Des milliards de crucifiés hurlent avec moi chaque matin
quand je me réveille
et que le grand feu s’allume
François Martin m’a raconté qu’un jour dans l’avion il fit cette découverte extraordinaire transmise illico presto à son ami Jean-Luc Nancy via son portable : ETC. = Eros. Tanatos. Chronos.
le récitant : marche ou crêve m’explique en rêve un ami cette nuit.
Igor et @troudair picolent sec. plixi.com/p/64419873
Et tu viens avec moi, faire l’avion. t.co/m0vq87wz
Minuit pile
Ca y est c’est le week-end
Vive les super week-end
C’est comme ça qu’on les aime
Faire le plein d’énergie,
C’est comme ça
C’est le week-end
On veut des happy-end
Pour finir nos week-end
On est prêt pour affronter
La nouvelle semaine
Et chanter ensemble sur ce thème, allez !
Et chanter ensemble sur ce thème
Encore
Trois deux un partez, et hop! Il court il court le furet; je l’attrape par la queue, je le montre à ces messieurs, et on s’assoit sur le haut d’un mur, le faîte d’un arbre. J’embrasse à pleine bouche l’amiral qui l’escalade, ça ne vous étonne pas du tout n’est-ce pas? Mais pour qui me prenez-vous?
On reprend la course, le furet va assez vite, moi un peu plus encore, sauf quand il y a des tunnels. La tortue est loin derrière, elle ne gagne jamais ça c’est des conneries. Mais pour les gros arbres écrasés au milieu de la route, je bondis au-dessus, et mes jambes s’écartent, se mettent à l’horizontale, mes muscles saillent et je gagne!
Oh! Je m’écrase sur la ligne d’arrivée, ma joue rape, j’ai la gueule déchirée. En fait personne ne voulait gagner on m’a fait croire à une fausse course. Je pleure dans la boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse, il m’emmène, je le crois.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons.
Et hop! J’ai la figure pleine de boue.
Mais hop! Le furet rejaillit, il m’embrasse et nous partons lalalalilala vers une clairière illuminée. Oh lala… les poncifs de l’amour, toujours!
La nuit, avant. tourgueniev.com/2003/08/07/1090
Au village on gardait la virginité pour les grandes occasions. Collectionner les oreilles, c’était, à ce moment là, d’un coup, un peu vain.
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l’ogre est à Paris, la créature a un an, rien ne bouge et poivrons verts.
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ho, britney, arrête avec tes dérapages vocaux et tes déhanchements de metaputa effarouchée… tu sait trés bien que christina aguilera est meilleure que toi, plus jolie, plus espagnole aussi; et que son « dirty » t’as mise KO… et puis , c’est une vraie fille, ELLE…
Reminiscence
– …Une descente de lit rouge, avec de longs poils synthétiques pas vraiment agréables au toucher. Un décorum vachement seventies, vachement trop, de grosses fleurs blanches sur fond bleu au mur, et je crois bien une armoire en plastique coloré qu’on zippe et dézippe. Un camion Tonka au pied du lit. L’aspirateur, qui a manifestement interrompu son office monotone.
– Quoi d’autre ?
– Chais pas. Une espèce de grosse peluche, un truc assez haut et trés laid, je crois que ça représentait un chien. C’était fait de la même matière synthétique rouge et rêche, les poils devaient tomber, en plus, parce qu’en plus de la texture je me souviens du goût. J’ai dû en bouffer.
– Quoi d’autre ?
– De longs poils rouges, en tous cas. Un chien, avec de longs poils rouges et rêches, c’était un bâtard mais il avait une certaine gueule. Un van, un vieux tube je veux dire ; les sigèes étaient en longs poils rouges, une sorte de moquette qui s’est laissée aller, ou une moquette baba cool qui se rase plus sous les bras depuis le manifeste des 343, une moquette-larzac, qui sent le mouton, enfin tout un tas de clichés pour une moquette rêche et rouge qui devait salement gratter le dos en été.
– Quoi d’autre ?
– un frigo, un frigo avec de longs poils rouges à l’intérieur, de longs poils rouges et gluants cette fois, je crois pas que c’était rêche, c’était trés gluant, j’ai jamais pigé pourquoi ce frigo était rempli de longs poils rouges et gluants. L’odeur me faisait penser à un singe qui joue au tarot, c’était musqué et rance, un peu moisi – les jeux de cartes je trouve ça moisi – mais c’est surtout la texture qui revient, un truc particulièrement gluant. J’aimais pas ce frigo. La porte se coinçait tout le temps, je flippais de m’y retrouver coincé. J’avais entendu des histoires pas possibles sur des frigos carnivores. A priori un frigo, c’est un gros bloc froid clinique, qui fait office de réservoir high-tech et nous dispense du coup d’enfermer la bouffe dans trois tonnes de sel et un placard, ou de la fumer quelle qu’elle soit. Un frigo c’est le truc le plus rassurant qui soit, a priori, un indice de civilisation, le truc frais que tu adores ouvrir les nuits d’été pour taper une tomate, une bière ou un bout des restes. Le frigo c’est l’essor de la consommation bienveillante des années 50, tu vois tout de suite les gros frigos US avec les pubs kitchissimes qui vont avec – my god, freeze !. Le frigo, c’est la machine de combat grand luxe des années 80, l’embonpoint technologique et les glaçons sur commande, le foyer au sein du foyer, la cheminée à l’envers, le coffre-fort biologique, le garde-manger optimisé, mine de rien. On construit des baraques entières autour du frigo, parfois. Nan, sérieux, je déconne pas. Je suis sûr qu’en Californie, tu as quelques architectes barrés qui ont construit des baraques entières autour du frigo. Le centre névralgique du home sweet home. Qu’est-ce que tu as à foutre d’un home cinéma ou d’un jacuzzi dans la salle de bains si tu n’as nulle part où aller piocher de quoi grailler ? Bref, le frigo c’est le truc le plus familier qui soit. J’ai jamais compris pourquoi ce frigo-là était rempli de longs poils rouges et gluants, avec cette odeur de pourriture. Y en avait sur toutes les parois. Dans le compartiment congélateur, les poils rouges se transformaient en fines stalagtites cristallines et cassantes, mais ça puait toujours autant.
– Y avait quoi dans ce frigo ?
– Je me souviens plus trop. C’est surtout ces poils rouges qui me reviennent. Je crois qu’il était essentiellement vide, enfin la plupart du temps. J’allais pas y foutre le nez tout le temps, parce que je détestais ce frigo, en fait.
– Mmh.
On est pas dimanche ?
Et viennent les jours sombres.
Après quelques gorgées, la culpabilité qui lui avait timidement noué la gorge à son arrivée le quitta pour de bon et ce fut le soulagement, le début de l’abandon. Ses doigts jaunis étreignaient fébrilement un mégot informe. Sa langue pâteuse l’embarrassait, il voulait être ailleurs …
Le chat se comporte bizarrement. Genre tout plat. Et poilu.
Dehors la musique est tonitruante et les basses, volcaniques, font exploser les trop petits animaux. Carver enfile ses jeans neufs et des lunettes d’aviateur. Ses pupilles sont déjà immenses, lacs sans fond, quand il bondit hors du bunker. On va voir ce qu’on va voir. Fuck. Yeah.
Mina entreprend le paysage franchement, croise 2 cyclistes grotesques, un chauve et Carver. Ses cheveux sont tressés de terre, de perles.
Marcher encore et encore le long de ce même canal glacial
Chercher encore et encore à croiser un regard
Regarder encore une fois le jour se lever
Renifler
Jeter un caillou dans l’eau turbide
Renifler encore
Ne pas te voir encore une fois
T’imaginer au lit, au chaud
Me demander pourquoi je pense te croiser
A chaque fois au bord de ce canal
Chaque matin
Alors que toi
Tu dors
Renifler, ravaler mes larmes
Sans les mains
JE
SUIS
UN
ARTISTE
Mais bien sur, pas le temps de danser. C’est la guerre.
Si je me lance dans la construction d’une table de nuit de dimension modeste, je peux évidemment me planter. #ΘΘΘ
Cut the cake.
Embrassez-vous ! De ma part.
A cœur brisé rien d’impossible. Je me sens tellement comme Rimini sous la pluie. Electrelane à fond dans le salon, toujours rien avalé.
En me balladant avec Gü.
A Marseille dans la rue
On a déjà habillé
Nos futurs bébés
Tu voulais pas un garçon ?
– Si mais tant pis ! –
LISAO
QWAQWA, bantoustan d’Afrique du Sud, territoire autonome de 482 km2; 200.000h, chef lieu : Phuthatdijhaba.
Le mauvais oeil, c’est celui qui n’est pas le bon…?
(le bon oeil, c’est celui qui va avec le bon pied)
Igor : « … conclusions et affirma que les accusés avaient le plein contrôle de leurs facultés mentales… »
Et Carver de répéter en boucle dorée : » Kill jonquille ».
Ce que je souhaite vous exprimer, lorsque je vous dis « 13 », mes chers compatriotes, c’est :
TREIZE
下跌的校園見你,我和胡利奧下跌的校園我和胡利奧下跌的校園
La reine des glaces m’avait banni des terres de L’Ouest
et c’est le coeur lourd
que je franchis pour la dernière fois
les portes d’argent
dont la cruelle engeance des fées
me prive à tout jamais
SONIC YOUTH
Atteindre n’importe quel point de la planète en deux heures.
Certes.
Mais avec tout ça, comment je lis l’Equipe moi maintenant ?
Chaque jour la lecture de ce site formidable m’inspire une belle et
longue promenade au bord du canal de l’Ourcq avec ma chérie (??!!),
mon chien (!!) et nos deux petites filles de 5 ans,
Clara et Anna.
De temps en temps, Grishka me lance de petites pierres, mais j’esquive.
Alors je me reprends un peu d’urine de chat sur la couette pour que mes hallucinations du matin durent plus longtemps.
Stop Kimberly ! Je divorce !
Tu es belle dans l’eau
Ton épaisse chevelure est simulée en temps réel et éclairée par une technique appelée « deep shadows », selon laquelle tes cheveux sont plus brillants près de la pointe et plus sombres vers la racine.
Ta peau est éclairée par la lumière réfractée à travers la surface de l’eau ; ton corps et tes cheveux projettent des ombres douces à mesure que tu nages. Des raies de lumière perçant la surface de l’eau sont arrêtées par ta silhouette en utilisant des capacités exceptionnelles de rendu des textures. J’envie les transitions haute résolution de ta peau dans un shader extrêmement détaillé qui représentent les mêmes ombrages doux que ta peau et ajoutent un mappage de relief, une irisation et une bioluminescence plus accentués. Le rendu final donne un léger éclat afin que ta peau et ta chevelure luisent à l’écran. |
Il neige à Kaboul.
le récitant : bon, il est temps de fermer et de rejoindre la « kill your boyfriend » night à la salle Wagram.
Leica
C’est une automobile fort cylindre sur les extérieurs
Le personnage principal de l’action
Plusieurs billets en poche
Son ventre frôle le volant
Faible allure de l’automobile et du personnage
Principal : c’est lui qui se détermine comme tel
Et répétitif : soirée en tous points fidèle
Malgré l’allure générale des filles
Qui change, c’est le personnage principal qui parle
Seul dans son fort cylindre de marque allemande
C’est un aspect essentiel qu’il se répète
Qu’il se répète que la nationalité allemande captive les filles
Que leur allure générale demeure secondaire, c’est à dire,
Du détail à l’ensemble :
Les différentes nylons qui les habillent
Et le taux de malaise et d’hypnose qu’elles recèlent
En présence : taux extrême.
C’est pour cette raison qu’il roule par répétition sur les extérieurs
En éclairant les filles avec ses phares
Une lampe torche en secours
Une lampe torche en secours pour éclairer les filles
Lorsque l’automobile fort cylindre passe à leur hauteur.
Détailler sommairement, ralentir, puis lampe torche
Un temps, le temps de : pas ce soir, désolé
Il ne sait pas s’il est plus ou moins
Plutôt moins de façon générale
Désolé qu’elle
Désolé qu’elle reste et que l’automobile passe en gommant les détails aussi vite.
Le personnage principal des cylindres avoue
Une préférence pour les détails observés chez les filles
Observées sur les extérieurs quand il y roule de nuit
Roues et pneus larges.
Baisser la vitre de son automobile de marque allemande
Et parcourir des détails en espérant
Baisser la vitre, baisser la vitre maintenant,
Baisser son slip et imprimer les détails
En espérant qu’ils s’impriment assez profondément pour tenir une semaine.
Semaine de 1 à 7 jours
Ce n’est pas indifférent
A la différence des filles
Indifférence : à l’automobile, sa nationalité d’origine et son propriétaire
Automobile allemande
Filles de l’Est
Que le personnage principal détaille
A la lumière et par ordre de préférence inverse :
Des phares de l’automobile
De la lampe torche
De l’éclairage public lorsque les filles s’avancent
De l’hypnose sexuelle consécutive.
Ventre au volant le propriétaire constate
Que depuis quelques temps son ventre gène sa conduite
Et qu’il est plus que possible
Que l’hypnose accentue le détail
Et non l’inverse.
On constate que l’action atteint un grade supérieur
Secondaire dirait le personnage principal
A hauteur de la porte d’Asnières
On devine
Que l’action cesse d’être répétitive et en tous points fidèle
C’est la fille la première
Le conducteur se le répète pour ne pas repartir
Les mains pleines et les couilles vides
Qui approchent
La première approche et les autres reculent
A la première approche il s’agit,
En fonction des positions respectives, de :
Zoomer sa cible, allumer la lampe torche,
Se choisir un prénom pour la nuit se terminant
Par un A ou un I.
Dégrafer sa ceinture
De sécurité passer en conditionnel.
Paris est une ville à solide rotation
Où l’action n’est plus répétitive à l’instant
Où les automobiles s’arrêtent pour rentrer
Dans le vif du détail
En présence : accents indistincts
Et indistinction de couleur naturelle sous perruque
Prénom pour la nuit : kelly
[ Kelly n’est qu’un leurre mais le propriétaire de l’automobile ne le sait pas encore ]
Il y a un moment de flottement correspondant
A l’espace compris entre l’automobile à l’arrêt et Kelly.
Baisser la vitre, baisser la vitre maintenant
L’action est quasiment réelle sous une perruque brune
Où plus exactement :
De fabrication sombre
Qui s’encadre dans la fenêtre droite de l’automobile
De sorte que le personnage principal de l’action
Perd le sens du détail au moment
Où Kelly dévisage celui du personnage principal, à savoir :
Son visage à travers le téléobjectif de l’appareil
Et ça n’est pas un détail
Que Kelly utilise un appareil photo d’Ex-Allemagne de l’Est
Que Kelly soit une pute ou un leurre
Qu’une pute photographe de nuit tire le portrait au conducteur de l’auto
Flash pleine face
Pour ensuite le coller en milliers d’exemplaires
Sur les murs de la ville
Qui travaille.
I’m a flesh eater.
Igor passe la soirée tranquillement installé avec Stéphane Bourgoin et ses tueurs en série. Je sers du thé à tout le monde. Et des bretzels.
La terrasse de l’hôtel abandonné, surplombant la piscine vide, nos amis contemplent les champignons atomiques. Lointains.
Tentative de synthèse
« Dans le monde réellement renversé, le haut est un moment en bas, ma tête tourne mais il paraît que c’est normal, car comme le tourguenisme avance, tourne et s’élève, l’hélicoïde se retourne sur elle-même dans son propre délire ; je suis, je voudrais être, j’essaierai d’être pile-poil au milieu, un no man’s land terreux où fusent des missiles sol-sol et des jets d’encre, no man’s land entendu comme le théâtre de l’affrontement entre la régulation normative et sociale des subjectivités, leur enchassement identificateur dans des segments comportementaux et des profils neuropsychophysio(patho)logiques d’une part, et le chaos primordial des créations narcissiques et libidinales d’autre part, vivantes, aimantes, qui doivent échapper à l’arraisonnement de toute esthétique et à son démantèlement programmé, à sa dévolution et sa standardisation en pack fraîcheur zéro pour cent hypoallergénique hypodermique en tête de gondole, l’entropie cette salope qui désagrège ronge bouffe consume la singularité sensitive, le sentiment collectif et annihile les processus de civilisation, parce que la plus techniciste d’entre elles se rationalise jusqu’à l’autophagie gargantuesque et l’amputation sensorielle, la lutte intersticielle qui essaie de faire pulser un peu, encore, pas beaucoup, de loin en loin, le chaos esthétique primordial, la soupe originelle, celle avec des pâtes en forme de bites dedans, la pangée mentale qui n’en finit plus de se fractionner sous le contrôle tectonique, et de subir le conditionnement industriel rayon frais, gâteaux secs, câblopérateurs et industries du désarmement. Alors si on considère l’insurrection festive et l’activisme de bidibulle comme une fin, l’antidote au désarroi, l’alternative à la subversion explosive, la nouvelle contestation qui supprime toute reconduction capitaliste finira trés probablement « dans ton cul », avec mon pied droit et un vieux gode-ceinture qui traînait par là, aussi. »
Pr. Drüünorst Gulkstra-Grull, un soir de mai, ourlé au long island (allocution officieuse)
sautiller
sautiller
sautiller
léger
léger
pied léger
sautiller
sautiller
sautiller
piou
piou
léger
ne pas trop retomber
hop
anti
hop
tout
hum…
SUPER TOURGUETEST : QUEL BEATLE ETES-VOUS ?
Question 1 : Si vous aviez un groupe de rock, par quoi seriez-vous le plus branché ?
Merci @dactylo Kisses !
Inforrrme et terrrible.
Jean-Yes, vous êtes le premier blogger à avoir été témoin de l’apparition de crop-circles sur un blog.
Pouvez-vous nous en dire plus ?
Si seulement je le pouvais ! Comprenez ma perplexité : j’ai vu apparaître ces formes étranges par hasard,
en essayant de publier un texte sur l’interface de tourgueniev.com, ça s’est fait spontanément, en quelques
instants… Pour le moment je n’ai trouvé aucune explication rationnelle. Ce phénomène défie l’entendement.
Pouvez-vous décrire plus précisément ces crop-circles ?
Et bien voilà : ce sont des cercles blancs qui se superposent au texte, comme si des pixels étaient effacés,
ou plutôt repeints en blanc, enfin bref on les voit plus, quoi. C’est stupéfiant. Comme le révèlent les photos
prises d’avion (voir photo n°1), les contours de ces cercles sont extrêmement précis, et surtout, le plus
impressionnant, c’est que les cercles forment des figures mathématiques parfois très complexes, assez
proches des fractales de Mandelbrot. C’est réellement très impressionnant. Imaginez ma stupeur lorsque
j’ai vu cela pour la première fois.
Croyez-vous que ce phénomène soit de nature paranormale ? Que pensez-vous de l’hypothèse
d’une origine extra-terrestre ?
L’hypothèse extra-terrestre… Hum, jusqu’ici je ne croyais pas aux soucoupes volantes, mais j’avoue avoir
du mal à imaginer que ces formes soient d’origine humaine.
Jean-Yes, merci de nous avoir accordé cet entretien.
Merci à vous.
Photo n°1
Expérience traumatique dans le métropolitain. Sous les fenêtres de l’ambassade, heureusement tout va bien. Couleurs. t.co/dMLNIVaL
… mardi… ou mercredi… ça va couper dans trois minutes… la fin du monde..? non, ils coupent le réseau et je vais en profiter pour aller marcher un peu au soleil… ça c’est une idée… ça va me faire du bien… le soleil, c’est bon comme anti-depresseur… je dois me presser, faire vite, écrire dans l’urgence, automatiquement : cutter, pince, poitrine, nains, légumes mutants, chinois et chinoise, Bourdieu, tamanoir. héhé, les moteurs vont en raffoler. bises, bonnes soirées…
Slogans porteurs pour des lendemains qui chantent
Intermittent, retournes dans ton pays
Intermittents fainéants à plein temps
intermittents, rendez nous notre argent
échassier trouves-toi un vrai métier
faites des enfants, pas des intermittents
la grossesse a 6 mois
les femmes derrière, les hommes devant
A bas, a bas, le second degré
USA sors nous de ce mauvais pas
Bush, Bush, montre nous la voie
Monsieur Bush, priez pour nous
la parité c’est pour les dégénérés
Chirac président
Monsieur Jean-Jacques Aillagon, tenez bon, s’il vous plaît
Monsieur Raffarin vous nous faites du bien
Raffarin nous voila
Monsieur Pasqua vous m’avez donné la foi
Charles Pasqua reviens les mettre au pas
Mr Nicolas Sarkozy à la culture s’il vous plait
Subvention égal dépense d’argent
PSG fais-nous rêver
Travail, famille, télévision
Remettez le José au frais !
C’est pas les agriculteurs qui nous empêcheront de manger des hamburgers
On aime, on aime les OGM
La culture est une marchandise comme les autres
Alain Delon, rejoins-nous à Chalon , Monsieur Chirac à Aurillac,
Michel Sardou un peu partout
TF1 c’est rudement bien
ARTE c’est trop compliqué
c’est toujours sous titré
avec des films étrangers
ARTE, c’est pas bien, on n’y comprend rien
chacun pour soi, et pas les autres
on est plus, plus de droite que vous
non, non aux manifestations
La droite est adroite, la gauche est gauche
Afrique paye ta dette aux pays occidentaux
Le Bigdil c’est pas si facile
Star Academy c’est pas si mal que ça
restons divisés
les grévistes sont des gens qui ne travaillent pas
les chômeurs sont des gens qui ne travaillent pas
moins de festivals, plus de quinzaines commerciales
Plus de corsos fleuris, moins de festivals de hippies
le Puy du Fou dans toutes les villes
on veut, on veut des sons et lumières
les reconstitutions historiques nous apprennent des choses
Monsieur De Villiers, vous avez de bonnes idées
un vrai statut pour les majorettes
la culture est une marchandise comme les autres
manifestants, vous gênez les commerçants
le FMI ne fait plus crédit
Tf1 sur toutes les chaînes
Mac Donald, dans les cantines
Mickey nous fait rire, et Donald aussi
1 euro, c’est 1 euro
Selliere président
les retraités au boulot
la police protégez nous
la police pas trop loin de nous
Nous sommes tous des américains
les vrais artistes avec nous
on veut des sous, pas des crassous
Les vraies valeurs sont dans nos portefeuilles
Les bonnes actions sont dans nos portefeuilles
CAC 40 CAC 40 OUI OUI
Jean Pierre Gaillard rends-nous l’espoir
Joueur de djembé remontes dans ton cocotier
les cheveux longs c’est pas pour les garçons
les boucles d’oreille ça fait efféminé
les boucles dans le nez c’est pour les bovidés
les rastaquouères au frigidaire
les manouches à la douche
Pas d’allocs pour les dreadlocks
Ma maison mon horizon
A bas les colonnes de Buren
La batucada ne passera pas par moi
La culture ça fait mal à la tête
Il s’appelle Nicolaï Tourgueniev et il est un personnage de #fiction, aussi. @NTourgueniev #tourgueniev #vérité #Vishnou-or-die
« les tourguenistes ont une sexualité active, intense, bi-goût«
Car(r)oline Hazard
« L’homme est un animal, il est né comme ça. Il est pourri dès la naissance. C’est un animal condamné et très subtil à la fois. C’est un vice de naissance. Qu’est ce que l’histoire ? La démonstration de l’inhumanité de l’homme. Quelque chose d’impur, de méprisable. Je crois que c’est sans remède. »
sculpture physique…
entre la raclette et une bonne petite liposuccion, mon coeur balance…
(en même temps, je peux aussi bien faire les deux, hein…)
Cette semaine, je bosse pour Gallimard, on prépare le site d’une écrivain. Sur la page d’accueil, il y’a une citation de l’écrivain en question, sans doute à propos de son dernier roman la chambre |
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Ne vois pas de différence & marre des cloisonnements
J’aime tout ce qui vous fait peur, et un détail suffi.
Où sont les ciseaux? il ne faut pas les laisser traîner…
Une seule envie d’ouverture, et je commence à m’interesser à ce qui ne fonctionne pas:
ton réveil,
la déterioration mentale d’une jeune femme livrée à elle-même dans l’appartement de sa soeur,
une actrice frappée de mutisme qui se repose au bord de la mer en compagnie de son infirmière.
Je suis bien foutue, et alors? J’aime dire ce que je pense;
fière d’être sorcière,
brûlée vive sur ordre de sa famille.
Partir. Partir au dernier moment. S’échapper. Maintenant, tout de suite.
[999poèmesSERIEtourgueniev]
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l’insuffisance de plusieurs traumatismes conclut la conscience
l’évanouissement est lié à la libido
le fonctionnement des accidents a connu des aventures hormonales