Demain je partirai.
Les jours se suivent et se ressemblent.
Si je ne pars pas je mourrai là.
Un mur nous cache les flots, la Terre et l’Océan.
Un mur nous cache et nous efface.
Tu m’oublieras dans ce bagne d’enfants.
Demain je partirai.
Les jours se suivent et se ressemblent.
Mon gardien a confisqué ma nourriture.
Son chien aime la viande et ses enfants le fromage.
Demain je ferai le mur.
Tant pis pour les tessons de bouteille.
J’ai trop mal au ventre.
Toujours ces murs gris et ce béton puant.
Demain je partirai.

the handsome devils

milieu de la nuit, écouter des chansons d’amour à deux balles, un (ou deux) connard(s) chez pascal, mais tenir le choc, ne pas éclater de tronches à coups de docs et écouter ewan chanter son amour pour nicole sachant que tout cela finira mal. imaginer ce petit village sur la colline, regarder courir nos enfants en bas de la pente, rire et puis danser. plus tard, se retrouver et se blottir pour faire s’écarter les monstres « de sous le lit ». l’amour n’est il juste un jeu que l’on peut jouer sans s’y blesser (don’t leave me this way), un jeu que l’on peut quitter à tout moment sans y laisser au moins sa mise de départ (we can be heroes) ? just for one day…
Old par igor le 05 Avr 2004

 

L’arme a feu tue moins qu’un chapeau. Proverbe d’Arkham.

Short par igor le 20 Juil 2010

Old par -- Zan le 25 Avr 2003

je t’aime

je crois que j’aime tes traces de pas

dans la neige

je crois que j’aime les traces de sang

sur la moquette

je t’aime

——————

ici Paris

demain Pau

retrouver Nicolaï

couper les ponts une semaine

aller à la montagne

ou à la mer

ou juste à la campagne

compter les moutons

et les pissenlits

par la racine

Old par igor le 01 Juin 2003

Ha oui là je comprends mieux…

DRAGON N°10

VERT GALLOIS COMMUN

La couleur du Vert gallois se marie très bien

aux herbes luxuriantes de son pays natal,

bien qu’il niche dans les hautes montagnes

où une réserve a été établie pour sa protection.

En dépit de l’incident d’Ilfracombe, il est l’un des

dragons les plus paisibles; préférant, tout comme

l’Opaleye, se nourrir de moutons, il fait de son mieux

pour éviter les humains, à moins qu’il n’ait été provoqué.

Le rugissement du Vert gallois est étonamment

mélodieux et facilement reconnaissable.

Les flammes qu’il souffle forment deux jets minces

et ses oeufs bruns, couleur de terre,

sont parsemés de taches vertes.

(.)

Old par Gu. le 14 Nov 2003

Elle portait cette petite culotte bleu quasi turquoise.
J’ai pensé me suicider.
C’était un défilé de diamants devant un rmiste.

Mon numéro n’a pas changé

 

Depuis la fenêtre de la chambre 12, à l’aide de mon monoculaire, je peux vous apercevoir en train de peindre sur la plage. L’orage arrive.

Short par igor le 09 Oct 2015

jeunesse

lotus, ctgr - cigarette

 

Carver trouvait le temps long, à l’intérieur de l’armoire normande de la femme du chef de la milice. Le bar est vide. Dehors il gèle. Dur.

Short par igor le 07 Jan 2010

i’m a creep…

I’m a looser

I wish I was special

but…

but I take care

Pardonnez-moi cette incursion.

Minuit pile

Old par igor le 06 Nov 2003

Avec mes yeux (l)ivres

Delicious? All Day.
Vicious? All Night _________
(17/17)

On a plus peur du rythme

Vos mains vous révèlent, s’appliquent sur de nombreuses parties du corps.

Ouvre-toi.

Mais je reviens à cette notion de lien.

Parce que je pense que cette femme est la reine du lien.

Comme toutes les femmes, je m sens très chic en sortant de chez moi.

Jusqu’à ce que je croise une femme vraiment chic dans la rue…

Soit. Puis, lors d’une soirée dans une boîte lesbienne, je me mets à sortir avec une fille.

Depuis ce jour je suis totalement attirée par les femmes, mais j’ai toujours l’air d’avoir fait la fête la veille.

L’ornement n’est plus un crime,

la nuit est jeune, le jour se lève,

bonne nouvelle pour nous les gourmandes,

plus on jouit, plus on jouit,

je sauterais bien la baby-sitter.

(mais je n’ai pas encore réussi à TOMBER enceinte) ;

femmes fontaines, femmes humides, je m’en lave les mains.

C’est quoi une fille ? Où sont les femmes ? À quoi les reconnaît-on ?

Elles notent tout.

Dans des appartements vides, sur des fauteuils, table, cuisine, sandwich, par terre, baignoire, fenêtre, piscine, je ne sais combien de chattes j’ai léchées.

Comment le dire avec des mots ?

Old par SiStroy le 10 Mar 2004

PLUS DE TEXTE !!

 

Mina et Igor, jouent un mash-up des bérus et de Madonna, à fond. « Vive le feu, To release the pressure, We need a holiday ». De circonstance.

Short par igor le 07 Mai 2016

 

duet oval shirtmake palate audit barth banana cornflower barter carla pheasant play conservatism inverse materiel munich totemic noose ?

Short par igor le 23 Avr 2009

Oui, c’est l’ami des hommes grenouilles :
avec lui, on a jamais la trouille.

Rectification :
Dans le train de
New-York
Vous aviez un cul de feu.
Je suis resté de glace
06 61 63 58 84
(pitoyable je suis)

 

Par une fenêtre étroite de l’ancien monastère devenu hôtel de luxe, Igor contemple l’île, l’adriatique, les ruines du fort détruit. Cloches.

Short par igor le 08 Oct 2015

 

Mina, Igor et Carver surveillent l’horloge nucléaire coréenne. L’Homme à la Tête de Chat ouvre son abri plombé au public. Années 80.

Short par igor le 09 Avr 2013

[FREAKSHOW] / 3

lire l’épisode précédent

(LES PORTES DE LA MORT)

le morts s’y rendent en bus. dans l’ancien temps, il y avait une charette, cette charette était tirée par une chèvre géante unicorne, et conduite par un cyclope débile, lui-même dirigé par un nain méchant qui le cornaquait avec des piques extrèmement pointues et lui hurlait des ordres directement à l’oreille ; mais les temps changent.

maintenant, un vieux bus pourri a remplacé la charette grinçante. l’étrange couple de conducteur est toujours là, lui, mais il y a un petit changement. maintenant, la cyclope est relié à la console du bus au moyens de cables électriques : un qui part du centre de son oeil, un autre de la base de sa nuque, un troisième de son plexus, un dernier de son coeur ; le nain, lui, est également relié par des fils au cyclope débile. il porte un casque qui recouvre ses oreilles massives et poilues, du casque partent deux fils, un de chaque écouteur, et ses fils vont se planter dans les tempes. là où ils traversent les poils raides et la peau, il y a une petite croute de sang séché.

l’intérieur de bus pue. il pue le vieux, la crasse, le pet, le vestiaire, le parfum de vieille, un mélange de tout ça. les vitres sont opaques de poussière. le nain n’a pas que ça à foutre, de le nettoyer, et de toute façon ceux qui l’empruntent ne l’empruntent qu’une fois, même si le voyage est un peu long.

le bus stoppe devant la placette devant l’église. lentement, les gens se mettent en branle, trop fatigués et trop angoissés pour être surpris. ils jettent à peine un regard éteint au cyclope inexpressif. le nain les toise, affiche un air lubrique quand passent les filles qu’il juge baisables, pour le reste il n’a que mépris.

il hésite à se palucher, finalement ça sera pour plus tard.

le bus est rempli. les presque soixante dix personnes ont trouvé une place. le bus se met en route, à l’intérieur personne ne parle. il n’y a pas de musique. quelques-uns regardent défiler le paysage.

(LE PAYSAGE)

pas grand monde ne regarde à travers les vitres sales du bus. tous les passagers sont moroses, livrés à leurs pensées. ils ressassent, avec hargne et tristesse, ce qui les a conduit là ; souvent, d’ailleurs, ils ne sont pas responsables de grand chose, et c’est aussi cette impuissance qui les ronge, tous.

dehors, un paysage de plus en plus monotone défile à vitesse régulière. à quatre vingt kilomètres heure.

d’abord la ville, de plus en plus grise. des immeubles de plus en plus vétustes, des banlieues de plus en plus tristes, pendant des kilomètres. et puis des maisons isolées, séparées les unes des autres par des landes sèches. les maisons semblent inhabitées, ou alors squattées. personne. il n’y avait personne dans les rues de la ville, il n’y a personne dans l’obscurité des maisons, personne dans l’obscurité de la lande.

et le bus roule un moment, un long moment. d’autres paysages, plus bizarres, se succèdent.

konsstrukt vous aime

 

Et la nuit et toutes les nuits, laisser la transe pulser, nos corps luisants, émaciés, s’entrechoquant. Caves humides et sourires doux.

Short par igor le 30 Juil 2011

(…suite)

Je rêve de hijacks et d’accidents d’oiseaux…

(à suivre…)

un religieux

et une femme sur un bateau,

au loin,

un visage de pierre

sourit

Old par M. Fox le 14 Mar 2003

 

Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.

 

George Washington Carver (1864 ou 1865-1943), botaniste et agronome américain ou Carver, ville du Comté de Plymouth dans le Massachusetts…

Short par igor le 03 Juil 2009

attrappe moi si tu peux !

Old par M. Fox le 14 Oct 2002

tiens, un gros bleu sur ma cuisse

tu viens d’ou, toi ?

Old par M. Fox le 13 Fév 2003

fEEd me, i’m {FAMOUS, CE HÉROS}


Witchi tai to kimera bulrunico bulrunico
Hey hey hey hey noa
Witchi tai to kimera bulrunico bulrunico
Hey hey hey hey noa

Ca me prend à la gorge, j’ai envie, j’ai besoin de hurler mais bon sang ! rien ne sort, ça m’étouffe quelques secondes puis ça redescend très violemment dans mon ventre, ça me serre les intestins, je me tors puis ça remonte encore, encore et encore jusqu’à en avoir la nausée. Je dois fermer les yeux pour oublier. J’arrête de respirer pour ne plus penser. Illusion. Je sais que c’est encore là. Ca reviendra. Ca somnole au fond de moi mais c’est prêt à bondir, à rugir, à déchirer mes entrailles pour gagner la surface. J’inspire profondément, yeux clos, muscles relâchés. Effort inhumain. Des larmes me montent au yeux, je déglutis péniblement.
Respire. Respire.
Respire.

Je suis très calme et derrière mes paupières douloureusement sèches je ne vois plus que des phosphènes muticolores, manège kaléïdoscopique. J’apprécie ces instants de régression. Video. Je ne vois plus qu’un espace imaginaire et mouvant. Quelques mots … Quelques notes … Déjà les souvenirs affluent. Les images se superposent. Peu à peu tout reprend forme et ternit.
J’ouvre les yeux..
Tu ne m’as pas encore eu.

Je m’balladais
sur l’avenue
le corps ouvert
à l’inconnue

c’est toi chéri ?


va savoir …

ti amo ma
ci lasciamo

e ogni giorno mi dico, aspetTIAMO ANCORA un po, IO non sono pronta…

dans la vie

il faut se faire chier

sinon

on s’emmerde…


« Dans l’Équation de Mandelbrot et sa traduction infographique, nous voyons – dans un univers fractal – des cartes qui sont contenues et en fait cachées dans d’autres cartes, qui sont elles-mêmes cachées dans des cartes, qui sont dans des cartes etc. jusqu’aux limites de la puissance de calcul. A quoi sert donc cette carte qui, dans un sens, est à l’échelle de la dimension fractale ? Que peut-on en faire, si ce n’est admirer son élégance psychédélique ? Si nous devions imaginer une carte de l’information – une projection cartographique de la totalité du réseau cellulo-tectonique – nous devrions y inclure les marques du tourguenisme, celles qui sont déjà visibles, par exemple, dans les opérations de calcul parallèle complexe, les télécommunications, les transferts électroniques de fonds, les virus informatiques, la guérilla du hacking, les épidemies biologiques, les exodes civilisationnelles comme les plus dérisoires des ballets de transports en commun. La représentation topographique de ces «zones» de tourguenisme serait similaire à l’Équation de Mandelbrot, contenues ou cachées dans la carte comme les «péninsules» et qui semblent y «disparaître». Cette «écriture» – dont une partie se volatilise et une partie s’auto-efface – est le processus même qui compromet déjà le réseau cellulo-tectonique ; incomplet, ultimement non-contrôlable. Autrement dit, l’équation de Mandelbrot, ou quelque chose de semblable, pourrait s’avérer utile au «complot»  (8) pour l’émergence du psychostilat comme processus tourgueniste, pour une «évolution créatrice» selon le terme de Prigogine. A défaut d’autre chose, l’équation de Mandelbrot est une métaphore pour le «mapping» de l’interface du psychostilat et du Flux Diffracté comme disparition de l’information. Toute «catastrophe» à l’intérieur du réseau tectonique est un nœud de pouvoir pour le Canal. Le réseau souffrira du tourgenisme, tandis que le flux pourrait s’en nourrir. Soit par le simple piratage de données, soit par un développement plus complexe du rapport réel au tourguenisme, les sous-groupes bullaires trouveront le moyen de tirer avantage des perturbations, des ruptures ou des crashs du réseau (histoire de produire de l’information à partir de «l’entropie»). En tant que bricoleur, nécrophage de fragments d’information, contrebandier, maître-chanteur, peut-être même cyber-terroriste, le sous-groupe bullaire œuvrera à l’évolution de connections fractales clandestines. Ces connections, et l’information différente qui circule entre et parmi elles, formeront des «dérivations de pouvoir» servant l’émergence du flux lui-même (…) »

Pr. Sikorski, in « Fais tourner le tourguenisme par ici ».

Old par ... le 28 Mar 2005

comme vous pouvez le constater
4 heures après l’heure fatidique
le monde existe toujours.


je l’ai donc sauvé.
merci à tous pour vos encouragements.

 

At the Coppa, Coppa Coppa Benveniste !

Short par igor le 28 Avr 2011

 

Et nos amis, nos amours, sont ils morts, oubliés ou seulement pliés en morceaux égaux coulés dans une dalle du sous-sol, nos amants si doux.

Short par igor le 12 Avr 2011

Qu’il qu’il qu’il…

Je je jee jejje jjee tteennaiis ààà vvvouusss annnonncerr

quu quue quueeee quue jjjeee ssssuisss e e en ennn messurree

dddddddd » »éééécrirrrreee cccoorrecttteemennt dedddedepppuiiss

mmmmmonn ammmmmmputtttttattttttioooooonnnnn dee deee eddee lllaa llaa

maaaaiiiiinn ggau gauu gaaauu ccchhhe grggrgggggrr effféééee àààààààà

mammam ammooommooonn brb brbr brr brr braaas droiiiiiit e e eetttt dem

demma demamain eeeeeeet dde maaaa mmmmmaaain drrrroitee ààmmmon brrass

gaaauuuuuuchhhhhhhee. C CC »CCC » » »eeesst u u uu nun vvérr riiitab bl blle

su sssuuuuuu suuc suuuuuc suuccccè suuuuuuucccccccè succès. .. . … … .

Old par To le 05 Jan 2005

 

Jeudi, un personnage secondaire brun, se contente de clarifier la situation dans le chapitre 3.

Short par igor le 10 Déc 2010

le vent wooooo0 des steppes shhhhhhhH

slow walk, loudshouters

 

L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?

– Vous avez demandé la Lune ?

Ne quittez pas je vous la passe…

couleur

lotus, ctgr - le Loup

 

La nuit le ciel, au dessus de la Cathédrale du Prolétariat, prenait d’intéressantes teintes niveaux de gris. t.co/TgcQNADf

Short par igor le 27 Déc 2011

Old par M. Fox le 22 Nov 2002

Il arrive un moment où c’est plus possible
mais alors plus possible du tout.

Option 1 : chicken run
déjà expérimentée en phase 0 et 1,
popularité + 3 / dépression + 6 / jauge de lucidité dans le vert / jauge egotique dans le rouge
picoti picota dinde aux marrons etc joli service avantage ok

Option 2 : un myope vaut mieux que deux tue-l’aura
déjà expérimenté en phase 2 et 2 bis
popularité + 5 / dépression + 2 / jauge de lucidité nulle part / jauge egotique dtc
borgne powah cécité cotonneuse cours lola cours – en gros

Option 3 : TU RENTRES CHEZ TOI TU TRAVAILLES
popularité -12 / dépression + ou – quoique / jauge de lucidité = jauge egotique
pas encore expérimenté
on voit le résultat

en général
comme en particulier
oui mais en général quand même
tellement en général

n’est-ce pas.

 

Mina, Igor, Carver à la recherche de la dinde sacrée. L’homme à la tête de chat prépare la farce.

Short par igor le 28 Nov 2013

Ça, ça me fait vraiment flipper :

 

Et je marche dans les rues qui de donnent (et la pluie et la nuit).

Short par igor le 16 Oct 2010

 

Face it tiger… You just hit the jackpot ! #hell

Short par igor le 21 Jan 2010

beeeeeeuh...
– Si on débattait de la pornographie du réel ?
– Que veux-tu dire ?
– Tu sais, le coté porno de la réalité…
– Euh, ben je vois pas.
– Bon, genre tu marches dans la rue et c’est porno.
– Tu veux dire avec du sexe anal, là dans la rue.
– Mais non ! C’est métaphorique.
– Comme dans Goldorak ?
– Oui…

Old par igor le 21 Mar 2003

 

2 flics à magnanime ?

Short par igor le 22 Juil 2011

palindrole

Quand de deux maux la patrie délivre la Française, cher passé,

c’est pas cher seize francs la livre des tripes à la mode de Caen

le récitant : là c’est trop ?

Old par igor le 18 Jan 2006

blupiblup blOp! kiwOzinapi niou yar!

Old par Gu. le 09 Jan 2004

Message Personnel

Serre-moi dit la belle plante

Old par To le 04 Mar 2006

 

La honte.

Short par igor le 08 Sep 2011

___________________________________________________________
Do You Yahoo!? — Une adresse @yahoo.fr gratuite et en français !
Yahoo! Mail : fr.mail.yahoo.com

Old par igor le 14 Fév 2003

 

▉▉▉▁▉▁▁▁▉▉▁▁▉▁▁▉▁▉▁
▉▁▁▉▁▁▁▉▁▁
▉▉▉▁▁▁▉▁▁ #twitclipart or #oy ?

KAFKA M’A DIT HIER SOIR AU TELEPHONE :

« Dans ton combat avec le monde, seconde le monde. »

MAIL DE PROUST (ce matin) :

« Les années heureuses sont les années perdues,

et on attend une souffrance pour travailler. »


TEXTO DE STENDHAL (à midi) :

« Mes jugements ne sont que des aperçus. »

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

Troudair ce héros (via Fluctuat)

Merci, merci, merci (ou pas) !

Old par igor le 09 Juil 2006

 

Et, la nuit.

Short par igor le 09 Mar 2012

Ce qu’il faut faire

Dans ton texte, laisse apparaître les ratures, repentirs, contre l’idée

dégoûtante de la réussite, et du prêt à admirer.

ETC.

le récitant : exclusif, le corps décapité de la mariée gigotait encore une heure plus tard !!

Old par igor le 24 Fév 2003

Hey Squelette !

Ces desirs font désordre…

là on voit que je ne devrais pas être là

Old par -- Zan le 26 Déc 2002

 

Et maintenant, ils sont tous morts.

Short par igor le 02 Oct 2011

 

Observez la mini-carte. Vu la distance, Superman pourrait facilement gérer aussi Gotham en plus de Metropolis. Chelou. t.co/ooznBqb

Short par igor le 05 Juil 2011

 

Sans contrefaçon je suis un garçon. #melanielaurent

Short par igor le 26 Avr 2011

Tourgueniev ce héros, c’est la preuve écrite
que des caleçons bien remplis
peuvent aussi contenir des coeur purs.
(ça vaut aussi pour les filles, mais c’est déjà écrit)

 

Sommeil, frontière de l’infini
vers lequel voyage notre vaisseau spatial : l’insomnie.

Short par igor le 03 Mai 2011

 

Igor n’était pas photographe. t.co/NVmPUNq1

Short par igor le 26 Oct 2011

 

Bizarre, même si nous n’avons pas parlé de la viande de la question, nous n’avons pas parlé du contenu lui-même. Ouais, ouais. #☭☭☭

Short par igor le 04 Juin 2009

reward
LEILA

Old par felix le 13 Mai 2003

foutu
pour foutu
autant
se défoncer
la gueule
en attendant
son heure
même si
ça la fait
arriver
plus vite

Old par igor le 09 Déc 2003

 

Deux mots : saucisson et chocolat. Sagesse. (thx @ioudg)

Short par igor le 31 Déc 2010

 

Igor pleurait depuis déjà 14 minutes. Mina astiquait son P38. Carver faisait une tartiflette de première classe. « poor kate, alone in Roma ».

 

Vous êtes un méchant, un misérable, un assassin, un empereur romain.

 

On est pas dimanche ?

Procédez comme suit :

1- Posez un morceau de moquette plus grand que la surface à remplacer sur la partie abîmée.

2- Assurez-vous que les brins sont dans le même sens.

3- Avec un cutter et en appuyant très fort, découpez simultanément la nouvelle pièce et l’ancienne moquette (vous pouvez aussi utiliser un emporte-pièce si votre moquette n’est abîmée que sur une très petite surface).

4- Retirez le morceau de moquette endommagé et nettoyez le sol. Arrachez les restes de colle ou d’adhésif double face et dégraissez au trichloréthylène.

5- Vérifiez que la nouvelle pièce s’intègre parfaitement.

6- Si votre moquette est collée, appliquez une couche de colle pour revêtement ou encollez les deux parties avec de la colle contact. Si votre moquette était fixée avec de l’adhésif double face, fixez-en simplement une ou deux bandes à même le sol (selon la taille de votre pièce).

7- Posez maintenant votre « rustine » avec précaution. Il ne sera plus possible de l’enlever sans tout arracher…

8- Appuyez sur la surface réparée avec un objet lourd pour optimiser votre collage.

9- Laissez sécher plusieurs heures.

10- Brossez enfin la moquette pour faire disparaître les raccords.

Old par To le 11 Sep 2005

il fait noir dans la salle en béton, les fenêtres sont bouchées par du noir aussi, un type tripote des vinyls c’est lui qui fait la musique, on croyait que ce serait une fille, je me dis c’est peut-être lui qui pose en fille. et derrière les gens qui danseront tout à l’heure il y a des projections, comme dans toute soirée qui se respecte donc des projections, de films indiens. beaucoup de gros plans, les levres de la fille et les yeux brillants du mec. la projection se fait dans le coin de la pièce, et les images se coupent en trois. on a en face une image ressemblante à la vraie et sur le mur de droite et sur le plafond des dégénerescences de bouche d’oeil de cheveux. on a le vrai en face et des choses abstraites autour qui ne sont que du vrai mal projeté. retournez vous doucement, et regardez les gens qui danseront tout à l’heure. ils sont peut-être indiens.

 

Ce soir, Igor carbure à la garbure.

 

Carver, Mina communiquaient souvent en japonais. Les serbes ne le comprenaient pas : l’hermétisme élégant était l’un des buts à atteindre.

Short par igor le 09 Juil 2009

Parfois je

me demande si…

et je me dis que

ou eventuellement

mais la véritable solution c’est sûrement

ou encore

quoique

yessss

!!

Old par igor le 17 Juil 2002

 

Mithra !

Short par igor le 24 Déc 2011

 

Les pieds tranchés posés roulés pelés hachés chair charcutier maison rouge euh thé c’est etc… #ns

Short par igor le 26 Mai 2010

tranches de flux

les pilules bourdonnent c’est divin la table clignote elle dit l’éclat « keep on your brightness & stay calm ou la télécommande bzz » encore et chaque beat grave à peine martial me stroboscope la perception en gris : j’attends le cliquetis alors je ronge mes os dans la plaine expectative

Old par JLB le 05 Mar 2004

EXHIBITIONNISTE, CE HEROS

« là ici »