Consultez l’abbé pour plus d’information (ou Zan original…)

Old par Gu. le 06 Mai 2003

enlève tes lunettes,

que je puisse t’embrasser.

Old par M. Fox le 06 Nov 2002

Ces petits oiseaux ne sont pas morts, tu vois. A la nuit tombée, ils se parent de leurs plus belles couleurs et ils dansent pour moi. Ils sortent de leur boîte transparente et ils s’éveillent à la vie. Ce sont des oiseaux de nuit
Old par D.b le 21 Mai 2003

 

Carver : « je vais te crever raclure ». Mina : « pas très original ». Igor : « mais ça peut marcher, non ? ». Soudain, Il pleut des grenouilles.

« quand tout se débat autour de soi,
un sourire’, une caresse, un mot pourrait il refaire paraître la vie ? »

Old par -- Zan le 15 Déc 2002

colorions kandinsky d’après gutaï



merd !

si je devine ton sourire dans le noir sans entendre ta respiration, dis-moi que tu es là silencieux, je voudrais deviner aussi ton intention pour moi ton désir d’y être et tes pensées. si je peux confondre sous mes doigts le drap doux et propre et ta peau soyeuse soyeuse, bouge ton dos décale-toi vers moi pour me rejoindre pour manifester ton envie de moi ton vouloir de présence. si je peux démêler dans les arômes de l’été ton odeur peau mélangée à parfum approche tes lèvres des miennes pour que je puisse respirer le même air que toi pour que je puisse sentir comment tu as transformé le même air que moi. si je trouve sous ma langue un oreiller ferme comme ta chair donne-moi à croire que c’est toi donne-moi plus de chair à goûter demande-moi de te mordre. si je vois une forme s’éloigner de ma couche ne dis rien surtout tais-toi ce n’est pas toi ton fantôme seulement, l’ai-je trop cotôyé? ton fantôme seulement qui s’en va pour te laisser venir.

L’Ile Enchantée
1er étage
65 bd Villette
75010 PARIS
( 01.42.01.67.99

Old par M. Fox le 07 Mai 2003

le récitant : bon, ici un texte de merci merci à tout le monde MAIS il y’a une fuite dans ma salle d’eau ET DONC mastiquage en règle.

Old par igor le 12 Avr 2004

 

Carver aime le parachutisme, le criticisme kantien et garder, au cœur des combats, son éternel blouson de queer.

Short par igor le 12 Avr 2011

trop de stimuli

origine des sens saturée,
beaucoup trop de kilomètres en direction de liège,
je ne sais plus,
les aigles chaussent du 42,
j’ai la nausée,
l’esprit se stabilise dans une bulle d’avion,
j’aspire fort la mer égée
c’est la guerre, j’entends tomber
les bombes génétiquement modifiées
du billard,

j’ai peur,
j’ai peur,

protège moi.

Old par M. Fox le 18 Déc 2002

TU MENt’à l’eau ?

 

Mes amis pâtes sont formidables. Surtout les lasagnes. Avec du thon numérique et des tomates fraiches analogiques. Brillant.

Short par igor le 09 Sep 2011

Aviation

Un JOUR de 1916, l’aviateur russe Igor Tourgueniev est envoyé en reconnaissance près de la frontière turque et survole le mont Ararat, qui culmine à 5.100 mètres. C’est là que, les eaux du déluge universel s’étant retirées, l’Arche de Noé aurait repris contact avec la terre ferme. A son retour, l’aviateur fait un fantastique récit : « Au sommet du mont Ararat, dit-il, j’ai vu un LAC de GLACE et, juste au milieu, emprisonnée dans cette glace, quelque chose qui ressemblait à la charpente d’un navire gigantesque ».

Old par igor le 17 Déc 2003

Le maugréant : Pas celui qui a tagué « tourgueniev, ce héros » sur une table du

Old par ... le 11 Mai 2006

 

HellRaiser

Short par igor le 17 Oct 2010

 

Et Mina, d’aimer toujours Nicola et son pigeon aux yeux laser. t.co/qFdGEdzk

Short par igor le 21 Juin 2012

blig blag blog, sérieux que signifies-tu? rond un tour autour du monde, et ffff un doux rêve où tu es. je ne veux plus que tu sois dans mes rêves. alors protprotprot je sors du danger dans une voiture inventée imaginée imagée. je sors du sommeil je sors de la journée je sors du réel. rrrrrrrr les voyez-vous encore? ils déjeunent entre eux, ils discutent ils se parlent se regardent. se trouvent-ils beaux? je les trouve pâles. brrmm un deuxième tour autour du monde, ils sont de plus en plus loin. où m’avancent mes anneaux, dans le temps, ailleurs? je ne connais rien alors je ne comprends rien. mais je sais que je perds toutes mes chances de les revoir un jour. ouf. maintentant je peux m’endormir tranquille loin de mes rêrves de toi et des contacts d’eux.
je m’endors dans un monde où je flotte, uniquement parce que je ne le connais pas. je soupire d’aise, entendez-vous mon confort? je suis très loin de vous et ça me fait du bien. je siffle doucement dans mon sommeil une chanson angeline que jamais on n’avait entendue, ni vous ni moi. de chez vous vous l’entendez, certains se prosternent, ils montent une église. ils créent un culte. ils vous haranguent, vous obligent à croire comme eux. mais ce n’est que le sifflement perfide d’une méchante fille qui a craché sur la société des hommes! croyez-vous toujours au règne du juste? Dans mes rêves à l’autre bout des ténébres je sais que le juste ne peut pas régner. Quand je reviendrai, si je reviens, je vous trouverai prosternés à mes pieds, vous reconnaîtrez mon chant et mes larmes de cristal, j’arracherai vos gorges et vous comprendrez. mais vous resterez à mes pieds. il ne faut plus croire au juste. vous ne pouvez le voir, il erre dans l’imagination du mauvais; peut-il être mieux caché?
je vous aime

 

Et pour cette nuit, pour nous garder bien au chaud et faire trembler les puissants : « Vive le Feu ! ».

Short par igor le 31 Déc 2011

Dans les hauteurs.
Clémentine partie mystérieusement de Paris, m’appelle
des Alpilles, et me raconte qu’elle dort chaque nuit
dans un monastère différent, loge gratis
& dîne gratis à condition de faire la vaisselle.
Un aumonier lui a dit ça :« Cette saloperie de prochain !
On l’aime bien quand-même ! »

Finalement Clémentine m’avoue n’être pas contemplative,
et dimanche, elle descendra à Marseille pour retrouver la ville.

jimpunk, ce héros…

Old par Gu. le 03 Juin 2003

Je l’ai encore dans la tête
Je n’ai plus de libido
Je suis à moitié dépressif et tout à fait torturé
Je passe mon temps à bosser et à boire
Es-tu prête à supporter un tel supplice ?

Old par Rodia le 04 Avr 2003

"Halo"

Old par ... le 27 Nov 2006

Ode à la différence

Personne dans le monde
Ne marche du même pas
Et même si la Terre est ronde
On ne se rencontre pas

[Chorus]
Les apparences et les préférences
Ont trop d’importance
Acceptons les différences

C’est vrai, faut de tout tu sais
Faut de tout c’est vrai
Faut de tout pour faire un monde

Personne dans la vie ne choisit sa couleur
L’important c’est d’écouter son coeur
Si celui qui te paraît différent
Très bien, c’est le sien
Tu as le tien et j’ai le mien !

Alors donnons-nous la main

Personne dans le monde
Ne marche du même pas
Et même si la Terre est ronde
On ne se rencontre pas

[Chorus]

Ce qui compte dans la vie c’est le bonheur
Chacun de nous le trouve à son heure
Tu veux le partager
Alors c’est gagné
N’attends pas demain
Ici tout va pour le mieux
On pourra tous être heureux

*** Break musical ***

Personne dans le monde
Ne marche du même pas
Et même si la Terre est ronde
On ne se rencontre pas

[Chorus]

Faut de tout tu sais
Faut de tout c’est vrai
Oui c’est vrai tu sais
Faut de tout pour faire un monde

Old par Nicolai le 01 Oct 2002

mercredi 18 avril – je porte un pantalon long – je peux courir plus vite – je peux t’aimer plus fort- je ne suis pas là – je n’existe pas – je ne suis pas à mon avantage – je n’écris pas bien – je n’écris pas – je ne suis pas – il fait si chaud sous ce soleil – un kilo – à la pendule il est 18 avril…

Old par igor le 09 Mai 2003

start the riot !!

Old par JLB le 01 Mar 2004

j’aime bien qu’on m’offre des étoiles

Old par -- Zan le 18 Oct 2002

 

Maison. tourgueniev.com/2003/08/03/1049

Short par igor le 21 Avr 2011

je pleure car j’ai besoin de toi

je pleure car je te sens

je pleure car j’ai besoin de toi

je pleure car je tiens à toi

si seulement un bateau arrivait

ou seulement si quelqu’un venait

frapper à ma porte

ou seulement quelque chose

je pleure car j’ai besoin de toi

je pleure car j’ai besoin de toi

Old par M. Fox le 14 Nov 2003

Get into the groove
Boy you’ve got to prove
Your love to me, yeah
Get up on your feet, yeah
Step to the beat
Boy what will it be

Old par M. Fox le 01 Mar 2003

Les pommes d'or du soleil

 

Mina et le sniper slovène animaient la soirée « brancardier » d’une fort originale manière. On ne perdait aucune munition, cartilage à gogo.

Short par igor le 10 Jan 2011

enjoy afri-coke !

 

Are you in Tasmania? Have you seen stoned wallabies? Send us your comments using the form below. #karachigate #ccqmdt #opium

Short par igor le 25 Juin 2009

A quoi s’applique le désir de possession aujourd’hui ?

Ethymologiquement, « délirer » signifie, « sortir du sillon. »
J’écris dans les fossés.

la musique que je préfère

c’est celle du:

on tourne en rond

a la même vitesse…

Le répliquant

1g – avant de manger son whisky, se défoncer à penser.

2g – avant de se défoncer au manger, penser au whisky.

3g – avant de manger sa pensée, se défoncer au whisky.

4g – avant de se défoncer au whisky, manger à penser.

5g+- avant…

Old par To le 16 Nov 2004

DE NOUVELLES AVENTURES!

Ma chambre devint inhabitable.

Dans le coin des forêts vierges les panthères firent défaut.

J’en trouvai dix chez un fourreur et fabriquai les autres

avec des vieilles lettres d’amour rapiécées, les yeux d’un

civilise à la recherche des barbares, les sourire d’une promesse.

Bientôt les usines réclamèrent de l’or: chimiste, ton whisky

solidifie fut une trouvaille et les mots plats d’un entrepreneur firent le reste.

Pour le centre, la glace fut difficile à trouver; je me rappelai opportunément

les paroles d’un crétin qui m’appelait « sans cœur »

(il fumait un cigare muet et j’avais besoin de mille francs),

l’arrivée lymphatique d’une maîtresse fiévreusement attendue,

d’anciennes saouleries délayées en causeries -et les réveils

au milieu des lampes allumées

Dans le fond droit je devins brasseur d’affaires grâce aux chèques

sans provision distribues en guise de prospectus, la réduction

au dixième des contrats proposés, le vide romantique prêché

du haut d’un réverbère, l’indifférence à la pluie et la suggestion secrète.

A l’Ouest, j’acquis un ranch de voleurs de chevaux.

Appliquant strictement les méthodes de ma jeunesse

(quand je faisais tourner les péchés capitaux -et les femmes à mon profit),

je devins, après quinze jours de gérance, propriétaire d’un état.

Mais, fatigué par un multimillionariat sans incidents, je dus

retraverser l’océan plat. Il fallut alors inventer l’eau et l’immensité.

Sur un signe, trois amis m’analysèrent rapidement,

firent pivoter mes défauts sur un plancher de vices cachés

et de mensonges et définirent par quoi ils m’étaient supérieurs

– ô soleils et vos couchers sur la mer vous étiez enfin dans le décor!



Les ports sont introuvables. Je drapai quelques vieux désirs,

étendis des carpettes usées menant à des lits bretons,

façonnai quelques femmes; mais, mes idées vivant de plein air

depuis vingt ans moururent asphyxiées et se métamorphosèrent en matelots ivres.

Je les congédiai et déclarai la croisière terminée.

Plus de murs. J’étais sans socle suspendu dans l’espace,

écartelé par les éléments, le feu allait me démettre l’épaule droite

quand j’agrippai des dents une échelle de passage entraînant mes

quatre mendiants comme une tour quatre nefs d’église.

Je m’élançai vers les sommets et fus marchand de papiers peints.

Belles et soi-disant belles, les vertus théologales, modelées en rouge

sur le fond bariolé du ciel et de l’enfer, s’enlevèrent rapidement

et je fis une nouvelle fortune.

Quelques rouleaux d’espoirs sous le bras, je redescendis vers la ville.

Avec des complices, j’organisai toutes les banques en filiales

et dans la maison-mère j’installai un dancing. Je pris au sérieux

mes seules billevesées. L’orchestre fut un ramassis de souvenirs

bien accordés, d’orgasmes mal partagés et de saxophones.

Mais les copulations possibles sont en nombre limité.

Je cédai mes aventures et mon établissement au danseur professionnel,

et, maintenant, assis sur un tapis de prière, j’attends Lucifer

afin de lui proposer mon âme contre une dizaine de millions.

S’il existe, il va venir. J’ai dit: je compte dix et s’il n’est venu,

il n’existe pas. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10… J’étais un peu ému,

mais rien n’a bougé. Je suis rassure, j’ai couru le risque; je suis satisfait.

Exerçons notre courage, éteignons la lumière, refaisons notre voeu.

Il n’arrive rien. Je m’ennuie et m’enorgueillis de mon ennui

pour avoir au moins quelque nourriture. Je suis orgueilleux

par besoin de changement: il y a un monde où je suis seul sans décor,

où je peux m’absorber et me multiplier indéfiniment: équilibre difficile,

position instable. Si j’étais humble, je serais assis et tout tournerait

autour de moi dans un ordre parfait. Les hommes orgueilleux,

quand ils se rencontrent, se sauvent mystérieusement et retournent,

chacun, à leur trapèze. Les humbles seuls peuvent juger parce

que tout leur est volupté et embrassements. Je suis orgueilleux

par nonchalance; qui peut m’atteindre ? Je suis comme les épiciers:

la qualité de mes marchandises m’importe peu (ma famille est dans l’aisance).

Mais je manque de naïveté, et comment causer avec quelqu’un?

Je dois demeurer orgueilleux ou je me perds.

Supplice de l’orgueilleux: il se mange; et je mentais en disant

que la multiplication est illimitée.

Je tourne en rond et je suis une pointe: grotesque!

Si je ne descends pas dans la rue tout de suite, je deviens fou.

Je me lève; je mets un manteau en sifflant. Mais alors?

Je ne suis rien si une chanson peut me distraire de moi-même;

où suis-je à ce moment-là?

Ma vie n’est peut-être qu’une parenthèse. Ouvrons la fenêtre.

Ah !. si je pouvais entremêler mes pensées avec la précision

qu’ont les angles des rues au carrefour ! Mille variétés!

Je sens que c’est possible et je me sens soulevé: cet homme qui passe

et moi si haut, le vent qui passe ronfle en moi comme en une coquille.

Je suis emporté, je m’évade en fumée au-dessus de moi. Un triple saut périlleux.

Je suis dans la rue, mort. Mais je regarde la petite fumée qui s’élève…

Tout cela est faux.

PAUL MÉRAL

Old par JLB le 10 Avr 2004

 

Brûlez, repaires de curés,
Nids de marchands, de policiers.
Au vent qui sème la tempête.
Se récoltent les jours de fête.

Short par igor le 20 Juil 2010

Et quel futur ?
Pour les petits durs
Et quel futur ?
Entre quatre murs
Et quelle société ?
Pour les enragés
Et quelle société ?
Pour les gueules cassées
Pour les têtes brulées
Pour les agités
Pour les Pieds Nickelés ?
Quelle société ?
Pour les Béruriers
Pour les défoncés
Pour les détraqués ?

Old par igor le 24 Avr 2003

Résonnance recherchée

Que nos regards

En récépissé

 

Se réveiller avec une sensation de blessure par balle. À la joue. Une coulée, chaude, de sang. Épaisse et noire. Et la mort qui vient.

 

Je peux manger les doigts de mes amis loups sans me lasser. Les milices se regroupent dans le nord. Succès.

Short par igor le 07 Sep 2009

 

Rien ne vient.

Short par igor le 25 Sep 2010

Comme dit ma mère :

«Ces tourguenistes : chevelus, pédés, drogués et compagnie…»

Old par -- Zan le 25 Mar 2005

(…)

Le récitant ce héros…

Old par Gu. le 13 Nov 2004

« Mademoiselle, grâce à notre technologie avancée, vous pouvez admirer sous tous les angles les resultats de votre future opération.

Adieu ridules, points noirs et cheveux gras… »

Ce matin, je me suis éveillé en sursaut, couvert de sueur et tremblant

Je me souviens de ce meurtre commis étant enfant, je sais que tu t’en souviens aussi, on avait tout maquillé, t’en souviens-tu ?

Le cauchemar reviendra me hanter, j’en suis sûr, de plus en plus précis

Je n’ai pour l’instant que quelques images et quelques sensations

Tu as gardé tout cela pour toi, pendant toutes ces années

Je t’admire, je te hais

Tu n’aurais pas du porter ce poids énorme seul

Je me demande encore qui nous avons tué, j’entrevois comme une photo mais elle est trop floue pour que je puisse voir de qui il s’agit

Par contre, l’odeur de notre vieux parquet branlant est là et je sens aussi le poele à mazout, cette antiquité d’un autre age

Depuis quelques heures que je suis éveillé, mon coeur se calme à peine

J’ose à peine essayer de me replonger dans ces souvenirs

Je n’imagine pas comment on a pu s’en sortir toi et moi

J’espère et je crainds à la fois la nuit où tout me reviendra en mémoire d’un coup

pourrais-je encore trouver le sommeil ?

Old par M. Fox le 05 Oct 2003

 

Tu as violé les termes de la métaphore en admettant son existence, alors moi j’arrête là. Un mars rover et ça repart. et puis 42. Donc.

Je ne suis pas malade, je suis triste.

Old par Rodia le 27 Avr 2003

1917 : ballet tourgueniste

Old par -- Zan le 26 Nov 2002

 

Première épouse de Ross. Elle a décidé de divorcer quand elle a découvert qu’elle était lesbienne et vit désormais en couple avec une femme.

Box-Office

« Godzilla dans les starting-blocks » (sortie en janvier 2005).

Old par ... le 02 Jan 2005

Non, ce n'est pas ça
En effet…

Old par Nicolai le 28 Nov 2002

 

Et encore une nuit bien sérieuse. (cc @Flore_m )

Short par igor le 03 Juil 2011

Bernard vient de rentrer du Népal…
Il est assez heureux…
Il prend une douche…
Il a un sabre…
Et on dirait un enfant…
Loin de toute réalité de la proximité…
L’Himalaya…

Old par Gu. le 11 Mai 2003

 

Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.

Short par igor le 08 Mar 2012

asilum side strangest side



pour avaler ton âme, j'irai chialer sous la lune avec les autres chiens ooooooooooooOOOOO

si tu sais de quoi je parle

il faut que ça cesse.

mes ongles dans ton dos et nos conversations secrètes.

tes jupes retroussées et ton sourire mutin.

nos doigts qui se cherchent et se déchirent.

lundi, il ne restait plus qu’une dose

et je me suis mise à te hair, baby.

je suis ta pire ennemie et je suis à tes trousses.

Cendrillon et la signification m’échappent.

je suis à ton service. passe moi les Curly.

j’aime ce gout d’arachide sur ta queue.

Old par igor le 25 Août 2003

une eclipse soudaine
suivie d’un grand vent

j’ai perdu pied
et je tombe dans le néant

Old par M. Fox le 20 Déc 2002

– Acheter du feutre pour les pieds de mes fauteuils qui rayent mon parquet
– Enduire mon parquet d’un mélange d’huile de lin et d’essence de thérébentine (salon + bureau)
– Lancer une machine de blanc (serviettes, torchons, draps…)
– Changer les draps (ça commence à faire longtemps)
– Trouver une hache de poche (avec un manche en bois, c’est plus rustique -> Bricorama.)
– Prendre rendez-vous avec la victime
– Te chercher à la gare
– Présenter mon travail à Avril.exe (je sais même pas ce que c’est que ce truc)
– Aller à un apéro surprise (si il est confirmé)
– Rentrer
– Te faire l’amour toute la nuit durant (pas trop quand même, parce que dimanche j’ai du boulot)

Old par Rodia le 25 Avr 2003

Old par -- Zan le 26 Nov 2002

 

A long day of outdoor activities.

Short par igor le 29 Sep 2011

 

Les outils du charcutier se trouvent en général suspendus à sa ceinture. Il peut ainsi les saisir facilement. C’est très important. #xfactor

Short par igor le 28 Juin 2011

Y’a une fille…

Amour, Coco & Fleurs oranges

Plusieurs indices m’ont mis la puce à l’oreille. J’ouvre l’œil. J’vais faire une enquête pour en avoir le cœur net. Ca m’inquiète. Y’a des détails qui trompent pas. Les draps la couette et la taie d’oreiller sont plus dépareillés. A coté de mes fringues en boule, y’a des vêtements pliés et repassés. Y’a des détails qui trompent pas, j’crois qu’y a une fille qu’habite chez moi ! Deux brosses à dent dans la salle de bain. Du savon sans savon et le sèche-cheveux, c’est certainement pas le mien. Des petites boules bizarres pour parfumer la baignoire. C’est un vrai cauchemar : Quelqu’un a massacré tous mes amis cafards !

Old par igor le 04 Sep 2004

du mal de crâne, de la migraine, de
la « fuite » dans les idées mercredi
Une rude poigne tente d’empêcher
peut-être était-ce cette boisson frelatée
qu’on m’a servie dans cet espèce de pub grouillant de mercenaires

Old par igor le 14 Fév 2003

 

Tendre les jambes, les bras, s’étirer au maximum, ronronner brièvement. Par la fenêtre, apercevoir l’aube sur les ruines. Sauter du lit, nu.

Short par igor le 18 Sep 2015

 

MME DE SAINT-ANGE : Bonjour, mon frère, eh bien, M. Dolmancé ? twitpic.com/2qohts

Short par igor le 21 Sep 2010

Parole vaine du héros.
Je n’accepte pas ma faiblesse ; celle de mon corps,
et j’éprouve plus que personne mes limites, et
je devine qu’il peut se passer quelque chose,
mais l’effort qui doit m’y mener me navre ;
la lacheté, ce n’est pas la mienne ; c’est la
fatigue du monde — son usure —qui est responsable ;
quelque chose du dehors me menace, et perturbe
le sens d’un devoir naturel : celui d’etre l`,
davantage que les autres.

bien de prolonger la fiction, de la faire déborder; il
n’y a jamais d’embarras ; aujourd’hui on a perdu (hélas) le goût du secret & de
la beauté.

Si t’as bu sur Tourgeuniev – 21

J’aime pas les gens qui se disent et qui font pas, qui disent ce qu’ils font en oubliant de faire ce qu’ils ont à faire j’aime pas les gens qui se racontent très fort pour sentir avec volupté le ton de leur crâne et les contractions de la mâchoire, j’aime pas les gens qui l’ouvrent j’aime surtout ceux qui la ferment tout en ouvrant leur cul ou peut-être leur sœur, j’en sais rien, une mélodie même si elle pue, j’aime pas les gens coincés, j’aime pas les gens qui étudient, qui curriculum vitae, qui ne tremblent pas, j’aime pas les gens qui pensent trop tellement qu’ils pensent à votre place, j’aime pas les gens qui baisent pas, qui mangent pas mais qui bizarrement trouvent le moyen de se pendre la bouche, comme si l’air et le vide vitalisaient et fortifiaient leur salive, j’aime pas les gens qui sont constamment à leur propre poursuite qui manquent d’eux-mêmes qui se manquent tellement qu’ils s’attachent à eux-mêmes pour ne pas se perdre, qui passent leur temps à se guetter entre leurs murailles, j’aime pas les vieux cons, pas parce qu’ils sont vieux, mais parce qu’ils étaient cons avant d’être vieux et qu’ils ont trouvé le moyen de pas changer et de rester cons jusqu’à l’infini de toute leur trouille, j’aime pas les jeunes cons, c’est rébarbatif et inquiétant, si jeunes et déjà embouteillés, la cervelle périphérique, j’aime pas les gens qui vomissent des conseils à n’en plus finir, qui vous retournent les entrailles de leur presse féminine, j’aime pas les gens qui se conseillent pas eux-mêmes, j’aime pas le public des salles de fête ça fourmille de sociopathes en série, j’aime pas les petits villages ce que les gens s’ennuient ce qu’ils haïssent la capitale en lui enviant la vie qu’ils soupçonnent de ne pas vivre, j’aime pas la capitale elle est morte et ennuyeuse elle tourne en rond, j’aime pas ton frère ni ta sœur ni tes ennuis je veux dire tes amis, je veux dire arrête de me prendre à parti et de me faire garder les bêtes qu’il y a dans ton cœur, j’aime pas les gens qui parlent de shampooing de tubes de talons de voitures de gamecube, j’aime pas les jeux de mots pitié avec tes jeux de mots, on dirait des ruby-cube décomposés dans un frigo détraqué, t’arrives tellement pas à parler simplement aux gens comme à ta mère le dimanche t’arrives tellement pas à être limpide et nu qu’t’as besoin d’en faire trop même avec les mots, histoire de pas te frotter avec tes profondeurs, j’aime pas les gens qui se pointent dans les salles d’expo en espérant coincer l’artiste, pour lui faire mal désespérés de n’avoir rien fait de leur doigts si rassurés d’avoir quand même, ingurgité des tonnes de bouquins en études d’histoire de l’art à l’école du Louvre, histoire de mater les artistes de références, de pouvoir repeindre la toile exposée de leurs analyses claudiquantes toutes suintantes de leur masturbation glaireuse, histoire d’avoir l’impression de peindre eux-aussi, j’aime pas trop les gens en vrai on avouera qu’il y a deux choix : les cons, les intelligents, les muets, les vociférants, les plaies les piliers, non il n’y a pas deux choix il y en a des milliers et c’est bien ce qui me gangrène on ne peut pas les emmagasiner quoiqu’on puisse les résumer en deux pôles : les faibles muets, les forts vociférants, et ce qui commence à me péter les couilles plus je vieillis c’est qu’il faut surtout pas être doux histoire d’avoir la paix avec les vociférants, tu peux même pas rester un con muet en paix, j’aime pas ta mère tu sais non je l’aime pas elle t’a fait à son image et toi tu l’as dégueulée, ce qui se conçoit certes, certes mais regarde ta gueule dans la glace maintenant, t’as vieilli de dix ans et t’es devenu sacrément agaçant avec ton orgueil quand même vaguement dérisoire faut l’avouer, j’aime pas les gens qui parlent beaucoup et qui n’ont que cette pauvre vérité, la leur, pleine de spaghettis à six et de cinémas à trois, vérité glanée, l’art de la parole, l’art de la génuflexion, vraiment c’est nauséeux, j’aime pas les gens qui se contractent en costumes, rappeurs, gothiques, mal rasés, grunge, pour ne pas disparaître dans la masse, j’aime pas les gens faiblards qu’ont trouvé comme seul moyen que de se bâtir une autre identité afin de crier qu’ils n’en ont pas. C’est pénible et pas citoyen ça encombre les rues, vraiment j’ai envie d’hurler de rire en les pointant, vraiment ces pouilleux, me fais pas croire que tu veux disparaître, non vraiment j’aime pas les gens qui se regardent dans les miroirs, j’aime pas les gens qui se mentent à eux-mêmes avec leurs plaintes et leurs costumes coordonnés à leurs plaintes alors que ces connards ils transpirent la rage d’exister, vraiment ça me fout la gerbe l’inutilité de toutes ces heures devant les glaces à se confectionner des costumes destinés à prouver aux gens qu’on-se-regarde-pas-dans-la-glace vraiment c’est vrai avec l’âge je deviens nazi et vraiment je m’aime pas trop pour ça, vraiment j’aime pas cette sensation d’une solitude qui perfore son carrelage en continu vl’à t’y pas que j’ai creusé un puits dans ma cuisine vraiment c’est dérangeant cette sensation de m’être coupé du reste du monde depuis trois ans que ça dure, vraiment j’aime pas cette sensation d’aimer ça, vraiment j’aime pas ne pas aimer, vraiment j’aime pas inspirer, j’aime pas avoir de références, j’aime pas les biographies des gens qui sont encore en vie, j’aime pas les creux scolaires qui veulent plaire, j’aime pas les gens qu’aiment pas parce que ça fait chouette d’avoir l’air implacable et de pas aimer, ceux-là j’me les ferais bien avec cet air de pas comprendre qu’ils sont laids, ce qu’ils sont assoiffés les gens, ils savent plus quoi faire, j’aime pas l’épicier quand il me dit repassez samedi y’en a plus, mais j’ai passé une commande ça arrivera samedi le Cahors, j’aime vraiment pas cette sensation d’avoir transformé mon épicier sympa en dealer notoire de l’avoir vu festoyer en patins à roulettes dans la rue avec ma cousine et Colin-Maillard quand j’avais huit ans, j’aime pas Monoprix, cette sensation détestable qu’ils changent tous les rayons de place, je comprends bien que c’est pour perdre le client dans des rayons qu’il avait pas l’habitude, je suis tellement handicapé que j’arpente le supermarché trois heures des instants éreintants flippants angoissants j’aime pas cette sensation de toujours retrouver mon chemin malgré tout vers le rayon alcoolisé c’est fou quand même ce que j’ai le nez en forme de poire, j’aime pas cette sensation de tout dire, que plus la vie va, et plus j’en ai rien à foutre de vous plaire, j’aime pas cette sensation de me faire arnaquer le regard, mais que c’est pourtant la seule solution, j’aime pas cette idée que c’est la seule solution mais que c’est pourtant bien la seule solution, que d’être transparent et de parler comme si je venais de naître, c’est bien le seul postillon que je brigue, si jamais y’avait un truc à revendiquer ce serait ce postillon-là même si j’aime pas les revendications, non j’aime pas les revendications putain faut les voir encore s’essouffler ceux-là qui se sentent encore et toujours pas exister assez fort – putain ce que c’est déprimant ces humains assez couillons pour adhérer à des partis couillons, soit des opinions, soit des congrégations et des gays-pride, des réunions et des entreprises et des comités et des cercles, dont ils se foutent éperdument mais ils se sentent tellement tout seuls, et faut voir leur petit cerveau prompt au conditionnement rien que pour l’amour de cette multitude, ce parti qui les accueille, qui les aime enfin, putain c’est pas vrai non mais c’est le pompon, j’aime pas moi, j’aime pas me sentir me sentir exister, j’y pense pas je veux dire, je me dis pas que c’est bien, ou pas assez, j’aime pas y penser, quand je commence à y penser, j’me dis que c’est mal barré que je vais devenir couillon forcément, commencer à palabrer et me décerveler comme tous ces gens qui baisent pas, qui baisent pas du cerveau je veux dire, j’aime pas non j’aime pas, j’aime pas cette sensation que j’ai de mentir depuis trois pages à vociférer que j’aime pas, j’aime pas manipuler, j’aime pas mentir, j’aime même pas tout ça, l’écrire, avoir eu suffisamment de prétention pour l’écrire et le déclamer à voix haute alors que putain toute ma vie j’l’ai passée à aimer, c’est facile d’enfler son gros bras putain personne n’aime personne, et personne n’aime pas, et on est vachement personne faut le dire à tous grouiller en masse et se colporter comme des sauterelles dans les cerveaux des autres, putain quel manque d’originalité que ce texte, j’aime pas les gens qu’ont la trouille et je m’efforcerai toute ma vie de leur faire du mal, j’aime pas cette sensation qu’ils ont de toujours devoir s’écraser quitte à faire tuer les autres, voilà, c’est un peu pour ça, que j’ai été tout ça.

fine tObaccOs

Old par Gu. le 18 Nov 2003

Encore te deseo

Instant magique où j’espère ton appel, téléphone à la main, doigts croisés, superstitieux comme un enfant amoureux.
Instant magique où tout me dit le contraire : tu n’appelleras pas, le moment est passé, je suis fou, qu’espérer d’un appel ?
Instant magique où dans ma main le téléphone s’illumine de ton nom, malgré la raison.
Tu sais me faire rire, j’entends tes sourires, tu es là tout entière dans mon oreille et dans ma tête.

La vie recèle pleins de miracles, mais certains jours,

l’avez-vous remarqué, les citrouilles restent des citrouilles

Jacques Salomé

in Je croyais qu’il suffisait de t’aimer

Old par Gu. le 19 Août 2003

Oh Marie Marie
Sauve-toi ! Sauve-nous !
Dévalons l’océan
Fais rugir les chevaux
Et que le vent nous brûle les yeux
Oh Marie
Filons en vitesse !


Old par -- Zan le 02 Déc 2002

 

Terrorisme à base d’explosion de ventre.

Short par igor le 25 Déc 2011

 

Rien du tout.

Short par igor le 25 Mar 2011

Tourgueniev ne méprisait pas l’esprit des salons aristocrates de la Grande Autriche du XIXe siècle.
Mais bien souvent, lui et ses amis Les Maquisards Bi-Littéreux ne se privaient pas pour cracher sur la Jeune Vienne de Hofmannsthal et Schnitzler.
Trop de Sigmund tue Sigmund
qu’ils disaient.

Contradiction que vous direz à moi: voici les gens dont l’ardeur si le ravir je le coeur. Voici les gens qui ont donné la femme, de corruption, dans son bon endroit la seconde. Voici les gens qui n’ont pas transformé à eux le planête en terre affligée, inhabitables. Voici les personnes sauvées par l’argent, la capacité, dépravation, par tous ces défauts qui nous ont métamorphosés dans les lubriques et les démons criminels. Voici les gens qui pourraient symboliser notre idéal comme décrit dans le livre des vertus et des révélations. Cependant, je suis apporté les croiser tous.les.jours dans un espace confiné, et il s’avère pour à moi que plus je les sers et moins je les souffre.

Old par M. Fox le 12 Mar 2003

Maintenant c’est certain, nous sommes un site PORNO !!

Old par igor le 27 Juil 2003

Nicolas REY est un prophète !

Message aux amants du n’importe quoi mais certainement pas ça :

« Un jour, tu comprendras. Le frigo des filles et tout ça. Celles qui accumulent les Diet Coke, celles qui collectionnent les jus d’orange survitaminés. Tu comprendras les crèmes épilatoires, les salles de bains avec ou sans baignoire, le sérum physiologique pour les lentilles de contact, le petit fil blanc ou bleu qui dépasse quelques jours par mois. Et le frigo des filles, la façon dont elles rangent et cartonnent au jeu des sept familles, jamais, jamais tu m’entends, en six ans de vie commune, je n’ai vu une plaquette de beurre à côté d’une bière ouverte ou d’une confiture périmée dans un frigo. Je vais te dire Henry, dans un frigo de fille, la nonchalance n’existe pas.»

Nicolas Rey / Un début prometteur.

Prometteur, en effet…

je me demande…

analogique : une toile moche dans une pizzeria à 60 euros
numérique : une jpg trouvée par google du même genre « gratuite »

analogique : tu peux retourner la toile, voir le dos, le cadre, et la tenir entre tes mains
numérique : quoi que tu fasses, l’image reste sur ton écran

la vraie vie est analogique ou numérique ?

Old par igor le 12 Déc 2002

Comme dans un film de Q

Exterieur jour / Une rue de quartier, une boulangerie

Un jeune bourgeois musculeux entre dans la boulangerie

(bruit de sonette)

La boulangère un peu salope, aux gros seins et au menton carré

se tient derrière la caisse enregistreuse.

Lui : Olah, bonnejoureu madameu la boulanegèreu…

Elle : Bonnejoureu monsieur le client.

Lui : Mmmhh commeu vous avez de belleux miches…

Elle : (petit rire) Oh merci monsieur le client. Il faut dire qu’elles

sont bien fraicheu de ce mataing.

Lui pense : Mmhhhh comme elle est bonneu.

Elle : que désirez vous ?

Lui : hé bieng jeu prendré bi-ien … mhhh

Elle : Uneu grosseu baguetteu peut-êtreu ?

Lui : Mmmh, merci non, je vous prendrais bieng… (il

pense : sur la caisse enregisteuseu)… quelquechose de bieng fourré !

Elle : Ah désolée monsieur le client, mééé… il me reste peut-être

quelques bouleux de campagneux prês du fourreu à paing.

Lui : Parfait ca me va bieng. (elle se tourne pour aller dans l’arrière boutique)

Elle : Oups ! J’ai fait tomber une quiche lorraineu (elle se penche pour la

ramasser)

Lui pense à mi-voix : Mmmh quelleu cul !

Elle feint de ne pas entendre et se dirige vers l’arrière boutique.

Elle cherche les boules, mais sous la chaleur elle est prise de vertiges.

Elle : Mmhhh j’ai chaud. Venez me donner un coup de… (elle s’évanouit)

Lui : Ne vous inquitez pas madameu, je suis secouriste de bouche à bouche.

Il saute par dessus le comptoir en se déshabillant et arrive en slip

dans l’arrière boutique. Il la Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz

Krskrkskrsz Schlika Schlika Schlika Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz

Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz

Schlika Schlika Schlika Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz

Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz

Schlika Schlika Schlika Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz

Old par To le 10 Fév 2005

burn down the disco

hang the blessed DJ
because the music
that they
constantly play

IT SAYS NOTHING TO ME ABOUT MY LIFE

hang the blessed DJ
because the music
that they
constantly play

IT SAYS NOTHING TO ME ABOUT MY LIFE

Old par igor le 01 Avr 2003

 

ici un texte / mais rien / ne vient

Short par igor le 10 Juin 2011

 

Et, là, malgré les explosions, les fumées et la poussière, tu arrives.

Short par igor le 26 Fév 2012

Un espace d’expression sur Internet : est-ce jamais autre chose que de l’auto-promotion ?

Old par DrT le 19 Avr 2003



les 3 chinoises disaient l’oracle avec une précision d’orfèvre

La première disait l’avenir

et les pièges à éviter

La deuxième connaissait les bons

et les mauvais anges,

La dernière savait révéler

nos forces cachées

malheureusement je ne parlais pas leur langue


Old par -- Zan le 04 Juil 2003

Old par igor le 17 Fév 2003

je peux te parler longtemps de nous deux
et de ce qu’il va se passer à la fin de la soirée
je peux tout t’expliquer, mais à vrai dire, je crois
que je veux te laisser la surprise complètement intacte…
ça va être extra, tu vas adorer, surtout au début,
c’est toujours agréable au début, comme on dit.

Old par igor le 19 Mai 2003


si tu te tournes
tu me verras
si tu te retournes
tu me verras
si tu avances
tu me verras
si tu reviens sur tes pas
tu me verras
si tu fermes les yeux
j’en mourrai

Old par igor le 29 Oct 2002

 

Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.

18 h 40.
La cerise est dense sur les slips sales axes routiers et autoroutiers d’Ile de France.

Principales difficultés :

A104, 7 km entre Villepinte et Villeparisis.
A86, 2 km à Gennevilliers.
A86, chaussée extérieure, entre Rosny sous Bois et Nogent, sur 5 km.
A3, vers province, de Bagnolet à Romainville, sur 3 km.
A4, vers province, 7 km entre la demi-portion de Bercy et Joinville.
A86, sens sud nord, 7 km entre Thiais et Maisons «Le Trou» Alfort.
A6, vers province, 6 km entre Wissous et Savigny sur orge.
N104, entre Lisses et Saint «Zog-Zog» Germain les Corbeils, sur 4 km.
A13, 3 km entre la mémé d’Auteuil et le porcelet de Saint «Chaud devant !» Cloud.

Sur le saucisson périphérique parisien, circulation ralentie en chaussée intérieure, entre les ruines romaines d’Auteuil et Bercy, circulation en accordéon sur 24 km, en chaussée extérieure, ralentissement entre les échasses de Sèvres et Chapelle, circulation en accordéon sur 22 km.

Old par M. Fox le 22 Nov 2002

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