je te lèche tes flancs de murène froide tu es ma torpille favorite mon épave ma pochette surprise laisse-moi te marabouter encore s’il te plait petit bout de geisha cartomancienne
Je marche sur la plage une à deux heures par jour, Chloé reste à l’hôtel à bosser sa fiction, On nous porte des glaces à la papaye vers 10h, Les chambres contiennent des geckos impresionnants, Chloé n’aime pas vraiment les geckos mais ils mangent les moustiques, Je ne travaille pas à un roman avec une grande absence de constance, Sur la plage ce matin, gisement de bauxite foulé au pied, Vaudou samedi soir, les loas me conseillent de voyager de nuit, Puis viennent le cacao, le café, les agrumes, les bananes et la canne à sucre…
Staphylocoque… exil (volontaire ?!) de la Toile, retour, vision de cet être, de ce concept, que dis je, de ce monument… Benoit… et ce mot qui hante mon esprit depuis ; Sta – phy – lo – coque… petite bactérie deviendra grande dit on.. heureusement pour nous certaines meurent dans l’oeuf !
Et inlassablement il retourna à son dur labeur, secouant et remuant des tonnes d’immondices, espèrant, un jour, peut être, atteindre la mythique perle de merde
Je porte à mes lèvres la coupe chargée de tes vices.
Comme à chaque fois, trois temps. Haut-le-cœur. Cette fois-ci, elle est bigrement chargée en lâcheté, tu as du encore trop user des réalités différentes pour justifier tes écarts. Petit vertige. J’ai des fourmillements dans les doigts pendant que je toucherais presque tes rêves. Je balance ma tête en arrière, je ferme les yeux, je souffle. Chaleur. Je t’irradie en moi. Je brûle avec tes pêchés, et les flammes montent jusqu’à tes lèvres. J’y porte une coupe claire, limpide à présent, juste moi au fond, Je me révèle à mesure que tu bois.
Du soleil sur toute la france, regardez comme il pleut, demain a-1, trente et deux années; pas à dire si christique, messianique (thierry ou ta mère) on veut être, ça demande sacrifices et dentelles importées thaïlande, merci merci on applaudit bien fort madame s. (de serpent) qui reviendra en deuxième semaine. la bretagne s’éloigne déjà et les ronds dans l’eau des mirobolantes dysfonctions maritimes arboricoles garantie 100% chimiques sont de moins en moins prégnants; recommencer à dormir terminer la saucisse sèche reprendre en main le cours de ma vie mais terminer d’abord la saucisse sèche continuer à rêver à deux rêver saucisse sèche élevage de chats lémuriens lemmings pingouins dirigeables chinois mais rêver peut-être de toi, de moi, de nous, c’est tellement titanic ce genre de phrase que je m’abstiendrai tellement l’enfonçage de porte ouverte (ou rouge ?) c’est plus vraiment la saison. ici pour tout dire c’est assez calme et plaisant si on aime un certain relâchement des fonctions mentales énervantes, moi j’apprécie plutôt et elle, toi, aussi je crois à la, te, voir dormir sous temesta sur le canapé du salon, temesta, est un chat et elle, tu, dort dessous, temesta n’est pas le canapé du salon qui ne porte pas de nom à part « le canapé du salon » ce qui est déjà pas mal pour un objet dont le cœur, pompe à sang ou organe d’amour, ne bat pas ; toujours pareil pas de majuscule à l’horizon enfin quelques unes mais bon il ne faut… communiquer avec jérôme préparer la rentrée acheter cahiers et stylos outils et (à part terminer la saucisse sèche) néo-propaganda tourgueniste régler leur comptes aux… merci merci on applaudit bien fort madame s. (de syrie) qui reviendra en deuxième semaine. mirifiques demoiselles multipliées anémiques, maousse dentus messieurs agglomérés, marrante dimension micheline artaban. une seule chose est certaine : il ne pleut plus, le tourguenisme avance et je suis le nouveau bouddha.
(non comme NON MERCI, je souhaite pas devenir une dame qui se tranforme doucement en de la poussière, NON, moi je veux refleurir au printemps, a chaque printemps il y a un phoenix à l’intérieur de moi et c’est tout alors… mille fois NON et MERCI pasque bon…)
Biba (n° 273) devrait se modérer sur le name-dropping Tourgueniste (p 154), ce n’est pas parce qu’on cause de d’autofiction (p 44) et de blogs (p 140) qu’on peut nous faire faire (fair fair ?) n’importe quoi.
chuuttt… j’ai peur de te regarder, et que tu croises mon regard j’ai peur que tu comprennes que ce qui te plaît en moi c’est ma fuite j’ai peur que tu comprennes que notre amour était partagé aujourd’hui à l’heure où les morts viennent me chercher
aujourd’hui, je triche (copier/coller/chloé/coloré) :
“Le souffle du merveilleux l’anime tout entier (…). J’entends que ce livre n’exalte du commencement à la fin, et le plus purement du monde, que ce qui de l’esprit arrive à quitter le sol et que, dépouillé d’une partie insignifiante de son affabulation romanesque, à la mode du temps, il constitue un modèle de justesse et d’innocente grandeur”. A. Breton cet enfoiré d’andré est encore en train de parler du Moine de Lewis…
C’est ainsi que nous frappons le tambour sur les îles occidentales… Ecoute nos voix, viens danser avec nous. Tu aimes notre chant, n’est-ce pas ? Il conte les amours de la reine des fées et d’un mortel. Ouvre ton coeur. Entend nos voix mélées à toutes les voix de la terre des hommes, écoute l’histoire, écoute la… écoute…
>vous avez des têtes bizarres ce matin A la télé g vu des gens qui faisait chanter les arbres. c t mieux que le « retour de rosetta bis » des frers des ardennes.
Arthur E. Ferdinand: An Analysis of the Machine Interference Model. IBM Systems Journal 10(2): 129-142 (1971)
« Frédéric, en écoutant ces choses, regardait Mme Arnoux. Elles tombaient dans son esprit comme des métaux dans une fournaise, s’ajoutaient à sa passion et faisaient de l’amour. » Flaubert
Minuit et des poussières, je suis un peu crevé. Mais je crois que si je dors, ça devrait s’arranger. Donc, il faut que je le fasse. Aller me coucher ? Oui sûrement. ——————— Bon,ok… Je l’ai revue hier…
Il y a quelque chose qui s’ouvre parfois, une amitié s’amorce, un retour d’énergie comme des milliards de points qui convergeraient sur cet impératif : vivre ; l’échange doit se produire, car la chance tourne vite : la loi de l’alternance comme dit R. Laporte est une machine qui peut n’importe quand lui retirer ce pouvoir, alors urgence de tendre la main avant qu’elle soit brulée, pour construire son regard dans l’amour.
Vous, jolie fille dans la rue Nous nous sommes lancé un regard. Pas le temps de se parler. Regrettez vous aussi? 06 61 63 58 84 Message sponsorisé par Libération
Matin. Se laver les cheveux avec Mixa bébé et sentir à nouveau sur son crâne les doigts de sa maman, voilà une sensation qui ne prête pas beaucoup à rire.
Il manque le visage de l’image, son centre nerveux, sa blessure. J’ouvre la page sans la tourner. Il faut du temps pour aimer, travailler. Et demain, je pars en Italie. Questions d’images, de rencontres, de minuscules pensées lancées dans le temps qui efface ˆ mesure que je parle, que je vois, chacune de mes participations ; une éloge en fome de caresse. Je ne me crois plus parfois capable de grandes choses. Mais dès que la sensation d’etre oublié revient, que je ne prends aucune a la vie des folies, je recommence a vouloir exister, si ce verbe fonctionne encore. J’ai donc vu mes raisons de voir encore des choses, quand l’énergie se découvre dans l’oeil aimable d’une femme, d’une image pour le sud de la pensé, l’Italie par exemple, puisque je pars demain matin.
deux plaies vivantes se rencontrent…j’ai tué mon père…j’ai vécu l’exil…ils s’endormiront de toutes façons;l’insomnie est une maladie partielle;elle réveille le passé et installe l’oubli du présent. j’ai saigné de l’oreille;du lac qui en est sorti ont surgi ma mort et la mort de ceux que j’aimaient;mon goût d’eux s’est préservé de la mort;on donne du prix aux gens en les tuant. il tient un mouchoir ensanglanté dans sa bouche et son crâne est un peu fêlé;il parle avec un fée aux jambes de glace;tout en haut de la colline le conseil va se réunir; là où se joignent les flots montants de nos sangs. dans le ciel se dessine la cartographie de la mort en sang violet d’être saturé;nous joignons dieu sur son trône de génocide, il peut nous apaiser;la colère de l’homme est la plus dangeureuse;mais dieu existe ailleurs le dies irae n’est qu’un cri de raliement pour humains trop humains pour croire en humains. le ciel se teinte en rose, le sang se dilue, nous nous regardons avec amour;la femme se fiche en terre;l’homme prie au sol; chacun soigne ses plaies; je n’ai entendu aucun mot, le sang coule toujours. je suis enlevée par le sexe et je coule en jouissance pour être en chacun de vous.
… d’étrange petits champignons aux chapeaux noirs et dentelés. Nikolaï en ramasse un à l’aide d’une pince et l’enfoui dans un petit bocal en verre qu’il porte à la ceinture. Tourgueniev acquiece de la tête. L’humidité se fait de plus en plus présente et on peut entendre desormais comme un bruit d’eau qui vient du bout de la galerie. La progression se révèle aisée malgré les quelques cubes de béton qu’il faut parfois enjamber ou éviter. Natalia semble frustrée de ne pas avoir rencontré d’adversaire et elle progresse maintenant en tête du cortège, toujours à la limite de luminosité de la torche. Un minuscule cercle de lumière se manifeste à la limite de son champ de vision, Tourgueniev espère qu’il pourra mener les négociations avec les autochtones sans que le sang coule.
Pardonnez tant de vulgarité mais … putain de bordel à culs ! tant de tracas pour retrouver un login recouvert de poussière et se voir refoulé par le rutilant nouveau Blogger qui tue sa race qui veut vous faire migrer, c’est contrariant.
Je voulais juste dire, Igor, il manque un bouton « écrire » dans le bouton à gauche : c’est fatiguant de taper blogger.com. (ok j’aurais pu le faire en privé)
Ah il est tout en bas ? Bon et alors ?! Nan j’ai rien à ajouter ! Merde.
Bonne Chandeleur
(en plus y a même pas mon nom infalsifiable, pfff)