"I seee dead bubble everywhere…"
Les célibataires qui habitent mon immeuble s’unissent physiquement avec d’anciennes créatures aquatiques venues de la mer à la nuit tombée.
Le bœuf c’est la maladie mangeuse de chair. Le poulet ça va. Enfin surtout à Montréal. Des études j’en fais pas trop aujourd’hui. Lire, non.
En toute chose il y a rythme. Dans le cas particulier du rythme de la tactique on ne peut l’atteindre sans s’exercer.
Au désir de renouer avec la toile, vacance : forme ?
petits jets de petites choses. Pour préserver comme
dirait l’autre, pas pour construire.
Impératif fatras, mélange,
c’est tout ce que je peux faire, et vaille que vaille.
Oui, parfois qualité douteuse. Gommage interdit.
les yeux exorbités? oui, les yeux exorbités. il s’avance. est-ce qu’il fait noir? un petit peu. il chreche un petit peu mais il voit assez. il a les yeux exorbités parce qu’il a hâte d’avoir vraiment peur. il avance, ses mains se transforment en serres de rapace. il est à moitié baissé, il a remonté le temps jusqu’à la préhistoire. et son jean le serre. il avance toujours, le cou tendu, tendu et tendu vers l’avant, ses dents sont serrées et découvertes, ses mains attrapent déjà quelque chose. Le couloir est un peu long et à moitié dans la pénombre, il a le temps de devenir l’assassin. il voit, il voit le couteau par terre, à manche de bois, un petit couteau pas très bien aiguisé. son corps contracté peut-il se pencher? il se plie, ses os craquent, ses muscles hurlent, il attrape le couteau, il est presque couché au milieu du couloir pour l’attraper, il rampe un peu, mais ses serres de charognard n’accrochent rien, il n’arrive plus à avancer, et son corps raidi ne peut plus se relever. son dos continue à se voûter, ses muscles durcissent.
c’est son ennemi qui attrape le couteau. il le tient fort et poignarde le dos, par terre. la lame se casse. cette viande est trop dure, impossible d’attaquer la bête. il bave maintenant et ses yeux exorbités tournent; il grogne. mais son corps est durci.
son ennemi s’esquive. il l’abandonne, vivant. vivant? ses yeux sont vivants, son coeur qui bat douloureusement, ses crampes, sa bave, ses ongles qui crissent, son sexe tendu aussi, ses nerfs qui l’emprisonnent. il ne se relèvera sans doute jamais, et il a vraiment peur maintenant. de mourir tard.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Par la fenêtre, au nord, une grande fumée grise, le grand incendie ?
Гости давно разъехались. Часы пробили половину первого. В комнате остались только хозяин, да Сергей Николаевич, да Владимир Петрович. Boum !
Igor et @troudair picolent sec. plixi.com/p/64419873
Je ne sais que penser de cette danseuse chinoise qui verse de la Téquila sur mon ordinateur.
Bien chère Ar*,
Vous savez comme ce rubicond faciès qui est le mien fut souvent le miroir d’une âme fameuse de ses joies, larges et généreuses tels ces fûts que l’on met en perce, en cette saison quand la vigne a donné ses fruits. Mais désormais, la seule émotion qui anime ce masque autrefois coquin, c’est la nostalgie ma chère. Et ce nez ample et charnu qui humait tous les fumets de la terre, de nos femmes et de leurs tables, s’est flétri. Et cette panse jadis fièrement enflée comme celle d’une pouliche lourde de son fruit s’est rétractée avec l’appétit. Jusqu’à ce gosier que vous louâtes aussi pour l’ampleur de son débit et qui ne sait plus que s’humecter petitement sans jamais reconnaître d’autre saveur que l’amer. Mais, perdre le goût ne m’a rendu ni sourd ni aveugle. Et je sais ô combien la tragédie qui vous a plongée dans l’obscurité vous a éprouvée et pourquoi elle nous a privé de votre faconde. Celle-là même qui s’alliait si bien à ce caractère épicé qui faisait ma nature. Je songe souvent à ces soirées d’automne sous les tonnelles de votre demeure aujourd’hui si silencieuse. Mais il a fallu que vous partiez à la rencontre de la lumière, en sa demeure que les français ont patiemment construit au fil de leur grandiose histoire, de leur exubérance et de ce goût pour le plaire. Ma chère Ar*, puissiez vous y cautériser vos plaies et laisser leur vin légendaire remplacer les saveurs passées que votre gorge ne saurait déglutir.
En effet, après m’être égoïstement épanché sur mes grosseurs de cœur, il me faut maintenant vous enjoindre de faire de ce voyage le purgatif de cette bile noire, pour vous, pour moi et pour l’amour de cette petite perle que vous me confiâtes ce soir-là. Mais, pour l’heure, c’est loin de notre honteuse patrie dont l’orgueil vous a si injustement spolié dans vos biens et votre cœur qu’il vous faut poursuivre cette œuvre de l’œil et de la plume dont on dit que Paris est le sanctuaire. Car sachez que ces efforts de lucidité, ce tranchant de rapière, fleuriront mieux la mémoire de notre regretté At* que nul chrysanthème.
J’aurai encore à vous dire combien l’évocation de ce Paris d’où vous m’écrivez me remplit de stupeur. Je ne sais si c’est l’émotion encore vive qui vous étreint ou si c’est la raison qui anime ce lugubre tableau que vous m’avez fait de votre exil. Notre imaginaire ne saurait s’accommoder d’un Paris sépulcral. J’espère donc que vous aurez tout le loisir de nous rassurer sur ce point dès que vous vous serez acclimatée. En ces heures sombres qui voient notre patrie sombrer dans le contentement de soi, l’autoritarisme et la violence, nous avons plus que jamais besoin de porter nos espoirs vers une terre promise.
Je vous quitte, ma chère Ar* en vous renouvelant la promesse que je tiendrai coûte que coûte, dussé-je me damner, d’élever cette enfant dans la dignité et le confort que procure l’espoir de jours meilleurs, à vos côtés.
Je prie pour vous, pour nos morts et notre patrie.
Az*
Cet homme là se fait passer pour Igor Tourgueniev…
La ressemblance est frappante… ça n’est pourtant pas lui.
Selon toute vraisemblance, ce « sosie » a été fabriqué par le clone de Zan…
Parole vaine du héros.
#52
Tentation de dépassement que l’impatience encourage à
se réaliser ; un grand coup de pied au maigre édifice,
une insouciance scandaleuse dans l’entrée aux portes du nouveau ;
c’est la clef d’une phrase différente ; mais je suis encore au même niveau ;
l’illusion d’avoir traversé des épreuves tombe, le pétrin
s’ouvre aux éternelles souffrances, je radote, je recommence.
If you’ve been hiding from love
If you’ve been hiding from love
I can understand where
You’re coming from
I can understand where
You’re coming from
If you’ve suffered enough
If you’ve suffered enough
I can understand what
You’re thinking of
I can see the pain that
You’re frightened of
And I’m only here
To bring you free love
Let’s make it clear
That this is free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
I’ve been running like you
I’ve been running like you
Now you understand
Why I’m running scared
Now you understand
Why I’m running scared
I’ve been searching for truth
I’ve been searching for truth
And I haven’t been
Getting anywhere
No I haven’t been
Getting anywhere
And I’m only here
To bring you free love
Let’s make it clear
That this is free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
Hey girl
You’ve got to take this moment
Then let it slip away
Let go of complicated feelings
Then there’s no price to pay
We’ve been running from love
We’ve been running from love
And we don’t know
What we’re doing here
No we don’t know
What we’re doing here
We’re only here
Sharing our free love
Let’s make it clear
That this is free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love
Igor rejouait encore et toujours la même scène en variant à l’infini les paramètres. tinyurl.com/y8zaf9f
Demain, vérifier l’absence de corps étranger maléfique
Ce soir, redescendre un peu sur terre
J’ai horreur des descentes…
Badinage et Billevesées
Pièce Idiote pour 6 acteurs en trois ou quatre actes, çà dépend des jours…
Acte Un
La belle Marine est au pied d’un arbre, Paul, Alaine et Laina s’en approchent.
Marine : Le soleil se lève, la brume estompe les fenêtres, le chat est parti, mistigri !
Piotr : Mais que racontes – tu ma belle ?
Laina : Chagrin des matins automnaux, feuilles ambrées tombant dans les ruisseaux : la belle se languit…
Piotr : Duquel ? C’est qu’ils sont nombreux les oiseaux voulant picorer notre perle océane !
Marine : De tous ! De tous mon nabot. Seuls, ils ne sont rien, poussières éthérées ne méritant pas l’ombre d’un regard mais unis…fous de désir ne serait ce qu’à mirer mon ombre ; quelle magnifique sarabande !
Alaine : Et là voilà, coquette imbue de son reflet, brisant les cœurs en toute connaissance de cause, juge, juré et bourreau !
Laina : Il est vrai, petite sœur – roseau, que la modestie n’étouffe pas ta langue, toi qui ne nous laisses que le Piotrot, demi homme devant contenter tant de femmes aux appétits insatiables.
Piotr : Et dieu sait que cette activité me prend tout mon temps, moi qui n’aspirais qu’à prélasser et regarder les arbres pousser…
Marine : Fi donc, homme – champignon ! Ne me dis pas que pour toi il puisse s’agir de torture, je n’en croirais traître mot, aussi vrai que mes amants sont aussi nombreux que les étoiles dans le ciel !
Laina : Bougresse, il ne faudrait tout de même pas exagérer ! Ou alors c’est que le ciel nocturne n’éclaire que bien peu….
Alaine : Ou que le jour est perpétuel…
Piotr : Voire que tu es affublée d’une terrifiante cécité…
Marine : Médisants ! Laissez moi donc pleurer l’absence de mes doux compagnons et partez vaquer à vos occupations.
Les Trois : Très bien maîtresse, ordonnez et nous obéissons.
Ils partent bras dessus, bras dessous, en riant.
Women
Les petites vieilles s’entretuaient devant ma porte. Que pouvais-je dire ou faire ?
Les séparer ? J’en étais capable. Mais une vicieuse me fit un croc en jambe.
Je tombai sur le parquet. Me relevant, j’en giflai une. Les autres se mirent à pleurer.
J’éclatai aussi en sanglot. Elles profitèrent de mon abattement
pour se remettre à se battre.
« J’ai appris qu’elle fréquentait un autre garçon ;
je me suis dit que mon manque de bravoure
m’avait fait gâcher une occasion.
Je vais lui déclarer, mon amour,
maintenant qu’il n’y a plus d’enjeu.
J’en sais trop rien, je pense
que je garderai le silence,
je ne suis pas suffisamment courageux. »
« Dis pas ça »
tranches de flux
les pilules bourdonnent c’est divin la table clignote elle dit l’éclat « keep on your brightness & stay calm ou la télécommande bzz » encore et chaque beat grave à peine martial me stroboscope la perception en gris : j’attends le cliquetis alors je ronge mes os dans la plaine expectative
Inforrrme et terrrible.
Le père est sympa avec les amies de Martine. La mère ne dit mot. Bouche cousue. Dans la remise on chante. Paix.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier!
C’était un homme qui portait BALAFRE.
Tout simplement.
Un homme à l’élégance d’homme.
Un homme qui même pour sa toilette voulait des produits d’homme.
Il aimait BALAFRE : c’était un homme.
BALAFRE : une senteur fine et épicée, originale,
Eau de toilette.
After-Shave.
Savon.
Avalanche
ils sauront me trouver avec leur coordination acoquinée depuis peu
Carver, écroulé sur le cadre. Carver pédalant à fond, rattrape son retard. Dans son sang, mille dopants. Derrière, les premières explosions.
Le Diable est plus terrifiant que tout ce qu’on peut imaginer.
Oui, je crois à l’enfer, à la souffrance.
Je vais te raconter l’histoire de la fete des morts.[…]
…Un jour, un navire vint secourir le pélerin et le liberer de cette ile effroyable.
De retour à Venise, il alla voir Saint Odilio, un très grand homme, très pieux, de cette époque lointaine.
Le pélerin lui expliqua qu’il suffisait d’une prière pour liberer une ame des tourments du purgatoire.
Le Saint ordonna que, désormais, un jour par an soit réservé à de telles prières.
Voilà pourquoi les catholiques sont à San Michele cette nuit.
hey les tourguenistes!
comme kronstruc’
je vous aime
moi non plus…
Sortez de vos conapts, accrochez la photo du gourou barbu sur le mur du dojo, commencez-continuez à pratiquer la self defense intellectuelle
Et dans le ciel, une ville.
What happened to the design?
To know more about why styles are disabled on this website visit the
Annual CSS Naked Day website for more information.
Saint Grégoire
Nicolaï vient de péter la mise en page,
ça va pas être facile pour ceux qui
écrivent des phrases longues
sans sauter des lignes à la mano
enfin moi je m’en fous, je sais plus
en faire des phrases longues
entraînant un mal de tête et des torticolis
aux lecteurs avachis dans le canapé-trouvé
et qui picolent/rigolent en avalant champis
et ecstasy, les pauvres, moi je les plains et
je voudrais pas être à leur place :
Lecteur ce héros.
À chacun son temps (on ne vit que pour l’amour).
Madame, Monsieur,
Suite à une visite sur votre site et aux annonces parues dans divers journaux, je me permets de poser ma candidature pour l’emploi d’animapeur.
Cet emploi m’intéresse pipement et je crois répondre aux conditions exigées.Je suis actuellement directeur adjoint dans un centre aéré depuis le 9 Mars 2003, après avoir exercé successivement diverses responsabilités et compétences dans les secteurs suivants :
L’animation, le sport, le commerce.
Je nouhaiterais rapidement saisir une opportunité dans un domaine où je pense détenir une forte marge de progression.
Je pense que vous pouvez m’aider à concrétiser cette ambition et en profiter directement dans vos propres projets.
Je joins mes références à la présente et me tiens à votre dispoplution au cas où vous aimeriez me rencontrer afin que nous puissions évoquer mes vacances en Sardaigne, à Saint-Denis, Villeneuve de Montrou ma mère mes soeurs, ahem, les différentes perspectives possibles et vous en remercie par avance.
Je vous prie Madame, Monsieur de croire en ma considération fortement distinguée.
(Trouduc va. Ta mère en string qui joue au bingo. Ton fils en pyjama dans sa douche.)
Arnold Stain.
Tonight We Fly
ah ben non…
Lexical fields of the Nephilim
« – Mais qu’est-ce qui t’arrive, bordel, tu as vu ta tête ? T’as vu un fantôme, y a un macchabe qui t’a parlé, « you see dead people everywhere » ?
– j’en ai vu. C’était pas y a vingt ans, c’était pas dans une armoire en plastique ou dans une vieille R16 verte, c’était pas dans le filtre de l’aspirateur ou dans les circuits internes de la radialva pourrie du salon, c’était pas sous l’escalier de la cave ou dans la cheminée de la chaudière, c’était hier, c’était hier soir et c’était dans la bonde du lavabo. J’ai pas halluciné, je suis pas fou, j’en ai vu, c’était là.
– accouche, parce que là je suis pas sûr de te suivre, et j’ai un cours de componction ce soir, faut que je me prépare.
– des poils putain !! Des poils rouges et rêches, j’en ai revu hier, hier soir avant de me coucher, hier soir, des poils rouges, une putain de componction touffue. Je suis monté dans la salle de bains sur orbite, j’étais d’ailleurs un peu en apesanteur, passons, et j’ai fait tomber le capuchon d’un tube de dentifirce dans le siphon. Bling-giding. Une sorte de componction sonore. Alors j’ai commencé par regarder dans le trou pour voir si le capuchon restait à portée, parce que le dentifirce qui sèche, je sais que c’est un classique mais quand même, c’est dégueulasse. A force, ça fait du plâtre, des croûtes de plâtre, avec un petit peu de componction autour. Donc je voulais récupérer le capuchon, parce que je dois lutter contre mes tendances porkasses, un peu, quand même, et que la componction c’est crade. Je voulais voir si je pouvais le choper avec une pince à épiler, un tournevis, ou un componcteur. Sauf que je l’ai pas vu, ce putain de capuchon. A la place, y avait comme une mousse humide, une espèce de componction fibreuse, qui obstruait le conduit. Je distinguais pas bien, mais au bout d’un moment j’ai vu, j’ai bien vu qu’elle était rouge, la mousse, et que c’était pas de la mousse, mais des putains de poils rouges et rêches. Pas beaucoup, une petite touffe, à peine componctive, mais cette putain de touffe rouge ; ils sont revenus, ils flottent tous les fils de pute en bas, et ils sont revenus, ces saloperies de poils rouges et rêches tu peux pas savoir le choc que ça m’a collé, à cette heure-ci j’en ai encore la gerbe. Je suis resté québlo pendant trois ou quatre minutes, l’oeil dans le siphon : paralysé, comme saisi de componction.
– t’es à l’ouest, sérieux. Tu me dis que les conneries avec lesquelles tu me bassines depuis des mois, tes spores zarbis à tendance « présence maléfique », sont réapparus dans ta station orbitale à la con ? Et que ça te fait flipper ? T’es sûr que t’as pas vidé un cendrier plein, un reste de componction, ou une connerie comme ça dans ton lavabo ? T’as pas ramené une punkoïde défoncée qui s’est passé la crête sous l’eau ? Tu me joues quoi, là, « les Profanateurs de Cadavre Contre-attaquent Encore et Cette Fois ils sont Déguisés en Descente de lit » ? T’es au courant que tes propos sont, comment dire, légèrement délirants ?
– des poils rouges, merde. C’était rien d’autre, c’était des poils, mouillés, rouges, gluants, flippants. J’ai pas pu démonter le siphon, je me suis barré. Fous-toi de ma gueule si ça t’amuse, mais moi j’étais tellement retourné que j’ai tracé, le regard vide, la lèvre tremblotante, les mains moites, la componction palpitante, comme si j’avais reçu un texto des Iad Uroboros qui m’annonçaient rien qu’à moi qu’ils allaient traverser le continuum espace-temps pour venir nous anéantir, comme si je manquais tout à coup de componction, comme si…
– eh mais t’es défoncé, toi. Attends, stop, pondère, là t’es sorti des rails, je comprends rien. T’as foutu le camp de chez toi ?
– oui, et en courant. Fuck le dentifirce. Je suis repassé en fin de matinée, je suis monté en claquant des dents, j’avais le coeur à trois cent, l’appart n’a jamais été aussi silencieux et sombre, j’avais la componction à zéro, mais j’y suis allé. Et plus de poil rouge dans le siphon. Rien.
– et le capuchon ?
– nan, rien.
– aoh, c’est con, ça va faire du plâtre, finalement.
– j’en peux plus, je sais plus à quelle componction me vouer. C’est vraiment flippant et toi tu te marres.
Plus sympa que Starac et Popstar :
COSTES-STAR
(costard ?)
Tu veux monter sur scène,
partir en tournée et être une vraie STAR !
C’est possible et vite !!
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PROCHAIN SHOW DE COSTES A PARIS
Le culte de la Vierge – opera porno-social
avec Costes, Giulio Nesi, Marie-Claire Cordat
SAMEDI 18 JANVIER 2003 – 20H30 – Prix : 8 euros
aux INSTANTS CHAVIRES – 7 rue richard lenoir – montreuil
métro robespierre
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Nous cherchons une fille pour jouer dans le show.
Disponible de janvier à début juillet 2003 – 40 shows à faire en europe.
Contacter costes@costes.org
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A la campagne, les Furieuses Forces Fédérées, devaient souvent se contenter de peu. Trop peu. tweetphoto.com/35834900
je me demande : pourquoi on fait ça ?
je me demande : pourquoi on lance ces petits messages ?
je me demande : pourquoi on poste ?
je me demande : pourquoi on s’illustre ainsi ?
je ne comprends vraiment pas : pourquoi on s’obstine ?
je te demande : à quoi ça sert ?
miaow
. . . . . . . .
La statue de la Liberté avait dès sa conception été équipée d’un discret système de motorisation. La robe, d’un bloc, ne permettait pas, bien entendu, une progression imitant un pas humain. En revanche, des roues rétractables couplées à une dynamo lui autorisaient un déplacement lent mais efficient sur une centaine de kilomètres. De même, la tête et les bras disposaient d’articulations assez élaborées bien que terriblement bruyantes. Le cristal placé à l’intérieur du flambeau pouvait, le cas échéant, libérer une énergie comparable à celle d’un éclair, et se rechargeait à l’aide du soleil. L’ensemble était manoeuvrable depuis la France, grâce à un réseau de fils cuivrés plongeant sous l’Atlantique. Pourtant, quand le gouvernement français décida de détruire New York dans un accès de folie, en 1923, la statue était tellement corrodée par l’air marin et les dépôts salins qu’elle ne bougea pas d’un pouce.
larguez les amarres!
-et aussi: jetez l’ancre, on en a trop besoin pour ne pas la laisser couler…
-mais, par quoi commencer moussaillon?
-les deux mon capitaine!
Minuit pile
L’absinthe renferme un marteau à bomber le verre menthe caverneux amer, l’absinthine, et de 0,20 à 0,50 p. 100 d’une huile essentielle très aromatique, aux tuiles de sept lieues de crachat open source de plumeau dentaire juvénile vinaigrette de chaussures vernies érogènes en coin laser nombreux, les plus notables étant un coquetier d’abeilles à came ambidextre gonflable, le gargariser tue-mouches d’encens, et l’ectoplasme de son noeud coulant coulant d’asphalter toilette, l’agrafeuse. Cette dernière substance, poison de l’insecte coprophage d’épiciers nerveux, convulsivante (12 g d’essence provoquent une mycose 4 fromages divergente épileptiforme chez l’homme), fait de gibecière de genouillères de mine anti-personnel une poule d’eau à tarte détachable de binette en biais à tamiser à barbe d’orange toxique à forte dose. L’absinthe des sportifs d’agneau à la vieille mansarde électriques du temps de Zola, qui associait l’essence de casque à pointe de patinoire municipale secret espagnol d’organes à celles, non moins dangereuses, de runes d’accélérateur de pépites de chocolat hystériques, du petit bonhomme vert, d’angine, etc., était un mille-pattes cocktail de belles mécaniques explosives de l’arc-en-ciel de clémentine rouges marseillais responsable de bien des pseudopodes d’assaut tremens.
Quel avenir pour le tourguenisme substantialiste ?
Prémisces du tourguenisme transcendental.
Cette problématique nous permet d’appréhender un confusionnisme post-initiatique de la pensée individuelle.
Notons par ailleurs qu’on ne saurait assimiler, comme le fait Hegel, le tribalisme génératif à un tribalisme rationnel. On ne peut que s’étonner de la manière qu’a Kant de critiquer le tribalisme irrationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu’il interprète la conception irrationnelle du tourguenisme.
Néanmoins, il s’approprie la démystification métaphysique du tourguenisme, et la perception spinozienne du tourguenisme est d’ailleurs à rapprocher d’une représentation synthétique du créationisme minimaliste. Cependant, il décortique le créationisme de la pensée individuelle. La vision montagovienne du tourguenisme découle donc d’une intuition rationnelle du créationisme transcendental.
Par ailleurs, on ne saurait écarter de cette étude la critique du créationisme par Spinoza. Cependant, Spinoza réfute l’expression transcendentale du tourguenisme, et le tourguenisme illustre d’ailleurs un créationisme existentiel de l’individu.
Néanmoins, il rejette la démystification circonstancielle du tourguenisme, car d’une part Jean-Jacques Rousseau donne une signification particulière à la relation entre innéisme et conscience, d’autre part il s’en approprie l’expression minimaliste dans son acception empirique.
Par ailleurs, on ne peut que s’étonner de la manière dont Kant critique l’extratemporanéité spéculative, et on ne peut que s’étonner de la manière qu’a Hegel de critiquer le criticisme, il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il réfute la réalité subsémiotique du tourguenisme.
Notre hypothèse de départ est la suivante : la perception hegélienne du tourguenisme est à rapprocher d’une représentation primitive de l’extratemporanéité originelle. Il en découle qu’il interprète la réalité primitive du tourguenisme.
Notons par ailleurs qu’on ne saurait ignorer l’influence de Montague sur l’extratemporanéité substantialiste pour la resituer dans le cadre politique et social qu’elle véhicule.
On ne saurait, par déduction, ignorer l’influence de Leibniz sur le kantisme.
Cependant, il spécifie l’analyse spéculative du tourguenisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, le kantisme universel à un kantisme, contrastons néanmoins cette affirmation : s’il systématise le kantisme rationnel de l’Homme, c’est également parce qu’il en spécifie la réalité synthétique en tant que concept empirique de la connaissance bien qu’il identifie la démystification phénoménologique du tourguenisme.
Si on ne saurait reprocher à Spinoza sa passion métaphysique, il se dresse néanmoins contre la dialectique substantialiste de l’individu bien qu’il systématise néanmoins la réalité circonstancielle du tourguenisme et il en particularise en effet l’origine spéculative en tant que concept subsémiotique de la connaissance.
Dans cette même perspective, on ne peut contester l’influence de Chomsky sur la dialectique idéationnelle pour l’analyser en fonction du connexionisme post-initiatique.
On ne peut, par déduction, contester l’impulsion nietzschéenne du connexionisme sémiotique.
C’est ainsi que Nietzsche s’approprie l’origine du tourguenisme, car le tourguenisme ne synthétise qu’imprécisément la dialectique universelle.
Notons par ailleurs que Kierkegaard réfute la destructuration circonstancielle du tourguenisme. Néanmoins, il spécifie la relation entre antipodisme et connexionisme, et la perception bergsonienne du tourguenisme découle d’ailleurs d’une représentation métaphysique du connexionisme subsémiotique.
Néanmoins, il se dresse contre la réalité irrationnelle du tourguenisme, car c’est le fait même que Rousseau interprète l’abstraction universelle en tant que concept subsémiotique de la connaissance qui nous permet d’affirmer qu’il en systématise l’origine empirique en regard de l’abstraction.
Pourtant, il interprète la destructuration universelle du tourguenisme ; l’abstraction métaphysique ou le minimalisme ne suffisent ainsi pas à expliquer le minimalisme post-initiatique en tant que concept universel de la connaissance.
Si le tourguenisme substantialiste est pensable, c’est il s’en approprie, par ce biais, la réalité existentielle dans son acception hegélienne.
C’est dans cette même optique qu’on pourrait, par ce biais, mettre en doute Rousseau dans son approche synthétique de l’abstraction et le tourguenisme ne se comprend, par ce biais, qu’à la lueur de l’abstraction subsémiotique.
Vers une théorie du tourguenisme originel.
Le tourguenisme ne se comprend qu’à la lueur de l’abstraction minimaliste.
De la même manière, Henri Bergson décortique la destructuration universelle du tourguenisme. Si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il rejette la destructuration morale du tourguenisme, et qu’ensuite on accepte l’idée qu’il s’en approprie l’aspect rationnel sous un angle rationnel tout en essayant de l’opposer à son contexte social et politique, alors il spécifie la réalité générative du tourguenisme.
Il est alors évident qu’il envisage l’origine du tourguenisme. Notons néansmoins qu’il en particularise l’analyse substantialiste dans son acception circonstancielle, et le tourguenisme nous permet d’ailleurs d’appréhender un minimalisme primitif de la pensée individuelle. C’est dans cette même optique qu’il examine l’origine du tourguenisme, car le physicalisme déductif ou le confusionnisme ne suffisent pas à expliquer le confusionnisme dans une perspective nietzschéenne.
Le tourguenisme pose, par ce biais, la question du confusionnisme idéationnel sous un angle originel, et cela nous permet d’envisager qu’on ne saurait reprocher à Bergson son confusionnisme moral.
Le paradoxe du confusionnisme illustre pourtant l’idée selon laquelle le confusionnisme synthétique et le confusionnisme ne sont ni plus ni moins qu’un confusionnisme transcendental primitif.
C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme idéationnel le tourguenisme (voir » du tourguenisme moral « ).
Cela nous permet d’envisager que Leibniz s’approprie la réalité post-initiatique du tourguenisme, et premièrement Chomsky se dresse contre le physicalisme sous un angle empirique; deuxièmement il en systématise la démystification rationnelle dans une perspective montagovienne contrastée alors qu’il prétend la resituer dans toute sa dimension sociale et intellectuelle. Par conséquent il rejette la destructuration primitive du tourguenisme.
Il faut cependant contraster ce raisonnement : s’il identifie la démystification post-initiatique du tourguenisme, c’est aussi parce qu’il en spécifie l’expression existentielle dans sa conceptualisation tout en essayant de l’opposer à son contexte intellectuel, et le tourguenisme ne se borne pas à être un confusionnisme génératif dans une perspective kantienne.
On ne saurait, par ce biais, assimiler, comme le fait Montague, le confusionnisme universel à un physicalisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu’il s’approprie le confusionnisme sémiotique sous un angle existentiel bien qu’il particularise l’expression spéculative du tourguenisme.
C’est dans une optique similaire qu’il conteste l’origine du tourguenisme et le tourguenisme ne se comprend donc qu’à la lueur du confusionnisme primitif.
Cela nous permet d’envisager qu’il décortique la destructuration circonstancielle du tourguenisme, car comme il semble difficile d’affirmer que Montague donne une signification particulière à un confusionnisme sémiotique en regard du confusionnisme alors même qu’il désire critiquer le physicalisme post-initiatique, de toute évidence il réfute l’analyse phénoménologique du tourguenisme.
C’est dans une finalité similaire qu’il identifie l’analyse existentielle du tourguenisme, et on ne peut que s’étonner de la manière dont Leibniz critique le physicalisme substantialiste, pourtant, il est indubitable qu’il décortique la conception générative du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il en conteste la démystification primitive dans sa conceptualisation.
Le fait qu’il examine la destructuration idéationnelle du tourguenisme signifie qu’il en caractérise la réalité métaphysique en regard du confusionnisme.
C’est dans cette même optique qu’on peut reprocher à Leibniz son physicalisme post-initiatique pour le resituer dans le cadre social et intellectuel.
On ne saurait, pour conclure, écarter de cette étude l’impulsion bergsonienne du physicalisme.
De la même manière, Sartre donne une signification particulière à la relation entre science et mesmerisme, car premièrement Jean-Paul Sartre réfute la réalité rationnelle du tourguenisme, deuxièmement il en donne une signification selon l’expression transcendentale sous un angle minimaliste bien qu’il examine le confusionnisme rationnel de l’Homme. Il en découle qu’il réfute la réalité empirique du tourguenisme.
Si on pourrait mettre en doute Rousseau dans son approche rationnelle du confusionnisme, il examine pourtant la réalité rationnelle du tourguenisme et il en identifie ainsi l’origine spéculative dans une perspective kantienne.
Pourtant, il est indubitable qu’il rejette la relation entre suicide et minimalisme. Notons néansmoins qu’il en décortique la réalité primitive en tant que concept déductif de la connaissance, et le finalisme sémiotique ou le finalisme ne suffisent pas à expliquer le finalisme en tant que concept irrationnel de la connaissance.
Nous savons qu’il donne alors une signification particulière à la destructuration phénoménologique du tourguenisme, et d’autre part, il en particularise la réalité déductive sous un angle empirique. Par conséquent, il spécifie la réalité subsémiotique du tourguenisme pour la resituer dans sa dimension sociale et politique.
Ainsi, il caractérise le finalisme spéculatif par son finalisme primitif et le tourguenisme s’appuie donc sur une esthétique circonstancielle dans sa conceptualisation.
Prémisces du tourguenisme subsémiotique.
D’une part Jean-Jacques Rousseau conteste l’esthétique empirique dans sa conceptualisation, d’autre part il en décortique la réalité déductive dans son acception métaphysique.
Cela nous permet d’envisager qu’il caractérise l’esthétique minimaliste par son finalisme métaphysique, et on ne saurait ignorer l’impulsion spinozienne du finalisme primitif, contrastons néanmoins cette affirmation : s’il restructure la conception sémiotique du tourguenisme, il est nécessaire d’admettre qu’il en rejette la démystification irrationnelle en tant qu’objet rationnel de la connaissance.
Comme il semble difficile d’affirmer qu’il systématise l’analyse transcendentale du tourguenisme, il est manifeste qu’il systématise le finalisme rationnel en regard du finalisme bien qu’il caractérise le finalisme par son esthétique existentielle.
Cela nous permet d’envisager qu’on peut reprocher à Rousseau son finalisme universel pour l’opposer à son cadre intellectuel et politique l’esthétique.
Le tourguenisme nous permet, finalement, d’appréhender un finalisme dans sa conceptualisation. Pourtant, il est indubitable qu’il rejette la relation entre distributionnalisme et liberté. Il convient de souligner qu’il en conteste la réalité primitive en tant qu’objet phénoménologique de la connaissance, car le paradoxe du spinozisme originel illustre l’idée selon laquelle le spinozisme génératif n’est ni plus ni moins qu’un spinozisme subsémiotique phénoménologique.
Par ailleurs, on ne peut contester l’influence de Rousseau sur le spinozisme empirique.
On pourrait mettre en doute Chomsky dans son approche substantialiste de la géométrie, et premièrement Kierkegaard conteste l’expression existentielle du tourguenisme; deuxièmement il en décortique la réalité rationnelle comme concept idéationnel de la connaissance bien qu’il décortique la conception transcendentale du tourguenisme. De cela, il découle qu’il caractérise la géométrie métaphysique par son spinozisme sémiotique.
Le tourguenisme ne peut néanmoins être fondé que sur le concept de la géométrie.
Dans cette même perspective, on ne saurait reprocher à Bergson son spinozisme primitif.
Notons par ailleurs qu’on ne peut que s’étonner de voir Chomsky critiquer le spinozisme synthétique, et le tourguenisme ne peut être fondé que sur le concept du spinozisme rationnel.
On ne saurait donc écarter de la problématique la critique du spinozisme originel par Spinoza, et c’est le fait même que Jean-Jacques Rousseau donne une signification particulière à l’origine du tourguenisme qui nous permet de rejetter l’hypothèse qu’il en systématise l’origine subsémiotique sous un angle sémiotique.
Le tourguenisme ne peut, de ce fait, être fondé que sur le concept de la géométrie universelle.
Pourtant, il spécifie la destructuration métaphysique du tourguenisme dans le but de la resituer dans le contexte intellectuel et politique.
En effet, on ne saurait reprocher à Descartes son spinozisme rationnel. Le fait que Rousseau examine néanmoins l’origine du tourguenisme signifie qu’il s’en approprie l’expression métaphysique dans une perspective leibnizienne.
On ne peut considérer qu’il systématise la relation entre syncrétisme et géométrie sans tenir compte du fait qu’il en conteste la démystification générative en tant qu’objet irrationnel de la connaissance.
Néanmoins, il caractérise la science par son synthétisme synthétique, et le synthétisme ou la science ne suffisent pas à expliquer le synthétisme déductif dans sa conceptualisation.
Nous savons qu’il réfute en effet l’analyse primitive du tourguenisme. Or il en conteste l’origine métaphysique comme concept spéculatif de la connaissance, c’est pourquoi il conteste la conception irrationnelle du tourguenisme pour la resituer dans le cadre social et politique.
Par ailleurs, il s’approprie la démystification universelle du tourguenisme afin de supposer le synthétisme génératif.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s’il s’approprie l’origine du tourguenisme, c’est également parce qu’il en particularise l’expression circonstancielle en tant qu’objet subsémiotique de la connaissance, et la perception leibnizienne du tourguenisme s’apparente à une intuition universelle de la science primitive.
Ainsi, Nietzsche restructure l’origine du tourguenisme. Pourtant, il serait inopportun d’ommettre qu’il donne une signification particulière à la destructuration spéculative du tourguenisme, et le tourguenisme ne saurait d’ailleurs se comprendre autrement qu’à la lueur du synthétisme spéculatif.
Notons par ailleurs qu’il rejette la science existentielle de l’Homme. Notre hypothèse de départ est la suivante : le tourguenisme s’oppose, de ce fait, fondamentalement au synthétisme génératif. Par conséquent il examine l’analyse spéculative du tourguenisme.
Le fait qu’il examine l’origine du tourguenisme signifie qu’il réfute l’expression universelle dans sa conceptualisation.
Il faut cependant mitiger ce raisonnement car il examine l’analyse circonstancielle du tourguenisme ; le tourguenisme ne peut, par ce biais, être fondé que sur le concept de la science.
Notre hypothèse de départ est la suivante : le tourguenisme s’appuie en effet sur une science en regard du synthétisme. C’est alors tout naturellement que Emmanuel Kant restructure l’expression métaphysique du tourguenisme.
Cela nous permet d’envisager qu’il décortique l’analyse transcendentale du tourguenisme et le tourguenisme permet, de ce fait, de s’interroger sur un synthétisme en regard du synthétisme.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il examine la destructuration existentielle du tourguenisme. Comme il est difficile d’affirmer que Jean-Jacques Rousseau identifie, par ce biais, l’origine du tourguenisme, il semble évident qu’il spécifie l’expression sémiotique du tourguenisme.
Cela nous permet d’envisager qu’il s’approprie l’expression synthétique du tourguenisme, et on ne peut contester la critique rousseauiste de la science, pourtant, il serait inopportun d’ommettre que Montague donne une signification particulière à la relation entre monogénisme et créationisme.
De la même manière, il s’approprie la relation entre spinozisme et liberté et premièrement il caractérise la science par sa science empirique; deuxièmement il en systématise la destructuration spéculative sous un angle métaphysique. Il en découle qu’il décortique la science sous un angle idéationnel bien qu’il interprète la science en tant que concept idéationnel de la connaissance.
On ne peut, pour conclure, que s’étonner de la façon dont Leibniz critique la science. fin.
Nota Bene
Les affaires de l’âme ne nous concernent pas ;
Le compte-rendu de votre intimité, non plus.
La fiction nous fatigue.
L’espoir se dérobe sous tes pas… Le chagrin qui trouble ta voix déchire la brûlante tendresse de tes bras. tinyurl.com/bon-esprit
Carver tremblait de froid, de faim et d’excitation. Mina pelletait la neige sous les arbres. Igor : insomnie.
![]() |
Le Pakistanais ou l’Indien qui vend dans le métro de petits talismans hypnotiques est-il un extra-terrestre (intra-terrestre) cloné 10000 fois. Ces petites choses violettes de formes cristallines qui clignotent de manière régulière peuvent-elles être vraiment achetées ou servent-elles uniquement à nous téléguider au travers des couloirs du métropolitain ou même à permettre notre total contrôle depuis Alpha du Centaure (le centre-terre) ? Si vous croisez l’un de ces personnages dirigeant ostensiblement vers vous une poignée de ces engins maléfiques : détournez le regard. Le port de lunette teintée ne semble pas efficace.
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L’affaire du clone (suite)
Non seulement mon clone semble lire ces lignes, mais il lui arrive de les écrire !
En effet mon dernier post n’était pas de moi, mais c’était bien lui qui se sert de mon
code d’accès pour brouiller les pistes !!!
Mina, Carver et l’empowerment. Limite ça coûte rien d’essayer. Alors allons-y.
L’homme à la tête de chat fréquente une femme et l’amante de celle ci. Ils sont bons amis. Il fait ronron.
Dans un café de la gare de Lyon, à mes pieds, un moineau
très loin du ciel, sautille sur le revêtement caoutchouteux et bullé.
Donc on est pas dimanche. Mais c’est la nuit. La nuit des asperges confites.
Le ciel dans une chambre
Quand tu es près de moi,
Cette chambre n’a plus de parois,
Mais des arbres oui, des arbres infinis,
Et quand tu es tellement près de moi,
C’est comme si ce plafond-là,
Il n’existait plus,
je vois le ciel penché sur nous…
qui restons ainsi,
Abandonnés tout comme si,
Il n’y avait plus rien,
non plus rien d’autre au monde,
J’entends l’harmonica…
mais on dirait un orgue,
Qui chante pour toi et pour moi,
Là-haut dans le ciel infini,
Et pour toi, et pour moi
(…)
CBruni
Interview de François «FunkMaster» Hollande, premier secrétaire du Carnaval socialiste
Par Jean-Pierre «Lavable en machine» Elkabbach
Cent jours après la fistule de Jean-Pierre «Poï Poï» Raffarin à Matignon, François «A quelle heure passe le bus ?» Hollande, interrogé par Jean-Michel «Le magasin est interdit aux chiens» Dhuez, fait un premier bilan de la caricature au cachet de la poste. Il dénonce une photocopie fiscale invraisemblable, la peinture à l’huile des gourdes, la fin des kinder surprise jeunes, ou encore une cystite de moteur turbo-diesel sur la clarinette à revoir… Et en profite pour dire toute son punk à l’aile avant-droite d’Air France.
« Mais vous êtes fous ? »
acharnement
acharnement
acharnement
acharnement
acharnement
acharnement
acharnement
Oedipe ne perdit-il pas ses yeux à force d’acharnement?
Martine Aubry retrouve son labrador 12 ans après qu’on lui a volé. Un message de la SPA de Longvic. « C’est à propos de votre chien ! » #eu09
LE PROBLEME DE LA RECIPROCITE
« Les garçons veulent juste coucher avec les filles. » (Bruno de Stabenrath dans Paris Obs du 18 au 24 mars 2004)
< Histoires d’O >
« LA REINE
Au-dessus du ruisseau penche un saule, il reflète
Dans la vitre des eaux ses feuilles d’argent
Et Ophélie les tressait en d’étranges guirlandes
Avec l’ortie, avec le bouton d’or,
Avec la marguerite et la longue fleur pourpre
Que les hardis bergers nomment d’un nom obscène
Mais que la chaste vierge appelle doigt des morts.
Et elle et ses trophées agrestes sont tombés
Dans le ruisseau en pleurs. Sa robe s’étendit
Comme insensible à sa grande détresse
Ou, comme un être fait pour cette vie de l’eau.
Mais que pouvait durer ce moment ? Alourdis
Par ce qu’ils avaient bu, ses vêtements
Prirent au chant mélodieux l’infortunée,
Ils l’ont donnée à sa fangeuse mort.
LAERTE
Hélas, elle est donc noyée ?
Tu n’as eu que trop d’eau déjà pauvre Ophélie,
Et c’est pourquoi je retiens mes pleurs. »
où l’échochor n’indente seulement la répétition
l’épilepsie étêtée
la descqente
Et nos frissons partagés. Igor, sous la pluie, ouvre ses cadeaux. Mina, au soleil, manœuvre le lourd dirigeable. Nue. t.co/0Zgom1FU
Mina, soutenant un Igor bien mal en point, hésite quant à la façon de quitter la ville assiégée. Elle opte pour un dirigeable serbe rapiécé battant pavillon japonais en partance pour les états libres du Canada. Igor, en sueur, regrette la nuit passée, pupilles folles et murs nus.
Mardi, Mina lève le voile. Igor ignore le danger. Carver, explicitement, est homme et femme. Dehors, il pleut.
Mort amoureuse, passage du coit au cercueil,
vieillissement prématuré de ton sein droit que
j’aime encore, échange de salive et d’instants
momifiés dans ma mémoire, existences.
PLUSIEURS VIES VECUES ENTRE DEUX PHRASES !
Pitichat il aime le foot aussi
et moi j’aime Pitichat…
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
freakshow (chaud)
ceci n’est pas un mammifère (a cheval).
TROC
vu hier au IKEA villiers
sur le mur des petites annonces:
je souhaite échanger:
un peu d’amour
contre
un peu d’eau fraiche.
Et soudain tout s’arrête. Les habitants sortent de l’abri en rang par deux arborant leurs plus chatoyantes couleurs, se dirigent vers les arènes irradiées, oubliant soudainement l’humiliation. Les ruines sont pleines de mutants. On sert le vin. La neige est noire, le roi est nu.