, de l’espoir et… quand le temps sera venu, des joies revigorantes de l’amour. Je me sens à nouveau le devoir de vous rassurer. La vie dissolue que nous avons mené ne sera pas le modèle de sa jeunesse. Le temps passé et votre exil ne m’ont laissé d’appétit que pour une certaine délicatesse. Elle n’aura pas à ribauder dans la fange où se vautrent désormais les petites femmes de son âge. L’exemple que je lui veux donner sera de nature à épargner sa vertu. D’ailleurs, ce fier gaillard qu’est mon neveu l’entourera de toutes les attentions les plus sincères et se substituera à ma vigilance dans ces moments que l’adolescence ne saurait partager avec les « vieux ». J’en fait un point d’honneur : cette enfant jouira d’un sort convenable et porteur d’avenir.
Il me faut enfin vous prévenir, ma chère Ar*, que cette hauteur de ton que je me permets encore dans ces lettres ne saurait garantir notre sécurité encore longtemps. Vous souvenez-vous de ce vieux râleur de Al* ? Ils ont fini par l’arrêter l’autre soir, après qu’il ait vertement sermonné quelques-uns de ces jeunes idiots qui croient détenir la vérité, claironnant les messages grossiers du parti. Sous je ne sais quel prétexte obscur, on l’a emmené à Er*. Inutile de préciser qu’il n’a pas été jugé en public ! J’ai appris qu’un projet de censure des informations subversives, destinées à saper l’intégrité et la crédibilité de l’état avait été récemment présenté au parlement. Vous savez, comme-moi, que les représentants de la nation ne sont plus que des pantins sans ressources qui ont tout le loisir d’approuver les projets du parti. D’ici à ce que l’état d’urgence soit décrété et les libertés civiles raccourcies au nom du salut public, nous aurons largement eu le temps de nous compromettre. Je crains que ma popularité et mon crédit n’aient bientôt plus la moindre signification. Qui empêchera alors les agents de l’état providence d’ouvrir nos courriers ? Cette lettre sera la dernière à jouir d’un ton authentique. Tâchons désormais de nous comprendre à demi-mots ; pour l’amour de nos enfants, qui ne doivent pas pâtir d’une amitié en passe de devenir une trahison de la patrie.

Puisiez-vous, très chère Ar*, me pardonner cette franchise. Nécessité fait loi désormais. En attendant impatiemment d’avoir de vos nouvelles, je vous embrasse du fond du cœur en vous renouvellant l’assurance de mon dévouement ; à votre égard et à celui de votre fille, notre espoir à tous deux.

Az*

Old par igor le 30 Juil 2002

 

On est plus la nuit ?

Short par igor le 14 Sep 2011

 

Le Baron Samedi doit bien rigoler. Igor, pas vraiment. Mina imagine une nouvelle salle des machines pour l’Atari nouvellement échoué. #hell

Short par igor le 14 Jan 2010

 

Avant la guerre, l’utopie, le chaos, l’entropie et tout le gros bordel d’après, Mina était libraire, Igor, épicier bio et Carver, une fille.

Short par igor le 19 Sep 2015

 

Eldfjöll eru mjög ánægðir að drekka verðandi. Þú getur einnig brim á efni hraun rennur slétt.

Short par igor le 30 Avr 2010

Les infos du monde – Hier soir…

Elodie : allo…
Igor : allo ?
Elodie : euh.
Igor : c’est qui ?
Elodie : allo, j’ai qu’une minute, Edouard ?
Igor : euh, oui…
Elodie : ben, je, tu me manques, je ben tu vois.
Igor : oué, oué si tu le dis.
Elodie : tu es un peu froid, je trouve…
Igor : mais non, je t’assure, je pense à toi mais tu vois Patxi va passer là alors tu vois…
Elodie : euh, Ed, j’ai presque plus de secondes là.
Igor : pas trop tôt.
Elodie : bip bip bip
Igor : allo ?
Elodie : bip bip bip
Igor : sympa la meuf…

Old par igor le 17 Déc 2003

 

Le bénévolat que j’ai voiture aller tentative de rénovation démocratique pour le week-end dernier délai YW-B-moyen. #patrimoine

Short par igor le 19 Sep 2010

 

Les lamas incendiaient les pneus, la colline de la mélancolie, le nuage de fumée rendaient les délires islandais bien vains. Je, le réseau.

Short par igor le 03 Mai 2010

 

Les enfant pleuraient des larmes de seigle. Les algues portaient la marque des fers de la honte. Joe Calamares aimait la soude nue. #ns

Short par igor le 16 Juin 2010

Minuit pile

Old par igor le 12 Jan 2004

 

Messagerie « 666 » Free: le 17/02 à 18:06, ce correspondant a appelé 1 fois sur votre mobile sans laisser de message

Short par igor le 17 Fév 2013

Montpalach – Note 4

Brume épaisse dehors, on garde les masques, je démonte un canapé derrière la maison, Chloé fait des feuilletés au chêvre et paufine sa fiction, les criquets sont plus calmes, les nouveaux chats se sont battus cette nuit, une victoire sans doute, sur la vieille platine passe un vieux standard de Laperruque, une jambe dans chaque main, le disque saute souvent mais c’est bon quand même, on repense à la PopFest2005 et on boit frais gynécologiste ventripotent prépuce coupe du bois bien chaude à Saint Tropez.

Old par igor le 13 Août 2005

le récitant : la crêve du début de l’été m’a éclaté la face.

Old par igor le 06 Juil 2003

8 mai

Quelle journée admirable ! J’ai passé toute la matinée étendu sur l’herbe, devant ma maison, sous l’énorme platane qui la couvre, l’abrite et l’ombrage tout entière. J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même.

J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine, qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent.

A gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointu des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, dominés par la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans l’air bleu des belles matinées, jetant jusqu’à moi leur doux et lointain bourdonnement de fer, leur chant d’airain que la brise m’apporte, tantôt plus fort et tantôt plus affaibli, suivant qu’elle s’éveille ou s’assoupit.

Comme il faisait bon ce matin !

Vers onze heures, un long convoi de navires, traînés par un remorqueur, gros comme une mouche, et qui râlait de peine en vomissant une fumée épaisse, défila devant ma grille.

Après deux goëlettes anglaises, dont le pavillon rouge ondoyait sur le ciel, venait un superbe trois-mats brésilien, tout blanc, admirablement propre et luisant. Je le saluai, je ne sais pourquoi, tant ce navire me fit plaisir à voir.

Old par igor le 24 Oct 2007

 

Les ellipses sont nombreuses. Pendant ce temps là à Vera Cruz. Unfollow #ns

Short par igor le 26 Mai 2010

 

Im happy, happy, happy, happy, happy, and not you can turn me blue now. Come a little closer, satisfy my …

Short par igor le 11 Mai 2011

c’est à cause des filles de la campagne

que mon chat a pissé sur mon lit si souvent

à cause de ces femelles impies qui guettent

à la mi-nuit.

Old par igor le 21 Fév 2004

Ida Mancini à son fils Victor :

  • Les lois qui nous maintiennent en toute sécurité, ces mêmes loi nous condamnent à l’ennui
  • Sans accès possible au véritable chaos, nous n’aurons jamais la paix
  • A moins que tout ne puisse empirer, ça ne va pas s’améliorer
Old par igor le 15 Oct 2002

 

Passer la nuit, blottis et nus, tous, sous la couette rapiécée. Conserver la chaleur, observer les ombres sur le mur. Échanger des sourires.

Short par igor le 31 Déc 2015

Le Pakistanais ou l’Indien qui vend dans le métro de petits talismans hypnotiques est-il un extra-terrestre (intra-terrestre) cloné 10000 fois. Ces petites choses violettes de formes cristallines qui clignotent de manière régulière peuvent-elles être vraiment achetées ou servent-elles uniquement à nous téléguider au travers des couloirs du métropolitain ou même à permettre notre total contrôle depuis Alpha du Centaure (le centre-terre) ? Si vous croisez l’un de ces personnages dirigeant ostensiblement vers vous une poignée de ces engins maléfiques : détournez le regard. Le port de lunette teintée ne semble pas efficace.
Old par igor le 15 Avr 2003

foutu
pour foutu
autant
se défoncer
la gueule
en attendant
son heure
même si
ça la fait
arriver
plus vite

Old par igor le 09 Déc 2003

Honoré, tu me passes le PQ ?my left foot is a rascal but i love it like a fool
petite pièce minimaliste à jouer dans un sanctuaire incas en Amérique du sud

personnages :
Albert Jiron (un homme pas bien grand)
Gina Jiron (une femme pas bien grande)
Sylvie Jiron (une fille pas bien belle)
Honoré de Balzac (un grand homme)
le Choeur Antique (2000 incas authentiques chantant en mandarin dans le fond de la scène et répétant les dialogues en coeur après chaque réplique)

Acte 1 : Scène 1 : Un sanctuaire incas en Amérique du sud

Albert Jiron :
– Je me sens un peu balloné.
Gina Jiron (pensive):
– C’est l’altitude, chéri, ça va passer si tu pètes.
Albert Jiron :
– Je ne suis pas convaincu.
Sylvie Jiron :
– Là, sur ma gauche, quelque chose de terrible se passe.
Albert Jiron :
– Et cette enfant est si lourde, dieu, si lourde !
Gina Jiron :
– Sylvie, cesse de jouer avec les momies, le Choeur Antique nous regarde bizarrement.
Sylvie Jiron :
– Tout est si lourd…
Gina Jiron :
– Tu l’as toute débalée, stupide imbécile d’anarchiste merdique trop gatée. Que va dire le Guide du Routard. Petite vicieuse, ton père matte tes fesses.
Albert Jiron :
– Cette momie, elle me semble êtrange. Elle est si grande…
Honoré de Balzac :
– Arrrrrgh.
Le Choeur Antique (seul cette fois) :
– Arrrrrgh.
Albert Jiron :
– Elle est morte, Gina. Tu peux la lâcher.
Gina Jiron :
– Tout est si futile…

voile
(et à vapeur)

Old par igor le 12 Juin 2002

 

Igor, nappe de vomi potentiel couvert de paillettes.

Short par igor le 30 Juin 2012


lundi
ici, tenir mon journal
ici, ne raconter que ce qui est vrai
ici, ne pas mentir, ne pas pipoter
ici, ne pas embellir, ne pas salir
ici, être moi même, en vrai
ici, être une personne sans masque
ici, être moi pas pour de faux
ici, tomber les camouflages
ici, être Igor Tourgueniev

midi

Old par igor le 24 Fév 2003

« là ici »