Comment tirer cela au clair ?

Short par igor le 07 Nov 2011

Elle portait cette petite culotte bleu quasi turquoise.
J’ai pensé me suicider.
C’était un défilé de diamants devant un rmiste.

Mon numéro n’a pas changé

Mon amie Lisa prouve son attachement au Tourguenisme
De bonnes adresses c’est important,
de bonnes amies aussi.

Old par igor le 14 Juil 2002

Le lendemain du premier jour de calvaire mensuel…

Les grues, les terrains vagues, les imprimeries désaffectées…

Le melon mûre, le sorbet à l’anis et les cerises-coeur de pigeon…

Dormir dans des draps fraîchement changés…

Ouvrir le frigo et avoir le choix…

Choisir des papiers précieux, les caresser…

Old par Gu. le 13 Mai 2003

leçon de musique

Old par JLB le 19 Nov 2004

REICH, CE HEROS

Old par Gu. le 09 Avr 2003

Un lézard bronze depuis des heures sur la dalle de béton

Old par Gu. le 28 Mai 2003

je t’aime

je crois que j’aime tes traces de pas

dans la neige

je crois que j’aime les traces de sang

sur la moquette

je t’aime

——————

ici Paris

demain Pau

retrouver Nicolaï

couper les ponts une semaine

aller à la montagne

ou à la mer

ou juste à la campagne

compter les moutons

et les pissenlits

par la racine

Old par igor le 01 Juin 2003

 

On est pas dimanche ?

 

Overdose de base jumping à la mine d’aimant. Le traiteur est extra, on en oublie le pâté de marcassin. Bientôt il sera temps de se rentrer.

Short par igor le 23 Fév 2011

Dans la rue droite, assaili de pensées ridicules. Pourtant, il me faut régler le problème. Trottoir droit, je me dis. Dans la rue droite, assailli de pensées ridicules. Il faudrait fermer l’esprit sur tout cela. je bute sur ce promontoir de quotidiens de quartier. À défaut d’un chien dans lequel j’ai toujours rêvé de shooter. Je connais le chemin. Razant les murs. Innocent. Trottoir droit. Envie brusque de hierarchie. Bientôt la porte de l’immeuble où je vis. Bientôt les pensées ridicules me lyncheront. Je serai dans l’ascenseur à scruter dans le miroir un visage pâle, un être totalement moyen. Changer de trottoir ? Agir ainsi ne me couvrira pas de gloire. Personne pour admirer l’audace. Personne qui sache non plus que je m’obstine à renâcler des pensées ridicules sur le trottoir droit. Et s’il faisait froid au moins… Je mettrais en route la machine pour ne pas stagner dans l’idiotie. Mais j’ai chaud, mes pieds tremblent comme deux ampoules surchauffées. Est-ce le cerveau ? J’interpelle un jeune homme, lui demande une cigarette. Je fûme et j’oublie la bonté du gars, son chaleureux : “ bonsoir. ” Je fûme comme un savant sans science. Où vais-je ? Même pas mener la guerre. Rue déserte. Là, une vitrine cassée. Je dérobe un manuel de cuisine orientale que je jette ausitôt dans le canniveau. Bientôt chez moi. Bientôt l’épreuve de la veille où rien ne s’entamera, pas même une angoisse qui me glisserait aux limites de votre monde.

youpi

je crois que notre petit cristal s’est remis à pulser

Old par M. Fox le 06 Fév 2003

 

Mina à Carver : je vais te balancer par la fenêtre, tes minables os creux de petit oiseau feront flutes et petit bois en contrebas velu. #ns

Short par igor le 26 Mai 2010

 

Où l’on reparle de la Camona Tong.

Short par igor le 27 Mai 2011

( IPSE VENAS BIBA )

crossposteur de merde

J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

Je veux du vert pâle.

Old par Rodia le 14 Avr 2003

 

Cette fois, ma petite. C’est ta fête. bdtrash.forumdediscussions.com/t291-la-case-la-plus-copiee

Short par igor le 28 Avr 2011

 

Et dans les rues, dans la fumée, les tigres rugissants. Les hurlements, les sirènes, nos chants et puis la lutte. Mes larmes et ton sourire.

Short par igor le 01 Mai 2017

 

Se masser devant la sortie de secours, écouter le bruit du vent dehors, et les sirènes. L’annonce de l’âge des ténèbres. Tenir ta main. Nus.

Short par igor le 12 Nov 2016

 

Ceci n’est pas un Haïku.

Short par igor le 29 Jan 2011

de Suzy à Gros loup…

je pense à toi
nuit et jour
et mon
tic tac tic tac
ne bat que
pour toi…

Old par igor le 05 Mar 2004

Jetage de meubles. Nettoyage par le vide.

Aucun poil rouge et rêche en vue. Mine de rien, ça rassure.

Old par ... le 18 Déc 2005

Moi aussi je peux faire mon Kontrauleçaiquontroleuvée

mercredi 15 décembre 2004, 10h05

Britney Spears pue des pieds



La jeune chanteuse, accompagnée de son mari Kevin Federline sur un vol Los Angeles-New York, a failli intoxiquer les passagers.

D’après IMdB, Britney Spears s’était délestée de ses chaussures pour se mettre à l’aise quand une odeur insupportable s’est mise à flotter dans l’air. La chanteuse ne s’apercevait de rien, mais ses voisins ont commencé à se plaindre à l’hôtesse qui a dû lui demander, gênée, de remettre ses chaussures.

Britney Spears est alors devenue rouge comme une tomate et s’est mise à rire. Elle a alors expliqué que c’était ses chaussures qui faisaient sentir ainsi ses pieds et les a vite remises. Les autres passagers ont enfin pu respirer !

(source)

« Rien c’est rien. Trois fois rien c’est déjà quelquechose » R.D.

Et hop

Old par ... le 19 Déc 2004

pièce enfumée

Old par M. Fox le 04 Oct 2002

Raconter une histoire, ça peut commencer par un « il était une fois » ou par un truc plus anodin genre « il marchait déjà depuis une heure dans ce putain de désert jaune ». Forcement, ça n’implique pas les mêmes choses pour la suite. Dans le premier cas on attend un truc du genre « dans un pays très lointain », dans le deuxième cas plus un truc genre « et les fils de putes qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour attendre ». Raconter une histoire, c’est tout un tas de décisions plus ou moins importantes pour la suite, sur les mots à choisir, sur les personnages, les lieux, les actions, l’existence même de personnages, de lieux et d’actions, la pertinence de la notion temporelle et la force de l’entropie sur l’idée originelle. Raconter une histoire tendre, c’est aller contre la paranoïa, les griffures de la vie, les cicatrices et toujours rechercher cette petite ligne si douce qui glisse partant de la hanche vers le pubis. Raconter une histoire, c’est faire acte de foi, de contrition, se blottir contre une idée, la choyer. Raconter une histoire, ça peut se faire en se regardant dans les yeux, doucement. Raconter une histoire, ça peut ne pas réussir, ça peut ne mener à rien, ça peut être un échec. Raconter une histoire

Old par igor le 08 Jan 2003

cette nuit

on sera

13

au lit

bon, vos paupières sont lourdes alors ou quoi ?

 

Carnivores, les plantes.

j’ai un pingouin télécommandé qui s’appelle Gigi.
Il (elle) est cool et il (elle) aime que les filles pingouin (pingouines ?).
Il (elle) plait à tout le monde. j’en suis content.
Parfois il (elle) se déplace seul(e).
Je l’ai posé au bord de la fenêtre et il (elle) a sauté tout(e) seul(e).
Pas de casse…
Il (elle) se sent peut-être triste pour faire des choses pareilles.
On peut-être aimé(e) et entouré(e) et ne pas être heureux(se)…
Si c’est ça la vie, ça va pas être facile.
Et encore, lui (elle) est télécommandé et en plastique.
Alors que nous…
Sinon, ben, faut voir…
Vous me plaisez bien vous là…
Oui vous…

Old par igor le 18 Avr 2002

« Splendeur de ma voix qui s’élève seule, seule,

dédaigneuse de toute oreille, faite pour aucune.

Je frémis au sommet du mot seul, sur une limite aussi pathétique

que le tournoiement du derviche hurleur,

ou du chancellement du boxeur avant qu’il s’écroule,

ou de l’avion qui pique en flammes. »

Old par JLB le 26 Fév 2004

 

Le chasseur : Éléphant ou non éléphant, c’est une idole, et elle n’est pas faite pour rester en des mains chrétiennes.

Short par igor le 28 Juil 2010

« Tu veux que je te fesse ? » I.T.

Old par Rodia le 07 Avr 2003

Accoudé au bastingage, on regarde s’éloigner le quai du petit port, puis défiler de belles rives sauvages. Bientôt l’odeur des embruns se fait plus forte.

Old par -- Zan le 03 Avr 2003

 

Je me sens #bouc émissaire au centre du #pentacle. #666 #satan #panda

Short par igor le 14 Mai 2009

 

Bonbons à la peau d’orange pourrie. Mina aime les délices japonais.

Short par igor le 11 Nov 2012

 

Mais en fait les crocodiles, c’est pas ce soir…

Short par igor le 16 Jan 2011

Elle dit qu’elle sait,
elle dit qu’elle n’aurait pas dû
Il dit qu’il n’y a rien à dire,
il dit qu’il aimerait l’aimer encore,

elle flotte
il pleure
ils ne partiront plus
loin au dessus des monts brumeux
ils ne partiront plus
ils ne s’aiment plus
elle pleure
il flotte

Old par M. Fox le 05 Avr 2002

Non

J’ai pas envie de m’appeler Ton string, Mon gode et encore moins Épisiotomie, c’est tout. Même par hasard.

14:13

 

Trop chaud pour dormir. Bestioles espionnes télécommandées sur les murs. La nuit. Le chat inquiet et les miliciens en sueur.

Short par igor le 28 Juin 2011

Toc toc toc

– Qui est ce ?
– Nadine, la fille de l’ancienne locataire, puis je reprendre ma chambre ?
– Ma fille, entre voyons, cela faisait si longtemps que je ne t’avais pas vue !

Devant la jeune femme ébahie la porte s’ouvrit, dévoilant un homme dans la force de l’âge à l’embonpoint proéminant, outrageusement fardé et portant une robe à fleurs de sa vieille mère depuis si longtemps décedée. Il lui sourit de toutes ses dents nicotinées et la prit avec force dans ses bras, déplacant avec lui des senteurs fortes, musquées.

– Tu devrais avoir honte de m’avoir ainsi oubliée ! Mais tu es belle, et tu es là… montre moi comment t’as maigri ! Rahlala c’est pas possible, voilà ce que c’est que d’aller à la ville ! Et ton mari, toujours aussi bête ! Oh, excuse moi, c’est vrai, j’ai promis de pas en parler comme ça ! Allez, viens dans le salon !
– Mais mons…
– Monsieur Druand ? Parti, envolé, parait que c’était un voleur…
– Mais qui êtes…
– Plus tard les questions, prend un biscuit, je sais que tu les a toujours aimés, ceux dans la boite en fer, avec les chérubins dessinés dessus.
– Euh oui, c’est vrai, mais comment savez vous cela ?
– Ma fille ! Comment j’aurais pu oublier ce que tu aimes, toi la chair de ma chair, toi que j’ai élevée dans les larmes et la joie !

Perplexe, Nadine attendit la suite des événements, préferant ne pas vexer cet être potentiellement dangereux

A suivre

Old par Rodia le 11 Déc 2002

le récitant : savoir manier le PHP devient aussi révolutionnaire que de savoir manier une kalashnikov.

Old par igor le 30 Mar 2003

 

Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*

Minuit pile

je suis en sueur.

Old par igor le 10 Oct 2003

mon cul…

somebody told me
you had a boyfriend
who looks like a girlfriend

Ma très chère Ar*

C’est la larme à l’œil que je découvre le paysage malsain qui vous entoure. Cette ville moribonde et crasseuse que vous dépeignez dans votre lettre, est-ce que ce peut être Paris ? Peut-on concevoir pareil tableau de la capitale où je croyait réfugiées les plus hautes valeurs de l’humanité ? Si la liberté existe bien quelque part en ce monde, n’est-ce pas en ces murs ?

Cependant, les relents d’humidité que vous respirez, la grisaille qui vous surplombe sont autant de désagréments que je souffrirais volontiers, tant la situation de notre pays s’est dégradée. Nos cieux d’été, embrasés de couleurs vives, grandioses ; la douceur de l’air salin, l’indicible beauté sauvage de nos terres généreuses, et ces gens, plein d’entrain et de malice. Tout s’est affadi, Ar*. Jusqu’à cette table où nous avons si souvent diné, et qui ne manquait jamais de nous ravir le palais. Jusqu’à ces cœurs jadis gonflés d’orgueil et d’insolence. Rien ! Il ne reste plus rien à déglutir où à penser qui ne soit corrompu par la fadeur. Celle là que nous a légué la poigne de fer des nouveaux maîtres de notre avenir. Souvenez-vous, ma chère Ar*, de cette dernière année. L’hiver est arrivé avec une rare rigueur. Vous me faisiez remarquer un matin, sur ce ton ironique qui était alors le vôtre, assise à cette table d’où je vous écris, que la saison préfigurait peut-être un sombre avenir pour ce pays. Ce « mauvais présage » dont l’improbabilité nous a fait rire un instant s’est depuis révélé plus véridique que nous le l’imaginions. C’est à peine s’ils ne viennent pas désormais ramper dans nos rêves. Par les plus odieux stratagèmes, ils sapent l’identité de cette culture qui nous a vu grandir, influencent nos choix en nous bombardant sans répit des rhétoriques les plus spécieuses qui se puissent concevoir. Notre histoire est devenue un champs de bataille où sévissent les censeurs obsédés par l’avenir. Ces usurpateurs arrivés dans un vent de fortune ont décidé de voler notre mémoire en remodelant l’ histoire.

Désormais, beaucoup sont partis pour des destinations que l’on boudait autrefois. Nous étions si fiers de ce pays que l’on avait jeté comme un voile sur le reste du monde. Celui-ci s’est vite déchiré et vous voici à Paris. Je vous aurais volontiers suivi, vous le savez, si les rigueurs de l’âge m’avaient laissé un peu de répit. Mais voilà que cette lèpre nationale s’est fait précéder par l’addition d’une vie dont je n’ai pas lieu d’avoir le regret, toute au service de la table, de la chair et de cette douceur de vivre que l’on connaissait jadis en ces murs. J’avoue que le couronnement de cette existence aurait été cette dernière escapade à vos côtés. Mais je m’avoue parfois vaincu par ce désespoir qui suinte de vos murs gris et qui me cloue au lit.

Chère Ar*, rassurez-vous, j’ai beau accusé le coup de nos délicieux excès passés et de la folie de nos frères, j’ai beau me plaindre et forcer le trait de nos misères, je n’en demeure pas moins sec et opiniâtrement attaché à la vie comme un cep de vigne à la terre. Dorénavent, je mettrai mes caprices dans l’avenir de nos enfants. S’il est encore un peu d’espoir dans cette gérontocratie, c’est d’eux qu’il viendra ; et croyez-moi sur parole, Ar*, je ne cèderai pas, ni au trépas, ni au chantage, ni à la haine. Votre jolie petite fille sera élevée comme elle le mérite : comme un enfant. Elle connaitra les joies du jeu, de l’espoir et… quand le temps sera venu, des joies revigorantes de l’amour. Je me sens à nouveau le devoir de vous rassurer. La vie dissolue que nous avons mené ne sera pas le modèle de sa jeunesse. Le temps passé et votre exil ne m’ont laissé d’appétit que pour une certaine délicatesse. Elle n’aura pas à ribauder dans la fange où se vautrent désormais les petites femmes de son âge. L’exemple que je lui veux donner sera de nature à épargner sa vertu. D’ailleurs, ce fier gaillard qu’est mon neveu l’entourera de toutes les attentions les plus sincères et se substituera à ma vigilance dans ces moments que l’adolescence ne saurait partager avec les « vieux ». J’en fait un point d’honneur : cette enfant jouira d’un sort convenable et porteur d’avenir.
Il me faut enfin vous prévenir, ma chère Ar*, que cette hauteur de ton que je me permets encore dans ces lettres ne saurait garantir notre sécurité encore longtemps. Vous souvenez-vous de ce vieux râleur de Al* ? Ils ont fini par l’arrêter l’autre soir, après qu’il ait vertement sermonné quelques-uns de ces jeunes idiots qui croient détenir la vérité, claironnant les messages grossiers du parti. Sous je ne sais quel prétexte obscur, on l’a emmené à Er*. Inutile de préciser qu’il n’a pas été jugé en public ! J’ai appris qu’un projet de censure des informations subversives, destinées à saper l’intégrité et la crédibilité de l’état avait été récemment présenté au parlement. Vous savez, comme-moi, que les représentants de la nation ne sont plus que des pantins sans ressources qui ont tout le loisir d’approuver les projets du parti. D’ici à ce que l’état d’urgence soit décrété et les libertés civiles raccourcies au nom du salut public, nous aurons largement eu le temps de nous compromettre. Je crains que ma popularité et mon crédit n’aient bientôt plus la moindre signification. Qui empêchera alors les agents de l’état providence d’ouvrir nos courriers ? Cette lettre sera la dernière à jouir d’un ton authentique. Tâchons désormais de nous comprendre à demi-mots ; pour l’amour de nos enfants, qui ne doivent pas pâtir d’une amitié en passe de devenir une trahison de la patrie.

Puisiez-vous, très chère Ar*, me pardonner cette franchise. Nécessité fait loi désormais. En attendant impatiemment d’avoir de vos nouvelles, je vous embrasse du fond du cœur en vous renouvellant l’assurance de mon dévouement ; à votre égard et à celui de votre fille, notre espoir à tous deux.

Az*

Old par igor le 30 Juil 2002

le récitant : belle soirée mais j’arrive pas à être content.

Old par igor le 28 Mar 2004

The erectile tissue is composed of many tiny blood vessels arranged in random coils. The penis is capped with a pink, acorn shaped tip called the glans. A sleeve of skin, the foreskin, naturally covers the glans but is sometimes removed in an operation called circumcision.
l'orage approche !
A nice technique to set the mood for cunnilingus is to lightly massage the area between the navel and the pubic hair with the tip of one index finger for a few minutes. Put a few drops of glycerine (purchase at drug store) on her belly and massage into the skin with slow, small circular motions. You should warm the glycerine before applying it to her skin (place the bottle in hot water for a minute). This massage technique tends to relax and sooth the woman and is especially good for the first time she experiences cunnilingus.
l'orage approche...
The man can place his hands lightly on the back of the woman’s head to provide guidance. Lightly stroking the woman’s ear or earlobe with the forefinger can provide stimulation for the woman. Try massaging her forehead; run your thumbs from the center of her forehead outward, ending at the temples with a small circular stroke. Repeat.

Old par igor le 02 Août 2002

Ainsi crashait Chair Bol d’Air

"Comme une webcam"

Tourguenisme Hardcore

Le Pr. Druunörst Gulkstra-Grüll s’est livré à divers tests hélicoïdaux pendant une semaine et estime pouvoir être formel : de nos jours, ça avance, ça tourne, ça s’élève, et peut-être même que ça gnourfe. Mais alors quelque chose de bien (cf fig. 4).

Du coup, de nouveaux crédits ont été débloqués par les autorités, et les effectifs de scientifiques travaillant sur le sujet devraient doubler dans les deux ans qui viennent.

Old par ... le 07 Fév 2005

 

La belle grosse dame apprenait à Carver à être un peu plus courageux face aux infiltrés martiens. Carver, timidement, lui touche le visage.

Short par igor le 01 Sep 2015

Tes mains autour de ma gorge… je suffoque… je violettise… kof kof

Hop non, pas d’accord, pouce, c’est pas du jeu !!!

Je te tues et je suffoque ! C’est quoi ce merdier ?

Y en a marre, ras le bol bonhomme !! Tu diriges peut être ma vie mais pas ma mort… contre… on réecrit le script !

Comment ça… Non ? Tu te prend pour qui ? Dieu… ok.. je la ferme.. tues moi… tu le regretteras…

Batard…

Old par Rodia le 14 Nov 2002


juste avant minuit
je te regarde marcher dans la pièce en désordre
soupeser chaque objet
observer la fine couche de poussière qui recouvre tout
ma chambre
tu es nue
tu n’es pas là
je suis seul
et fou

Old par igor le 15 Août 2002

Sublime, ce second moi !

Schizo, juste comme il faut… Non, vraiment, rien à

dire, c’est de la belle ouvrage !!!

(Est-ce que la Bad girl va voir les Whites Stripes,

demain soir ?)

Certains petits mails qui font plaisir…

Old par Gu. le 22 Mai 2003

 

L’homme à la tête de chat enfin dévoilé. Du thon ! tweetphoto.com/42412627

Old par igor le 28 Nov 2003

ho non jean-robert!

t’endors pas dans les spaguettis!

Saponification

Le savon de Marseille résulte d’une réaction chimique de saponification, transformation chimique au cours de laquelle des corps gras (graisses ou huiles) sont hydrolysés en milieu alcalin par une base, de la soude (NaOH). L’hydrolyse des corps gras produit à du glycérol et un mélange de carboxylates (de sodium ou de potassium) qui constitue le savon.

Réaction de saponification :

CH2(OOC-R) – CH(OOC-R) – CH2(OOC-R) + 3 NaOH –> CH2OH – CHOH – CH2OH + 3 R-CO2-Na

soit : corps gras + NaOH (ou KOH) –> glycérol + savon

où R est une chaîne d’atomes de carbone et d’hydrogène. On peut avoir par exemple R=(CH2)14 – CH3

Mon grand-père est mort.

Old par igor le 07 Déc 2005

 

Alternant cocaïne et spray nasal « anti-suicide », Carver espérait augmenter ses chances. Et une punaise dans la testicule pour le « boosting ».

Envie ce soir de t’écrire naisement « je t’aime ».

Je t’aime car tu es belle.

Je t’aime car tu sens bon.

Je t’aime quand tu es colère.

Je t’aime quand tu m’en veux.

Je t’aime quand tu allumes ta cigarette.

Je t’aime quand tu dis des bêtises.

Je t’aime quand tu fais la révolution.

Je t’aime quand tu dances.

Je t’aime quand tu as peur.

Je t’aime quand tu es triste.

Je t’aime quand tu souris.

Je t’aime dans la lumière du ponant.

Je t’aime surexposée.

Je t’aime.



Tu sais tout cela.

Depuis longtemps déjà.

Comment peux-tu encore me supporter ?

cariboO’s rOad

Old par Gu. le 08 Déc 2003

[vacances]

konsstrukt est en vacances.
suite de la publication de cafards à la rentrée.
pour lire le texte intégral cliquer ici : konsstrukt2.canalblog.com/archives/2005/07/13/650458.html

miaou…ou…ou.

La Maison est blanche, crépi blanc sur vieilles et épaisses pierres campagnardes; Elle se dresse massive au bord de la route, à la sortie du hameau. Elle gît à la pointe d’un vaste terrain rectangulaire qui s’étire en pente vers les pyrénées. La Maison ne porte plus de nom depuis longtemps mais les enfants des agriculteurs, Théo et la petite Lisa, l’appellent juste  » Elle  » ou  » la Maison « .
Old par igor le 03 Août 2003

voix off –> … silence

Old par Nicolai le 01 Avr 2003

le dernier jour

assis dans le salon
tu es là, j’écoute ça
et je lis ça et je suis
bien et la nuit m’est
douce si douce que
je voudrais de façon
vraiment simplette
que ça ne soit jamais
la fin de cette nuit ni
la fin de nous deux.

Old par igor le 31 Déc 2004

« I’ll be wrapped around your fiiiiinger »

Un jour j’acheterai un NINE


Old par -- Zan le 08 Mai 2003

palindrole

Quand de deux maux la patrie délivre la Française, cher passé,

c’est pas cher seize francs la livre des tripes à la mode de Caen

 

His wicked sense of humour suggests exciting sex his fingers focus on her touches, he’s venus as a boy. bit.ly/54T5QS

Short par igor le 24 Nov 2010

 

Mina, Igor, goguenards, partageaient une petite Kro’, heureux dans leurs grands pantalons. Ça sentait la valse, le ska. t.co/PsB0G90n

Short par igor le 27 Nov 2011

 

Rise & shine, et si un bus à impériale nous fracasse mourir à tes côtés serait une façon divine de mourir. Enfin bon. Dormir vite.

Short par igor le 12 Nov 2010

le récitant (philosophe) : qui a tagué www.coquecigrue.net dans les chiottes de la mercerie !?

Old par igor le 11 Mai 2006

"I seee dead bubble everywhere…"

Old par ... le 09 Fév 2006

Old par Gu. le 21 Mai 2003

 

Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf

Pendant ce temps là, Ronnette vient de se faire torturer, puis violer. Elle a même arraché des fragments du corps de son amie Laura avec ses dents. On voit bien d’où elle vient, le pont metallique derrière elle, là où plus aucun train ne passe depuis des années, mais on ne sait pas bien où elle va.

Old par Nicolai le 15 Avr 2002

 

Traverser la Seine, chelou. t.co/jKd7Veu8

Short par igor le 02 Nov 2011

En sortant du bar, To était aussi raide que la fumée s’échappant d’un batonnet d’encens.

Old par To le 02 Juin 2004

Oh oui, j’ai oublié : cette nuit, j’ai rêvé que plein de tétons avaient poussé sur l’arrière de mon bras.

C’était assez dégueu, j’ai pas osé vérifier si en plus, c’était érogène.

Old par motown le 21 Juin 2003

je suis comme qui dirait géné aux entournures. (Mais qui dirait n’importe quoi pour se faire remarquer, en même temps).

Mon squelette a une certaine tendance à s’étendre plus qu’il ne devrait.

C’est pas plus mal, à terme. L’endosquelette m’a toujours paru une mauvaise option, en termes d’évolution.

L’exosquelette est plus intéressant à tous les égards : propre, résistant, cuirassé – voire carrément nacré.

Rien à voir avec la marmelade de bourrelets et crevasses, fragile, molle et mal thermorégulée, qu’on est tenu d’afficher au monde.

Old par ... le 02 Déc 2004

A quoi bon ?
(vous avez les solutions mes salops)
Moi pas

Old par A venir le 11 Sep 2002

Fais chier merde.

Une montre, les paroles traduites des chansons de Björk, Pi

et une place pour un concert de superbus dans I=[14 juin ; 17 juin[U]17 juin ; 30 juin]

Old par M. Fox le 29 Mai 2003

« TOURGUENISME, n.m. : Automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée ou de son absence. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. »

[konsstruktMANIFESTES] 7 et final / auteur : henry miller

ceci est la partie finale du manifeste konsstrukt
lue et recopiée le premier jour du printemps
bonne vie
[konsstruktVOUSaime]

Qu’est-ce qui est obscène alors ? Tout l’édifice de la vie telle que nous la connaissons aujourd’hui. Ne parler que de ce qui est indécent, répugnant, lubrique, sale, dégoûtant, etc., en ce qui concerne la sexualité, c’est nous refuser le luxe de la grande gamme de révulsion-répulsion que la vie moderne met à notre service. Chaque branche de la vie est viciée et corrodée par ce qui porte d’une manière si inconcevable l’étiquette d’« obscène». On se demande si les fous ne pourraient peut-être inventer un terme plus approprié, plus inclusif pour désigner les éléments corrupteurs de la vie que nous créons et esquivons et n’identifions jamais à notre conduite. Nous pensons aux fous qui habitent un monde complètement séparé de la réalité, mais notre conduite quotidienne à nous, en temps de paix comme en temps de guerre, si l’on ne fait que l’examiner d’un point de vue légèrement plus élevé, porte toutes les marques de la folie. « J’ai dit, écrit un psychologue bien connu, que nous sommes dans un monde fou, que l’homme est la plupart du temps fou ; et je crois que dans une certaine mesure, ce que nous appelons la moralité n’est qu’une forme de folie, qui se trouve être une adaptation fonctionnelle aux circonstances présentes ».

lire la suite

Sucrée salée, j’aime ta salive
sucrée salée,
j’aime tes yeux fous
et tes baisers

sucrés salés

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

je suis fatigué

mais pas triste
Old par igor le 22 Mai 2003

 

J’ai retrouvé ton alliance. Avec ta main, sous le canapé. Le chat est tellement joueur. Pour le reste, pas de nouvelles.

Short par igor le 05 Juil 2011


again :
« hé, tu m’donneras l’adresse de ton coiffeur, mpffhuhu… »

Elle n’en a pas envie.

C’est sûr.

Elle se force,

ça se voit.

Il suffisait de le dire.

C’est tout.

Pourquoi toujours mentir, mentir, mentir?

Mentir pour ne pas blesser comme si j’étais un carton avec une étiquette mention « fragile ».

C’est encore pire.

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