Am I real ?
Hahahaha haha hahahaha haha hohoho hihi hahahaha hehe hohoho hahahahaha haaaaaa ha ha… #hell
le sexe, ça n’interesse personne…
– Que se disent deux goudous vampires avant de se quitter?
– Rendez vous le mois prochain!
Venant de toi, « ami » est un mot de cinq lettres
tu ne sais simplement pas nommer l’amour
je crois que pourtant tu sais ce que c’est
mais ta gorge s’assèche dès qu’il faut en parler
c’est malheureux mais c’est comme ça,
je me suis fait une raison
je n’oublie pas que tu ne m’oublies pas
c’est déjà ça
IGOR -> TON FUTUR CADAVRE
Rire, détente. Golf dans le champ de mines. Cubes sur l’autoroute. Natation synchronisée dans le volcan. Mina, Igor, Carver, qui fait quoi ?
La nuit, se frôler, dans le ciel, les dirigeables. Dans la rue, les miliciens malais. On rase gratis.
Rien du tout.
Aujourd’hui c’est tellement un jour neuvième Docteur.
L’écriture qui se méfie des images : voilà le seul commencement envisageable.
L’unique argument qui peut devenir une arme de combat pour peut-être nous délivrer de nos difficultés et assumer la nomination d’une chose, d’un objet, d’un être — extraits du visible. Sous ce problème abstrait se cache la peur de typifier, de simplifier, de tuer tout simplement au moment de l’exécution, de l’identification. Une description à retardement ? Nous savons que l’inexorable se produira. Mais le risque d’être piégé ci-tôt engagé dans l’écriture m’impose la prudence. Certes, on peut m’accuser de prendre une pause. De devenir malgré moi une image. Pour y échapper la surprise doit-être à la mesure du changement, de la rupture. Contrairement à ce qui a déjà été écrit (« refuser l’héritage du passé »), pour susciter ce retournement, il faut construire une continuité, et féconder le passé des phrases en engendrant un monde. Le problème ne semble pas si insoluble. Je reviens à la méfiance des images, à cette formidable tension devant le choix d’un monde à annexer, à interpréter. Aucune complaisance dans cette situation d’attente, il s’agit d’une croyance pure au réel, nous y sommes presque, patience.
Couscous Ninjakan
petite pièce minimaliste en un acte
(à jouer au beau milieu d’un repas en famille ou entre amis, éventuellement devant une pizza quatre fromages et le match Danemark/France)
personnages :
Toto Cucugno : déguisé en ninja (un bonnet bien enfoncé sur le crâne peut faire illusion)
Le Sultan Saladin : rendu borgne lors d’un terrible duel au cimeterre contre Dalida au pied du phare d’Alexandrie.
Acte 1 : Scène 1 : un coin de table quelque part dans la galaxie
Toto Cucugno (agitant les bras vers le ciel) : Diable !
Le Sultan Saladin (se cachant l’oeil restant) : Fichtre !
Toto Cucugno se lève et frappe du poing sur la table.
Toto : Bordel à queue !
Le Sultan Saladin fait un arrêt cardiaque.
Le Sultan Saladin (se tenant le bras gauche) : Arrrrgh !
Toto : Ainsi meurent les héros, fiers étendards brandis dans le vent putride de nos abnégations !
Le Sultan : Foutre chiotte ! Un marabout ! Je me meurs !
Toto : Oiseau de malheur…
Rideau.
Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated
Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated
Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated
Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated
Risques
Ressassement perpétuel
À pas de l’oie
Point d’origine introuvable
Dédain de la vie domestique
Incapacités aux belles spéculations
Fictions
Ennuis
Privé d’histoires
Directions inconnus.
Mardi matin, l’épicerie, on arrange les cagettes dans l’espace utilisable. Les premiers clients arrivent rapidement, les navets, ça marche.
Europe fille d’Agénor est une amante de Zeus ; Europe l’Océanide est une nymphe des eaux; Europe fille de Tityos est une amante de Poséidon.
Oh toi pornographe anonyme
N’oublie jamais pour qui tu fais cela
Celui qui guide tes pas dans la neige
Et ton coeur dans la tourmente
Merci à toi Mr T.
L’homme à la tête de chat a des puces. Mina démonte la machine à laver. Carver est sans femme. Igor fait le street racer à Akina.
Plûmé
Le matriarcat acharné volait ses plûmes à
des bébés cigognes abandonnés.
Le clan des mères s’en paraient les cheveux, riaient entre elles, et moi
— tremblant sous la table — je caressai mon pelage en claquant du bec.
Hier soir, elle m’a dit que c’était terminé,
que ça ne pouvait pas marcher,
qu’on avait fait fausse route,
les circonstances sont contre nous,
etc…
certains soirs
il rentrait
tellement saoul
qu’il frappait
sa mère
en pensant avoir affaire
à une vagabonde.
Effeuilage des jours, voilà l’expression qui taraude, grande vitesse du réseau férovière dont je suis jaloux : circulation facile, allers et retours possibles ; régions, piqué du nord au sud en espérant voir à la fenêtre une petite crémière qui viendra vous vendre du lait chaud, et peut-être encore davantage, si la place que vous occupez dans le train lui certifie que vous êtes bien vu parmi les autres ;
grignotage discret des nouvelles du journal par-dessus l’épaule d’une vieille femme : les titres, que les titres ;
lecture appliquée d’une encyclopédie. ( Cf Article : MODERNITÉ, CROCODILES, TÉLÉVISION, FEMME, DÉPAYS, ENFANCE, RÉCIT)
Puis retour à la case départ.
:: De l’air ! ::
Voir aussi –> par ici !
hum hum
.
hello les petits clous
on m’appelle Steppen Wolf; en français, ça donne plutot un truc du style Stephane Loup.
Enfin, je sais pas, parce qu’on m’appelle jamais en français.
Les français me prennent pour un chien, alors ils font « psst , hep, piti chienchien par ici le bon nonosse… »
Qu’est ce qu’il sont droles…
ouaf!
En fait, ce sont juste des gens de dans 6 000 ans qui croient qu’on joue un jeu de rôle, comme nous jouons sur des thèmes médiévaux.
Qu’on y est même très forts.
Alors pour eux, les sentiments, tout ça, ça n’existe pas : tout se fait par internet, et mettre la langue, ça apporte des bactéries.
C’est pour ça, ils ne comprennent pas : on ne joue pas avec les gens.
Même les cons.
Même par internet.
La meilleure position ?
« L’observation de certaines activités bullaires dites psychostiles, permet de constater des interventions agressives à l’endroit d’autres sous-groupes, que ceux-ci soient constituées d’OEUFS, ou qu’ils émanent des ensembles tectoniques en tant que sous-groupes aliénés ou en tant que leurres spectaculaires. La « démarche » psychostile, pour bullaire et symbolique qu’elle soit, peut prendre des formes diverses. Ces formes frisent souvent le ridicule, singent parfois le prêche autiste ou la conversation policée, la subversion de foire ou l’activisme pompier, nous l’admettons sans peine, mais elles constituent les variantes d’un salutaire dérivatif à l’agression non-symbolique, à l’attaque – désorganisée mais intentionnelle – d’un organisme par un autre et la tentative de destruction physique sous-jacente. Car la mise en présence, réalisée en laboratoire, d’une bulle psychostile et d’un OEUF, par exemple, peut dégénérer en affrontement chimique, chacun des organismes tentant d’anéantir l’autre. Pour vaine ou maladroite qu’on puisse considérer ladite « démarche », d’autant que sa nature bullaire l’oppose plus au caractère ovoïde de l’OEUF qu’à l’OEUF lui-meme (pour continuer dans l’exemple), cette « démarche » a en définitive une motivation double. La sphère tolère trés mal le caractère ovoïde, qui lui-même la nie dans sa sphérité. La compulsion psychostile constitue donc autant une communication de la bulle avec son environnement, qu’une expulsion de pression interne au travers de la démarche dérivative décrite ci-avant.
L’activité psychostile est trés variable en durée et en intensité. Selon que son intensité est faible voire symbolique, ou au contraire trés violente, on la jugera dérisoire et vaine, ou au contraire destructice et révoltante. Selon que sa durée est instantanée, conjoncturelle ou plus durable, on la dira insurrectionnelle, révolutionnaire ou séditieuse. Les épithètes varieront selon l’échelle morale et la gamme d’incriminations choisies. La démarche caractérise, en tout état de cause, un trés grand nombre de circonbulles et de nocturbulles, et présente un dynamisme dialectique salvateur, quoique sporadique et toujours intersticiel, face aux tectoniques en place… Je vous prie de m’excuser, c’est mon portable qui sonne. »
Pr. Shinjù-Golovanoff, allocution ternaire, 6e congrès des Derviches Upgradés, Centre de Recherche Chaotique, Département Psychostilat Réel et Fantasmé.
Comme sur un blog : mercredi.
le jour des enfants enfin,
ne pas penser à la petite
lucie, c’est bien triste
et on la pleure ce jour
sur tourguy au bord du
canal nous n’irons plus
petite lucie flotter tête
en bas avec les rats crevés
mon coeur saigne et il neige
sur paris hommage sordide à ton
enfance broyée petite lucie douce
fleur brillante ensuite les tables
furent couvertes de viandes antilopes
avec leurs cornes, paons avec leurs plumes,
moutons entiers cuits au vin doux, gigots de
chamelles et de buffles, hérissons au garum,
cigales frites et loirs confits. oué.
Bernard vient de rentrer du Népal…
Il est assez heureux…
Il prend une douche…
Il a un sabre…
Et on dirait un enfant…
Loin de toute réalité de la proximité…
L’Himalaya…
Lee Scratch PerrY
arrive Sur la Scène
avec SeS mOOnbOOtS
rOugeS OrnéeS
de lampiOnS qui clignOtent
(…)
demain
Oh it’s just another day,
It’s just another day on Earth
Oh it’s just another day,
Just another day,
It’s just another day on Earth
Oh it’s just another day on Earth
It’s just another day on Earth
One day, we will put it all behind,
We’ll say, that was just another time,
We’ll say, that was just another day on Earth
We’ll say, that was just another time,
One day, we will put it all behind,
We’ll say, that was just another day on Earth
Once again, a masked figure drops an iron token through your letterbox late at night.
putain de cupidon
J’en ai marre de toi je ne te supporte plus. Faire la fête, faire la fête à Cupidon mais il peut se la foutre où je pense sa flèche qui rend béat. Je n’accepte plus tes hésitations, les « je t’aime mais tu n’es certainement pas l’homme de ma vie » garde tes objections et certitudes, tiens garde tout si tu veux. Je ne crois plus en rien, en tous les cas plus en « nous ». La grande romance d’antan prend désormais des allures de soap opera et je ne re signerai pas pour une saison. Parce que tu étais belle, j’acceptais tout: la déco « habitat » minable de notre deux pièces rose pâle, tes amis qui pensent que Walter Benjamin est le numéro 10 de l’équipe de Chelsea, ta mère qui ne jure que par la « Samaritaine », ton frère qui me dit que je ferais un malheur chez les brokers de la City, ta copine Marie qui vient toujours à la maison le dimanche après-midi mater en dvd « sex in the city ».
Et regarder le palais bruler en relançant de 2000 à la river. Mina ne croit pas à mon bluff. Carver se couche. Je perds tout. Le feu encore.
brume comme une forme vague / ça ne me porte pas vraiment / couler pierre ronde noire / coup de dés et abolir le hasard / blablabla #milice
– Acheter du feutre pour les pieds de mes fauteuils qui rayent mon parquet
– Enduire mon parquet d’un mélange d’huile de lin et d’essence de thérébentine (salon + bureau)
– Lancer une machine de blanc (serviettes, torchons, draps…)
– Changer les draps (ça commence à faire longtemps)
– Trouver une hache de poche (avec un manche en bois, c’est plus rustique -> Bricorama.)
– Prendre rendez-vous avec la victime
– Te chercher à la gare
– Présenter mon travail à Avril.exe (je sais même pas ce que c’est que ce truc)
– Aller à un apéro surprise (si il est confirmé)
– Rentrer
– Te faire l’amour toute la nuit durant (pas trop quand même, parce que dimanche j’ai du boulot)
El próximo parabelo es bien el lago del demonio ?
Ma mère m’a dit
« Sais tu pourquoi le mythomane ment comme il respire?
Parce que s’il ne ment plus, il ne respire plus, voilu!!! »
Ma mère est très rigolote et très malheureuse…
Mon amie Petrouchka ne porte jamais de tongs…
Rencontrant Mina, le simple d’esprit sourd muet avait écrit sur son ardoise : « je mapel silence é je sui genti ». Coup de cœur immédiat.
Igor était maintenant là : twitter.com/#!/dactylo/flash-cocotte . Promotion sociale. Mina portait une culotte en peau de tigre.
Le chat veut clairement me dire quelque chose, mais quoi ? Il veut de la poésie, du thon, des séances de yoga, une teinture ?
Max, les maximonstres, orphelins.
Ourdissant c’était mieux.
Un samedi 26 au soir sur la terre.
Avis aux tourguenistes et sympathisants :
28 c’est bien mais c’est pas assez.
Pour fêter les 29 de Nicolaï Tourgueniev.
Rendez-vous (vous êtes cernés) aux 9 billards
179 rue saint maur à partir de 21h.
Ambiance ultra vulgaire recommandée.
Fin de l’avis (de la vie).
Champagne, Agnès b. et hélicoptère.
On roule dans la nuit en bande. Vroum.
Les pupilles comme des soucoupes violentes.
Collectionner les oreilles, c’est vraiment une idée à la con.
Clara : « Are you boyfriends ? » / Moi : « Definitely not ! »
[sourire carnassier du tourgueniste hétéro-chauve prêt à fondre sur sa proie]
La styliste machiavélique dont j’ai oublié le prénom : « Oh s’il vous plaît tu peux nous faire rentrer au Paaaooolp ?
You’ll like my friend Clara, she’s a model and she’s also a great pro-palestinian militant ! » / Moi : » Whaaaat ???
pro-palestinian ?! oooh… ah yes, sorry, of course, ouais bon c’est ça allez on vous emmène au Poulpe »
[sourire en coin du gate-crasher qui a réussi à convaincre deux mannequins de faire rentrer trois mâles au Pulp]
et donc, le matin.
Sinister purpose
la douceur de l’hiver à quelques jours de sa rigueur
Demain dès l’aube …
… Comme de petits paquebots.
Wellcome dans ce petit monde superrrrrzérrrroïke de la « blogosphère »!!!
Les petits cons et petites connes que nous sommes se la racontent méchamment.
« t’as vu comme je me la joue, chuis journaliste a « Monculmescouilles », pasmal,non? (alleeez, dis moi pas que chuis une merde, steuplééé) »
« hey, regarde, j’sais faire du vélo sans les mains, ça m’a pris deux ans au RMI ou en études supérieures pour y arriver; et pis je sais faire du LARD sans les mains, aussi, pas mal, non? »
ou bien:
« pfff, non, tu sais, moi , mon taff y’m pompe toute ma créativité, tu voaaaaaa, faudrai qu’j’y soit pu a plein temps, quoaaaa, mais j’arrive encore a me déchirer la gueule comme avant, quand j’avais encore un truc a dire, et pis surtout, j’voudrais tellement être ailleurs, heiiiiiiin, tu voaaaa, pas mal, non? »
EN GROS, desfois, j’en ai tellement ras le bol de moaaaaaa, que ça déborde…
et pis, tout ces petits zéros, et puis pas beaucoup de petit uns, c’est aussi ma faute, non?
Sans doute pire que le foot. Sans doute. Igor balance l’écran par le sas. Dehors, la ligue des rouquins ricane.
« Then the whole thing would fracture. The two universes would collapse. »
Dans les ruines, la VHS que tu avais laissé pour tes amis, au Pérou, ton sourire m’impressionne, les avions tombent du ciel. Être en larmes.
Return-Path:
Received: from mwinf0401.wanadoo.fr (mwinf0401.wanadoo.fr)
by mwinb0801 (SMTP Server) with LMTP; Wed, 17 Mar 2004 14:16:29 +0100
X-Sieve: Server Sieve 2.2
Received: from smtp4-out.lerelaisinternet.com (smtp4-out.lerelaisinternet.com [194.206.126.89])
by mwinf0401.wanadoo.fr (SMTP Server) with ESMTP id 9C8F01800186
for
Received: from av5.lerelaisinternet.com (AV5.lerelaisinternet.com [192.168.164.207])
by smtp4-out.lerelaisinternet.com (8.12.10/8.12.10) with ESMTP id i2HDGRjD021806
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Received: from smtp2-in.lerelaisinternet.com (pri-smtp2-in.lerelaisinternet.com [192.168.164.194])
by av5.lerelaisinternet.com (8.12.10/8.12.10) with ESMTP id i2HDGQeu011236
for
Received: from ml.online.net (ml1-1.online.net [212.27.35.88])
by smtp2-in.lerelaisinternet.com (8.12.9/8.12.9) with ESMTP id i2HDGQnk017727
for
Received: from ml1-1 (localhost [127.0.0.1])
by ml.online.net (Postfix) with ESMTP id EC1FE7C78A
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Received: from ml1-1 by ml1-1 (LISTAR/0.42);
Wed, 17 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)
Date: Wed, 17 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)
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To: shioran
Message-ID:
X-listar-antiloop: ml1-1
Precedence: list
Mime-Version: 1.0
Content-Type: text/plain; charset= »iso-8859-1″
Content-Transfer-Encoding: 8bit
Expiry-Date: Thu, 18 Mar 2004 14:16:27 +0100 (MET)
Subject: Listar command results: — Binary/unsupported file stripped by Listar —
Request received for list ‘legrandbleu.com:diffusion’ via request address.
>> you are a bad writer
Unknown command.
—
Gestionnaire de liste Listar/0.42 – fin de traitement/job execution complete.
JE VEUX JOUER AVEC TOI !
Baptisée « tourgueen buzz » (la fréquence des tourgueniens) ou « Mosquitourgone » (la tourguenerie du moustique), cette sonnerie permet aux tourgueniens d’utiliser leur pouvoirs psychiques en classe sans que leurs professeurs puissent l’entendre.
Mina, sous sa ghillie toute neuve, se préparait un thé au ginseng en attendant le passage du convoi néo conservateur. Elle se sentait forte.
Si je baise ?
Affirmatif
Quoi ? Des noms ?
Des salopes…
Affirmatif
Des actrices…
Des gamines…
Affirmatif !
De quel âge ?
Mon beau prince
Qu’il vienne mon Prince charmant !
Qu’il vienne…
Que je lui pète la gueule pour m’avoir fait attendre aussi longtemps !
Other girls went and other girls came, I can’t get over my old flame, I’m still in love with Emily Kane…