je crois que je suis allergique à l’héroïne : à chaque fois que j’en prends, je me sens tout bizarre.
Je vais te poser trois questions. Et la maison va brûler. Et les garçons vont crier. Et on tuera tous les affreux. Et tu me répondras. Fin.
Paramaribo, 1982
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Igor Tourgueniev hante les rues de la capitale depuis déjà deux mois, ne restant que le moins possible dans la chambre miteuse de son hôtel près de la gare centrale. Ses prises sont de plus en plus rapprochées et ses déambulations de plus en plus aléatoires entre les « maisons » qu’il fréquente. Ses ongles et ses cheveux tombent depuis déjà deux semaines et il ne s’exprime plus que par bruits de bouche et jappements indistincts. Il bave et doit souvent voler pour pouvoir continuer à se fournir. Parfois dans son regard brille encore l’Aventure.
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So today …
… back to the roots
guerre et pets
Mets ton masque à gaz Sokolov
Que tes fermentations anaérobies
Fassent éclater les tubas de ta renommée
Et que les vents irrépressibles
Transforment abscisses et ordonnées
En de sublimes anamorphoses
Dormir. Sommeil. Non.
Ce matin, à 5 heures, heure de Paris, Joseph Google est mort, seul, dans son petit appartement du 19ème. L’odeur est penible, sinueuse. #bim
Mina, les deux zozos, établissent les modifications géographiques nécessaires. t.co/iJKXNBUDyB
Pleurent Belle et Sébastien.
Dans les boites d’interim
il n’y a que 4% d’interim !
le reste c’est : « jobs et autres sous-produits d’emploi » !
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Socrate-la-Torpille dit :
ja men jeg kommer ikke inn, får bare feilmelding, må jeg bruke ms?
Socrate-la-Torpille dit :
oups excuse
Socrate-la-Torpille dit :
je me suis trompé de fenetre
La femme au pantin :
Dis, tu veux bien etre le dindon de ma farce?
Je te mettrai dans mon petit théatre de marionnettes…
La pornographie n’est-elle qu’une histoire de gros plan ?
Sinister purpose
la douceur de l’hiver à quelques jours de sa rigueur
Le banquier : « ronchonner est à sec mon gars. Tu devrais te méfier et ne pas laisser @le_hasard décider pour toi. »
Quelle tristesse.
Ce soir, il n’est plus .. nous l’avons perdu !
Recueillons nous, ayons une pensée pour ce pauvre homme.
Retracer une ligne, renforcer un trait à demi effacé, éliminer les vernis et recolorer l’ensemble. Je ne m’épargne pas le travail et j’y prends du plaisir. Je repasse sur ses traces, je souligne son tracé pour éviter l’effacement et mes lignes suivent ses pas. Je joue les restaurateurs et j’ai peur que l’image s’efface, même si elle est très vive encore.
Grain après grain j’entretiens l’image, petit à petit je recrée le mandala dont il est le centre. Grain de sable coloré et grain de sable coloré et… Obstinément. Mais j’ai beau l’entretenir, si le vent souffle, il emportera l’ensemble.
Depuis, je fais un travail de maçon.
Le Docteur Faustroll dit :
Vous êtes l’acide d-lysergique diethylamide
Vous êtes dérivé de l’ergot parasite qui pousse sur le seigle et sur certaines herbes sauvages. On vous imbibe dans de petits buvards que vos proches sucent et/ou avalent. Vous êtes de compagnie agréable, mais on ne peut se débarasser de vous qu’après six ou huit heures.
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Votre
moi profond grâce à la pataphysique
Un autre quizz imbécile gracieuseté de Quizilla
Getting high / s’envoyer en l’air
Where is my bubble now ? **uh-oh, sometimes I’m even boring myself**
Psychédélisme à Cap Canaveral (et componction murmurée dans l’oreille).
Est-ce que le tourguenisme avance ?
Irrationnel, molletonné, souvent accidentel, jamais vraiment volontaire, le tourguenisme. Vous n’y croyez pas, pourtant, nous non plus. Le tourguenisme est-il un phénomène en voie d’extinction ou avance-t-il à vive allure, comme un petit cheval fou lâché dans la prairie ?
Le maugréant : Nan, il avance, il tourne et il s’élève, dans le sens des aiguilles d’une pelle.
La Baronnie : Le tourguenisme avançant en moonwalk, doigt dans le nez, mains sur les hanches et poutre apparente, il n’ira jamais plus loin que d’où il est parti… mais très vite. Cheikh Abdullah ben Hamad Al Khalifa m’a dit, pas plus tard qu’hier, que l’allure tourgueniste l’avait tellement impressionné qu’il payerait une fortune pour qu’Igore et Nicolaï viennent saillir ses pouliches… pour dire.
Dr. Drüünorst Gulkstra-Grüül : « Dans le monde réellement renversé, le haut est un moment en bas, ma tête tourne mais il paraît que c’est normal, car comme le tourguenisme avance, tourne et s’élève, l’hélicoïde se retourne sur elle-même dans son propre délire ; je suis, je voudrais être, j’essaierai d’être pile-poil au milieu, un no man’s land terreux où fusent des missiles sol-sol et des jets d’encre, no man’s land entendu comme le théâtre de l’affrontement entre la régulation normative et sociale des subjectivités, leur enchassement identificateur dans des segments comportementaux et des profils neuropsychophysio(patho)logiqu… d’une part, et le chaos primordial des créations narcissiques et libidinales d’autre part, vivantes, aimantes, qui doivent échapper à l’arraisonnement de toute esthétique et à son démantèlement programmé, à sa dévolution et sa standardisation en pack fraîcheur zéro pour cent hypoallergénique hypodermique en tête de gondole, l’entropie cette salope qui désagrège ronge bouffe consume la singularité sensitive, le sentiment collectif et annihile les processus de civilisation, parce que la plus techniciste d’entre elles se rationalise jusqu’à l’autophagie gargantuesque et l’amputation sensorielle, la lutte intersticielle qui essaie de faire pulser un peu, encore, pas beaucoup, de loin en loin, le chaos esthétique primordial, la soupe originelle, celle avec des pâtes en forme de bites dedans, la pangée mentale qui n’en finit plus de se fractionner sous le contrôle tectonique, et de subir le conditionnement industriel rayon frais, gâteaux secs, câblopérateurs et industries du désarmement. Alors si on considère l’insurrection festive et l’activisme de bidibulle comme une fin, l’antidote au désarroi, l’alternative à la subversion explosive, la nouvelle contestation qui supprime toute reconduction capitaliste finira trés probablement « dans ton cul », avec mon pied droit et un vieux gode-ceinture qui traînait par là, aussi. »
environ 6 heures de retard sur le plan
je redispose les petites briques de temps d’une autre façon pour pouvoir m’en sortir,
ça ne sera ni la première, ni la dernière fois que je procéderai ainsi
futur simple
L’homme à la tête de chat utilisait ses facilités psychopompes pour le bien de la communauté. Igor n’aimait pas ça. Point d’Enfer, alors.
parce que quand les poches du cerveau elles sont pleines, y faut bien mettre son fouillis quêque part…
Dans ses vieux dossiers, Carver gardait tout. replay.web.archive.org/20020209230455/http://membres.tripod.fr/johnwayne/fanpage.htm
c’est l’aube : je me lève et rien n’a changé.
DIALOGUES ?
Vite fait et envoyé sans façon, ne ménageant personne, ne sollicitant personne, n’appelant personne, utilisant sans méthode jour après jour un espace réservé — une fenêtre qui s’emboîte parmi d’autres fenêtres dont il ne connait aucun faiseur, aucun auteur, peut-être une personne qu’il s’agit de deviner à travers ses facéties, elles sont nombreuses, mais à la fin, ce que que constitue ces fenêtres ne ressemble à rien ; cela peut-être intéressant, ce rien, ou au contraire ce plein saturé de vide; Y participer ? cela peut être envisageable ; prier pour que les textes ici ne deviennent pas des images, des blocs que personne ne lit, occupé plutôt à ramasser des rebuts de pensées, des figures amusantes, des illustrations ; une question immédiatement se pose quand on a dans la tête le désir de croire à une communauté qui hélas semble bien désœuvrée, désunie, éclatée, sans objet, sans raison, sans espoir (il semble) de convoquer une idée, une synthèse.
La question s’énonce presque dans la terreur :
qu’est-il possible de faire ensemble ?
En dessous de la question terrible, demeure cette peur souterraine que les traces qui forment cet espace ne reflètent qu’un petit désir éphémère de laisser quelque chose que personne ne croira, oublié, et jeté vite dans des images statiques, mortelles, prisonnières de leur mode de production qui suppose l’effacement, l’absence de retour, la légèreté obligée ; minceur où apparaît un monde où toute image provoque un commentaire infini, vain peut-être.
CONTINUE L’ERRANCE ?
je saigne trop,
mes blessures sont trop profondes,
je quitte la mélée pour cette année,
puissent mes compagnons d’arme
remporter pour notre clan
la bataille de l’hiver.
Comme dans une boule de cristal
Lundi mididix, gros comme une maison je vois
une révolution hebdomadaire de plus avec son
chronométrage horaire ennuyeux, ses urgences
et ses tâches de fond, ses raccourcis et ses
passages secrets, sa succession comme gravée
dans le marbre d’instants rituels et de corvées
bénines, ses éventuels tunnels obscurs et ses
hypothétiques parenthèses éthérées.
Gros comme une maison je devine même le spam
du jour provisoire mais marketé, mentionnant
un réveil difficile à l’écoute de TSF ou une
connerie comme ça, c’est en fait assez lassant…
Rapide coup d’oeil à l’horloge : un rituel
organique bien basique mais gastronomiquement
réhaussé s’impose.
Intertextualité quand tu nous tiens. Hein quoi qu’est ce !?
Igor : « ronpich »
Et les roulés coppa-fromage n’ont plus le même gout, quand tu n’es pas là.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Mes chers compatriotes,
En vertu des pouvoirs qui me sont conférés, je tenais à vous exprimer toute ma reconnaissance, ainsi que toute ma gratitude, pour m’avoir fait de nouveau confiance, et reconduit dans mes fonctions.
C’est pour cela que j’édicte dès aujourd’hui, en vertu de ces pouvoirs suce-cités (sic), l’interdiction formelle d’émettre, de recevoir, d’entendre ou d’écouter, ni même d’ouïr ou de percevoir, la chaine dite
et ce chaque jour de la semaine, id est du lundi au vendredi, et de 20h à 23h. Et ce, bien entendu, en vertu des pouvoirs (ad lib).
Sur ce, mes chers compatriotes, il est.
C’est pourquoi je m’empres.
Compte tenu de, je vous ch.
Fuc.
Qui ?
Marc Levy : tous mes rêves d’enfants, mes jouets, mes spoilers, mes lions mais pas de girafes. bit.ly/177eK0
Mina, Carver et l’empowerment. Limite ça coûte rien d’essayer. Alors allons-y.
Igor, célibataire, se demande, si, tout cela, est vraiment cohérent. Nouveau départ ou fausse fin ? Les miliciens ne rigolent pas. Du tout.
Un choix difficile : insomnie ou rêver de me faire dévorer lentement par de petites souris très mignonnes. t.co/BPAjxa4H
Les pieds tranchés posés roulés pelés hachés chair charcutier maison rouge euh thé c’est etc… #ns
Igor parcourt le manuel de la nouvelle caméra sur liseuse tout en regardant Nolife via sa lentille de contact gauche. Nu. Seul. #geek #hell
Mina animait un club de combat à l’arme blanche. Carver ne boudait pas son plaisir. Igor sans relâche, avouait. t.co/TLooldtk
Huit ça suffit
J’ai pas mis d’H à hémisphère. Je réalise maintenant.
Au début j’ai cru que c’était la fatigue, l’inattention, l’orthographe défectueuse spécialité maison.
Mais en fait non. Je crois que c’est parce que le H ça ne sert jamais à rien.
Juste à nous compliquer la vie et à prendre sa respiration. A faire chier les prolos, aussi.
Les prolos qui savent pas et qui font des liaisons parfaitement sordides aux glaucomes de l’Académie.
J’ai pas mis d’H à hémisphère peut-être aussi parce qu’au passage il est parfaitement probable
que mon cerveau l’ait gloutonné. Il y a des jours, surtout des nuits où mon cerveau s’appelle Jean.
Ce sont des choses qui arrivent, voyez-vous.
Depuis deux heures Mina démonte un vieil obus. On essaie de l’emmener danser, au village, mais impossible de la décontenancer. Elle assure.
Et pourtant, il tourne…
Le Tourguenisme tourne, avance et s’élève. Plus qu’un programme politique, plus qu’un plan de carrière, plus qu’un choix de vie, le Tourguenisme est en vous, le Tourguenisme est en nous, est-ce que tu le sens, tu le sens là ? Tu le sens bien ? Le Tourguenisme est partout et en toute chose, entre le tronc de l’arbre et son écorce, entre le proton et l’électron, entre la Terre et sa Lune, entre la poire et le dessert.. entre toi et moi aussi, entre-nous soit dit ; il est au fond du couloir à droite après la cuisine, jamais entre les repas. Il est même entre le sol et ton vaisseau. Il souffle des profondeurs infernales jusqu’en extrême-amont, il souffle jusqu’au jour d’après, il souffle les bonnes réponses mais t’entends pas les chuchotements à cause de ton putain d’Ipod. L’hélicoïde tourgueniste étale ses branches nébuleuses sur des millions d’années lumières, balaie les galaxies, allume les soleils et emporte les qasars dans une immense transe cosmique mêlant énergie sombre et rayonnement stellaire éternel. Les Tourguenistes sont des derviches tourneurs sinistrogyres qui ont trop bu et chopent le hoquet. Le bonjour chez vous, la paix sur toi. Nan mais sans déconner.
Passer ma langue entre tes oreilles et lécher ta cervelle, oui ça me plairait;
vomir de façon démodée toutes tes tripes avalées ce serait mon plaisir;
griffer tes chairs grasses, jambes, ventre, cou, ferait mon plaisir.
Comme je t’aime, j’aime aussi ton sang et tes cris. Les parties les plus abjectes de toi me font frémir de plaisir.
Le monstre amoureux te poursuit. Ecoute ses pas étouffés par la chair de ses victimes.
Mais ma préférée c’est toi, je nettoierai mon corps dans un fleuve de sang je convoquerai le ciel des damnés et alors je serai pur pour t’emmener loin des autres loin de moi. Je ne te dévorerai pas tout de suite. Le ferai-je d’ailleurs? Je tuerai ton sang à force de te sucer. J’inverserai tes tensions à force de te voyager. Tes cheveux deviendront ma crinière et je serai la plus flamboyante des bêtes.
Mon amour est ma lumière.
(ce qui me plaît dans ma vie, c’est d’être amoureux des victimes)
Faire le mort ?
Darling, stop confusing me,
with your wishful thinking.
Hopeful embraces,
Don’t you understand?
I have to go through this,
I belong to here where no-one cares,
and no-one loves.
No light no air to live in,
a place called hate,
The City of Fear.
I play dead,
It stops the hurting.
I play dead,
and the hurting stops.
It’s sometimes just like sleeping,
curling up inside my private tortures.
I nestle into pain,
Hug suffering,
caress every ache
I play dead, It stops the hurting.
Les choses changent.
Et, en pleine Exposition Universelle londonienne, le gang tourgueniste arrose son fish & chips à la meth, pas fier. On ne dort pas beaucoup.
vous avez 901 messages non lus…
when will this race thus cease? this madness with several heads which makes that I do so many things, that I do not do anything, that I can nothing make…? which knows… one day the life rocks and panic begins… the first exits? first burstings in the families? to express, go to see dad, to go to see mom, to go to see her ex, to go to see his/her friends of group A, to go to see his/her friends of childhood, to go to see the small one been engaged of the Alps, to contact the baronne…? panic is a drug and I am tear, I run, I sleep 5h per night, I drink much to hold. I know that there are people who are bored, I am much also bored, I do not know too much when, nor too why… Ca must be when panic goes down again, ouais, the lack, for sure.
T’as l’air un peu palotte, t’as mal dormi ?
Tes ch’veux c’est une horreur, de la paillasse !
T’as le regard dans le vide, tu fumes beaucoup trop.
Tu dors plus, tu manges plus, tu recommences à te droguer.
T’es toute moche, recroquevillée sur ta chaise, en écoutant de la musique triste.
Tu fais un deuil, mais tu ne connais pas le nombre de morts. Peut être même que tu en fais partie.
Tu ne sais plus à qui tu as menti, à qui tu as dit que tu allais bien.
T’es aigrie, t’es jalouse, va pas chercher plus loin.
La sueur brulante qui goutte du plafond aveugle Igor, un instant. Son cœur manque un battement, les basses, énormes, sa main dans la tienne.
Les ambassadeurs croquent des amphétamines au breakfast, mâchent de la coca au déjeuner. Le soir, défoncés et nus, ils négocient la guerre.
Et le Docteur danse. Et les Oods chantent.
Pendant ce temps là, à Savigny sur Orge…
… gratuit pour les grand-mères …
Vendredi a Miami il fait plus chaud que partout ailleurs.
Les coeurs s’envolent à Miami.
Tu as tes amis à Miami.
Welcome to Miami.
Je vais à Miami et mon âme est plus sexy.
Mes ongles plus longs et mes dents, j’t’en parle même pas.
Tu sens l’odeur de la coke sur moi ?
Putain de parano !
Welcome to Miami.
Y’a un rappeur qui me poursuit dans la rue…
Ca se voit que je me tripote le nez ?
Je sais pas si ma mère aurait aimé Miami…
La japonaise habillée bleu éléctrique, c’est pas un mec..?
Je te tend 10 USDOLLARS et tu souris.
Peace mon frêre…
Welcome to Miami.
Tourgueniev ce héros – deux ans plus tard
mi-nuit : en ce moment, on boit au sommet de l’arche de la d. et on se frotte les cuisses etc… rapport à la première journée de célébration de l’anniversaire de Tourguy remarquablement organisée par Agnes b. et Charleston Parva (welcome back). Demain, sans doute palais de tok et pop’in si l’organisation des artistes séminaristes peut se faire comme prévue. pour en savoir plus : contact@palaisdetokyo.com. Mot de passe si nécessaire : « Tourgueniev.com c’était mieux avant ! ». A ce soir.
Oups ! Vous n’êtes pas invisible car vous êtes connecté à partir d’un autre client qui ne prend pas en charge le mode invisible.
On avais dit (pas de trucs perso, please)
l’autre nuit je rencontre cette fille toute verte, la chlorofille
elle crie dans ma face avec un fort accent d’alcool:
« tu es beuuuaaarrggg… »
keep cool je continue de sourire (un peu jaune clair tout de même
car cette créature fait peur a voir) …
» tu es une spameuuuuzze toué »
(elle trouve que c’est pas juste que je fasse un lien sur mon
microblog de daube, que je prends trop de place,
en gros, ça la saoule, et inutile que je lui explique
que j’en ai rien a foutre de son opinion
de fille verte et saoule
vu que je suis toute crevée et saoule aussi et triste et seule au monde
vu que ma soeur se taille de Paris (cette ville de Zombis)
vu que l’homme que j’m se prend pour un loup garou de l’ombre…)
alors, je répond:
C’ est CELA, ouiiiiiiiiiiiiiiiii…
elle a besoin d’un nouveau jouet pour la regarder.
elle l’utilise pour qu’il la regarde.
elle cherche des jouets.
Et dans le ciel, une ville.
El cazador de la bruja ?
La jeune Britney : oops I Cohn-Bendit again !