Comédie
Tatiana Repina est une courte pièce, si courte, qu’elle fut ignorée dans l’oeuvre de Tchekhov et n’a jamais encore été présentée sur scène. Elle est forte et vive cependant, comme le fait divers qui l’a vraisemblablement inspirée. C’est jour de noces : Pierre Sobinine se marie, selon le rite orthodoxe. Nous sommes, vous êtes conviés à ce mariage. Mais, au cours de la cérémonie, surgit le fantôme de Tatiana Repina. La maîtresse délaissée du marié s’est suicidée, quelques jours auparavant, par jalousie, »par désespoir ». Pierre voit son ancienne amante : actrice de province, elle jouait Tchekhov, Dumas, Labiche les auteurs en vogue dans la société moscovite de l’époque. La « dame en noir », par son acte insensé de dépit, devient l’exemple ; une épidémie s’en suit : les femmes de la ville se suicident par amour, et par déception. Valeri Fokine est un des chefs de file du renouveau théâtral russe. Il a présenté, en 1997,à Avignon, une savoureuse version des Ames mortes de Gogol, où le grand acteur, Igor Tourgueniev, affrontait vaillamment les avatars de ses délires. Cette année d’autres fantômes surgissent, issus d’un Tchekhov méconnu, où cohabitent, comme toujours, la farce et la tragédie. En insérant au spectacle des textes français des contemporains de l’auteur, Labiche et Dumas fils, Fokine confirme cet univers : l’inquiétante étrangeté de la vie quotidienne.
Je peux vous offrir bien plus que la vie éternelle. Je peux vous présenter une personne incroyable. Un homme à la tête de chat. Une faérie.
Elle fermait les yeux ; parfois coulaient sur ses joues quelques larmes rares et brillantes, ces pleurs de la vieillesse qui semblent sourdre à regret, comme si l’âge avait reconnu enfin l’inutilité, la vanité de toute plainte.
Alors ils se sentent le nez et c’est la paix.
un verre de vodka red bull et tout devient si facile quand on ne peut pas franchir le seuil de la piste de danse malheureusement je reste au double pastis alors attention les pieds et les genoux car.
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quand on arrive en ville on recueille le salut des étoiles et les baisers des jeunes filles en fuite, les jeunes hommes se pressent afin de voir passer notre étonnant cortège, ils aiment à se parfumer.
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de ces trois fleurs aucune n’est bleue et pourtant je ne peux m’empêcher de les trouver désirables comme quoi les images mentales que l’on se fait des objets ne gâtent en rien une éventuelle satisfaction.
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temesta attaque oneko qui la suit et lui fout une trempe, se barre puis elle le suit, il l’attaque et elle se sauve, il se sauve et il l’attaque et il ne peut pas manger ni elle pisser alors ils se sentent le nez et c’est la paix.
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ceci est un texte qui va me servir de modèle afin de définir ce que je vais pouvoir mettre ici dans cette petite case minuscule qui va être neuf fois reproduite afin de construire un post particulier.
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au pulp, le club des filles qui rigolent, on se demande toujours ce que les gens trouvent à cet endroit puis finalement on danse, c’est pas joli-joli mais finalement pourquoi pas la vie est courte alors merde hein non mais oh.
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dans le jacuzzi avec patrice carmouze tout à coup ça m’est revenu le tourguenisme, en fait il ne s’agit pas de l’intégrer à une quelconque réalité, juste de le remarquer et de le pointer, éclater la masquarade.
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le tourguenisme n’est pas un mode de vie ou un mouvement artistique de plus ou un délire crétin (quoique) c’est juste un mot pour dire qu’on existe et qu’on est, qu’on garde les yeux ouverts et la pensée.
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dans le nouveau salon il y’a un très beau jonc de mer un peu verdâtre c’est très beau vraiment et très stimulant pour la plante des pieds, en plus l’odeur d’herbe coupée persiste à me rappeler tokyo la nuit, les dirigeables.
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< Les Maux d’Aurore >
Tout ceci me Facétie, tout cela me reTourgue, et puis s’en va
Je n’avais pas eu l’impression de réaliser
une action décisive.Il se saisit du bonheur
uniquement pour faire battre plus
vite son cœur. Au moment voulu, tu diras à tes amis :
« N’importe où dans le monde ! «
La nuit. Je ne jette rien par la fenêtre. Promesse.
10-66 Unusual Incident (train derailment/collision, plane crash, building collapse)
rappel en rouge parfait bandé adoré Moi
je dis : assemblés assortis emmêlés je dis en remettre une couche vite |
le monde vit dans des spirales,
négatives et positives.
on se trouve, soit dans une spirale positive
et les evenements s’enchainent positivement les uns derriere les autres
en une progression régulirère,
soit dans une spirale négative
et les evenements s’enchainent négativement les uns après les autres
en un désastre graduel.
chaque individu vit dans une ou plusieurs spirales,
spirales qui peuvent etre locales ou globales.
certaines spirales sont durables et interferent avec les evenements durant des mois
ou des années,
certaines spirales ne durent qu’une journée, que quelques heures.
certaines spirales sont futiles, d’autres provoquent le marasme ou l’extase,
à la fin de chaque spirale, un evenement excessif vient clore le phénomène
et lancer l’établissement d’une spirale inverse.
Mina, Igor et Carver surveillent l’horloge nucléaire coréenne. L’Homme à la Tête de Chat ouvre son abri plombé au public. Années 80.
« Est-ce qu’un nager sait canard ? » que j’dis. Pour toute réponse, Alfred me repousse d’une pelle boueuse vers la fosse. #joyce #canard #alfy
#23
Parole vaine du héros.
La voix souveraine, elle revient, c’est ça : tressautements de sensations
et je parcours le temps, je revis en une minute les dernières journées,
et je vois un esprit insatisfait, une tête bien faite. E. m’a dit que j’aimais la douceur
de mon visage. Est-ce ainsi qu’il faut lire les traits du héros ?
Douceurs sourdes.
Je ne vois pas pourquoi je m’interdirais de relier mon bonheur à l’écoute
d’une cantate. Et si la quête du héros c’était de se rapprocher de dieu ?
Ha non. Pas sérieux. Pas aujourd’hui. Pas dans l’époque.
Et je me tairais enfin ? A la droite ? Le ciel ? Oui j’aime regarder le ciel.
Mais cela ne prouve rien.
Le héros veut anticiper, brûler des étapes, se brûler la vie
pour un chemin somptueux.
Est-ce que je mérite cette éternité ? Cette facilité ?
J’écoute donc la voix souveraine de Barbara Hendriks
au nom du père inconnu. Et j’attends.
Posture essentielle du héros, chasseur grotesque ; mouche aux ailes d’anges.
Igor surveille la porte. Dans le bar, trop sombre, on ne compte plus les victimes. Man Ray est au fumoir. Carver recharge les fusils. Break.
Mensonge
L’autre soir, en voulant expliquer l’idée de la mort à ma fille inquiète,
je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai parlé de Dieu…
Leccione de lengua multa rapida
Leccione una, la discusion filosofica con uso del webo no functionato del ordenatore. Jojoe e Rick Rock Disco Opera discutan del valor simbolo del comunicativo en los tiempos de decadencia, povre Patria Madonna ! Utilisar como repetticion de las frases a altavoxa, y cancionamiento con gracias a los voisinos y la trumpetta multo fuerto, Viva la Musica ! Scorcio !
Rick Rock Disco Opera dit :
tropo taxation bastardo
Jojoe dit :
sono molto disturbato per el commentario che ti fachio
Rick Rock Disco Opera dit :
No comprenda la tiempo mas merdo que no donna envia bougare
Jojoe dit :
toalo comprendo:mio matta una video la pomerigia
Jojoe dit :
mio matto el gift con molto petardo
Rick Rock Disco Opera dit :
Che bien video mucho calmo, scorcho !
Jojoe dit :
andy commento che el filmo molto crapo esto
Rick Rock Disco Opera dit :
A recepto la invitaion crappy del Tourgueniev ordinatore del webo ?
Jojoe dit :
mio apreciadida sam raimi
Jojoe dit :
niete
Rick Rock Disco Opera dit :
Toma a enviado e enviado multo sin resultato !
Rick Rock Disco Opera dit :
crapo !
Jojoe dit :
non understando!
Rick Rock Disco Opera dit :
Yo non comprendato el fonctionato malo
Jojoe dit :
petreto es la mia machina non worko correto
Rick Rock Disco Opera dit :
Frapala con el ataque coupdeboulo
Jojoe dit :
recepe uno messagio la noche precedent al tempo 0h30,ma el messagio a envoyato al tempo 19h14!non understando
Rick Rock Disco Opera dit :
Ah ! Tecknica moderna multo mierda ! Madonna !
Jojoe dit :
ah,molto lento el webo
Jojoe dit :
crapo machiune
Rick Rock Disco Opera dit :
Povra Matria
Rick Rock Disco Opera dit :
Pena enorma
Jojoe dit :
poutremos cris waddle
Jojoe dit :
molto decipointia
Rick Rock Disco Opera dit :
pobre pussycat
Rick Rock Disco Opera dit :
Multo funi los graficos emotionnales de la machina
Jojoe dit :
la machina compltamente cotorepo este
Rick Rock Disco Opera dit :
El webo financiato con el fundo del Cotorepo porque eso non functionato
Jojoe dit :
si,vero
Jojoe dit :
molto bello grasso ecritation
Rick Rock Disco Opera dit :
escritation gordo como mujer : mas gordo mas bello
Jojoe dit :
lookare per aha canzonas
Jojoe dit :
molto possibilitatesses de scritore el nome
Rick Rock Disco Opera dit :
aha cancionas non sono todas marvellosas : las cancionas para pubella multa frequente
Jojoe dit :
mocho rigolati
Jojoe dit :
te belivo
Jojoe dit :
da me el inspirazione:cercare per gabage
Jojoe dit :
garbage,perdona
Rick Rock Disco Opera dit :
multa muzica puffaputa telechargiamento = ordinator kaput
Jojoe dit :
puffaputa musica eksellente
Rick Rock Disco Opera dit :
exkselente pero casa la teta del filosofico
Jojoe dit :
oh,bordello surpresa: este 14h20;mio grosso godo de mierda
Jojoe dit :
mio volio mattare el film
Jojoe dit :
con fisho e chouflori
Jojoe dit :
hum…scorcio!
Rick Rock Disco Opera dit :
scorccio
Rick Rock Disco Opera dit :
chouflori multo bono para el intestino alcoolicamiento
Jojoe dit :
scorcio
Rick Rock Disco Opera dit :
voy a publicare la conversazione en el webo crappy Tourgueniev por el contextador filosofico molto profundo
Jojoe dit :
soy daccordo con ti
Qu’il qu’il qu’il…
Je je jee jejje jjee tteennaiis ààà vvvouusss annnonncerr
quu quue quueeee quue jjjeee ssssuisss e e en ennn messurree
dddddddd » »éééécrirrrreee cccoorrecttteemennt dedddedepppuiiss
mmmmmonn ammmmmmputtttttattttttioooooonnnnn dee deee eddee lllaa llaa
maaaaiiiiinn ggau gauu gaaauu ccchhhe grggrgggggrr effféééee àààààààà
mammam ammooommooonn brb brbr brr brr braaas droiiiiiit e e eetttt dem
demma demamain eeeeeeet dde maaaa mmmmmaaain drrrroitee ààmmmon brrass
gaaauuuuuuchhhhhhhee. C CC »CCC » » »eeesst u u uu nun vvérr riiitab bl blle
su sssuuuuuu suuc suuuuuc suuccccè suuuuuuucccccccè succès. .. . … … .
Funérailles : on enterre les armes, les munitions. On repeint aussi le bunker en jaune pâle. Sur la façade Est, Mina installe les explosifs.
… Elvis chante Bruce Lee me sourit Sylvain ne dit rien J’ai le trac Je suis crevé Je veux dormir Trois jours Au moins Mais je suis motivé.
oui vive toi!
j’en mets plein dans mon petit bureau!
Coupez !
Cela fait un bout de temps que j’observe d’un côté les fils de news de Reuters, AFP et AP, et de l’autre, les cours de la Bourse.
Les réactions du marché sont si évidentes, si prévisibles, si enfantines, que je me demande parfois si je ne ferais pas mieux de passer mon temps à spéculer comme un dingue.
Et puis je repense à Thalès.
Et alors je continue mon roman.
Carver trouvait le temps long, à l’intérieur de l’armoire normande de la femme du chef de la milice. Le bar est vide. Dehors il gèle. Dur.
Tu as toujours eu
deux pas d’avance
nous, on marchait
pendant que tu courais
et on t’a perdu de vue
est-ce que tu es mort ?
je dois avouer que j’ai trainé
près de ton ancienne adresse,
cherchant en vain
un espoir, une caresse
les années se ressemblent
fades et stériles
depuis que tu es parti
je n’arrive pas à t’oublier,
tu me manques
Les miliciens chinois faisaient montre d’une grande intelligence stratégique dans le placement de leurs mines anti-Mao. Igor fait ronron.
Bon alors il faudrait que tu penses à faire cela, et puis aussi contacter Mr K, oui, le client, pas le prestataire, et enfin organiser le cocktail.
Mais je n’aurais pas assez de temps pour le faire !
Hé bien étend le…
N.I.G.H.T.
il est nuit
optimisation de l’alternatif
optimisation de mon temps de sommeil au minimum
pour partir vraiment
tu dois laisser une partie de toi
en arrière
et j’ai le docteur
pour ça
ferme les yeux chérie
ça fait pas si mal
si tu serres les dents
lobotomie et roule vers le paradis
oh darling, i love you so much
L.O.V.E.
![]() |
Prâtar namâmi gananâtham ashesha haetam brahmâdi deva varadam sakala âgamâdyam; dharma artha kâma phaladam bhava-moksha haetam; vâchâma agocharan anâdim ananta-rûpam Prâtar namâni kamalâpatim ugra vîryam; Prâtar namâmi girijâpatam indumaulim; Prâtar Namâmi dîna nâtham aghâpahâram; Prâtar namâmi girijâm bhavabhuti haetam; |
Killing yourself is not the answer.
PsychoMiX
Farfadet mongol sans gravité, bonheur, pour vivre un attentat : l’image manque. Couillonne ! 1917 : foirade.
Où es-tu ? En souvenir de toi tu vas voir le poulpe 45. Tu m’avais promis tes vergetures, ton contremaître médical, Bianca ! Trust l’hépatite c Klingon. On va nous mastiquer, emplafonner du temps et partager le croque-mitaine. Les sans-culottes en lettres rouges, les hospices téléphoniques nus, tes grenouilles vertes … la couille périodique.
C’est fini. Je frappe.
J’aime.
aimer ?
Le mètre ruban des biceps chasseurs !
Ils auraient aimé un grillage, Igor.
Don’t care, tu t’en fiches. Amour, fictions, continent ? La grille de mots croisés, contre toi, was crying. I won’t forget ma selle de vélo de vieux machin pourri,
never
En tant que science biologique, le tourguenisme est fortement lié à d’autres branches de la biologie, principalement la génétique. #Thoreau
Il trouva une fille qui s’appelait Michael.
TURTLE BLUES
C’est assez étrange de se sentir la cible de vieilles résurgences
pathologiquement significatives. Mettre méthodologiquement la clé
dans la serrure. La tourner deux fois avec application jusqu’à ce
que ça bloque. Se souvenir de l’émission tv d’hier mixant
restaurant et écriture scatologique d’une brillante plume
d’un grand quotidien français. Penser à la soirée. Se morfondre.
C’est tellement bon de se morfondre.
Se dire qu’on a mal aux dents, penser que ça intéresse le monde entier
sans pourtant hurler sa rage de dent sur tous les blogs dans un éclat
maniaco-dépressif d’adolescent auto-égo-éro-trasho-postmoderne. Se coller
un petit Janis sustenté par quelques bières consommées au bar (celui
qu’est en bas du boulot juste à côté de la pharmacie au cas où…).
Mettre la 3 de cheap thrills (c’est important), en boucle. Entendre racler
sans cesse la voix de ses homologues ivrognes de l’au-dela de là haut.
Saisir son petit boitier en plastoc noir pour écrire un sms, l’allumer,
l’éteindre. Allumer une clope. Manger. Penser à manger. C’est important de manger.
On l’oublie trop souvent. Se demander lucidement si on est triste. Se dire
que non. Ecouter la 5. Elle est importante la 5. Penser à la 6, plus importante
que la 5. Puis trainer sa chaîne et son boulet. Essentiel.
I said whoa, whoa, whoa!!
Et boire du café en attendant que le jour se lève.
Mina, l’homme à la tête de chat parlent de Chomsky jusqu’aux premières lueurs de l’aube atomique. Dehors les imprudents brulent, nus, seuls.
Trainer dans la maison en pyjama triste comme un goumi au mois d’octobre. Le modèle a besoin d’une clope alors il se rhabille. #bah
< Le Maldardeur >
Ardeur
convulse-moi fort
le corps
le coeur
Ardeur
Retourne-moi nue
profond
Le cul
Le con
Death to the dinde
Et parmi la nuée
De Charons ailés
Tourbillonne,
Plane
Mon Augure
Qui décrit
Je ne sais quel destin…
Poker.
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gangster??? | ||||||||||
fuckin’bastards, you’llsee where is my chérie, | ||||||||||
![]() |
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! | ||||||||||
craché par » i don’t know who yu’re » edited by Gü. |
Encore te deseo
Instant magique où j’espère ton appel, téléphone à la main, doigts croisés, superstitieux comme un enfant amoureux.
Instant magique où tout me dit le contraire : tu n’appelleras pas, le moment est passé, je suis fou, qu’espérer d’un appel ?
Instant magique où dans ma main le téléphone s’illumine de ton nom, malgré la raison.
Tu sais me faire rire, j’entends tes sourires, tu es là tout entière dans mon oreille et dans ma tête.
Et maintenant, ils sont tous morts.
Laisse le foma diriger ta vie. Il te fait brave et heureux, il te rend bien portant et heureux.
Steve Jobs en 2008 : » We don’t know how to make à $500 computer thats not a piece of junk. »
ZABRISKIE POINT
Jour de mai 2003. Elle se tenait fièrement à côté d’elle. La Dodge rougeoyait – yeah – yeah dans le désert. Au loin les dunes restaient figées malgré l’auto-radio qui restait encore branché. Elle était déjà venue deux ans auparavant. S & M. A l’époque c’était une japonaise – une Suzuki verte je crois. Et maintenant Elle était à côté d’une Eurasienne.
Le sable, lui, restait toujours jaune – imperturbablement – renvoyant sa splendeur safran à la face cuivrée de Silver. Elle avait pensé maintes fois à faire l’amour à deux ou à trois dans ces dunes. Elle ne pouvait pas faire autrement que de tripper sur les mamelons chaotiques et ridés qui se dressaient fièrement. Tandis que Silver découvrait le paysage – émerveillée, Elle contemplait avec ex-citation les sillons désertiques. Elle en retirait une intense satisfaction, comme une petite fille qui pour la première fois tente de saisir à pleines mains une jolie flamme – doux mélange de douleur cuisante et de désir brûlant. Et plus elles regardaient, plus elles se levaient, et plus elle se levaient, plus elles découpaient le ciel azuré, déchirant leur univers solitaire de virginales découvertes. Elle s’illuminaient, révélées par un soleil immobile. Les filles se tenaient là face aux dunes.
Loin d’elles, le regard las de la Dodge clignotait de ses chromes rayonnant sous un soleil de plomb.
Depuis toujours le jeune homme sentait peser sur lui le noir regard de la Deesse. Ce soir il la défiait à nouveau en mettant le masque d’or : le splendide instrument de sa destruction seul pouvait détourner quelques temps la malediction de Venus, il rendait superbe, magnetique et brillant. Son pouvoir se nourrissait des coeurs que brisaient son porteur, de la magie qu’il pouvait voler aux malheureux qu’il rencontrait, de la seve des âmes, en commençant par la sienne propre. Il avait essayé de ne plus porter le masque. Pendant quelques temps il reussissait à arpenter la scène de sa vie sans trop de douleur, puis l’éclat d’un regard, un sourire qui ne lui était pas adressé lui rappelaient comme il était seul et sans amour. Il pleurait alors interieurement pendant de nombreuses journées sous l’emprise du masque : comme il aurait été facile de l’enfiler à nouveau pour conquérir ces yeux, cette voix qui l’avaient fait defaillir. La lutte était terrible et derrière ses yeux bouillonait la tempête alors qu’il combattait les images luxurieuses de son théatre intime : langues audacieuses, etreintes felines et râles humides… Tous le hantaient, chaque jour un peu plus, puis n’y tenant plus, il enfilait le masque et partait chasser, conquèrir et briser les âmes comme un dieu vengeur offensé eut pu le faire. Le masque l’affaiblissait peu à peu : de menues maladies, des taches sur sa langue, des défauts d’audition furent les premiers signes. Sa peau sous le masque prenait une teinte jaunatre et ses yeux s’enfoncaient dans les orbites d’un visage emacié. Il tirait une énorme fierté d’être l’ennemi d’une deesse et d’être parfois victorieux. Les quelques concessions qu’il dut faire ne donnerent que plus de prix à ses victoires éclatantes, aux chatiments qu’il imposa aux serviteurs de l’amour, de toutes ses forces. Et s’il perdit progressivement ses cheveux et ses dents, si sa vue se brouilla… jamais sa mémoire n’oublia l’exaltation du champ de bataille et du sang répandu.
Hier soir, elle m’a dit que c’était terminé,
que ça ne pouvait pas marcher,
qu’on avait fait fausse route,
les circonstances sont contre nous,
etc…
« [bellboy’s voice:] Paging Mr. Kaplan, Mr. George Kaplan… »
George, une boite à OEUFS vaut un panier de crabes, tirez-vous de là de grâce. Démonter la prophétie autoréalisatrice de Huntington et en exposer les rouages ne saurait déciller les ovoïdés qui vous font face, puisqu’en définitive ils concluent toujours en citant la Bible et/ou le Livre Noir du communisme. Ces ovoïdés roulent en circuit fermé. Ils n’ont même jamais capitulé : pour baisser les bras il faut un jour en avoir eu. Ite missa est.
ce matin : réveil + sourire + en retard + métro + boulot + mails + MSN
(utiliser le medium comme support pour un journal intim’impartial)
Soy un perdedor, …
L’amour s’en va comme cette eau courante
L’amour s’en va
Comme la vie est lente
Et comme l’Espérance est violente
Apollinaire
Alcools (1912)
Dormir 20 minutes. #dnd
Parcourir le squelette squatté du Léviathan échoué, roder parmi les parasites, l’immense carcasse offerte aux vents, dolce vita.
*tousse*
Mama, juste tué un homme a mis un pistolet contre sa tête a tiré mon déclenchement, maintenant il est Mama mort, la vie avait juste commencé mais maintenant je suis allé et jeté le tout le Mama parti, ooo n’a pas signifié pour vous faire le cri si je ne suis pas en arrière encore cette fois demain continue, continue, comme si rien n’importe vraiment
plan fixe sur le Danube, immense
L’homme à la tête de chat : les puces sont de subtiles compagnes, leurs idéaux toujours fluctuent. L’amazine agite leurs sillons sanglants.
« Il m’est inconcevable de penser qu’il y a des gens qui ne comprennent pas Bach, et pourtant cela existe »
Dictionnaire de la Cadémie To Urguennienne
Recherche sur Handicapé:
*’Handicapé, -ée adj. XIXe siècle. Participe passé de handicaper.
Se dit d’une personne affectée d’un handicap, d’une déficience physique ou mentale. Un enfant handicapé de naissance. Aide aux personnes handicapées. Un travailleur handicapé. Subst. Un handicapé mental, moteur. Un sport pratiqué par les handicapés.
Recherche sur Sentiments :
*’Aucun document ne correspond à ces critères.
You’re gone
I’m alone
Let’s have another drink
To forget
Not to think
Just sinking and sinking
Drink my fill
Drawn my thrill
Slip out of my dreams
Bad memories
Sweet remains
All those stupid things
You’re gone
I’m alone
Let’s have another drink
Too much grief
For so few wine
Am I just killing time ?
If the past
Could reappear
In my glass of beer
If your eyes
Could drawn me again
In my glass of pain
You’re gone
I’m alone
Let’s have another drink
Et nos amis nous offraient de merveilleuses occasions de devenir encore plus intrépides. t.co/5hdXt8eN
Verdi le grand incendie de Chicago les Klaxons les Breeders Cannonball les pains au chocolat Harrison Ford.
Qui est là ?
Holiday, Celebrate et vive et vive le feu. Holiday, Celebrate et vive et vive le feu. Holiday, Celebrate et vive et vive le feu. Oh yeah !