Vous êtes un méchant, un misérable, un assassin, un empereur romain.

vos petites scènes — vous pouvez les jouer en bas — nous on s’en fout — du moment qu’on est bien peignés — tu me passes la savonnette ?
D’accord. Je t’aime. Aussi.
Comme la vie est lente et comme l’espérance est violente…
(c’est Apollinaire ou Verlaine, un doute…)
Jongler : scalpel lame de scie tronçonneuse pique coupe coupe rasoir tranchoir couteau scie sauteuse économe poignard hache perceuse clous..
« No puedo salir porque temo que al salir suene el teléfono en la pieza vacia. » R. Piglia
est-ce que quand vous rentrez chez vous vos objets vous dévisagent? le pire c’est peut être quand ils me tournent le dos. mais ça…
Reboot Required
Some of the updates that were just installed require that you reboot your machine now. Please save all unsaved data and then press the OK button to reboot your machine.
C’était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar.
J’aime ce moment de la Nuit où mon chat et moi nous parlons en sous-titré jaune, Comic sans MS (Police créée par Vincent Connare en 1995).
En vrai, c’était drôle. Mais chelou.
Oui ! @_omr !!
Dans ses vieux dossiers, Carver gardait tout. replay.web.archive.org/20020209230455/http://membres.tripod.fr/johnwayne/fanpage.htm
L un enfant précoce I don’t care
‘ un enfant féroce if I live knou
I un enfant véloce or if I die
N je bourgeonne cause
T le petit prince tu bourgeonnes I’m a fly !
E le petit mince il bourgeonne
R le petit coince knou knou
N « et ça ne vous dérange pas de travailler sur des animaux ? »
A un sourire carnassier j’boirais bien un thé. knou.
T un sourire rassasié tiens, une alerte, c’est plutôt dansant.
I un sourire ajouté tu sors ce soir ?
O Act Up présentera des candidats aux législatives à Paris
N c’est déjà les vacances ?
A {comme un germe d’humanité, au coeur de tout ?} c’est pourtant vrai qu’on
L La belle-mère de Liza Minnelli l’attaque pour mauvais traitement entend « knou »
E sera le genre humain !
Lire les entrailles du chat. Ou de la pomme.
Il fait incroyablement beau ce matin de printemps. Alors on ouvre la lourde porte du bunker. Dora, alors, nous laisse là, seuls, sans son sourire et sa lumière. Alors on pleure, on se tient la main, puis on retourne dans le bunker où il fait un peu plus noir, un peu plus froid.
Nel mezzo del cammin di nostra vita.
[999poèmesSERIEtourgueniev]
284
tes lèvres n’approcheront jamais le corps gris
je veux retirer la passion du cadavre
et les jolies mouches et les anciens cadeaux
« il est le fils de l’homme invisible
il est le fils de la femme invisible
il vit chez ses transparents… »
Bizarre de penser à ces vieilles rengaines bastes quand on voit Natalia… Tourgueniev soupire et pénétre à sa suite dans l’abri minuscule où est entreposé le materiel…
je me demande…
analogique : une toile moche dans une pizzeria à 60 euros
numérique : une jpg trouvée par google du même genre « gratuite »
analogique : tu peux retourner la toile, voir le dos, le cadre, et la tenir entre tes mains
numérique : quoi que tu fasses, l’image reste sur ton écran
la vraie vie est analogique ou numérique ?
Triple looping avec final en cœur.
On trouvait dans les collines de nombreuses villas à l’abandon, souvent vidées, nues. Elles nous procuraient de brefs, confortables refuges.
Poison.
παραδεικνύναι : Jamais plus de deux longues. Une longue, deux courtes, ou trois puis on peut se permettre une autre longue. #chance
Il y a un taxidermiste ivre (et flou) devant la porte. Mina ne veut pas lui ouvrir. C’est sûrement mieux. On boit du cidre. Hips. Nus.
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
En 1989, j’étais au lycée au Kremlin-Bicêtre. Je jouais à AD&D, roulais en 41v Motobécane. On était les pestiférés, les nuls. #hell
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
[konsstruktVOUSaime] / punKpoésie
il y a des maisons sans serrure
et il y a des portes plus protégées que la banque de france
il y a des rues où la police ne va pas
et il y a des jardins protégés par des armes et des bottes
il y a des fleurs mieux protégées que les gens qui les reniflent
il y a des ponts mieux protégés que les gens qui dorment dessous
il y a des portes mieux protégées que les chiens qui pissent contre
il y a des mémoire
il y a des consciences
il y a des certitudes
il y a des principes des idéologies des idées des idéaux
tellement tellement protégés
que même la mort des neurones n’en viendra pas à bout
il y a des cerveaux qui ressemblent à des tombes
à des tombes de l’ancien temps
des tombes remplies d’esclaves qui vont mourir ensemble
qui ne souhaitaient pas ça
il y a des consciences qui sont des mausolées
et toute pensée y meurt comme une chèvre
et autour de tout ça il y a des cadavres
des cadavres sous les fleurs
des cadavres arrosés par la pisse des chiens
des cadavres dans les fondations des maisons
des cadavres dans la mémoire
et des cadavres dans l’oubli
des cadavres anciens
et de cadavres récents
des cadavres oubliés
et de cadavres qui alourdissent la mémoire
qui l’alourdissent tellement
qu’elle s’effondre
qu’elle glisse dans la tombe et rejoint les cadavres
la vie est une maison hantée
il y a des serrures aux portes
dont aucun roi n’aurait rêvé
il y a des flics devant le seuil
dont aucun tyran n’aurait espéré la force
la vie est une maison hantée
et nous avons la trouille d’en sortir
questions du soir, bonsoir:
– Si t’etais un dragon et moi une amibe, pourrions nous danser, encore une fois la Salsa?
– Au fait, quelqu’un d’autre que moi sait que Pascal a une soeur qui s’appelle Sabine?
– Allez… on avait dit « pas les trucs perso »… ?
– dis, Toi…, pourquoi t’es comme ça avec Moi?
mmm
Cela fait un bout de temps que j’observe d’un côté les fils de news de Reuters, AFP et AP, et de l’autre, les cours de la Bourse.
Les réactions du marché sont si évidentes, si prévisibles, si enfantines, que je me demande parfois si je ne ferais pas mieux de passer mon temps à spéculer comme un dingue.
Et puis je repense à Thalès.
Et alors je continue mon roman.
La fonction #psychopompe peut elle se manifester sous forme de crise de #bruxisme en présence de passeurs liquides ?
le récitant : parfois j’ai l’envie fatale d’exterminer les exhibitionnistes, jusqu’à la nausée, à la hache par exemple…
tire pas merd !!!!!

comme des moineaux
on allait grapiller les bisoux
des championnes
au salon de coiffure
et à sept ans
des bisous
t’en as tant que tu veux
tinnnnnnnnnnnnn !!!!
Passage de relais de la Nuit à ceux qui sont de Journée.
L’escalier du gibus, la féline, je laisse passer les deux filles avec les chapeaux fluor.
haaa
les joies de LOTO PROMO…
Mobilis in mobile.
From: Sterling Napoleon
Tendres pensées. Bonne chasse pour le film. Ici ça picole, on glisse des billets dans mon corset.
On avait un contrat qui stipulait qu’à lui l’enfer à moi l’air pur.
A moi l’extase à lui la luxure.
A lui le sexe à moi les âmes pures.
On avait choisi de tout diviser comme ça. J’avais gagné. je gardais les plumes à lui le goudron.
Pourquoi je dors jamais ?
Romanichel, Tzigane, Gitan ou Bohémien, Manouche, Rom, Sinti, où iras-tu demain ? bit.ly/dcu57z #béru
Chou,
Andy,
Dis-moi oui,
Andy.
Chou,
Andy,
Dis-moi oui,
Chéri.
Chou,
Andy,
Dis-moi oui,
Andy.
Wo wo chou,
Chéri,
Dis-moi oui,
Andy.
Chou,
Andy,
Dis-lui oui,
Andy.
Dis-lui, dis-lui oui,
Andy.
Sois gentil,
Cette fois-ci.
Chou,
Andy,
Dis moi oui,
Andy.
Chou,
Chéri,
Dis-moi oui,
Oh, oui.
Chou !
Innervoice
la connexion streamée qu’ils ont toujours voulu accoster
Viol de soucoupes
Carrément…

insomnie, c’est assez nouveau pour moi.
lire en somnolant, clips en boucle sur la tévé
insomnie, même pas la force d’essayer de dormir
rallumer l’ordinateur, câliner le chat
insomnie, enfin, pour me lever tôt demain
crevé mais heureux de te retrouver
se faire un petit voyage tout les deux
enfin, en amoureux.
Comme le rappelle si bien Médoc, dans les années 80 on s’habillait exclusivement avec les vêtements des ennemis vaincus au combat.
on t’a recon-nu duckie
Duckie, le canard coquin < disponible sur www.chambre69.com
Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
|
"Ce serait tellement beau; Dans un monde nouveau; Sans ces barrières qui nous freinent; Sans retenue et sans haine; On serait tous unis; Tous ensemble pour la vie; On serait plus fort demain; Si on pouvait se donner
la main" |
Mina, Carver et l’empowerment. Limite ça coûte rien d’essayer. Alors allons-y.
Hier on m’a offert un pingouin télécommandé, c’est plutôt rigolo, il avance encore moins droit que moi quand je suis alcoolisé. #linux #soft
Paris (9)
Assis sur une table de café je regarde
aimablement une jeune femme, j’attends A. ce qui
me laisse le temps de révasser face à elle ;
mon amie arrive (A.), et obstrue la vue ; beaucoup bu de
bières,je me dirige vers les toilettes, en évitant la table
de la jeune femme car je suis timide, j’en sors, je me lave
les mains et trouve que mon visage est fatigué
la porte s’ouvre, je reconnais l’inconnue qui s’excuse et me demande
du tac au tac si on peut se revoir, je suis timide, je bafouille, dis oui
pourquoi pas, mais comme elle semble plus âgée que moi,
et plus grande surtout, je tremblote, et finalement la voilà
qui me tend un papier où est écrit son téléphone,
elle s’appelle (non je ne dirai pas son nom) on s’appelle ?
Oui darling mais je pars dans le Limousin, ciao, ciao,
pourquoi ce retour de l’audace
dans un paysage de vie si aride ?
Solune venait de mourir. On ne rigolait plus au Paradis. L’increvable vieille dame en partance, destination finale. Le parrain, en larme.
Igor a 6 ans. Sur le chemin de l’école, il pleut. Il coince sa botte dans un trou, de la boue. Il doit arriver à l’école pied nu, gelé.
Si c’est trop cher dis moi et je sors.
Et la Nuit. t.co/yUJsxzcQ
Manquent tes bras.
c’est toi chéri ?

va savoir …
BALADE BLANCHE |
|||||||||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
ON SE RETROUVE PARFOIS DEVANT DES CHOIX TELLEMENT DECISIFS QU'ILS SONT INSURMONTABLES - ALORS COMME HAMLET - ET PARCE QUE NOUS SOMMES DES LACHES - NOUS RESTONS DANS UNE INDECISION PERPETUELLE ET OBLIGATOIREMENT DESTRUCTRICE - EST-CE VRAIMENT L'ACTION QUI EST PAYANTE ? - ET SI OUI - DOIT-ON - POUR DECIDER DE L'INDECIDABLE - TIRER A PILE OU FACE ? - |
|||||||||||||||||||||
Saudade.
Il pleut sur Barcelone. Nos amis nous déposent en banlieue. On mange de vieux tapas. Les bombardiers nous harcèlent. On danse, pourtant.
il y a la guerre
il y a ces bombes qui pleuvent partout autour de vous
il y a la famine
il y a le bruit des chemins de fer et les armes qui passent dessus
il y a le bruit
il y a les morts qui explosent sous vos yeux (vos yeux mangent leurs entrailles)
il y a les profiteurs
il y a vous qui errez dans des rues détruites et de derrière chaque mur on vous observe on vous détaille on vous vise
Effeuilage des jours, voilà l’expression qui taraude, grande vitesse du réseau férovière dont je suis jaloux : circulation facile, allers et retours possibles ; régions, piqué du nord au sud en espérant voir à la fenêtre une petite crémière qui viendra vous vendre du lait chaud, et peut-être encore davantage, si la place que vous occupez dans le train lui certifie que vous êtes bien vu parmi les autres ;
grignotage discret des nouvelles du journal par-dessus l’épaule d’une vieille femme : les titres, que les titres ;
lecture appliquée d’une encyclopédie. ( Cf Article : MODERNITÉ, CROCODILES, TÉLÉVISION, FEMME, DÉPAYS, ENFANCE, RÉCIT)
Puis retour à la case départ.












































